Occupation Islamiste criminelle c’est trop, en Syrie, il est urgent d’aider Bachar Al ASSAD
Résultant de la guerre menée depuis 2011 par les Islamistes sunnites, avec la bienveillance des USA et de ses alliés, au premier rang desquels la France, en août 2015, le nombre de morts en Syrie est estimé à 240 000 avec 2 millions de blessés, 4 millions de réfugiés et 11 millions de déplacés. Beaucoup risquant, par ailleurs leur vie pour traverser la Méditerranée, des drames quotidiens, tel le cadavre de cet enfant échouant sur la côte, faisant la une de certains journaux.
L’UNHCR estime également que sur les 23 millions d’habitants syriens, plus de la moitié de la population a du fuir son lieu de vie : 7,6 millions de personnes se sont déplacées à l’intérieur de la Syrie et 3,9 millions de personnes se sont réfugiées dans les pays limitrophes de la région. La Turquie accueille 1,7 millions de Réfugiés, le Liban 1,2 millions, la Jordanie 625.000, l’Iraq 245.000 et l’Egypte 136.000. Toujours selon l’UNHCR, au 31 décembre 2014, 217.724 Syriens avaient trouvé asile en Europe, dont 203.028 dans l’Union européenne. Ce nombre reste faible, même si le nombre de Syriens qui cherchent une protection en Europe augmente chaque année et s’est amplifié dans la dernière période.
Surprenante et scandaleuse déclaration de François HOLLANDE
Il y a environ une semaine, plusieurs villes Syriennes sont tombées aux mains de DAECH, obligeant par ailleurs des dizaines de milliers de personnes à fuir vers l’Europe. Alors que les égorgeurs de DAECH massacrent et détruisent un patrimoine historique de plusieurs millénaires à Palmyre, Hollande déclarait : « Nous devons réduire les emprises terroristes sans préserver ASSAD. Les deux ont partie liée. En même temps, il nous faut chercher une transition politique en Syrie, c'est une nécessité. » Et de poursuivre … « un dialogue peut être engagé, faut-il en fixer les conditions. La première, c'est la neutralisation de Bachar AL ASSAD, La seconde, c'est d'offrir des garanties solides à toutes les forces de l'opposition modérée, notamment sunnites et kurdes, et de préserver les structures étatiques et l'unité de la Syrie. »
En clair, neutralisation signifie son élimination au moins politique, voire physique, si on se réfère à FABIUS qui affirmait en parlant du Président Syrien « il ne mérite pas de vivre ». C’est une déclaration de guerre et c’est d’autant plus grave que c’est un Ministre d’Etat Français qui appelle à assassiner un chef d’Etat dans un pays en guerre contre les Islamistes. Le Président le plus guerrier de la 5° République est de tous les coups belliqueux et le pire, c’est qu’il s’immisce dans les affaires intérieures de la Syrie en soutenant l’un des belligérants à savoir les Islamistes du font Al Nosra. C’est bien le seul axe récurrent de sa politique en trois ans de présidence. Il faut se rendre à l’évidence : Avec François HOLLANDE, la France est devenue un nain politique sur la scène Mondiale qui s’efforce de paraître au travers de ce type d’intervention ou par de telles démonstrations verbales, dont fort heureusement il n’a pas les moyens de ses désirs…
Considérer Bachar AL ASSAD et DAECH de façon identique est particulièrement choquant et inadmissible
Entre deux maux, plutôt que de choisir le moindre, monsieur HOLLANDE choisit le pire en voulant éliminer Bachar AL ASSAD et son régime. Certes Bachar AL ASSAD n’est pas un parangon de vertu démocratique au sens où nous l’entendons et dans la situation de guerre que vit le pays depuis 2011, des excès par l’utilisation de l’armée contre des civils ont probablement été commis, c’est hélas le tribu que payent les peuples en guerre, souvenons-nous de la guerre en Yougoslavie. Mais, ce n’est pas le régime Syrien qui massacre des populations de toutes confessions, en égorgeant, décapitant, enterrant vivant des enfants ou détruisant un patrimoine millénaire à Palmyre, mais bien les Islamistes de DAECH. Les centaines de milliers de migrants Syrien qui fuient les zones de combat vers l’Europe, ce n’est pas pour éviter les massacres dont ils seraient victimes de la part de Bachar AL ASSAD, mais ceux de DAECH…
La déclaration scandaleuse et belliqueuse de HOLLANDE à l’égard du Président Syrien sonne aussi comme l’expression d’une rancune contre Barack OBAMA qui l’avait lâché en 2013, quand le « minus de l’Elysée » avait envisagé des frappes contre le régime d’ASSAD suite aux révélations d’attaques chimiques attribuées au pouvoir, ce qui n’a pas été prouvé et même démenti par des observateurs internationaux. On a appris depuis que DAECH est très fortement soupçonné de détenir, d’utiliser et d’avoir utilisé des armes chimiques…
En 2013 une coalition se dessinait contre Bachar Al ASSAD, alors que l’on savait déjà que la rébellion syrienne était largement noyautée par les islamistes, en particulier par l’organisation du front Al Nosra, filiale locale D’Al Qaïda, généreusement financée et armée par la France, au prétexte, comme le déclarait FABIUS en 2012 au Maroc, ou plus récemment à l’assemblée Nationale à une question d’un député du Rhône « parce qu’ils sont efficaces contre Bachar AL ASSAD »... Eliminer ASSAD et son régime aurait ouvert toute grande la porte aux Islamistes de DAECH, ils auraient eu un pays entier à disposition, avec son armée, son pétrole et son gaz, l’accès à la mer, le Liban tout près, bref l’un des pires scénarii envisageable si l’on considère également la vulnérabilité, à ce moment là, des régimes politiques de pays tels que l’Egypte, la Tunisie, l’Algérie, sans oublier la Libye. Le veto de la Russie à l’ONU, son soutien à Bachar Al ASSAD, ainsi que celui de L’Iran ou du Venezuela ont probablement empêché ce plan promis au désastre. Mais pour combien de temps ?
On peut toutefois s’interroger pour quelles raisons DAECH n’a pas été éliminé dans le désert avant leur arrivée à Palmyre
Il est tout de même incroyable qu’avant d’atteindre Palmyre, lorsque les Djihadistes égorgeurs de DAECH, se trouvaient dans le désert et qu’ils étaient vulnérables, l’on ait pas voulu les éliminer par une intervention aérienne ou des drones … De là à suspecter les USA de faire le service minimum pour vouloir maintenir leur leader chip Mondial en laissant se créer une ceinture Islamiste au sud de la Méditerranée, avec les conséquences que l’on peut imaginer pour l’Europe qui, par ailleurs, est à la fois empêtrée dans la gestion des centaines de milliers de migrants et dans une querelle économico-politique avec la Russie, via l’Ukraine… les concurrents économiques Européens (maillon faible) et Russes ainsi affaiblis mutuellement, les USA peuvent momentanément neutraliser la Chine en passant des accords…Sur l’environnement…
Après tout OBAMA est Président Américain et défend les intérêts du peuple qui l’a élu. On ne peut pas en dire autant pour le Président Français qui a réduit notre pays à une fonction de serpillière au service de la politique US et des dictatures Arabo-pétrolières, ce qui est pire…
Le coût, l’impact humain et écologique aux conséquences dramatiquement catastrophiques
Lorsque le très belliqueux François HOLLANDE qui veut éliminer Bachar AL ASSAD en donnant le pouvoir à « l’opposition modérée » des Islamistes Sunnites imagine-t-il les conséquences ? C’est à croire que les centaines de milliers de migrants fuyant vers l’Europe en laissant tout ce qu’ils avaient n’est pas un drame humain dont les responsables sont précisément des Islamistes Sunnites. A la veille de la comédie Parisienne COP 21 M. HOLLANDE a-t-il envisagé de faire une étude sur le bilan énergétique et carbone des conséquences dramatiques d’une guerre imposée par les Djihadistes barbares Sunnites de DAECH à laquelle tous les pays sont confrontés et doivent déployer des moyens militaires de plus en plus importants… Il est vrai que pour HOLLANDE le pire des maux, ce n’est pas DAECH et ces jeunes Français(e)s qui vont les rejoindre pour faire leur » Djihad » en Syrie, mais Bachar AL ASSAD et son armée qui résiste de plus en plus difficilement…Peu importe si en France la lutte contre le terrorisme Islamique, selon le Ministre des Finance, va coûter un milliard d’euros au contribuables…
Pour conclure
Les soutiens Français à la rébellion syrienne ont surtout servi les islamistes. Comment François Hollande peut-il imaginer qu’abattre ASSAD ne sera pas une manière d’ouvrir un boulevard à DAECH, en direction d’Israël, via le Liban et au-delà vers tous les pays du Nord de l’Afrique ? Est-il sérieux quand il parle ? Veut-il surfer sur le terrorisme pour détourner l’attention de son échec politique grave, tant sur le plan politique National qu’international, en instillant la peur par la menace de guerre et celle du terrorisme en France ?
ça suffit, plutôt que d’aider une pseudo opposition « modérée » dominée par les Islamistes Sunnite du « Front Al Nosra » il est urgent d’aider le régime Syrien pour éliminer les égorgeurs de DAECH. Dans le cas contraire si la Syrie venait à tomber leurs mains, dont les conséquences seraient dramatiquement catastrophiques, HOLLANDE mériterait d’être poursuivi pour complicité de crimes contre l’humanité… Un mea culpa en 2017, ce serait trop tard…
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136 réactions à cet article
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Ne trouvez-vous pas qu’il est quand même invraisemblable que les pays les plus puissants du monde soient incapables d’arrêter l’avancée de Daech et de l’EI … par contre je pense que s’il c’était agis d’une mouvance anticapitalisme, avec pour emblème un drapeau rouge et pour idéologie de chasser les multinationales, nationaliser les matières premières et développer la santé et l’éducation par exemple, et bien elle aurait été complètement anéantie en moins de six mois ! A noter que les migrants qui fuiraient une telle « menace » seraient accueillis chez nous les bras grands ouverts … voir aussi ici
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@Robert GIL
« Ne trouvez-vous pas qu’il est quand même invraisemblable que les pays les plus puissants du monde... »
Je vous prend au mot : Oui, par exemple les six pays parmi les plus riches du monde (de vrais riches, de leur sous-sol et du travail des autres, pas ceux qui ont réussi à être à l’aise de leur propre travail, comme les européens) : Arabie séoudite, Koweit, EAU, Qatar, Dubaï...
Quand à s’opposer à l’EI Il leur sert à détruire les pays stables et à détruire l’Europe de l’intérieur : il ne vont pas s’y opposer !
Quotidiennement, on lit jusqu’à la nausée qu’il faut absolument accueillir l’autre, le réfugié, le migrant, au nom d’un devoir d’humanité et de solidarité – qui n’incomberait bien évidemment qu’aux Européens.
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@Robert GIL
Avez-vous donc entendu les responsables milliardaires qataris et saoudiens, qui nous colonisent économiquement, appeler à l’ouverture de leurs propres frontières à leurs voisins syriens ou irakiens ?
Pourquoi refusent-ils d’accueillir leur frères arabes ? Pas besoin de bâteau, ils sont frontaliers !
Au contraire, l’Arabie séoudite a érigé une barrière de 900 km tout le long de sa frontière : vos médias en ont-ils parlé ? Parle-t-on de « mur de la honte » ? Vos dirigeants l’ont-ils sommée de la retirer ?
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@Aline
« L’Europe va-t-elle mourir de l’immigration ? »
Aux européens de se défendre s’ils ne veulent pas mourir.
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@Sarah
Mouarpppph !!! Aider Aassad. Les rouges bruns vienent desepérement faire la manche à l’opinion au moment où leur poulain est en train de perdre la guerre. A crever de rire.Il est le principal responsable de la guerre civile en Syrie avec 250 000 morts. IL sera jugé pour crime contre l’humanité à la libération. IL ne tient que par le soutien de la Russie.Un article digne du pétainisme. Un a rticle mensonger qui n’aura pour mérite que de donner un semblant d’illusion et matiere à caution à la poignée de trolls payés par la Russie et Assad pour donner une contre vérité digne de la science fiction faceà la 99,99 % de la press emodiale,e t de msillions de refigiés qui affirment le contraire de l’auteur.Si vous avez eu de la peine pour ce petit enfants morts syrien réfugiés echoué sur la plage ,militons, organisons des petitions pour abbatre Assad en meme temps que DAESH, VOILA CE QU IL FAUDRAIT ECRIRE -
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S’il tombe, vous viendrez nous parler de la suite, comparé à l’avant ! Faites le pour la Libye, tiens ! et pour l’Irak aussi ; comparer la vie des gens.
On ne peut pas pardonner l’extermination des Kurdes par Hussein, mais, à part les frères musulmans en attaque à Damas, je n’ai pas entendu parler d’extermination d’aucune sorte de la part de la famille Assad ; si vous avez des infos ?
En revanche, un pays laïc, avec des minorités à l’aise, avec des femmes libres d’étudier, et qui étudient, une richesse culturelle inouïe, et aujourd’hui, pour abattre ce monstre que soutient tout le peuple syrien, des ruines, des morts, de la misère, des exils !!
Alors, quand il n’y aura plus Assad, quoi ? Le paradis reverdi ?
Non, évidemment qu’il faut l’aider, et plus, payer tous les dégâts causés, sauf les morts, les ruines, irréparables...
Nous sommes couverts de honte. -
@alinea
Attention alinea. Mi des les 20 000 premiers morts, j’avais milité pour intervention militaire de l’OTAN pour désarmer le Pays et reinstaller des elections libres. Les gogolecteurs d’agorqavox ont criés en choeur « Non, non, à la guerre » « Oui oui à la diplomatie. Depuis, il y a 220 000 morts de plus. Et maintenant les memes de recrier »Oui oui à Assad contre l’EI".Vous voulez de sinfos Cà fait que 4 ans que la presse mondiale et les millions de refugiés parlent des massacres de Assad. SI vous n’arrivez pas à avoir des infos, vous etes bien la seule à ne pas etre au courant.Je serais d’accord avec vous pour dire que nous sommes couverts de honte, pour avoir laissé crever les SYriens lorqu’ils nous appellaient à l’aide, il y a 3 ans.Maintenant le chois Assad ou l EI, c’est un fantasme de la propagande, les deux se veulent en metières de massacres et abbatre induit logiquement d’abattre l’autre.Franco Bombardait Guernika, Assad lui bombarde les marchés.Assad en vaut pas mieux que Mussolini, et comme lui il sera pendu comme un cochon par son peuple à la libération. -
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Tu as remarqué que tu ne gagnes pas toujours la guerre et que les gars d’en face se battent ? Tu es fort ! C’est pour cela que ça s’appelle la guerre.Tu crois quoi ? Qu’on gagne une guerre avec des petits avions ? Tu veux envoyer des Français sur le terrain ? Il vont réfléchir les gars, c’est pas le Périgord...L’OTAN ne fait pas la guerre, l’OTAN balance des bombes et file les renseignements, la formation, les armes... c’est tout ! Lorsqu’on s’adresse à un état, on le fait par la diplomatie. On n’est pas content ! On enlève son ambassade et on coupe le commerce, c’est tout. Elle ne nous a pas attaqué la Syrie, tu délires complètement. Qu’est-ce que tu fous ici, engage toi chez al nastra, ils ont besoin de viande. -
@Robert GIL
L’hypothèse que le Daesh (Isis) ait été créé de toutes pièces par les USA - pour garantir un désordre permanent en Islamie et la vassalisatiion sans fin des États de la région - est hélas plausible et peut être la plus probable. Il est clair que dans ce contexte demander aux USA d’aider Bachar est d’une totale naïveté Attendons plutôt une guerre a finir, opposant l’Iran et territoires chiites aux Sunnites... .Triste ? Nous n’y pouvons rien. La seule façon de détruire le Systeme et de libérer l’humanité pour un pas en avant, c’est l a Révolte des Individus : chacun faisant discrètement tout pour le détruire, sans intérêt personnel ni idée préconçue quant à ce qui surviendra. Le Nouveau est incompréhensible, inconcevable à l’Ancien. C’est ça, une métamorphose. Ce n’est pas une perspective agréable..., mais la chenille ne choisit pas de devenir papillon. C’est en elle...PJCA -
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chacune de vos interventions a le mérite d’être claire. On ne peut plus claire, et ça devient même caricatural. Elle montre à quel point vous êtes totalement inféodé aux solfériniens-sionistes (ce qui est un pléonasme puisque flamby et sa clique de cinglés sont dans la main des agents sionistes Fabius et BHL).Et à quel point vous êtes un traître pour les Chrétiens qui sont massacrés là bas. Mais ceci n’a rien d’étonnant. En 1936, vos ancêtres socialos chantaient les louanges de Hitler, un type formidable ! -
@Layly Victor
Oui....En 1936, ma famille Aristo Espagnole abandonnait tout ses biens pour les donner aux ouvriers et s’engager à la CNT puis chez Durruti. Apres avoir avoir perdu contre Franco, ils se sont engagés contre Hittler et ont passés des armes en Espagne jusqu’en 1974.Chez nous, nous n’avons pas d’argent, mais nous avons gagné des valeurs, ces mêmes valeurs qui me différencient des gosses gatés pourris du capitalisme qui officient ici, en manque de romantisme révolutionaire et qui crient « Dictature, nazis » a chaque coin de phrase, des qu’on dérange leurs valeurs de canapés.Le rouge brunisme leur a ouvert les portes, les flattant comme unique, faisant partie « Hors du troupeau », alors qu’ils ne sont des moutons perroquet sans cervelles et sans libre arbitre. Mon grand père était un grand resistants, terroriste comme vous les appellez ici. Ils combattait les gens comme vous, qui tenaient des discours comme on lit ici, et qui les ont mis en application, hélas, franco, mussolini, Hittler, staline ;, etc .... Aassad aujourd’hui.Ne melangeons pas tout, nous n’avons pas les mêmes valeurs, ni n’appartenont à la même caste ideologique, bande de pouilleux serviles et collabos. -
Pauvre tocard !!!
