Mouais, le nombre de locuteurs du volapukanto est stable depuis plus de trois décennies, à environ 200 000 personnes, ça suffit pour déclarer urbi et orbi son échec comme langue internationale d’usage. Après ça, c’est effectivement UNE langue internationale, comme il en existe plusieurs dizaines d’autres, même si elle est surement l’une des plus parlées après la plupart des langues nationales utilisées dans le domaine international (anglais, espagnol, français, japonais, principalement).
Quant à l’intérêt porté à cette langue dans les journaux, il rejoint celui pour les mouvements altermondialistes des alpages ou des plateaux du centre de la France : ça fait office de rubrique « le saviez-vous ? », histoire de contribuer à l’édification culturelle des lecteurs à grands coups d’anecdotes sans grand intérêt, à part signaler que le mouvement existe toujours.