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En réponse à :


docdory docdory 8 janvier 2010 22:12

@ Annie 


Le problème est celui qui est inhérent à toute démocratie : quelle liberté doit on laisser aux ennemis de la liberté . La burqa est un uniforme , et comme tout uniforme , il s’agit d’une propagande pour une idéologie , en l’occurrence l’idéologie islamique. La burqa est à l’islamofascisme ce que la chemise brune était au nazisme au début des années 30 . 
On peut dire qu’il y a deux sortes principales de femmes en burqa ou en niqab
1°) Celles qui sont obligées par leur entourage familial de porter cet accoutrement , et l’on peut affirmer sans se tromper qu’une loi anti-burqa serait , pour elles , une véritable libération. En effet , on imagine mal que leur mari irait faire les courses ou aller chercher leurs enfants à leur place ! Donc cette première catégorie de femmes est victime d’ennemis de la liberté , et doivent donc être protégées à tout prix de ceux-ci , car , lorsqu’il y a des forts et des faibles ,c’est la loi qui libère et l’absence de loi qui opprime.
2°) Celles qui sont porteuses volontaires, soit par endoctrinement , soit par lubie , de cette tenue. Celles-ci se rangent de facto dans les ennemis de la liberté, puisqu’elles en arrivent à abolir volontairement leur propre liberté .
3°) Une troisième catégorie est celle des malades mentales , catégorie qui, à la réflexion, doit comporter une grande partie des membres de la 2ème catégorie, car une altération profonde des capacités de jugement de la personne est susceptible dans de nombreux cas d’expliquer ce renoncement volontaire à la liberté.
Même si la première catégorie ne représentait qu’un centième des porteuses de burqas et niqabs ( ce que je ne crois pas un seul instant ) , son existence suffit à interdire la burqa, car « opprimer » très légèrement 99 femmes liberticides est préférable à laisser opprimer une seeule femme qui ne demanderait qu’à vivre libre !
Un dernier argument contre la burqa est le suivant : la probabilité qu’une femme en burqa ou un niqab trouve un travail pour assurer sa subsistance est absolument nulle ! Par conséquent , cette femme ne pourra vivre que d’aides sociales et d’allocations diverses, d’autant en général qu’elles ont des maris en tenue islamiste qui n’ont , eux non plus , aucune chance d’être embauchés. Le port de la burqa est donc une forme de parasitisme social : pour suivre les préceptes de leur religion, elles sont obligées de vivre de la charité publique et donc de ponctionner abusivement l’argent des cotisations sociales d’autrui. Ce qui n’est absolument plus acceptable dans une France dont la dette est si abyssale qu’elle est pratiquement en faillite .



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