Tu es aussi lucide géopolitiquement qu’un poulet aux hormones. Tais toi donc et continue de zapper...
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@Sarah
Sauf qu’ils ont ratifié les accords de 1951 sur l’accueil des réfugiés...
Accord non ratifié par les Monarchies du Golfe, par exemple. -
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« Ca fait 4 ans que la presse... »Comme s’il fallait croire tout ce que dit la presse ?
Ne savez-vous pas que la presse appartient pour partie à des marchands de canons et que tout petit journaliste qui ose allez à l’encontre de la ligne directrice risque la porte ?
Où vous êtes un gros naïf ou vous êtes malhonnête intellectuellement mais vu le temps que vous passez à argumenter sur se site, je pencherais bien pour la deuxième solution.
L’essentiel c’est qu’il y ait assez de gens pour vous rentrer dans lards et que les découragés par vos arguments souvent navrants trouvent de la relève.
Heureusement ce la semble être le cas... -
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BHL sors de ce corps ! C’est pitoyable...
Pas comme l’article qui juge les actions de Hollande à leur juste valeur. -
@alinea
Je ne comprends pas que tu répondes à un connard.
Tu as meilleure temps de t’occuper de tes poireaux.
Salutations. -
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ma famille a payé un lourd tribu à la lutte contre le nazisme. Mon grand père Corse était en fait Italien naturalisé français ; il avait fui Mussolini. Mes parents n’ont pas hésité à mettre leur vie en jeu pour sauver des algériens des griffes de l’OAS. Ils ne se collaient pas l’étiquette d’anarchistes, ils agissaient courageusement et ne s’en sont jamais vantés par la suite. Ce n’est pas comme vous, espèce de gros collabo, qui n’hésite pas à faire massacrer des populations pour satisfaire son ego « de gauche ». Question stupide : qu’y a-t-il « de gauche » , d’ailleurs, dans ce que Hollande fait en Syrie et en Ukraine ?C’est sûr que nous n’avons pas les mêmes valeurs. Je n’appartiens à aucune caste idéologique, j’essaie d’être digne de mon héritage moral de gens courageux et libres, et je suis horrifié de voir ce que mon pays est devenu, rongé par les paramécies de votre espèce. -
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Hahahaha ! La propagande basique qui va avec « le choc des photos » du pauvre enfant mort sur la plage...Du tout cuit !Bien entendu, les « interventions militaires » chez des peuples souverains, ça résout tout !En fait historiquement, rien du tout !Jamais ! On fait de la provoc, et on intervient, lire : On envahit ! Meme et surtout sans aucune décision de l’ONU (Bosnie, Kosovo, Irak, Syrie, Libye....)Ce baratin est cousu de fil blanc, indignation pour couillon, matraquage de mensonges : Assad bombarde les marchés, oui, c’est cela ; il fait exprés ! Ha ben oui, Sarkosy quand il a bombardé Tripoli, a fait exprés de tuer des enfants....Ha non ? Dommages collatéraux ?Les enfants palestiniens morts sur la plage par la faute des israéliens, ha non ils n’avaient pas fait exprés, faut les excuser....Un enfant contre Assad, il faut ameuter l’OTAN, l’ONU pour le sauver.Un enfant palestinien ? Ha ben ça va pas non ? Aider des terroristes ? Il n’y a que les antisémistes qui veulent les protéger... -
@Sarah et pour se défendre la première des choses à faire c’est neutraliser l’état terroriste israelien, le reste viendra tout seul !
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Comment peut-on appeler le fait de se réfugier derrière les actes honorables de ses ascendants pour justifier des positions indéfendables et profondément immorales ?Je n’ai pas trouvé le terme qui pourrait exprimer mon dégoût. -
@Pierre JC Allard
Bonjour,
Ce n’est pas une hypothèse, Hillary Clinton explique que ce sont les USA qui ont fabriqué Al-Qaïda. -
Le p’tit Charles 4 septembre 2015 08:55La « Coalition » opérant en Syrie regroupe tous les « Ratés » du monde...ceux qui depuis l’ONU prônent la déstabilisation du monde..Des « assassins » qui se disent représenter la démocratie alors qu’ils ne représentent que les mafias internationales...Nous avions le « voyou sarkozy »..son remplaçant et ses sbires sont du même bois qui brûlent la planète...Une « race » de politicard décérébrés qui devraient être en prison et non aux commandes d’une nation...
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@Le p’tit Charles
Il parait que les US voudraient que la Russie « s’implique plus dans la lutte contre Daesh »....Comique...Meme dedefensa.org y perds son latin : « Hyperdésordre » !Ca fait depuis 2011 que les russes soutiennent, indirectement, Al Assad. Ce qui a permis d’empecher que Al Nosra, et autres zigottos transforment la Syrie en « état islamique »....Alors lutter contre Daesh et contre Assad ? Seul la limace présidentielle y croit....Poutine doit les prendre pour des fous....C’est ce qu’il dit entre les lignes, lors de ses ITW : On vous avez prévenu....Bande de crétins...(Vu sur E&R : https://youtu.be/CHErdbAGvVQ )Croire les ricains ? Message de Al Assad :En fait comment croire ces conneries : Les russes sont en Syrie ? C’est comme ; les russes sont en Ukraine. Evidement c’est un piège, et la Russie dément formellement.Comment un pays qui est attaqué par des sanctions, mis au ban parce qu’il a soit disant annexé la Crimée de manière militaire et illègale, comment ce pays peut s’associer avec les USA ?Ca n’a aucun sens, ce serait faire ramper Poutine. C’est la tactique psychologique.Ils ont bien réussit à faire ramper Hollande, la France peut fort bien ne pas faire des sanctions contre la Russie, et livrer les Mistral. Peut refuser d’attaquer Al Assad, mais au contraire l’aider. Pourquoi non ? Pourquoi ? jadis on aiait Saddam Hussein. M’OTAN ? Mais on sort de l’OTAN. Ca nous sert à quoi l’OTAN ? Nous avons 400 tetes nucléaires qui rodent sous les mers.L’UE ? Mais l’UE n’a rien à voir la dedans et n’a aucun ordre à nous donner sur ces sujets.Alors quoi ? Abrutissement psychologique des français :Oui français, vous tres médiocres, la France, un petit pays qui demande protection à l’OTAN. Oui français vous etes des rien du tout, suivez Hollande et lechez les bottes US... -
@izarn
Al Assad sur les américains : -
@izarn
L’ UE a tout à voir dans l’ OTAN. Article 42 du TUE. C’est le Traité de Maastritch qui a mis les pays européens dans l’ OTAN, sauf 5 ou 6 pays traditionnellement neutres.
La Défense et la Politique étrangère des pays européens sont soumises aux décisions de l’ OTAN.
Les médias russes démentent. Les autres confirment, et voient des chars russes comme en Ukraine..., on verra la suite.
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@Fifi Brind_acier
Non, c’est confirmé par Poutine lui-même !
Support de la couverture aérienne, armements,
missiles(S-300 modernisés), données satellites
en direct mais pas d’appui au sol.
Les opérations terrestres sont du ressort des troupes
Syriennes et Iraniennes.
Le port de Tartous est en cours d’agrandissement et
un second port, plus grand est en cours d’aménagement.
Deux bases aériennes commencent à recevoir des SU-25.
Il va sans dire que toutes ces installations militaires
sont hautement protégées contre toutes attaques aériennes.
-Radars divers, missiles sol-air, drones de surveillance, etc..
Autant dire que la couverture aérienne de la Syrie est complète.
Si flamby veut y envoyer ces rafales, on va bien rigoler,
les pilotes moins
Selon les accords de soutien signés entre Russes et
Syriens et en accord avec les lois internationales, les Russes
ont le droit et le devoir d’empêcher toute violation de l’espace
aérien syrien POINT
Autre petit détail :
La Chine a envoyé également un destroyer à Tartous, un second
est sur le point de partir.
D’autre part, la Chine toujours, négocie la location d’une base
navale avec Djibouti. -
" Certes Bachard AL ASSAD n’est pas un parangon de vertu démocratique au sens où nous l’entendons et dans la situation de guerre que vit le pays depuis 2011, des excès par l’utilisation de l’armée contre des civils ont probablement été commis " : Bachar-al-Assad n’est pas plus responsable de crimes par quelques soldats syriens que François Hollande est responsable de cas de viols commis par quelques soldats français en Centre Afrique.
Si Bachar al-Assad était aussi peu soutenu par une majorité de syriens, cela aurait fait très longtemps que l’état syrien aurait tombé. Et si cela continue, c’est que les pseudo-rebelles -dont combien d’étrangers- sont soutenus financièrement, militairement, logistiquement par l’empire et ses laquais ou non (Israël) locaux (Arabie, Qatar, Turquie) ou non.
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@leypanou
Non, bien sur, c’est francois hollande , sur son sccoter qui les a tous tuées. Guignooooool -
@leypanou
Tu crois peut être qu’en France ce sont des parangons de vertu démocratique ? -
leypanou
Mais oui ! Suis je bête, tout l attrait d un dictateur, c est d être soutenu par sont peuple...ou plutôt, sont armée.Deach n a que faire d isarël, ils ce dirigeront vers l or des arabes...Et M Al assad est un dictateur, boucher qui massacre sont propre peuple, et répond au appel de la communauté internationale par des ultimatums et plus de massacre de sa population... on fait le ménage et on laisse la politique du pays reprendre sont court normale... sans intervenir plus que ça... le peuple rentre chez lui, élit un nouveau gouvernement et c est reparti... C est aussi une idée... non ?-
@nours77
C’est pour ce que nous militons depuis le debut.Faire le menage et rendre le pouvoir au peupleMias les lecteurs d’agovarox vous diront que non, inventant des contes à dormir debout, juste pour defendre les interets de Gazprom et le RUssie, fortement implanté avec Assad. Alors tout y passe, confusionisme, complotisme, etc ... Avec des arguments tout plus gros les uns que les autres. Complot sioniste, Hollande jugé pour crime contre l’humanité, obama Hitler, il ne manque plus que le reptiliens pour completer le tableau. -
Tu as le droit de lutter sans tuer les gens, par la raison surtout lorsque tu n’es pas chez toi espèce de foldingue. Quel est ta prochaine cible ? Le boswana ? Ton voisin ? La petite fille d’en face ? -
@christophe nicolas
Et toi le troll russe, cà te fais quoi d’etre payé pour defendre un faschsite et un meurtrier ?TU n’as pas honte en rentrant chez toi d’etre coresponsable des massacres de Assad ?Allez va coucher et và toucher ta paye. Meme les prostituées CHEZ NOUS en France font un boulot plus honnete que toi. -
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@christophe nicolas
ne vous inquiétez pas. Les bdpif-la poste, on les connait. Ils étaient déjà là en 40, avec les pleins pouvoirs à Pétain.Et ensuite, qu’une défaite cuisante de l’Empire survienne, ils seront les premiers à mettre des brassards de résistants, à peindre la croix de Lorraine sur leurs bagnoles, et à sillonner les villes pour tondre des femmes qui auront couché avec des solfériniens ! -
@Layly Victor
Oui, oui, je suis un agent sionoreptilosolférinien. J’ai Triple paye, une de la CIA, une d’une mossad et des voyages gratuits interplanétaires vers mars et pluton avec les repriliens. A vous on ne vous la fais pas, je m’incline devant tant de lucidité. (et n’oubliez pas de prendre vos cachets) -
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Vous êtes persuadé que Bachar el Assad extermine son peuple : réfléchissez deux secondes, pourquoi le ferait-il ?
Vous croyez la propagande occidentale, c’est cela qu’on vous reproche, pas vos aïeux républicains et anarchistes ! -
@[email protected]
Il semble que la Russie commence à intervenir en Syrie, vous n’avez pas fini de râler..
Article du Point, hier : « les Russes apportent une aide militaire d’importance à la Syrie. » -
Les intérêts de Gazprom... Parce que la guerre en Irak, les fausses armes de destruction massives et la fausse fiole d’anthrax à l’ONU ça n’était pas pour des intérêts économiques ? Tout ceci n’est qu’invention peut-être ?
Vous aussi vous avez un soutien à géométrie variable... La béatitude face aux russes n’est certainement pas la solution mais être anti-russe primaire, comme vous semblez l’être, non plus. -
@Fifi Brind_acier
C’est pas trop tôt.
Encore une fois, grâce à notre Président, nous sommes la honte du monde entier !! -
@alinea
Ce n’est pas très clair cette histoire des Russes en Syrie. Elle est démentie par les médias russes, mais comme ils font tous de la propagande... , à prendre avec les précautions d’usage..- Document assez détaillé de Thierry Meyssan qui habite en Syrie :
« L’armée russe commence à s’engager en Syrie »
- Document d’un site proche des services de renseignements israéliens :
« L’ultime message de Poutine à Obama »
- i24 « Les USA inquiétés par une possible présence russe en Syrie »- Média -presse-info « Vers un nouvel ordre au Moyen Orient »
- Site Aletéia : « La Russie à la manoeuvre en Syrie »
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@alinea
parce qu’un dictateur n’accepte aucune contestation de son régime.
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@alinea
Pour rire un peu !
Lapsus de Nicolas Sarkozy au cours d’un discourt il y a 48h :
« La France a toujours été du côté des dictateurs »Savourez, c’est ici, la vidéo sur youtube :
https://www.youtube.com/watch?v=o35KExvaIkQ -
@bernard29
C’est sérieux ?? Même la première semaine de contestations en 2011 n’a pas été réprimée ! quatre jours plus tard, comme à Maidan un peu plus tard, les flics étaient tirés comme des lapins par les « manifestants » !
Il faut que vous approfondissiez Bernard si vous êtes d’accord avec ce que vous écrivez ; la situation en Syrie n’est pas celle-là !! -
@Zeb_66
un lapsus révèle une vérité qu’il ne faut pas dire ; il est très bien pour ça, Sarko !! -
ps : daech est a supprimé aussi, car c est une chose bien inutile a la population...
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Juridiquement parlant Hollande devrait être arrêté pour incitation au meurtre, entreprise terroriste, haute trahison, foutage de gueule.
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@christophe nicolas
Mouarphhhhh !!!! Allez, je file, vous nosu avez tous fait bien rire avec vos conneries. Perso, j’en plus -
Avec une côte de popularité à 15%, méritée, tu files à la manière des faisans dorés !
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@christophe nicolas
Et oui chez nous en democratie, les présidents ont le droit d’etre impopulaire. Et ils n’affichent pas des 98 % de gens satisfait. Allez, và toucher ta paye, tu a ecris ton quota d’anneries. -
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@christophe nicolas
Oui mais à part l’insulte, tu n’a aucuns argumentaires pour defendre l’indefendable. Allez, va faschiser un autre site sur ta liste. Tu ne m’interesses pas. -
Non mais les prostituées ont le droit d’avoir des enfants, il n’y a pas de souci... -
@[email protected]
pourquoi toucher une paye ? Ce n’est pas obligatoire. En 40, vos ancêtres socialos-collabos faisaient ça gratuitement, par simple ivresse de la trahison. Et défendaient le maréchal comme vous défendez le cinglé criminel de l’Elysée, gratuitement, je suppose. -
Ne dites pas DAESH, l’acronyme arabe de Dawlat (= état) islamiya (= islamique) fi ’iraq wa sham (= Levant) ; plus exactement, ce serait DAISSH), Daesh étant une transcription anglaise.
La traduction française est EIIL, EI en abrégé, État Islamique.
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merci a l auteur
Je vois pleins d internauts verser de grosses l armes chaudes, mais qui ne realisent pas que le president qu ils ont mis au pouvoir a les mains pleines de sangJe repete car les Francais semblent avoir le cerveau sclerose
« Nous devons réduire les emprises terroristes sans préserver ASSAD. Les deux ont partie liée. En même temps, il nous faut chercher une transition politique en Syrie, c’est une nécessité. »
C est un aveu terrible, Hollande prend ses ordres d Israel et OTAN, bien que meme Obama ait recemment lache sa position, donc aujourd hui Hollande ne prend uniquement ses ordres que d Israel par le biais de Fabius (Parkinson l ayant neutralise, merci a lui)
La prochaine foi votez courageusement pas pour un pantin qui fait du pedalo sur la vague en revant-
@elpepe
« Hollande prend ses ordres d Israel et OTAN, bien que même Obama ait recemment lache sa position »
Non, uniquement d’Obama
Et ils sont tous trois contre Israël et antisémites, pas en paroles mais en actes.
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@elpepe
« Je vois pleins d internauts verser de grosses l armes chaudes, »Non non on es tous crevé de rire de voir comment vous essayez de surfer sur l’emotionel actualité pour faire passer vos conneries, sans vergogne, sans honte, sans complexe, comme des mouches à ..... SI ce petit est mort, c’est bel et bien la faute de Assad, PENDONS LE POUR LE VENGER -
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@Sarah
Voilà, je l’attendais, ça devait venir, le théorème fondamental de la propagande du Mossad : si on est contre la politique meurtrière des sionistes, c’est qu’on est antisémite.L’aveuglement irrationnel de Hollande, qui lui a fait ridiculiser la France sur la scène internationale, trahir les Chrétiens d’Orient, porter un coup très sévère à l’économie française par la politique de l’embargo, entraîner la France dans une guerre froide contre la Russie, ne peut pas avoir d’autre explication que son contrôle mental par les agents Fabius et BHL (entre autres).Vous ne pouvez pas vous en empêcher : en aucun cas, il ne faut se permettre le moindre soupçon de critique contre la politique sioniste, sous peine de voir tomber l’anathème : antisémite. Vous nous prenez vraiment pour des imbéciles, mais vous ne voyez pas qu’à force d’user et d’abuser de ce stratagème, les gens vont finir par se lasser. Et quand la digue va tomber, ce sera d’un seul coup. Mais, dans votre orgueil insensé, vous croyez que nous sommes trop nuls. -
@Layly Victor
Je suis pas du Mossad, ma fonction est religieuse.
