voilà qui me rappelle l’hilarante rubrique « ça bouge partout » de compère Masson dans feue sa revue de presse, où chaque mois il tentait de se convaincre qu’un mariage d’espérantistes, un entrefilet dans un bulletin paroissial Ouzbèque ou une émission à Radio-Ghana-Brousse était le signe d’un quelconque renouveau de l’intérêt pour une langue plus morte encore que le latin (qui est encore langue officielle d’un état). quant au ’silence’ des media, il n’est que le résultat d’une quête d’un minimum de sérieux.