Félicitations à l’auteur pour cette synthèse précise (mais bon courage pour affronter ceux qu’il a eu l’heur de déplaire !)
J’ajoute deux points. Le premier concerne la bulle de l’immobilier, dont les effets néfastes méritent à eux seuls un développement [ http://geographie.blog.lemonde.fr/2010/01/26/cdxiii-shanghai-sur-un-air-de-dubai-du-probable-eclatement-de-la-bulle-immobiliere-dans-la-ville-chinoise/ ]. Il convient de rappeler que les Chinois ne disposent que d’une marge de manoeuvre réduite pour placer leurs économies (pas de fonds internationaux).
Le second touche au Japon. Attention de rappeler les limites de la comparaison avec la Chine. L’industrie nipponne a eu la capacité dès les années 70 de sortir d’une logique de fabrication « copiée-collée » des produits occidentaux. Tout cela dans un archipel privé de toute ressource naturelle, et sans investisseurs extérieurs.