Des trois personnages cités ci-dessus, dans l’ordre alphabétique de leur nom, l’un est baptisé chrétien donc n’est pas juif mais est antisémite et contre Israël, le second n’est pas juif et est à la fois antisémite et contre Israël, le troisième se prétend juif et en use mais, se proclamant athée, ne l’est plus pour moi et devrait être excommunié, et il est aussi contre Israël.
Tous les trois sont à la fois contre Israël par leurs actes et antisémites par leurs actes, même s’ils prétendent le contraire. Pour nous, ce sont des calamités.
Je ne confond pas anti-israélien et antisémite ; malheureusement, il faut constater que très souvent ceux qui sont contre Israël le sont par antisémitisme.
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Arrête de Troller bdpif gadget !!!
Tu nous soutiens qu’il n’y a que des abrutis sur AVOX mais tu es visiblement super motivé pour y perdre pas mal de ton temps !!!
Arrête de perdre ton temps, tout le monde se fout de ce que tu peux vomir...
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Nous on pend personne et on tue personne, c’est la différence fondamentale avec vous
Vous avez bien du chemin a parcourir mon Frère -
@Sarah
Bonjour
vous avez le nom de ma fille, pense pas etre antisemite, serais plutot anti-anti ou totalement anarchiste
par contre les mefaits de la politique de Netanyaou sont obvious, par contre je suis pas assez con (ou pas encore on sait jamais qd on est senile c est trop tard pour s en appercevoir pour penser que les Palestiniens et Hamas sont des enfants de coeur, plutot des gros fouteurs de merde
Dieu y retrouvera les siens, et heuresement jusqu a maintenant je n ai jamais eu a prendre partie, Dieu m en preserve, mais finalement la vie m a appris que tout est possible, mais aussi tout peut arriver
Bien Cordiament -
@Sarah
Blablabla, « Les Nations Unies confirment l’existence d’une coordination entre Al Nostra et Israël ».Comment Israël pourrait-il réaliser son projet de « Grand Israël » sans empiéter sur les pays qui l’entourent ?
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@Sarah
c’est absolument faux, et vous le savez très bien, et vous nous prenez pour des imbéciles.D’abord, vous truquez volontairement les mots en disant « contre Israël » au lieu de dire « contre la politique sioniste »Le premier ministre David Eskod qui s’était courageusement opposé au déclenchement de la guerre des six jours était donc, d’après vous « contre Israël » ?Ensuite, deuxième tour de passe passe, « contre Israël »= « antisémite ».Nous avons donc la relation : « contre la politique sioniste= contre Israël= antisémite » cqfd.Vous nous prenez vraiment pour des glandsC’est la même équation qui est utilisée par tous les régimes raciaux :« contre l’invasion de la Russie par la Wermarcht et les Waffen SS= contre le 3ème reich= anti aryen »Je connais bien ce problème car j’ai des amis juifs qui militaient autrefois pour le droit des palestiniens (donc ils ont, selon vous, un passé antisémite) et qui sont tombés, sous l’influence de leur famille, dans la folie raciale israélienne. Car il ne s’agit pas de religion, la plupart n’ont jamais ouvert la Bible et s’en foutent. C’est une position purement raciale. Ils ne me parlent plus car ils me considèrent comme antisémite (à tord bien sûr, je voudrais seulement que les juifs aient le même respect pour nous que celui que nous leur devons).Pourtant, ma seule question était : « est il normal qu’on laisse massacrer les Chrétiens, Yazidis, Alaouites, Kurdes et qu’on finance et arme les islamo-nazis qui les massacrent parce que soit disant c’est conforme aux intérêts d’Israël ? » -
@Sarah
J’ai été longtemps un chaud partisan d’Israël.
Depuis que je constate leurs crimes nombreux a Gaza et ailleurs en Palestine, sans parler de leur arrogance de laquais des USA, je souhaite la destruction de ces deux entités malfaisantes.
Du coup, on pourrait rêver de la destruction de la mafia financière juive.
Vous voulez des noms ?
Iren-Nao -
@elpepe
Bonjour et merci de votre message.Netanyaou : je n’ai pas d’opinion sur sa politique.La seule chose dont je suis à peu près sûre est que les dirigeants israéliens, comme d’autres dans le monde et comme il est tout à fait normal, gouvernent, plus ou moins bien, dans l’intérêt de leur pays, contrairement à ceux qui sont en place chez vous, qui gouvernent CONTRE vous.Cordialement -
ohhh ! Beaucoup de commentateurs SOUS-FAUSSES BANNIÈRES sur ce post ! Les boys du Mossad s’amusent a répandre de l’INTOX....sous fausses bannieres. Soyez tout de même prudent...le vent pourrait subitement changer de direction.
État Islamique : créé à Langley USA, par la CIA, soutenu par Tel Aviv et Riyad
Wayne MadsenPar Wayne Madsen – Le 26 juin 2015 – Source : Strategic-Culture
Il devient de plus en plus apparent que État islamique pour l’Irak et le Levant (ISIL, en français EI), ou Daesh, comme il est nommé en arabe, ou ISIS – État islamique d’Irak et du Levant –, que les partisans d’Israël préfèrent à cause de la similitude peu rassurante entre Israël et ISIL, fait partie d’une nouvelle opération de la Central Intelligence Agency dans le but de créer artificiellement une stratégie de la tension pour les masses eurasiennes et africaines.
Un autre exemple de la nature non islamique d’EI en témoigne dans l’ancienne ville syrienne de Palmyre : l’explosion de la tombe de Mohammad Bin Ali, un descendant du cousin du Prophète Mohammed, l’imam Ali, par les brigands et les mercenaires d’EI. Le véritable but d’EI est d’éradiquer l’histoire arabe et pré-arabe du Moyen-Orient, avec une exception de taille. Il n’y a eu pratiquement aucun rapport concernant la destruction d’importantes antiquités sacrées pour les sionistes, ni en Syrie ni en Irak. Les cibles principales pour les équipes de démolition d’EI étaient sumériennes, acadiennes, babyloniennes, romaines, assyriennes, perses, alaouites, druzes, turkmènes, yazidis, parthes, chrétiennes, chiites et soufis (l’autre tombe importante détruite à Palmyre était celle de Nizar Abu Bahaa Eddine, un savant soufi qui vivait il y a 500 ans). EI a détruit le tombeau de Yunus (Jonas) dans la mosquée qui porte son nom en Irak, non parce qu’elle rendait hommage au patriarche juif Jonas, mais parce que c’était une mosquée.
Le tombeau présumé du prophète juif Daniel détruit par EI à Mossoul est l’un des six tombeaux de Daniel situés en Irak, en Iran et en Ouzbékistan. Le Talmud, le livre juif d’où les sionistes ont tiré la plus grande partie de leur inspiration géopolitique, interdit strictement toutes les représentations des visages, mais autorise la possession d’images de visages créées par des non-juifs. Bien qu’EI et les talmudistes soient sur la même longueur d’onde pour détruire des sculptures, des céramiques et des peintures représentant des personnes, l’exception du Talmud qui permet aux juifs de posséder des images créées par des non-juifs a donné lieu à un lucratif marché noir d’antiquités volées par EI et vendues par des courtiers à Tel Aviv, Amsterdam et Genève.
Il devient clair qu’EI, depuis le tout début, était une construction de la CIA et de son directeur pro-saoudien et pro-israélien, John Brennan ; du Mossad israélien, qui a veillé à ce que les cibles israéliennes soient protégées des attaques d’EI ; et de l’Arabie saoudite, qui a, de fait, autorisé EI à attaquer deux mosquées chiites, l’une dans le village de al-Qadeeh et l’autre à Dammam, dans la province de l’Est, où les chiites sont majoritaires par rapport aux sunnites wahhabites. En Irak et en Syrie, des témoins ont vu des armes états-uniennes et israéliennes en train d’être transférées à EI et aux forces armées de ses alliés, dont le front al-Nusra en Syrie. Des reçus de retraits de cash sur des banques saoudiennes ont été trouvés dans les quartiers généraux abandonnés d’EI, en Syrie et en Irak. Les attaques d’EI sur les chiites d’Arabie saoudite sont considérées par beaucoup comme des avertissements lancés par l’alliance contre-nature de Washington, Tel Aviv et Riyad contre l’Iran majoritairement chiite.
Depuis la cellule stay-behind terroriste Gladio [dépendant de l’Otan, NdT] – un réseau de fascistes qui ont lancé des attaques terroristes en Europe dans les années 1970 et 1980 attribuées à des gauchistes marginaux – jusqu’à la grande alliance des terroristes de l’UNITA en Angola, des moudjahidines d’Afghanistan, des contras du Nicaragua, des Hmongs du Laos – qui se sont réunis en 1985 à Jamba, en Angola, sous l’égide des Américains – la CIA a découvert, historiquement, que les groupes terroristes faisaient des alliés avantageux. La CIA a violé clandestinement et donc illégalement deux lois des États-Unis, les amendements Clark et Boland, respectivement, pour soutenir les terroristes angolais et nicaraguayens.
Aujourd’hui, EI est un atout important de la CIA, de l’Arabie saoudite et d’Israël contre des ennemis communs comme l’Iran. EI n’a fait aucun secret de son désir d’apporter la mort et la destruction qu’il a déversées sur la Syrie et l’Irak jusqu’au cœur de l’Iran. La déstabilisation de l’Iran, en y soutenant des attaques terroristes contre des cibles iraniennes à l’étranger, a longtemps été le modus operandi des États-Unis, d’Israël et de l’Arabie saoudite, qui agissaient la plupart du temps à travers l’organisation des Moudjahidines du peuple iranien (OMPI) anti-Téhéran, et les séparatistes baloutches basés au Pakistan. EI parle de l’Iran, de l’Afghanistan, du Pakistan, de l’Inde, du Tibet, du Sri Lanka, du Tadjikistan, de l’Ouzbékistan, du Kazakhstan, du Kirghizstan et du Turkménistan comme appartenant au Wilayat Khorasan ou État du Khorasan. Une filiale d’EI, connue comme le Groupe Khorasan, a combattu en Syrie et est censé être composé de recrues et de chefs d’EI en Asie centrale.
On a récemment annoncé que le colonel Gulmurod Khalimov, qui a un temps dirigé les forces d’élite de la police anti-terroriste du Tadjikistan, connu sous le nom de OMON [forces spéciales du ministère de l’Intérieur russe, NdT], a déserté pour rejoindre EI et est maintenant l’un de ses commandants en chef en Syrie. Khalimov, qui a été entraîné par des agents des opérations spéciales US, de Blackwater et de la CIA lors de divers séjours aux États-Unis, a promis de revenir au Tadjikistan pour massacrer le président tadjik Emomali Rakhmonov, recruter des Tadjiks travaillant en Russie pour y lancer des attaques terroristes et des Tadjiks au Tadjikistan pour attaquer les troupes militaires russes qui y sont stationnées (ce qui fait de Khalimov un allié du haut commandement militaire de l’Otan, le général Philip Breedlove, et du secrétaire à la Défense des États-Unis Ashton Carter, qui veulent augmenter la pression militaire sur la Russie jusqu’au niveau de la guerre froide). Les guérilleros d’EI, pour la plupart des Tchétchènes, tout frais revenus des combats en Syrie et en Irak, ont été découverts en train de combattre avec les bataillons de mercenaires dirigés par Israël et les néo-nazis d’Igor Kolomoïsky contre les forces pro-russes de Donetsk et Lougansk en Ukraine de l’est.
Fort opportunément pour l’Occident, EI a attaqué les forces talibanes en Afghanistan. Les Talibans ont déclaré illégitime le califat autoproclamé par EI, et qualifié son calife, Abu Bakr al-Baghdadi, qui pourrait être un produit artificiel des unités de guerre psychologique de la CIA et du Mossad, de charlatan. Les Talibans se sont alarmés lorsque quelques-uns de leurs membres ont rompu les rangs avec le mouvement djihadiste et ont rejoint EI en Afghanistan et au Pakistan. En outre, EI a déclaré que les Talibans étaient des kafirs, ou des infidèles à l’islam. En avril, Al-Baghadi a déclaré que le mollah taliban Omar était « un fou et un seigneur de la guerre illettré ». Ce n’est pas une coïncidence si la rhétorique d’EI sur l’énigmatique dirigeant taliban correspond tout à fait avec celle que développaient les unités états-uniennes spécialisées dans les opérations psychologiques en Afghanistan au plus fort de l’intervention armée américaine dans ce pays. A la mi-juin, EI a diffusé une vidéo montrant ses forces décapitant un prisonnier taliban en Afghanistan.
EI a aussi, de concert avec la pression militaire croissante des États-Unis sur la Chine et la Corée du Nord, déclaré le djihad ou la guerre sainte contre ces deux nations. En mai, un couple nord-coréen qui travaillait comme médecins dans l’hôpital de Zallah, en Libye, ont été capturés par EI. Aucune information n’a été reçue sur le sort du couple de médecins, le mari nord-coréen et son épouse. En janvier, les pirates informatiques d’EI, connus comme le Cyber Caliphate, ont revendiqué la modification de la page Facebook d’Air Koryo, la compagnie aérienne de l’État de Corée du Nord. Le drapeau noir et blanc d’EI a été collé sur la page Facebook avec un commentaire proclamant que le dirigeant nord-coréen Kim Jong Un est « un cochon qui pleure » [pendant qu’on l’égorge ? NdT]. Les hackers d’EI avaient aussi un avertissement pour la Corée du Nord et la Chine : « La Corée du Nord, le pays communiste voyou, et les voyous communistes chinois paieront le prix de leur collaboration avec les ennemis des moudjahidines. »
La rhétorique propagandiste d’EI sur la Chine et la Corée du Nord coïncide aussi avec des déclarations émanant du Commandement pacifique états-unien à Hawaii sur les menaces militaires que représentent Beijing et Pyongyang. La Corée du Nord a répondu aux menaces d’EI en livrant au gouvernement irakien et aux forces kurdes qui combattent EI en Syrie la mitrailleuse de type 73, fabriquée en Corée du Nord. Les conseillers militaires nord-coréens sont aussi réputés assister le gouvernement syrien et les forces du Hezbollah libanais qui combattent EI en Syrie. La Corée du Sud, qui ne manque jamais une occasion de se confronter militairement avec la Corée du Nord, a autorisé un citoyen sud-coréen, connu seulement sous le nom – très courant en Corée – de Kim, à rejoindre les rangs d’EI en Syrie, en février. Il est très probable que Kim est un agent des renseignements sud-coréens, responsable de coordonner les attaques d’EI sur les avoirs nord-coréens dans la région, dont le couple de médecins nord-coréens en Libye.
Nicolas Maduro, le président du Venezuela, que la CIA est très occupée à renverser, a décrit EI comme « Frankenstein, un monstre nourri par l’Occident lui-même » dans un discours à l’Assemblée générale des Nations unies. Ce n’est pas un hasard si, au moment où le président Barack Obama a déclaré que le Venezuela représentait une « menace pour la sécurité nationale » des États-Unis, en mars, des rapports faisaient état d’une activité naissante d’EI au Venezuela. L’École de guerre de l’armée américaine, y compris le professeur Robert Bunker, a commencé à publier des déclarations affirmant qu’une augmentation de l’activité d’EI au Venezuela serait bonne pour la sécurité nationale des États-Unis parce que EI est l’ennemi naturel du Hezbollah, dont les néocons affirment qu’il a conquis une position stratégique au Venezuela. Les liens entre EI et l’Occident en Amérique latine n’ont pas échappé au vieux et sage chef d’État de l’hémisphère occidental, l’ancien président cubain Fidel Castro. En septembre 2014, Castro a accusé le Mossad israélien, associé avec le sénateur McCain, d’avoir aidé à créer EI.
Les principaux auteurs des ravages d’EI au Moyen-Orient ne doivent pas être recherchés dans les déserts du Moyen-Orient et les montagnes d’Afghanistan, mais dans la suite directoriale, au septième étage du quartier général de la CIA, à Langley [en Virginie]. En 1985, la même année où la CIA a soutenu financièrement le sommet des groupes terroristes d’extrême-droite à Jamba, Angola, la CIA a tenté de tuer le grand ayatollah libanais chiite Muhammad Hussein Fadl-Allah dans un attentat à la voiture piégée à Beyrouth. La CIA a manqué l’ayatollah, mais a tué 80 personnes innocentes et en a blessé 256 autres. Aujourd’hui, la CIA autorise EI à fourrer ses mains sales dans des attaques terroristes menées depuis l’Irak et la Syrie au Yémen et en Libye. EI ne peut pas être mise à genoux sans âpre négociation avec M. Brennan et ses principaux conseillers.
WAYNE MADSEN-
Tartarin de Tulle, s’il avait été au pouvoir en 1939, il aurait commencé par livrer des armes a Hitler, et déclaré la guerre au Japon , pour intimider Staline !.....
C’est le plus grand stratège ,dans tous les domaines que la France ait connu.
Elle risque, La France, de ne jamais se remettre d’avoir donné le pouvoir a ce type.
