Aussi vrai que la mauvaise monnaie chasse la bonne, la dette odieuse telle un coucou dans le nid de l’Etat, en chasse la dette sociale par la politique de rigueur que ses taux d’intérêts aussi prohibitifs qu’indûs entraînent dans le cercle vicieux suivant décrit par Lordon :
« dégradation de la note → austérité forcée → récession → détérioration de la situation budgétaire et emballement de la dette → austérité renforcée, ... »