Chavez dérange, surtout quand il parle de ce qui s’est passé à Haiti.
Pour information, une extrait de l’article intitulé "Le rôle des ONG en Haïti
soulève beaucoup de questions » par Jean Lavalasse, sur le site michelcollon.info
Et enfin, le sous-sol haïtien est bourré de pétrole. Apparemment
les gisements vénézuéliens prendraient leur source sous l’île.
Port-au-Prince est assis sur un gigantesque puits de pétrole qui ne
pouvait être jusque là exploité. En effet, depuis les années 50, Jean
Dumarsais Estimé, le président de l’époque, avait déplacé la capitale
anciennement située à Marchand-Dessalines vers l’actuel Port-au-Prince.
Cette transition ne permettait pas d’exploiter le pétrole mais Mère
Nature aidant, aujourd’hui tout est possible.
De plus, le séisme a
provoqué un exode rural volontaire des habitants de Port-au-Prince,
laissant le champ libre à la destruction des ruines de la capitale et
pourquoi pas le forage des sols… Dans d’autres circonstances, s’ils
avaient demandé aux habitants de partir vers les campagnes cela aurait
été considéré comme un génocide. La catastrophe apparait comme une
aubaine pour les impérialistes car elle permet de déplacer à nouveau la
capitale. Tout n’est qu’enjeux géopolitiques et économiques.