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[email protected] 4 septembre 15:11
’’.....Et toi le troll russe, cà te fais quoi d’etre payé pour defendre un faschsite et un meurtrier ?TU n’as pas honte en rentrant chez toi d’etre coresponsable des massacres de Assad ?Allez va coucher et và toucher ta paye. Meme les prostituées CHEZ NOUS en France font un boulot plus honnete que toi.....’’oHHHH ! Un ’’CHEZ NOUS en France ’’ en majuscule ? Nous corrigeons donc par ’’Même les prostituées CHEZ NOUS au MOSSAD font un boulot plus honnête que toi’’ )
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Pour toi, c’est l’heure de l’apéro, il faut se calmer, c’est sacré l’apéro. Un petit et c’est parti pour la guerre, surtout pour les autres, cool...Tu laisses l’analyse aux gens à qui il reste un cerveau. Tu sais, on te traite juste pour ce que tu es, change et on changera d’attitude avec toi. -
@christophe nicolas
Mais qu’est ce que j’en ai foutre de votre opinion, de vos insultes, de vos aneries. Vous etes en train de faire de la propagande pour un gars qui envoit son armée massacrer femmes et enfants à grands coups de barils d’explosifs dans les marchés.Vous n’avez pas de cerveaux, vous êtes de moutons, et encore un mouton c’est gentil.Vous etes d’un conformisme rouge brun affligeant, meme TF1 fait figure d’encyclopédie face à vos bétises. Allez, je file du sujet. Je pars me prendre une douche parce que vous etes sales.A plus, et bon courage pour essayer de monter l’opinion, en faveur d’une aide militaire ou finannciere pour ce boucher de Aassad. Il n’y a que sur agoravox et sur sputnik que l’on vous croie, et vous n’etes qu’une poignée, le reste du monde libre se moque de vous en lisant vos anneries.A plus :) -
Formidable de réflexion, on pourrait mettre ton texte sur n’importe qui puisque c’est du total spéculatif. Tu es un madoffiste, une pyramide de Ponzi... -
Tu as raison, après avoir vomi autant de futilités, il vaut mieux prendre une bonne douche !!!
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@[email protected]
"Vous etes en train de faire de la propagande pour un gars qui envoit son armée massacrer femmes et enfants à grands coups de barils d’explosifs dans les marchés."Vous avez des images et des preuves ?
A par croire sur parole ce nous disent les médias sans aucun reportages de terrain et en répétant ce que dises certaines ONG financées par on se sait qui, qu’est-ce que vous savez de plus que moi sur ce qui se passe là-bas ?
Personnellement j’ai des doutes mais vous vous semblez avoir des certitudes... -
@Aline
Mais oui, mais oui.Ami Lecteur qui lit cet article où l’on affirme qu’Aassad en largue pas de barils d’explosifs sur sa population, regardez les centaines de videos sur le sujet filmés par les habitants, ecoutez les milliers de temoignages de syriens, et lisez les massacres de la guerre civile syrienne.Puis relisez l’article et les commentaires. -
Pendant ce temps, sur l’autre front de la guerre de BRENNAN :
qui a abattu le MH-17 et comment ?
La première chose que nous savons est que les contrôleurs aériens ukrainiens ont ordonné au MH-17 de voler directement au-dessus de la zone de combat et de réduire son altitude. Nous connaissons aussi comme un fait avéré qu’il y avait au moins un avion ukrainien dans le voisinage immédiat du MH-17 ce jour-là. Cela a été confirmé par des signaux radar russes et par plusieurs témoins sur place qui ont vu au moins un, peut-être deux, avions SU-25 dans le ciel ce jour-là. Enfin, nous savons aussi que des unités de la défense aérienne ukrainienne étaient présentes dans la zone ce jour-là et que leurs radars étaient actifs. Ce que personne n’a vu ce jour-là a été le très grand et très visible panache de fumée qui aurait accompagné tout tir de missile important, ni n’a entendu quelque chose de spécial. Apparemment, pas de tir de missile, et pourtant les radars ukrainiens étaient actifs. Comment cela se fait-il ?
Je crois que le MH-17 a été abattu par un SU-25 ukrainien. Les critiques de cette théorie ont souligné que le SU-25 est un avion d’appui rapproché conçu pour voler très bas et pour attaquer des colonnes blindées, qu’il n’a jamais été conçu pour voler très vite ou très haut, et que le SU-25 n’est pas doté d’un radar ni de missiles air-air. Enfin, la cabine du SU-25 n’est pas pressurisée, ce qui signifie que le pilote ne peut pas voler à une altitude supérieure à 7 000 mètres. Tout cela est vrai. Mais il manque aussi un point.
Premièrement, même s’il est vrai que la cabine du SU-25 n’est pas pressurisée, tout ce dont un pilote a besoin est un masque qui lui fournit de l’oxygène. L’avion lui-même peut facilement voler bien au-dessus de la limite de 7 000 mètres. C’est vrai que la vitesse de l’avion est insuffisante pour intercepter un grand avion à réaction civile volant à sa vitesse de croisière. Les appareils SU-25 n’ont jamais été conçus pour voler haut et même s’il est possible d’amener l’avion à plus de 7 000 mètres, ils ne peuvent pas atteindre une vitesse suffisante dans cette atmosphère raréfiée. Mais ce que le SU-25 peut faire est de transporter un missile R-60 guidé par infrarouge. Non seulement un tel missile ne nécessite pas un radar d’engagement, mais sa vitesse atteint plus de 3 000 km à l’heure, beaucoup plus que n’importe quel avion civil. Le problème avec le missile, toutefois, est que sa portée est courte, à peu près 8 000 mètres.
Le SU-25 n’a pas de radar capable de détecter un avion civil et de le guider vers ce dernier. Mais la batterie radar du missile Buk certainement. Puisque la course du MH-17 était connue très à l’avance, tout ce que les Ukrainiens avaient à faire était de laisser un ou deux SU-25 traîner à basse altitude, sous le corridor aérien que le MH-17 emprunterait, et d’attendre que les opérateurs du missile Buk guident le SU-25 le mieux placé vers l’avion au moment opportun. Tout ce que le pilote devait faire lorsque le signal serait donné était de monter rapidement vers le MH-17 et de pénétrer à l’intérieur du domaine de vol du missile (dans ce cas à moins de 8 km du MH-17) puis de tirer son missile R-60. A ce point, le missile se guiderait de lui-même vers la plus grande source de chaleur de l’avion – l’un des moteurs.
Le R-60 est un petit missile et il ne serait jamais en mesure de détruire un grand avion comme le Boeing 777 de la Malaysia Airways. Mais le R-60 est plus que capable de détruire un des moteurs du Boeing. A ce moment, l’avion perdrait rapidement de la vitesse et entrerait dans un virage serré pendant que les pilotes essaient de comprendre ce qui s’est passé, d’éteindre un moteur en flammes et de compenser la perte d’un réacteur. C’est exactement ce qui a été observé sur les radars, d’ailleurs. La rapide perte de vitesse et d’altitude ferait du Boeing une proie facile pour le SU-25, qui dispose d’un puissant canon à bord, il le rattraperait ensuite facilement et achèverait l’attaque avec une salve de tirs du canon de 30 mm. Une fois sa cible atteinte, le SU-25 ferait rapidement demi-tour et retournerait à sa base. C’est exactement ce que les radars russes ont vu.
On peut se demander pourquoi les Ukrainiens emploieraient un avion de soutien rapproché comme le SU-25 au lieu d’un intercepteur prévu à cet effet comme le SU-27 ou un avion de combat comme le MiG-29. Là encore, l’explication est très simple : non seulement l’Ukraine a beaucoup plus de SU-25 que de SU-27 ou de MiG-29, mais ceux-ci seraient très visibles pour n’importe quel témoin. En revanche, le (ou peut-être les deux) SU-25 chargé de détruire le MH-17 était très facile à dissimuler en Ukraine de l’est et sur n’importe quel aérodrome. C’est précisément parce que le SU-25 est un avion improbable pour être chargé d’une telle mission qu’il est l’appareil parfait pour exécuter ce qui est un exemple achevé d’une attaque sous fausse bannière.
Quant au Buk, c’est un système de missile si grand et si visible qu’il est impossible à cacher. De plus, si un tel missile avait été tiré en plein jour, le tir aurait été clairement vu à plusieurs kilomètres à la ronde. Cependant, si les batteries du Buk se contentaient de guider le SU-25 vers le MH-17, personne ne l’aurait remarqué. Personne sauf les Russes, l’Otan et les États-Unis, bien sûr.
En tant que personne qui a personnellement contrôlé le trafic aérien militaire et civil au-dessus l’Europe, je peux attester le fait que plusieurs armées en Europe surveillent en permanence la totalité de l’espace aérien entre l’Atlantique et l’Oural. Ces pays incluent les États-Unis et l’Otan. C’est particulièrement vrai pour une zone de conflit. En fait, les avions AWACS étasuniens et russes sont toujours présents lorsqu’un conflit éclate n’importe où à proximité de l’Europe. Ils ont surveillé la guerre dans le golfe Persique, la guerre en Bosnie et en Croatie, la guerre en Afghanistan et beaucoup d’autres conflits. Outre leurs AWACS, les Américains et les Russes utilisent aussi leurs satellites dans l’espace pour surveiller n’importe quelle zone de conflit. Évidemment, aucun des deux camps ne veut partager toute l’information détaillée dont il dispose, mais le véritable problème ici est politique : les Etats-Unis ne partageront rien du tout parce qu’ils doivent protéger le régime de Kiev alors que tout ce que les Russes partageront sera immédiatement rejeté comme propagande (ce qui est exactement ce qui s’est passé avec le peu que les Russes ont livré).
J’ajouterais encore que si les Novorusses avaient abattu le MH-17, les États-Unis auraient pu facilement le prouver, exactement comme ils l’ont fait avec le KAL007 en 1983. En fait, au cours des 20 ans qui nous séparent de l’attentat contre le KAL007, les capacités des services de renseignement américains se sont considérablement améliorées, donc je m’attends à ce que les États-Unis puissent fournir beaucoup plus de données que seulement des interceptions radio. Et pourtant, les États-Unis ont fourni exactement rien. Il n’y a qu’une seule possibilité logique à ce refus, par ailleurs bizarre, de fournir un quelconque renseignement : les États-Unis sont du mauvais côté. En d’autres termes, le fait que les Etats-Unis ne publient aucune donnée du tout est, en soi, une preuve indirecte que ce sont les Ukrainiens qui l’ont fait.
Quant aux Ukrainiens eux-mêmes, ils savent bien sûr exactement ce qui s’est passé et il n’est pas nécessaire pour eux d’enquêter sur quoi que ce soit. Donc il n’y a plus rien sur quoi enquêter. Les Ukrainiens l’ont fait et l’Ouest ne l’admettra jamais.
THE SAKER
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Voici le gagnant du Festival du film OFF de DAESH . Une production américano-israélienne-saoudienne :VIDEO DISPONIBLE ICI : Кровавую казнь заложника ИГИЛ снимали в кинопавильоне - YouTube
Cela m’avait titillé ce beau ciel bleu sans nuage aussi !
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Deux épines dans le pied d’Obamapar Thierry MeyssanQuoi qu’il advienne, Washington gagnera en Syrie. Car il n’y a pas une, mais deux politiques états-uniennes vis-à-vis de ce pays. Soit ce sera la paix et l’on félicitera le président Obama pour avoir su négocier avec l’Iran ; soit ce sera la destruction de la République arabe syrienne et son occupation par l’Otan, et l’on félicitera quelques généraux états-uniens et l’Onu pour avoir mis fin au bain de sang. Thierry Meyssan révèle ici les dessous de cette double politique, notamment le complot ourdi au sein des Nations unies par le secrétaire général adjoint pour les Affaires politiques.
| 31 août 2015
L’application de l’accord survenu entre Washington et Téhéran, le 14 juillet dernier, dépend principalement de la capacité du président Obama à le faire accepter par ses concitoyens en général et par le Congrès et sa propre administration en particulier. Or, il rencontre deux obstacles majeurs.
Le groupe de PetraeusD’une part un courant politique reste favorable au projet Juppé-Wright de création d’un Sunnistan et d’un Kurdistan à cheval sur la Syrie et l’Irak. Il est organisé autour du général David Petraeus, directeur de la CIA jusqu’à la réélection d’Obama en octobre 2012 et actuel analyste en chef pour le fonds d’investissement Kohlberg Kravis Roberts. Il comprend son ancien adjoint, le général John Allen, actuel envoyé présidentiel spécial pour la lutte contre Daesh, et l’ancienne secrétaire d’État et actuelle candidate à la candidature démocrate, Hillary Clinton. Il dispose aussi de soutiens au Parti républicain comme l’actuel président de la Commission sénatoriale des Forces armées, John McCain, et le promoteur immobilier et principal candidat à l’investiture, Donald Trump.
Fin juillet, le général Allen était convié à l’Aspen Security Forum. Il y rencontrait des journalistes du New York Times auxquels il confiait à l’oreille s’être mis d’accord avec la Turquie pour créer une zone de sûreté dans le Nord de la Syrie. Stupéfait par une décision qui viole la Charte des Nations unies, Eric Schmitt décidait d’y consacrer la « une » de son quotidien [1]. Cependant, à l’issue de quelques jours de déclarations publiques contradictoires, Washington et Ankara démentaient [2]. Dans la foulée, la Maison-Blanche clarifiait sa position : la priorité c’est la lutte contre Daesh, aussi bien avec les « rebelles syriens modérés » qu’avec le YPG (Kurdes marxistes-léninistes). Par conséquent, la Turquie, bien qu’autorisée à frapper chez elle la branche turque de l’organisation, était priée de ne pas les attaquer [3].
Le 29 juillet, « l’armée » des soixante « rebelles syriens modérés » formés par la CIA entraient en territoire syrien pour marquer au sol les cibles de Daesh que la Coalition souhaitait bombarder. Mais al-Qaïda en était informé et les attaquait, faisant vingt prisonniers, dont leur chef, le colonel Nadim Hassan. Seules les armées états-unienne ou turque pouvaient les avoir trahis.
Si dans un premier temps, les soupçons de trahison se sont dirigés vers la Turquie, ils se sont transférés sur les États-Unis après les véhémentes dénégations du Premier ministre intérimaire, Ahmet Davutoğlu [4]. Et qui donc alors dans l’armée US, sinon le groupe du général Allen ?
Les manœuvres du général Allen ont d’abord provoqué un grave incident entre le Pentagone et l’Armée turque. L’officier de liaison de cette dernière au CAOC (Combined Air and Space Operations Center) n’a prévenu que dix minutes à l’avance d’un raid en Irak, menaçant à la fois des élèves-soldats kurdes et leurs instructeurs états-uniens présents sur zone [5]. La voie choisie par Recep Tayyip Erdoğan, si l’AKP reste au pouvoir, pourrait conduire à une rupture partielle des relations entre Washington et Ankara [6].
Surtout ces incidents ont conduit le Pentagone à demander au CentCom de vérifier les allégations généralisées au Proche-Orient selon lesquelles la Coalition ne bombarde pas Daesh, mais au contraire le soutient. C’est le moment que la Defense Intelligence Agency choisit pour dénoncer le trucage des rapports du CentCom [7]. Il apparaît que celui-ci est commandé par un autre ancien collaborateur du général David Petraeus, le général Lloyd James Austin III.
Le groupe de FeltmanL’autre difficulté d’Obama, c’est le secrétariat général des Nations unies. S’il est difficile de savoir à quel courant appartient Ban Ki-moon, trop occupé à monnayer sa position, il n’en est pas de même de son adjoint aux Affaires politiques, Jeffrey Feltman.
Avant d’être fonctionnaire international, il était diplomate états-unien. Il s’est progressivement spécialisé sur le Proche-Orient. Il fut notamment en poste en Israël, en Irak (où il administra la partie kurde) et au Liban (où il imposa ses vues au gouvernement Siniora). Il entretenait une rare relation de confiance avec la secrétaire d’État Condoleezza Rice avec laquelle il avait une vidéo-conférence hebdomadaire, puis fut nommé à ses côtés à Washington par la secrétaire d’État Hillary Clinton pour superviser toute la politique proche-orientale. Il avait alors été présenté comme le principal interlocuteur états-unien pour la Syrie [8].
C’est Jeffrey Feltman qui organisa, en 2005, l’assassinat de l’ancien Premier ministre libanais, Rafic Hariri, puis la Commission d’enquête de Detlev Mehlis et la création du Tribunal international spécial pour le Liban. Cette structure hybride avait été formée pour condamner les présidents libanais Émile Lahoud et syrien Bachar el-Assad sur la base de faux témoignages rémunérés, mais l’accusation s’effondra devant la vérité. M. Feltman poursuit aujourd’hui son œuvre contre la Syrie et l’Iran dans ses nouvelles fonctions.
Arrivé à l’Onu juste avant la Conférence de Genève 1 sur la Syrie, il s’employa à saboter l’accord entre son pays et la Russie et se joignit au groupe de Petraeus pour pousser la France à relancer la guerre. Il rédigea alors un plan de capitulation totale et inconditionnelle de la République arabe syrienne. La souveraineté du Peuple syrien devait être abolie ; la Constitution devait être abrogée ; le président devait être destitué ; l’Assemblée du Peuple devait être dissoute ; 120 dirigeants syriens devaient être arrêtés, jugés et condamnés ; la Direction du Renseignement militaire, la Direction de la Sécurité politique et la Direction de la Sécurité générale devaient être décapitées ou dissoutes ; les « prisonniers politiques » devaient être libérés et les cours anti-terroristes abrogées.
Après l’échec de la mission de Lakhdar Brahimi, il enjoignit à Ban Ki-moon de désigner l’Italien Stefan De Mistura pour le représenter en Syrie. Il avait connu cet élégant diplomate en Irak et s’était lié avec lui lors de leurs missions au Liban. De Mistura avait également fréquenté Petraeus et Allen durant sa mission de représentant du secrétaire général de l’Onu en Afghanistan.
Dès lors, tout en rencontrant les différentes parties au conflit et en leur souriant, Stefan De Mistura s’attela à imposer par surprise le plan Feltman pour la Syrie. Le 29 juillet dernier, il exposa avec Ban Ki-moon les grandes lignes de son plan « de paix » au Conseil de sécurité, mais les deux compères s’abstinrent de distribuer le moindre document écrit [9]. Ils demandèrent aimablement que le Conseil pousse les protagonistes à signer un Accord intérimaire, puis s’en remette à eux pour son application. Il s’agissait en réalité de dessaisir le Conseil de ses prérogatives, de contraindre la République arabe syrienne à signer un texte vague qui aurait permis à l’Otan d’occuper le pays et autorisé MM. De Mistura, Feltman et Ban à mettre en œuvre la capitulation du pays, selon le processus élaboré en 2012 par Feltman.
Cette habile manœuvre faillit réussir puisque le Conseil de sécurité adopta, le 17 août une étrange déclaration (et non pas une résolution) de soutien à Stefan De Mistura [10]. Contrairement à tous les usages, le texte fut d’abord discuté en aparté par les cinq puissances permanentes. La Russie, inquiète de ce qui se tramait, décida de voter « oui ». Elle craignait que Washington ne prépare une action hors du Conseil de sécurité et du Droit international. Cependant, précautionneux, l’ambassadeur vénézuélien Rafael Ramírez, qui avait été tenu hors de la rédaction de la déclaration, souleva deux objections : d’abord, le Communiqué de Genève 1 [11], que tout le monde soutient, contrevient en réalité à la Charte des Nations unies ; ensuite, il ne suffit pas de dire que l’on lutte contre le terrorisme, il faut encore aider la République arabe syrienne face à al-Qaïda et Daesh et cesser d’approvisionner indirectement ces organisations en armes, en fabriquant et instrumentant de pseudos-groupes rebelles.
C’était l’ancien compagnon d’Hugo Chávez et non les Alliés qui était sur la même longueur d’ondes que le président Barack Obama.
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« par Thierry Meyssan »
et hop encore un plavard signé Meyssan : Agoravox se noie dans ses supporters là... -
@morice
Logique , il n’ y a que Meyssian qui abreuve la faschosphere pro poutine et Assad. Sputnik, un peu aussi, et d’autres sites satellites, mais c’est la meme famillle. Ils se recopient entre eux. -
@[email protected]
Ces échanges ignares autour de vos imbécilités sont franchement lassants, c’est bien un fil pour ne rien dire.
Quelqu’un a t il été ne serais que légèrement convaincu par cette accumulation de conneries ?
Vous rendez ce site juste chiant comme vous.
Iren-Nao -
@[email protected]
Si votre père etait résistant, aujourd’hui il vous renierait.Vous êtes vraiment un collabo de premier ordre, collabo neo-con impérialiste et fasciste qui se cache en parlant de son père résistant anarchiste.Pitoyable. Vous êtes pire que BHL. -
encore un texte pour supporter un gars qui bombarde son propre peuple avec tout ce qui lui tombe sous la main : Agoravox va continuer à s’enfoncer encore longtemps en ouvrant de pareilles tribunes ???
c’est une honte, tout simplement, et le site est bien bouffé jusqu’à la moelle par l’extrême droite : tous les textes allant CONTRE le boucher de Damas sont INTERDITS de PARUTION par la clique qui a pris le pouvoir dans ce site !!RAS LE BOL d’avoir à le répéter !!!« Considérer Bachar AL ASSAD et DAECH de façon identique est particulièrement choquant et inadmissible »écrit l’imbécile : or c’est lui qui a vidé les prisons où il avait enfermé les pires islamistes en croyant contrer les modérés !!l’ignorer est GRAVE ET FALLACIEUX !!quant à écrire que « HOLLANDE mériterait d’être poursuivi pour complicité de crimes contre l’humanité » ce n’est pas mesurer que Bachar aurait dû être depuis longtemps, quand il a été invité en tribune du 14 juillet 2008 par un certain Sarkozy...-
@morice
C’est confortable la cécité ? -
@morice
Si on veut montrer l’exemple il faut être un minimum exemplaire sinon on va vers le syndrome Cheney. On n’attaque pas les états sinon ça va finir à la bombe nucléaire. On ne va pas juger la Syrie en revanche, voir le chef de l’état Français parler de « neutralisation », c’est démentiel... c’est du terrorisme. S’il a quelque chose à dire à Assad entre 4 yeux, il va le lui dire ou il le lui faxe. Pourquoi il nous raconte ça, il a pété un plomb ! Il croit quoi ? Qu’on va lui dire Amen ! Les élus n’ont pas le droit de se permettre ça, ils n’ont pas un mandat pour déstabiliser et attaquer des pays, c’est la « défense nationale » pas « l’attaque nationale ».Morice, il faut sortir des articles d’avant 2011 sinon, on risque la propagande, regarde. Bien entendu, on t’accordera sans hésiter que la Syrie n’est pas le Pérou... -
@morice
Ah oui ?
Suite à la diffusion des images, distribuées par l’Armée syrienne libre et reprises par les services états-uniens et français, du massacre de la ghouta, des familles alaouites de Lattaquié ont porté plainte pour assassinats.
Certaines des vidéos ont été réalisées et postées sur YouTube avant l’événement qu’elles décrivent [1].
On peut y voir des enfants étouffer d’une intoxication chimique qui ne peut être du gaz sarin (ce gaz provoque de la bave jaune et non pas blanche).
Les enfants ne correspondent pas à un échantillon de population : ils ont presque tous le même âge et ont les cheveux clairs. Ils ne sont pas accompagnés par leur famille en deuil.
Il s’agit en fait d’enfant enlevés par des jihadistes, deux semaines auparavant dans des villages alouites aux environs de Lattaquié, à 200 kms de la ghouta.
Contrairement aux affirmations de l’Armée syrienne libre et des services occidentaux, les seules victimes identifiées du massacre de la ghouta sont donc issues de familles soutenant le gouvernement syrien. Les personnes qui posent dans les vidéos en s’indignant des « crimes de Bachar el-Assad » sont en réalité leurs assassins.
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@morice
Vous feriez mieux d’expliquer ce qui est faux dans le texte de Thierry Meyssan :
« Deux épines dans le pied d’Obama »
On constate juste qu’il y a deux poids, deux mesures dans les dictatures... -
martin, l’écolo qui lit le Figaro pour y poster son admiration de Kadhafi (il est abonné aux dictateurs !)
Retour vers le passé...Jusqu’en 1969, la Libye était parmi les pays les plus pauvres, Une société tribale de type ancestrale qui n’avait vraiment rien de commun avec une société démocratique Occidentale. Les ressources du sous -sol étaient aux mains des compagnies Américaines, dont les Libyens, excepté les dirigeants féodaux, ne bénéficiaient d’aucun avantage.
Le régime de Kadhafi était corrompu, monopolisait une grande partie des richesses et avait toujours réprimé sévèrement toute contestation en particulier les tribus de Cyrénaïque qui ont toujours été exclues de l’appareil d’Etat, néanmoins il avait sorti la société Libyenne de sa situation de pauvreté et en en fait l’un des pays les plus prospère du continent Africain.Aujourd’hui avec le chaos tribal en perspective et la Charia, les Libyens, mais surtout les femmes, peuvent dire merci aux ’’puissances du bien et de la morale’’, en particulier à SARKOZY et à son garant de ’’guerres humanitaires’’ B.H.L..
http://plus.lefigaro.fr/page/danielm-1
ah, il était corrompu mais a tout fait bien : il n’est pas à une contradiction près celui-là... écolo genre Laurent Ozon....
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Un écolo plus bleu que vert... la preuve :
« l rejoint l’équipe de la candidate UMP aux municipales de 2014, Michelle Palandre. Elle, est élue depuis 6 ans dans cette ville où elle a passé toute sa vie. Ensemble, ils souhaitent améliorer l’image de la ville, dans le respect du territoire et l’intérêt des Givordins. »`vision de l’écologie du gars dans sa propre ville :Mais une problématique majeure préoccupe la tête de liste : « Il faut à tout prix réduire la circulation dans le centre-ville. » Elle explique : « Tous les habitants des plateaux descendent à Givors en voiture et cela crée des problèmes de pollution et de stationnement. » Avec Daniel Martin, elle travaille à la réalisation d’un pôle multimodal autour de la gare SNCF qui draine des populations bien au-delà de Givors.
“Faisons revenir des entreprises à Givors”« Une première solution temporaire serait la construction d’un parking à étages, comme propose Michelle Palandre, informe Daniel Martin. Car nous manquons cruellement de places de stationnement. »
en somme pour lutter contre la pollution il préconise de faire des parkings à étages : fût le gars.
au final il a perdu...
battu par un... communiste !!
ah ah ah !!!
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@morice
Cher Morice, vous n’ignorez pas que dans le cadre d’une élection Municipale, ou autre, lorsque plusieurs sensibilités s’accordent sur un projet de gestion cela résulte d’un compromis, or si j’ai cédé sur l’idée d’un Parking à étage sur un site désaffecté occupé quotidiennement à proximité de la gare par des dizaines de voitures de voitures en « bloquant » un espace important , c’était peut être la moins mauvaise solution qui a d’ailleurs été reprise par le Maire.Mais si aviez lu notre programme, vous auriez constaté qu’il y avait une part importante d’accordé à l’écologie, tant sur le plan environnemental que par rapport à la maîtrise démographique de l’aménagement urbain pour lequel il était écrit que la notion de MENAGEMENT du territoire devait primer sur celle de l’aménagement du territoire avec les effets désastreux de densification qui s’accompagne inévitablement d’étalement urbain au détriment des terres arables, aussi surprenant que cela puisse paraître. -
MEI =
- Président : Antoine Waechter
ah ah ah : le mec de droite extrême déguisé en écolo !!rappelPlat de lentilles. D’un côté, les procureurs. Antoine Waechter se serait rendu coupable de relations douteuses avec l’association Nouvelle écologie et son chef, Laurent Ozon, évoluant dans la mouvance de la « Nouvelle droite » d’Alain de Benoist. Il serait également prêt à toutes les compromissions en accueillant sur sa liste Edouard Goldsmith, frère du milliardaire Jimmy (décédé), qualifié d’écologiste aux « délires ésotérico-mystiques » par ses détracteurs. La transaction aurait le goût d’un plat de lentilles : le financement généreux de la campagne des européennes, comme Jimmy avait su le faire pour Philippe de Villiers en 1994.bingo on tombe sur Ozon !!! les fachos verts, dont Martin fait donc partie !-
@morice
Vous allez encore passer au détecteur de manipulation si vous continuez à dire n’importe quoi ...
« Venezuela : un article d’Agoravox soumis au détecteur de manipulation (1/2) » -
@morice
Je vous trouve mechant avec l’ecolo facho. Il prends bien compte en compte l’aspect ecologogoglque de la guerre. Enfin, pas sur les barils d’explosifs, ni sur les armes chimiques, non, juste sur le kerozene qu’emploie les avions ricains pour bombarder Daech. Ecolo facho, certes, mais selectif :)))Vous etes un héros Maurice, pour rentrer dans ce tas de fachos antisémites dictatooriaux. Pendant la WW2, vos interlocuteurs vous auraient déportés sans aucuns doutes. En tant cas, moi, petit fils de resistant et de commandant des collones anrchistes Durruti, je vous donne la medaille d’honneur du courage. Bon courage ;) -
@morice
vous n’avez pas honte, quand même, de votre nullité ? Il y a des gens qui font ici un gros travail de documentation, et vous, vous arrivez sans aucune honte avec vos plates invectives : les fachos verts, les fachos rouges, les fachos bruns.Il y avait les révolutions colorées, maintenant il y a les fachos colorés. Sale temps pour les daltoniens. -
@Layly Victor
’’...Sale temps pour les daltoniens...’’Je souhaite que Dieudonné l’intègre dans un de ses spectacles !
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Jeudi 3 septembre 2015
Extraits de l’interview accordée par Bashar al-Assad à al-Manar (chaîne du hezbollah).
Dans une interview qu’il a accordé le 25 août à la chaîne al-Manar, Bashar al-Assad a affirmé que Hassan Nasrallah (leader du Hezbollah) était quelqu’un de fidèle jusqu’au plus haut point.
(1’18) > https://www.youtube.com/watch?v=1tlSoHMoBbA
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Il a ensuite affirmé que les positions officielles des Etats-unis sont tantôt souples, tantôt rigides, mais qu’elles ne donnent pas une image réaliste de ce qu’elles sont réellement. Selon lui, ces positions servent à exercer une guerre psychologique, à adresser des messages aux lobbys, à leurs alliés ou leurs agents. Le Président syrien a affirmé qu’après avoir échoué à renverser certains Etats, les USA laissent aujourd’hui la situation se dégrader jusqu’au chaos en attendant de voir une évolution leur permettant de faire un choix servant leur intérêt.
(1’57) > https://www.youtube.com/watch?v=WKBaRdFjMcw
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Bashar al-Assad a ensuite affirmé que personne ne faisait confiance aux USA, pas même leurs alliés. Il a rappelé que la Syrie n’avait jamais cru les Américains car ils n’ont jamais tenu leurs promesses et n’avaient jamais été de parole.
(0’28) > https://www.youtube.com/watch?v=SORpOH5VLzQ-
Cher Daniel Martin
J’apprécie votre article mais, si je puis me permettre, je pense que vous faites une erreur d’appréciation., quand vous pensez qu’Israël serait contrarié par la victoire définitive de Daesh en Syrie.Certes, Daesh est une création des occidentaux, d’Israël et des monarchies du Golfe.Vous semblez penser qu’Israël s’est trompé et que, Daesh échappant au contrôle, ils peuvent craindre qu’il ne se retourne contre eux. Or, justement, Daesh n’échappe pas à tout contrôle. Il n’a ni arrière pays, ni industrie, ni donc industrie d’armement, ni ressources propres. Il ne tient que par l’approvisionnement venant des sus-nommés, et son aventure s’arrêterait du jour au lendemain si leur soutien s’arrêtait, comme un moteur s’arrête si on coupe l’essence.Donc, Israël poursuit délibérément l’aventure Daesh, tout en sachant que, en cas de victoire, Daesh se retournerait immédiatement contre eux, justement pour faire pièce aux alliés saoudiens d’Israël. Pourquoi ? Les dirigeants de Tel Aviv sont certes des criminels, mais pas des imbéciles.Donc, ils veulent cette option, qui leur permettrait de déclencher une guerre totale. C’est de la folie, mais ils ont un tel sentiment de supériorité, ils sont tellement sûrs de leur force, qu’ils pensent réussir. Et ils comptent sur les occidentaux pour contrer une réaction de l’Iran et de la Russie. Ils ont déjà prouvé par le passé qu’ils se soucient fort peu de la sécurité des citoyens israéliens.Si ce que je dis est vrai, on comprend que les Américains ne soient pas très chauds. Seul, notre grand criminel de l’Elysée, qui ne comprend rien à rien, est partant pour de nouvelles conquêtes. Quand il parle de soutien aux « extrémistes modérés », il sait très bien que Daesh n’en fera qu’une bouchée si Bachar tombe, et donc il suit les fous de Tel Aviv.J’espère de tout coeur me tromper car, si j’ai raison, les peuples de Syrie et d’Irak n’ont pas fini de souffrir.-
@Layly Victor
Simple et lucide, ils attaqueront en position de victime du très méchant qu’ils nous préparent.. -
@christophe nicolas
non, c’est plus compliqué.le nord est déjà turc ou en cours,l’est, désert ou presque, trop difficile à tenir, trop grand, trop désert a été laissé à daëch.saviez-vous que daëch bat monnaie ?qu’à part le pétrole, bientôt vos tee-shirts comporteront du coton made in daëch ?bref, ils ne chôment pas.l’ouest ? nettoyé par le hezbollah à la frontière libanaise,un hezbollah qui pèse de tout son poids,il suffit de voir l’âge des derniers martyrs sur les photos,c’est du prépubère, car impossible de trop dégarnir le front sud avec tsahal.damas fera l’objet de toutes les résistances.le nord-ouest ? pas touche, base navale russe.reste le sud, druze, si proche d’israël golan machinet surtout l’attitude druze qui à la fois refuse de s’engager avec bachar,et refuse les islamistes.or hier soir, le convoi transportant le grand cheikh druze du sudqui s’oppose à l’engagement auprès de bachar tout en gardant ses distances des islamistes,eh bien ce convoi : boum.fini le cheikh.pire : 20mn plus tard une deuxième voiture piégée les attend aux portes de l’hosto le plus procheoù ils se précipitent tous en panique,reboum : 20 morts de plus.qui a pu faire cela ?bachar ? allons donc, c’est trop à découvert,puis le 2e attentat avoue la volonté de faire le plus de victimes possibles.les islamistes ? c’est le style.les israëliens ? possible, ça destabilise bien et surtout ça divise les druzes avant d’entrer...et sachant que les turcs se promènent déjà dans le nord, voici dc la tranche sud du gâteau.poutine soudain parle de partage du pouvoir par bachar, que faut-il y comprendre ?exactement le contraire sans doute.que dit-on de la visite du séoudien chez obama ?qu’en gros d’accord pour le rapprochement avec l’iran,mais prix à payer sur laisser faire l’axe séoudien en syrie et au liban...or au liban le séoudien est à l’agonie sur poubelles, vastes changements, renaissances etc.et en syrie ils ont déjà pesé de tout leur poids, que peuvent-ils ajouter... -
Faut-il rappeler cette opération FALSE FLAG des égorgeurs financés par les Saoudiens, soignés et renseignés par les Israéliens, informés et formés par les USA :
Suite à la diffusion des images, distribuées par l’Armée syrienne libre et reprises par les services états-uniens et français, du massacre de la ghouta, des familles alaouites de Lattaquié ont porté plainte pour assassinats.
Certaines des vidéos ont été réalisées et postées sur YouTube avant l’événement qu’elles décrivent [1].
On peut y voir des enfants étouffer d’une intoxication chimique qui ne peut être du gaz sarin (ce gaz provoque de la bave jaune et non pas blanche).
Les enfants ne correspondent pas à un échantillon de population : ils ont presque tous le même âge et ont les cheveux clairs. Ils ne sont pas accompagnés par leur famille en deuil.
Il s’agit en fait d’enfant enlevés par des jihadistes, deux semaines auparavant dans des villages alouites aux environs de Lattaquié, à 200 kms de la ghouta.
Contrairement aux affirmations de l’Armée syrienne libre et des services occidentaux, les seules victimes identifiées du massacre de la ghouta sont donc issues de familles soutenant le gouvernement syrien. Les personnes qui posent dans les vidéos en s’indignant des « crimes de Bachar el-Assad » sont en réalité leurs assassins.
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Faut-il rappeler le triple (!) jeu de Erdogan ?
La chaîne de télévision Al-Ikbariya a diffusé dimanche 15 septembre 2013 un long entretien avec un prisonnier relatant la manière dont il avait véhiculé des missiles chimiques d’une base militaire turque vers Damas.
Selon ce témoignage, l’armée turque entendait ainsi provoquer une intervention internationale contre la Syrie.
Ce bombardement limité aurait été couplé à une vaste entreprise de communication.
Cette diffusion était suivie d’un débat entre le général Ali Maksoud et le politologue Thierry Meyssan sur l’implication turque dans le conflit et la proposition russe d’adhésion de la Syrie à la Convention interdisant les armes chimiques.
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@Morice
Faut-il rappeler que Meyssan, lui, en a deux, et deux en béton ? Enfin, l’exemple n’est peut être pas approprié !Thierry Meyssan : Les services occidentaux sont sûrs à 100% de choses qui ne sont pas logiques :
- Ils pensent que des gaz de combat peuvent être discriminants entre des hommes et des femmes.
- Ils ont observé la préparation des gaz de combat mais ne sont pas intervenus pour empêcher leur usage. Par contre, se proposent de punir ceux qui en ont fait usage.
- Ils expliquent que des enfants ont été tués le 21 août alors que les vidéos sont antérieures et que ces enfants proviennent des familles qui soutenaient l’Etat syrien et le gouvernement de Bachar al-Assad.
- Ils affirment disposer d’interceptions téléphoniques. Mais ce ne sont pas eux qui ont réalisé ces interceptions téléphoniques.
- Et, enfin, l’affaire de « la ligne rouge » puisque d’après le chef du Comite joint du Renseignement britannique, Jon Day, la Syrie aurait utilisé 14 fois auparavant des gaz de combat. Mais sans que jamais ceci ne soit clairement attesté. Pourquoi 14 fois avant ? Parce que 14 fois c’est le nombre d’usages par les Etats-Unis d’armes chimiques en Irak, en 2003-2004. Et, évidemment, ça serait simplement la quinzième fois qui permettrait de franchir la fameuse « ligne rouge » qui nécessiterait une riposte de la part des grandes puissances.
Les contradictions des services secrets occidentauxTM : Le gouvernement des Etats-Unis et celui de la France assurent que l’Armée arabe syrienne, l’armée légitime de l’Etat syrien a procédé à un massacre chimique dans la banlieue de Damas, dans la ceinture agricole de la ghouta, qui entoure Damas, le 21 août dernier.
Alors, je vais vous montrer que cette affirmation est complètement fabriquée et qu’elle ne correspond aucunement à la réalité. Pour cela, je vais d’abord m’appuyer sur les documents publiées très officiellement par le gouvernement des Etats-Unis, par celui du Royaume-Uni et par celui de la France.
1- Le nombre des victimes varie de 1 à 5TM : Dans la note de renseignement qui a été publiée par les Etats-Unis, on peut lire que cette attaque a causé la mort d’au moins 1 429 personnes.
Mais, lorsque que l’on regarde le document français équivalent, il n’est plus question que de 281 morts, qui auraient été décomptés en regardant des vidéos sur internet. Le même document précise qu’une organisation « non gouvernementale » – il faut prendre ça avec des guillemets –, Médecins sans Frontières, aurait compté – pour le gouvernement français – 355 morts dans des hôpitaux de la région de Damas.
Donc, la différence déjà d’évaluation du problème varie déjà de 1 à 5, selon la source.
Ensuite, les uns et les autres font référence à des vidéos pour attester la véracité des faits.
Alors, ces vidéos, eux-mêmes ne sont pas d’accord sur leur nombre. D’après le document des Etats-Unis, il y en a plus d’une centaine, alors que d’après le document français, il n’y en a que 47.
2- Paris et Washington ont validé des vidéos antérieures au 21 aoûtTM : Quand on regarde ces vidéos, on peut constater que certaines sont antérieures au massacre.
En effet, si vous regardez sur YouTube vous verrez qu’elles ont été postées le 20 août, ce qui pourrait être la veille, mais pas nécessairement compte tenu du décalage horaire de 9 heures entre la Syrie et la Californie, où se trouve le serveur de YouTube. Cependant, vous pouvez constater que dans les scènes d’extérieur le soleil est à son zénith.
Donc, il est aux environs de midi et ça ne peut pas avoir été posté le 21 août. Ça a nécessairement été enregistré avant cette date.
C’est pourtant sur des preuves sans valeur que se fondent les services des Etats-Unis et de la France.
3- Un gaz qui épargne les femmesTM : Dans ces documents on nous explique que la plupart des victimes sont des enfants.
Et, effectivement, si vous regardez ces vidéos vous allez voir que beaucoup d’enfants sont en train d’agoniser. Ce sont tous des enfants du même âge. Et il y a aussi des adultes. Mais, les adultes sont tous des hommes. Et, généralement, des hommes dans la force de l’âge, des combattants.
Il n’y a aucune femme. A deux exceptions près, il n’y a aucune femme parmi les victimes annoncées. Sur les 1 429 dénombrées par les Etats-Unis il n’y aurait que 2 femmes.
Ce serait donc la première fois que des gaz discriminent les individus selon leur sexe.
4- Les victimes sont des prisonniers des jihadistesTM : Lorsque ces images ont été diffusées la première chose qui frappe c’est que les enfants ne sont pas accompagnés.
Ça c’est très choquant dans la culture proche-orientale parce que jamais on ne laisse les corps des morts sans les accompagner, a fortiori lorsqu’il s’agit d’enfants.
Pourtant, ces enfants sont sans parents.
Et puis, on les voit dans les mains de gens qui sont présentées comme un personnel soignant essayant de les sauver. Mais on ne comprend pas bien ce que fait ce personnel soignant.
En fait, il y a une raison toute simple : c’est que ces enfants ne sont pas des victimes d’attaques chimiques.
Ce sont des enfants qui ont été enlevés deux semaines auparavant, au début du mois d’août, dans la région de Lattaquié, à 200 kilomètres de la ghouta.
Ils ont été enlevés lors d’une attaque des jihadistes contre des villages alaouites fidèles au gouvernement. La plupart de leurs familles ont été massacrées. Certains ont survécu. Dans les charniers que l’on a retrouvés dans les environs de Lattaquié il y avait plus d’un millier de morts.
Et ces enfants, dont on était sans nouvelles pendant deux semaines ont en fait ressurgi sur ces vidéos.
Ceux dont les familles sont encore vivantes ont été reconnus par elles et ces familles ont porté plainte pour assassinat parce ce que si on ne comprend pas sur les vidéos les soins qu’on est en train de prodiguer c’est simplement qu’on ne les soigne pas.
On est en train de leur faire des injections intraveineuses de poison pour les assassiner devant les caméras.
5- Les services secrets auraient un moyen secret d’analyser les échantillons humainsTM : Les Etats-uniens, les Britanniques, les Français expliquent que les victimes ont été gazées, soit avec du gaz sarin, soit avec un mélange de gaz incluant du gaz sarin. Et ils s’appuient pour cela sur les analyses réalisées par leurs propres laboratoires à partir de leurs propres échantillons récoltés sur place.
Ce qui est totalement impossible puisque les Nations Unies se sont rendues sur place aussi, ont prélevé des échantillons et ont besoin d’une dizaine de jours supplémentaires pour pouvoir cultiver les tissus humains qui ont été prélevés et pouvoir les analyser.
Donc, en fait on nous explique que les Etats-Unis, la France et la Grande Bretagne disposent de méthodes secrètes d’investigation totalement inconnues du monde scientifique qui permettent instantanément de cultiver des tissus humains et de savoir ce qui en ressort.
6- Les Etats-Unis auraient observé la préparation du crime pendant quatre jours sans intervenirTM : Plus étrange encore, dans la note de James Clapper, le patron du renseignement US, on apprend que – comme preuve finale – les Etats-Unis avaient observé, pendant les 4 jours précédents, l’armée syrienne mélanger les composants du gaz sarin et donc préparer le poison mortel pour un usage immédiat.
Mais, ce qu’on ne comprend pas c’est, s’ils l’ont vu pendant 4 jours, pourquoi n’ont-ils rien dit ? Pourquoi ne sont-ils pas intervenus ?
7- Une interception téléphonique fournie par IsraëlTM : De la même manière, les Etats-Unis, le Royaume-Uni et la France affirment chacun avoir intercepté une conversation téléphonique entre un haut fonctionnaire du ministère syrien de la Défense et le chef des unités qui s’occupent des gaz de combat. Et donc, le ministère syrien aurait été paniqué par l’usage de ces gaz. Ce serait une preuve de plus de la responsabilité syrienne.
Mais, cette preuve n’a pas été récoltée par ces services. Elle leur a été fournie par l’Unité 8200 du Mossad israélien [1], comme l’a annoncé – avant ces services – la télévision israélienne.
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8- Pas de symptômes de gaz sarinTM : Sur les vidéos, les victimes ont des tremblements et de la bave. Ça c’est très caractéristique, normalement, des intoxications avec des gaz de combat.
Sauf que le gaz sarin ne provoque pas une bave blanche mais une bave jaune, et on n’en voit pas dans ces vidéos. Ça ne peut donc pas être du gaz sarin qui ait été utilisé pour intoxiquer les personnes qui sont décédées.
Les dirigeants des Etats-Unis, du Royaume-Uni et de la France sont passibles de la Cour pénale internationaleTM : En conclusion, cette affaire est totalement fabriquée. Elle ressort de la propagande de guerre et la propagande de guerre est, d’après le droit international, le crime le plus grave puisque c’est un crime contre la paix, celui qui permet la perpétration des autres crimes, y compris les crimes contre l’humanité.
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Faut-il rappeler cette FALSE FLAG décrite par Seymour M. Hersh ?
par Seymour M. HershEn août-septembre 2013, Barack Obama, François Hollande et David Cameron accusaient la Syrie d’avoir massacré 1 400 opposants dans la banlieue de Damas. Dénonçant le franchissement d’une ligne rouge, ils annonçaient préparer une expédition punitive contre le régime criminel. Peu après, Londres se retirait, puis Washington, et enfin Paris. Revenant sur ces événements, Seymour Hersh montre que le président Obama ignorait tout de ce qui s’était réellement passé, qu’il naviguait au jugé, et qu’il a menti lorsqu’il a prétendu détenir des preuves de la culpabilité de la Syrie.
Cet article exceptionnel avait été commandé par le New Yorker, qui l’a refusé, puis présenté au Washington Post, qui l’a refusé, pour être finalement publié au Royaume-Uni par la London Review of Books.- Les
certitudes de Barack Obama sur l’attaque chimique du 21 août 2013 ne se
fondaient pas sur des renseignements de ses services, mais étaient de
simples spéculations.
Barack Obama n’a pas tout dit cet automne quand il a essayé de nous convaincre que Bashar el-Assad était responsable des attaques à l’arme chimique près de Damas, le 21 août 2013. Dans certaines circonstances, il a omis des informations importantes, et dans d’autres, il a présenté des suppositions comme des faits. Plus important, il n’a pas reconnu un fait bien connu de la communauté des services de renseignement : que l’armée syrienne n’est pas la seule partie dans la guerre civile de ce pays à avoir accès au sarin, ce gaz neurotoxique qui d’après une étude de l’Onu —qui n’assigne aucune responsabilité— a été utilisé dans l’attaque à la roquette. Durant les mois qui ont précédé cette attaque, les services de renseignements états-uniens ont produit une série de rapports classés hautement confidentiels, culminant par un Operation Order —un document de planification en prévision d’une invasion au sol— qui citait des preuves selon lesquelles le Front al-Nosra, un groupe de djihadistes affilié à Al-Qaïda, maîtrisait la technique de production du sarin et était capable d’en produire en quantité. Quand les attaques ont eu lieu, al-Nosra aurait dû faire partie des suspects, mais le gouvernement a sélectionné avec soin les renseignements qui pouvaient justifier une frappe contre Assad.
Dans son discours télévisé national sur la Syrie, le 10 septembre [1], Obama a fermement rejeté la responsabilité de l’attaque au gaz sarin, sur la banlieue de la Ghouta orientale tenue par les rebelles, sur le gouvernement d’Assad, et a clairement indiqué qu’il était prêt à mettre à exécution ses mises en garde publiques antérieures selon lesquelles l’utilisation d’armes chimiques était une « ligne rouge » à ne pas franchir : « le gouvernement de Bachar al-Assad a gazé plus d’un millier de personnes », a-t-il dit. « Nous savons que le régime d’Assad est responsable (…) Et c’est pourquoi, après mûre réflexion, j’ai déterminé qu’il était dans l’intérêt national des États-Unis de répondre à l’usage d’armes chimiques par le régime Assad en procédant à une frappe militaire ciblée. » Obama allait entrer en guerre pour appuyer une menace publique, mais il le faisait sans savoir avec certitude qui avait fait quoi au petit matin du 21 août.
Il a cité une liste de ce qui semblait être des preuves durement arrachées de la culpabilité d’Assad : « Dans les jours précédant le 21 août, nous savons que des membres du personnel d’Assad chargé des armes chimiques se préparaient à mener une attaque à proximité d’un site où ils ont confectionné un mélange avec du sarin. Ils ont distribué des masques à gaz à leurs soldats. Puis, à partir d’une zone sous le contrôle de l’État, ils ont tiré des roquettes contre onze quartiers dans lesquels le régime cherchait à éliminer les forces de l’opposition ». La certitude d’Obama fut relayée à l’époque par Denis McDonough, son chef de cabinet, qui a déclaré au New York Times : « Aucun de mes interlocuteurs n’a de doute sur cette information » qui établit un lien direct entre Assad et son régime et les attaques au sarin.
Mais au cours de récentes interviews avec des officiers du renseignement et militaires en exercice et à la retraite, j’ai trouvé une forte préoccupation, et parfois de la colère, sur ce qui a été perçu à plusieurs reprises comme une manipulation délibérée de l’information. Un officier de renseignement de haut niveau, dans un e-mail à un collègue, a qualifié les assurances de l’administration sur la responsabilité d’Assad de « ruse ». L’attaque « n’est pas l’œuvre du régime actuel », écrit-il. Un ancien haut fonctionnaire du renseignement m’a dit que l’administration Obama avait déformé les informations disponibles —en termes de chronologie et de séquence— pour permettre au président et à ses conseillers de donner l’impression que l’information avait été obtenue en temps réels, au moment même où l’attaque se produisait. La distorsion, dit-il, lui rappelait l’incident du golfe du Tonkin en 1964, lorsque l’administration Johnson a inversé la séquence des messages interceptés par la NSA pour justifier l’un des premiers bombardements du Nord-Vietnam. Le même responsable a dit qu’il y avait une immense frustration au sein de la bureaucratie militaire et du renseignement : « Les gars lèvent les bras au ciel en disant : ‹Comment pouvons-nous aider ce gars [Obama] si lui et ses copains à la Maison-Blanche inventent les informations au fur et à mesure ?› »
Les plaintes portent principalement sur ce que Washington n’avait pas : un signe annonciateur quelconque chez l’auteur présumé de l’attaque. La communauté du renseignement militaire produit depuis des années chaque matin un résumé de renseignement hautement classifié, connu comme le Morning Report (rapport matinal), pour le secrétaire à la Défense et le président du comité des chefs d’état-major ; une copie est transmise aussi au conseiller de Sécurité nationale et au directeur du Renseignement national. Le Morning Report ne contient aucune information politique ou économique, mais fournit un résumé des événements militaires importants à travers le monde, avec tous les renseignements disponibles à leur sujet. Un consultant supérieur du renseignement m’a dit que peu de temps après l’attaque, il a examiné les rapports du 20 au 23 août. Pendant deux jours – les 20 et 21 août – il n’y avait aucune mention de la Syrie. Le 22 août l’élément principal dans le rapport traitait de l’Égypte ; un autre article abordait les changements internes dans la structure de commandement de l’un des groupes rebelles en Syrie. Rien n’avait été noté sur l’utilisation du gaz neurotoxique à Damas ce jour-là. Ce n’est que le 23 août que l’utilisation du sarin est devenue une question dominante, alors que des centaines de photos et de vidéos du massacre avaient déjà fait le tour du monde en quelques heures sur YouTube, Facebook et autres sites de médias sociaux. À ce stade, l’administration n’en savait pas plus que le public.
Obama a quitté Washington tôt le 21 août pour une tournée mouvementée de conférences de deux jours à New York et en Pennsylvanie ; selon le bureau de presse de la Maison-Blanche, il a été informé plus tard dans la journée de l’attaque, et de la colère grandissante du public et des médias. L’absence de toute information sur le terrain était évidente le 22 août, lorsque Jen Psaki, porte-parole du département d’État, a déclaré aux journalistes : « Nous ne pouvons pas déterminer avec certitude l’utilisation d’armes chimiques. Mais nous consacrons tout notre temps à cette affaire … à faire tout ce qui est en notre pouvoir pour établir les faits. » Le ton de l’administration s’est durci de 27 août, quand Jay Carney, attaché de presse d’Obama, a déclaré aux journalistes —sans fournir aucune information précise— que toutes les suggestions que le gouvernement syrien n’était pas responsable « sont aussi absurdes que de suggérer que l’attaque n’a jamais eu lieu. »
L’absence d’alerte immédiate au sein de la communauté du renseignement états-unien démontre qu’il n’y avait pas d’information sur les intentions syriennes dans les jours qui ont précédé l’attaque. Et il y a au moins deux façons pour les États-Unis d’en avoir eu connaissance à l’avance : les deux ont été abordés dans l’un des documents secrets des services de renseignement qui ont été rendus publics ces derniers mois par Edward Snowden, l’ancien sous-traitant de la NSA.
Le 29 août, le Washington Post a publié des extraits du budget annuel pour tous les programmes nationaux de renseignement, agence par agence, fournis par Snowden. En consultation avec l’administration Obama, le journal a choisi de publier seulement une petite partie du document de 178 pages, qui a une classification plus élevée que top secret, mais il a résumé et publié un article traitant de certaines problématiques. Un d’entre eux est l’absence de surveillance du bureau d’Al-Assad. Le document indique que le réseau mondial d’écoute électronique de la NSA avait été « en mesure de surveiller les communications non cryptées entre hauts responsables militaires dès le début de la guerre civile ». Mais qu’il s’agissait d’ « une vulnérabilité dont les forces du président Bachar al-Assad se ont apparemment rendus compte plus tard ». En d’autres termes, la NSA n’avait plus accès aux conversations du haut commandement militaire en Syrie, parmi lesquelles les communications cruciales d’Assad, telles que les ordres pour une attaque au gaz neurotoxique. (Dans ses déclarations publiques depuis le 21 août, l’administration Obama n’a jamais prétendu avoir des informations précises reliant personnellement Assad à l’attaque.)
Le quotidien a également fourni la première indication de l’existence d’un système de capteurs secrets à l’intérieur de la Syrie, conçu pour fournir un avertissement précoce sur toute modification de statut des armes chimiques de l’arsenal du régime. Les capteurs sont suivis par le National Reconnaissance Office, l’organisme qui contrôle tous les satellites de renseignement états-uniens en orbite. Selon le résumé du Washington Post, le NRO est également chargé « de l’extraction de données à partir de capteurs placés sur le terrain » à l’intérieur de la Syrie. L’ancien responsable du renseignement, qui avait une connaissance directe du programme, m’a dit que les capteurs NRO ont été implantés près de tous les sites de stockage d’armes chimiques connus en Syrie. Ils sont conçus pour assurer une surveillance constante de la circulation des ogives chimiques stockées par l’armée. Mais beaucoup plus important, en termes d’alerte, est la capacité des capteurs d’alerter les services de renseignements des États-Unis et d’Israël lorsque les ogives sont armées de sarin. (En tant que pays voisin, Israël a toujours été à l’affût des changements dans l’arsenal chimique syrien, et travaille en étroite collaboration avec les services de renseignement états-uniens sur les premiers avertissements.) Une ogive chimique, une fois chargée de sarin, a une durée de vie de quelques jours seulement – l’agent neurotoxique provoque presque immédiatement une corrosion de la fusée : c’est une arme de destruction massive qui, une fois préparée, doit être utilisée immédiatement sinon elle est perdue. « L’armée syrienne n’a pas trois jours pour se préparer à une attaque chimique », m’a dit l’ancien responsable du renseignement. « Nous avons créé ce système de capteurs pour déclencher une première alerte, comme une alerte de raid aérien ou une alarme d’incendie. On ne peut pas attendre trois jours parce que toutes les personnes impliquées seraient déjà mortes. C’est soit tout de suite, soit trop tard. Vous ne passez pas trois jours à préparer un tir de gaz neurotoxique. » Les capteurs n’ont détecté aucun mouvement dans les mois et les jours qui ont précédé le 21 août, a déclaré l’ancien fonctionnaire. Il est bien entendu possible que le sarin ait été fourni à l’armée syrienne par d’autres biais, mais l’absence d’avertissement signifie que Washington n’était pas en mesure de surveiller en temps réel les événements de la Ghouta orientale.
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Les capteurs ont déjà fonctionné dans le passé, chose que les dirigeants syriens ne savaient que trop bien. Au mois de décembre dernier, le système de capteurs a détecté des signes de ce qui semblait être une production de sarin dans un dépôt d’armes chimiques. Il n’était pas immédiatement clair si l’armée syrienne simulait la production de gaz sarin dans le cadre d’un exercice (tous les militaires font constamment ce genre d’exercices) ou si elle préparait réellement une attaque. À l’époque, Obama avait publiquement mis en garde la Syrie que l’emploi de sarin était « totalement inacceptable » ; un message similaire avait été également transmis par voie diplomatique. Par la suite, l’incident se révéla faire partie d’une série d’exercices, selon l’ancien haut responsable du renseignement : « Si ce que les capteurs ont détecté en décembre dernier était suffisamment important pour que le Président en arrive à leur dire : « Arrêtez ça ! », pourquoi n’a-t-il pas émis le même avertissement trois jours avant l’attaque au gaz du mois d’août ? »
Un journaliste critique n’a pas été invitéLa NSA bien sûr surveillerait le bureau d’Assad 24/24h si elle le pouvait, a déclaré l’ancien fonctionnaire. D’autres communications —de différentes unités de l’armée au combat à travers la Syrie— seraient beaucoup moins importantes, et ne seraient pas analysées en temps réel. « Il y a littéralement des milliers de fréquences radio tactiques utilisées par les unités sur le terrain en Syrie pour des communications de routine banales », dit-il, « et il faudrait mobiliser un très grand nombre de cryptologues de la NSA et le retour utile serait nul. » Mais le « bavardage » est néanmoins régulièrement stocké sur des ordinateurs. Lorsque l’ampleur des événements du 21 août fut perçue, la NSA a mis sur pied un effort global pour chercher des indices annonciateurs de l’attaque, en examinant toutes les archives des communications stockées. Un ou deux mots clés sont choisis et un filtre est employé pour retrouver les conversations pertinentes. « Ce qui s’est passé ici, c’est que les imbéciles [weenies] de la NSA sont partis d’un événement —l’utilisation de sarin— et ont tenté de retrouver des conversations susceptibles d’être en rapport avec cet évènement », a déclaré l’ex-fonctionnaire. « Cela ne donne pas une évaluation très fiable, sauf si vous partez du principe que Bachar al-Assad a ordonné l’attaque et qu’ensuite vous cherchez tout ce qui pourrait le confirmer. » Le tri sélectif des données était similaire à la procédure utilisée pour justifier la guerre en Irak.
La Maison-Blanche a eu besoin de neuf jours pour préparer son dossier contre le gouvernement syrien. Le 30 août, elle a invité un groupe de journalistes à Washington (au moins un journaliste souvent critique, Jonathan Landay, le correspondant sur les questions de sécurité nationale pour McClatchy Newspapers, n’a pas été invité), et leur a remis un document soigneusement étiqueté comme une « évaluation du gouvernement », plutôt que comme une évaluation des services de renseignement. Le document était essentiellement un argumentaire politique pour soutenir les accusations de l’administration contre le gouvernement Assad. Cependant, il était plus précis qu’Obama ne le sera plus tard, dans son discours du 10 septembre : les services de renseignement états-uniens, disait le document, savaient que la Syrie avait commencé à « préparer des armes chimiques » trois jours avant l’attaque. Dans un discours agressif prononcé plus tard ce jour-là, John Kerry a fourni plus de détails. Il a dit que « le personnel des armes chimiques » de la Syrie « était sur le terrain, dans la région, en train de faire des préparatifs » dès le 18 août. « Nous savons qu’il a été dit à des éléments du régime syrien de se préparer à une attaque en mettant des masques à gaz et de prendre des précautions liées à des armes chimiques. » L’évaluation du gouvernement et les commentaires de Kerry laissaient entendre que l’administration avait suivi en direct l’attaque au gaz sarin. C’est cette version là, fausse mais non contestée, qui a été largement diffusée à l’époque.
Le nombre de morts varie considérablementUne réaction imprévue est venue sous la forme de plaintes formulées par la direction de l’Armée syrienne libre (ASL) et d’autres sur l’absence de mise en garde. « C’est incroyable, ils n’ont rien fait pour avertir les gens ou essayer d’arrêter le régime avant le crime », a déclaré Razan Zaitouneh, un député de l’opposition qui a vécu dans une des villes touchées par le sarin, à la revue Foreign Policy. Le quotidien Daily Mail a été plus direct : « Un rapport des services de renseignement indique que des responsables états-uniens étaient au courant de l’attaque au gaz neurotoxique en Syrie trois jours avant qu’elle ne tue 1400 personnes —dont plus de 400 enfants—. » (Le nombre de morts suite à l’attaque varie considérablement, d’un minimum de 1429, selon le chiffre initialement annoncé par l’administration Obama, à beaucoup moins ; un groupe syrien de défense des droits de l’homme a fait état de 502 morts ; Médecins sans frontières (MSF) en a annoncé 355, et un rapport français a répertorié 281 cas de décès connus. Le chiffre étonnamment précis avancé par les États-Unis était fondé, selon un article ultérieur publié par le Wall Street Journal, non pas sur un décompte réel des corps, mais sur une extrapolation effectuée par les analystes de la CIA, qui ont introduit plus d’une centaine de vidéos de Ghouta trouvées sur YouTube dans un système informatique et ont ensuite examiné les images pour trouver des cadavres. En d’autres termes, ce n’était guère plus qu’une conjecture.)
La presse états-unienne ne prête que peu d’attention à cette rétractionCinq jours plus tard, un porte-parole du bureau du directeur du Renseignement national a répondu aux plaintes. Une déclaration à l’agence Associated Press disait que les informations sur lesquelles étaient fondées les affirmations antérieures de l’administration n’étaient pas connues au moment de l’attaque, mais n’avaient été récupérées que par la suite : « Soyons clairs, les États-Unis n’ont pas observé, en temps réel, comment cette attaque terrible a eu lieu. Les services de renseignement ont pu recueillir et analyser les informations après les faits et déterminer que les éléments du régime d’Assad ont en effet pris des mesures pour se préparer avant d’utiliser des armes chimiques. » Mais comme la presse états-unienne avait déjà son histoire à raconter, cette rétraction n’a reçue que peu d’attention. Le 31 août, le Washington Post, en s’appuyant sur l’évaluation du gouvernement, a rapporté de manière saisissante et en première page que les services de renseignement états-uniens avaient pu enregistrer « chaque étape » de l’attaque par l’armée syrienne en temps réel, « depuis les vastes préparatifs pour le lancement de fusées jusqu’aux évaluations effectuées après l’action par des responsables syriens ». Le journal n’a pas publié le correctif d’Associated Press et la Maison-Blanche a gardé sa mainmise sur la version des évènements.
Obama était arrivé à une conclusion hâtiveEt donc, lorsque Obama a déclaré le 10 septembre que son administration savait que le personnel des armes chimiques d’Assad avait préparé l’attaque à l’avance, il fondait sa déclaration non pas sur des informations interceptées en direct, mais sur des communications analysées plusieurs jours après le 21 août. L’ancien responsable du renseignement a expliqué que la chasse aux échanges pertinents est remontée jusqu’à l’exercice détecté au mois de décembre précédent [2012], dans lequel, comme Obama l’a dit plus tard en public, l’armée syrienne avait mobilisé le personnel d’armes chimiques et distribué des masques à gaz à ses troupes. L’évaluation de la Maison-Blanche et le discours d’Obama ne constituent pas une description précise des événements qui ont précédé l’attaque du 21 août mais un compte-rendu d’une séquence de mesures que l’armée syrienne prendrait en cas d’attaque chimique. « Ils ont reconstitué l’histoire », a déclaré l’ex-fonctionnaire, « à partir de différentes pièces. Le modèle employé était celui qui remonte au mois de décembre ». Il est possible, bien sûr, que Barack Obama n’était pas au courant que ce compte-rendu avait été établi à partir d’une analyse du protocole de l’armée syrienne en cas d’attaque au gaz, plutôt que sur des observations directes. Quoi qu’il en soit, il était arrivé à une conclusion hâtive.
Des éléments de preuve potentiels déplacés et peut-être manipulésLa presse allait emboîter le pas. Le rapport de l’Onu du 16 septembre [2] confirmant l’utilisation de sarin a pris soin de préciser que l’accès des enquêteurs sur les lieux de l’attaque, cinq jours après qu’elle ait eu lieu, avait été sous le contrôle des forces rebelles. « Comme pour d’autres sites », avertit le rapport, « ces sites ont été largement fréquentés par d’autres personnes avant l’arrivée de la mission … Pendant notre séjour, des individus sont arrivés en transportant d’autres munitions suspectes, ce qui indique que ces éléments de preuve potentiels sont en train d’être déplacés et peut-être manipulés ».
Pourtant, le New York Times s’est emparé du rapport, à l’instar des responsables états-uniens et britanniques, pour affirmer que celui-ci fournissait des preuves accablantes qui confirmaient les affirmations de l’administration. Une annexe au rapport de l’Onu reproduit des photos prises sur YouTube de quelques munitions récupérées, dont une fusée qui « correspond précisément » aux caractéristiques d’un obus d’artillerie de calibre 330. Le New York Times a écrit que l’existence de ces fusées prouvait sans conteste que le gouvernement syrien était responsable de l’attaque « parce que de telles armes n’avaient jamais été signalées entre les mains de l’insurrection ».
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et Seymour M. Hersh l’idole d’une génération, celle de Morice, ajoute :
Les analyses de la trajectoire de vol sont « complètement loufoques »Theodore Postol, professeur de technologie et de sécurité nationale au MIT, a examiné les photos de l’Onu avec un groupe de collègues et a conclu que la fusée de gros calibre était une munition improvisée qui avait été très probablement fabriquée localement [3]. Il m’a dit qu’elle était « quelque chose que vous pourriez fabriquer dans un atelier d’usinage artisanal ». La fusée dans les photos, a-t-il ajouté, ne correspond pas aux spécifications d’une fusée similaire, mais plus petite, connue comme faisant partie de l’arsenal syrien. Le New York Times, s’appuyant à nouveau sur les données du rapport de l’Onu, a également analysé la trajectoire de vol de deux des roquettes tirées et soupçonnées d’avoir transporté du sarin, et a conclu que l’angle de descente « pointait directement » vers une base de l’armée syrienne située à plus de neuf kilomètres de la zone d’impact. Postol, qui a été conseiller scientifique auprès du chef des opérations navales du Pentagone, a déclaré que les affirmations du Times et d’autres « n’étaient pas fondées sur des observations réelles ». Il a conclu que les analyses de la trajectoire de vol en particulier étaient, selon ses termes dans un courrier électronique, « complètement loufoques », car une étude approfondie démontrait qu’il était « improbable » que la portée de ces roquettes improvisées soit supérieure à deux kilomètres. Postol et un collègue, Richard M. Lloyd, ont publié une analyse deux semaines après le 21 août dans laquelle ils ont correctement calculé que les roquettes impliquées transportaient beaucoup plus de sarin que précédemment estimé. Le Times a rapporté en détail cette analyse, en décrivant Postol et Lloyd comme des « experts de premier plan en armement ». Mais l’étude ultérieure des deux hommes sur les trajectoires des fusées, qui contredisait les précédents rapports du Times, a été envoyée au journal la semaine dernière [9 au 15 décembre 2013] et, à ce jour, le quotidien n’en a toujours pas fait état.
La fausse déclaration de la Maison-Blanche sur ce qu’elle savait à propos de l’attaque, et quand elle l’a sue, n’a eu d’égal que sa volonté de ne pas tenir compte des renseignements qui pouvaient nuire à sa version des événements. Cette information concerne al-Nosra, le groupe rebelle islamiste désigné par les États-Unis et les Nations Unies comme une organisation terroriste. Al-Nosra est connue pour avoir réalisé des dizaines d’attentats suicides contre des chrétiens et autres sectes musulmanes non sunnites à l’intérieur de la Syrie, et pour avoir attaqué son allié initial dans la guerre civile, l’Armée Syrienne Libre (ASL) laïque. Son objectif déclaré est de renverser le régime d’Assad et d’instaurer la charia. (Le 25 septembre al-Nosra a rejoint plusieurs autres groupes rebelles islamistes en répudiant l’ASL et une autre faction laïque, la Coalition Nationale Syrienne.) [4]
Le redoublement d’intérêt états-unien pour al-Nosra et le sarin a été provoqué par une série de petites attaques à l’arme chimique qui se sont produites en mars et avril ; à l’époque, le gouvernement syrien et les rebelles s’accusaient mutuellement. L’Onu a finalement conclu que quatre attaques chimiques avaient eu lieu, mais sans attribuer de responsabilité. Un fonctionnaire de la Maison-Blanche a déclaré à la presse fin avril que les services de renseignement avaient estimé « avec différents niveaux de certitude » que le gouvernement syrien était responsable de ces attaques. Assad avait franchi la « ligne rouge » d’Obama. L’évaluation d’avril a fait la une des journaux mais quelques mises en garde importantes ont été perdues en cours de route. Le fonctionnaire anonyme qui a dirigé la séance d’information a reconnu que les évaluations des services de renseignement « ne sont pas à elles seules suffisantes ». « Nous voulons », a-t-il dit, « enquêter au-delà de ces évaluations pour recueillir des faits afin que nous puissions établir un ensemble d’informations crédibles et corroborées qui peuvent ensuite être transmises à nos décideurs. » En d’autres termes, la Maison-Blanche n’avait aucune preuve directe de l’implication de l’armée ou du gouvernement syriens, un fait rarement mentionné par la presse. Le discours musclé d’Obama passait bien auprès du public et du Congrès qui considéraient Assad comme un assassin sans pitié.
Deux mois plus tard, un communiqué de la Maison-Blanche a annoncé un changement dans l’évaluation de la culpabilité syrienne et a déclaré que les services de renseignement avaient maintenant « une grande certitude » que le gouvernement Assad était responsable de pas moins de 150 décès dus à des attaques au sarin. Ce qui a fait encore plus la une des journaux. On annonça à la presse qu’Obama, en réponse à cette nouvelle donnée, avait ordonné une augmentation de l’aide non létale à l’opposition syrienne. Mais encore une fois, il y avait d’importantes réserves. Cette nouvelle information contenait un rapport selon lequel les responsables syriens avaient planifié et exécuté les attaques. Aucun détail n’était fourni, pas plus que l’identité des auteurs du rapport. Le communiqué de la Maison-Blanche précisait que l’analyse en laboratoire avait confirmé l’utilisation de sarin, mais aussi que cette utilisation confirmée de l’agent neurotoxique « ne nous dit pas comment, ni où les individus ont été exposés, ni qui est responsable de sa diffusion ». La Maison-Blanche a en outre déclaré : « Nous n’avons pas de rapports corroborés et fiables qui indiquent que l’opposition en Syrie a acquis ou utilisé des armes chimiques ». Cette déclaration contredit les preuves fournies à l’époque par les services de renseignement des États-Unis.
Dès la fin du mois de mai, m’a dit le consultant du renseignement, la CIA avait informé l’administration Obama sur al-Nosra et son emploi de sarin, et avait envoyé des rapports alarmants qu’un autre groupe fondamentaliste sunnite actif en Syrie, al-Qaïda en Irak (AQI), avait également maîtrisé la fabrication de sarin. À l’époque, al-Nosra opérait dans les zones proches de Damas, y compris dans la Ghouta orientale. Un document des services de renseignement émis au milieu de l’été a abondamment traité la cas de Ziyaad Tariq Ahmed, un expert en armes chimiques et ancien membre de l’armée irakienne, dont la présence était signalée en Syrie et qui opérait dans la région de la Ghouta orientale. Le consultant m’a dit que Tariq avait été identifié « comme un gars d’al-Nosra, connu pour avoir fabriqué du gaz moutarde en Irak et comme quelqu’un impliqué dans la fabrication et l’utilisation de sarin. » Il est considéré comme une cible majeure par l’armée états-unienne.
Le 20 juin, un câble top secret de quatre pages récapitulant les capacités d’al-Nosra en armes chimiques fut transmis à David R. Shedd, vice-directeur de la Defense Intelligence Agency [Agence de Renseignement militaire]. « Shedd a été informé de manière précise et complète », a dit le consultant. « Ce n’était pas un tas de "nous pensons que …". » Il m’a dit que le câble ne précisait pas si c’était les rebelles ou l’armée syrienne qui avaient lancé les attaques en mars et avril, mais il confirmait les rapports antérieurs selon lesquels al-Nosra avait la possibilité d’acquérir et d’utiliser le sarin. Un échantillon du sarin utilisé avait également été récupéré —avec l’aide d’un agent israélien— mais, selon le consultant, on ne trouve aucune mention de cet échantillon dans les échanges de câbles.
Indépendamment de ces évaluations, les chefs d’état-major, en prévision d’un envoi de troupes états-uniennes en Syrie pour s’emparer des stocks d’agents chimiques du gouvernement, ont demandé une analyse générale des menaces potentielles. « L’Ordre d’Opération fournit la base de l’exécution d’une mission militaire, lorsqu’elle est ordonnée », a expliqué l’ancien responsable du renseignement. « Cela inclut l’éventuelle nécessité d’envoyer des soldats états-uniens sur un site chimique syrien pour empêcher les rebelles de s’en saisir. Si les rebelles djihadistes devaient prendre le contrôle d’un site, l’hypothèse est qu’Assad ne nous attaquerait pas parce que nous serions en train de protéger les produits chimiques des rebelles. Tous les Ordres d’Opération contiennent une estimation des menaces potentielles. Nous avions des analystes techniques de la CIA, de la Defense Intelligence Agency, de spécialistes en armements, et des gens des services d’alerte qui travaillaient sur le problème … Ils ont conclu que les forces rebelles étaient capables d’attaquer les forces états-uniennes avec du sarin parce qu’ils étaient capables d’en produire. Cette conclusion s’appuyait sur des indications et des renseignements humains, ainsi que sur des intentions exprimées et la capacité technique des rebelles. »
Il est prouvé que pendant l’été des membres du comité des chefs d’état-major ont été troublés par la perspective d’une invasion terrestre de la Syrie ainsi que par le désir professé par Obama de fournir un appui non létal aux factions rebelles. En juillet, le général Martin Dempsey, président du comité des Chefs d’état-major, a fourni une évaluation pessimiste en déclarant, au cours d’une audition publique devant la commission des Forces armées du sénat, que « des milliers d’hommes des forces spéciales et d’autres forces terrestres » seraient nécessaires pour s’emparer de l’arsenal très dispersé d’armes chimiques en Syrie, ainsi que « des centaines d’avions, de navires, de sous-marins et autres matériels de logistique ». Les estimations du Pentagone étaient de 70 000 hommes, en partie parce que les forces états-uniennes auraient également à protéger la flotte de fusées syriennes : l’accès à de grandes quantités de produits chimiques pour créer du sarin n’avait pas grand intérêt pour les rebelles sans les moyens requis pour l’expédier. Dans une lettre au sénateur Carl Levin, Dempsey a mis en garde que la décision de saisir l’arsenal syrien pourrait avoir des conséquences inattendues : « Nous avons appris de ces dix dernières années, cependant, qu’il ne suffit pas de simplement modifier l’équilibre des forces militaires si on ne prête pas soigneusement attention à préserver le fonctionnement de l’État … Si les institutions du régime devaient s’effondrer en l’absence d’une opposition viable, nous pourrions par inadvertance donner le pouvoir aux extrémistes ou libérer les armes chimiques que nous cherchons justement à contrôler ».
La CIA a refusé de commenter cet article. Le porte-parole de la DIA et le bureau du directeur du Renseignement national (Office of the Director of National Intelligence – ODNI) ont dit qu’ils n’étaient pas au courant du rapport de Shedd et, lorsqu’ils ont reçu les références précises du câble, ont dit qu’ils ne le trouvaient pas. Shawn Turner, directeur des Affaires publiques de l’ODNI, a déclaré qu’aucune agence de renseignement états-unienne, y compris la DIA, « n’affirme que le Front al-Nosra a réussi à développer une capacité à fabriquer du sarin ».
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Oh oui, il a encore de la mine dans le crayon ce Seymour :
(Morice devrait s’en inspirer, ils ont presque le même age )
Al-Nosra est le plus efficace et gagne en forceLes responsables des Affaires publiques de l’administration sont moins préoccupés par le potentiel militaire d’al-Nosra que Shedd dans ses déclarations publiques. À la fin de juillet, il a donné un compte-rendu alarmant sur la puissance d’al-Nosra au Forum annuel sur la sécurité à Aspen, dans le Colorado. « On compte pas moins de 1 200 groupes disparates au sein de l’opposition », a dit Shedd, selon un enregistrement de sa présentation. « Et parmi cette opposition, le Front al-Nosra est le plus efficace et gagne en force. » Ceci, a-t-il dit, « est une grave préoccupation pour nous. Si rien n’est fait, je suis très inquiet que les éléments les plus radicaux » —il a également cité Al-Qaïda en Irak— « prennent le pouvoir ». La guerre civile, a-t-il ajouté, « ne fera que s’aggraver au fil du temps … la violence incommensurable est encore à venir. » Shedd n’a fait aucune mention d’armes chimiques dans son intervention, mais il n’en avait pas l’autorisation : les rapports reçus à son bureau étaient hautement confidentiels.
Une série de dépêches secrètes sur la Syrie pendant l’été ont signalé que des membres de l’ASL se plaignaient auprès des services de renseignement états-uniens d’attaques répétées sur leurs forces par les combattants d’al-Nosra et d’al-Qaïda. Les rapports, selon le consultant du renseignement qui les avait lus, fournissaient la preuve que l’ASL est « plus préoccupée par les cinglés que par Assad ». L’ASL est composée en grande partie de transfuges de l’armée syrienne. L’administration Obama, déterminée à faire tomber le régime d’Assad et à poursuivre le soutien aux rebelles, a cherché dans ses déclarations publiques depuis l’attaque à minimiser l’influence des factions salafistes et wahhabites. Au début de septembre, John Kerry a abasourdi un auditoire du Congrès en affirmant soudainement qu’al-Nosra et d’autres groupes islamistes étaient des acteurs minoritaires au sein de l’opposition syrienne. Plus tard, il a retiré ses propos.
Après le 21 août, à la fois lors des séances d’information publiques et privées, l’administration a ignoré les informations disponibles sur l’accès potentiel d’al-Nosra au sarin et a continué à prétendre que le gouvernement Assad était le seul à détenir des armes chimiques. Tel est le message véhiculé dans les différents briefings secrets que les membres du Congrès ont eus dans les jours qui ont suivi l’attaque, lorsque Obama cherchait du soutien pour son offensive par missile contre des installations militaires syriennes. Un législateur avec plus de 20 ans d’expérience dans les affaires militaires m’a dit qu’il est reparti d’une de ces séances avec la conviction que « seul le gouvernement Assad possédait du sarin et pas les rebelles. » De même, après la publication du rapport de l’Onu le 16 septembre qui confirmait que du sarin avait été utilisé le 21 août, Samantha Power, l’ambassadrice des États-Unis à l’Onu, a déclaré lors d’une conférence de presse : « Il est très important de noter que seul le régime [Assad] possède du sarin, et nous n’avons aucune preuve que l’opposition en possède ».
L’idée d’une attaque états-unienne par missiles sur la Syrie n’a jamais convaincu l’opinion publiqueOn ne sait pas si ce rapport hautement confidentiel sur al-Nosra a été mis à la disposition de Power, mais son commentaire était à l’image de l’attitude qui prévalait au sein de l’administration. « L’hypothèse première était que Assad avait fait le coup », m’a dit l’ancien responsable du renseignement. « Le nouveau directeur de la CIA [John] Brennan, a sauté à cette conclusion … s’est pointé à la Maison-Blanche et a dit : « Regardez ce que j’ai ! » C’était verbal, ils ont juste brandi la chemise tachée de sang. Il y avait beaucoup de pression politique pour convaincre Obama d’aider les rebelles, et il y avait un vœu pieu que ce [lien entre Assad et l’attaque au gaz sarin] forcerait la main d’Obama : "Voici le télégramme de Zimmermann de la rébellion syrienne et à présent Obama peut réagir". Un vœu pieu partagé par les partisans de Samantha Power au sein de l’administration. Pas de chance, certains membres du comité des chefs d’état-major ont été alertés qu’il allait attaquer et ont fait savoir que ce n’était peut-être pas une si bonne idée que ça. »
La distorsion par l’administration des faits entourant l’attaque au sarinL’idée d’une attaque états-unienne par missiles sur la Syrie n’a jamais convaincu l’opinion publique et Obama s’est rapidement tourné vers l’Onu et la proposition russe de démanteler l’industrie de guerre chimique syrienne. Toute possibilité d’une action militaire fut définitivement écartée le 26 septembre lorsque l’administration s’est jointe à la Russie pour approuver un projet de résolution du conseil de sécurité de l’Onu demandant au gouvernement Assad de se débarrasser de son arsenal chimique. La marche arrière d’Obama fut un soulagement pour de nombreux hauts responsables militaires. (Un conseiller de haut niveau pour les opérations spéciales m’a dit que l’attaque par missile, mal conçue, sur les aérodromes militaires syriens et les sites de missiles, comme initialement prévue par la Maison-Blanche, aurait été « l’équivalent d’un soutien aérien rapproché pour al-Nosra. »)
La distorsion par l’administration des faits entourant l’attaque au sarin soulève une question incontournable : savons-nous tout sur l’empressement qu’Obama a eu pour ne pas mettre sa menace de « ligne rouge » à exécution et bombarder la Syrie ? Il prétendait avoir un dossier en béton, puis tout à coup a décidé de porter la question devant le Congrès, pour ensuite accepter l’offre d’Assad de renoncer à ses armes chimiques. Il semble possible qu’à un moment donné il a été directement confronté à des informations contradictoires : des éléments suffisamment solides pour le persuader d’annuler son plan d’attaque, quitte à subir les critiques que le Républicains n’allaient pas manquer de lui faire.
Les forces rebelles comme al-Nosra devaient également désarmerLa résolution de l’Onu, adoptée le 27 septembre par le Conseil de sécurité, a indirectement avancé l’idée que les forces rebelles comme al-Nosra devaient également désarmer : « Aucune partie en Syrie ne devra utiliser, développer, produire, acquérir, stocker, conserver ou transférer des armes [chimiques]. » La résolution demande également que le Conseil de sécurité soit immédiatement informé si un groupe non-étatique « acquiert des armes chimiques ». Aucun groupe n’est nommément cité. Tandis que le régime syrien poursuit le démantèlement de son arsenal chimique, l’ironie est qu’après la destruction du stock d’agents chimiques d’Assad, al-Nosra et ses alliés islamistes pourraient se retrouver comme la seule faction à l’intérieur de la Syrie capable de fabriquer du sarin, une arme stratégique différente de toute autre dans la zone de guerre. Il reste peut-être encore des choses à négocier.
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Faut-il rappeler l’implication du ’’sympathique’’ sénateur McCain auprès des terroriste de l’EI ?
Les affinités terroristes du sénateur McCain"Le palmarès des actions commises par John McCain au nom du département d’Etat est impressionnant. Il a participé à toutes les révolutions de couleur orchestrées ces vingt dernières années"Le sénateur John McCain, russophobe fervent de longue date, considéré comme un des principaux faucons américains, s’est avéré être le véritable chef d’orchestre du Printemps arabe : en prévision des événements sanglants en Syrie et en Libye, il avait rencontré dans ces pays des terroristes de tout poil, écrit mercredi le quotidien Rossiïskaïa gazeta.
Telles sont les conclusions de la nouvelle étude de l’écrivain et journaliste Thierry Meyssan. Ce dernier est l’auteur d’un livre révélant qu’un complot interne était à l’origine des attentats du 11 septembre 2001 aux USA. Meyssan affirme également que l’attentat contre l’école de Beslan en 2004 a été initié par les renseignements américains et que l’Otan se trouve derrière le club Bilderberg, qu’on qualifie parfois de « gouvernement mondial ».Cela fait déjà 22 ans que McCain dirige l’Institut républicain international (IRI). Ce dernier travaille en étroite collaboration avec la CIA et ses filiales, et le financement de l’organisation constitue un volet à part dans le budget du département d’Etat approuvé par le Congrès. La promotion forcée par l’IRI des intérêts américains à l’étranger a conduit à l’interdiction de son activité dans certains pays. D’ailleurs, deux agents de cette ONG, accusés d’avoir préparé la révolte contre le président égyptien Hosni Moubarak, avaient trouvé refuge à l’ambassade des USA au Caire où ils ont immédiatement rencontré McCain venu de toute urgence en Egypte. Au final, Moubarak a été renversé et les deux protégés de McCain ont été immédiatement disculpés par le président Morsi, lui aussi renversé par la suite avec l’aval des USA. Cela prouve une fois de plus que les Américains sont prêts à oublier rapidement ceux qui leur ont fait unes faveur : cela s’est produit des dizaines de fois en Amérique latine.
Le sénateur McCain passe constamment en force en négligeant les lois et les traditions des pays où il veut « mettre de l’ordre ». Le comportement de McCain au Moyen-Orient (en Syrie et en Libye) est une autre preuve du fait que les néoconservateurs américains se distinguent par leur indifférence cynique vis-à-vis du sort des gens qui souffrent des conflits régionaux déclenchés par Washington. "Le palmarès des actions commises par John McCain au nom du département d’Etat est impressionnant. Il a participé à toutes les révolutions de couleur orchestrées ces vingt dernières années", conclut Meyssan.L’auteur s’appuie sur un rapport des renseignements français pour indiquer que McCain présidait la réunion de l’Otan tenue au Caire le 4 février 2011, lors de laquelle il a été prévu d’organiser le Printemps arabe en Libye et en Syrie. Meyssan affirme entre autres que l’Otan avait utilisé l’argent du Qatar pour former en Libye en 2012 5 000 djihadistes et que le futur califat avait reçu 2,5 millions de dollars.
Photos à l’appui, l’enquête de Meyssan indique clairement qu’au profit de leurs fins et ambitions politiques les Américains sont même prêts à conclure des accords avec ceux qu’ils considèrent comme des terroristes avérés. Par exemple, durant la visite du sénateur américain en Syrie pour rencontrer l’opposition armée, McCain s’est affiché avec l’extrémiste Mohamed Nour proche d’Al-Qaïda et complice de la prise d’otages et leur exécution. Sur une autre photo, on voit McCain en compagnie d’un autre personnage curieux — Ibrahim al-Badri, qui fait partie du top-5 des terroristes les plus recherchés par Washington et pour lequel une récompense de 10 millions de dollars est promise.-
je pense que qd on parle de Musulman il faut distinguer les sunnites des shiites
Les shiites n ont jamais pratique le terrorisme, et leur charia compare au Sunnite releve du comte enfantin.
Maintenant l occident a sponsorise et supporte les sunnites, business is business
Maintenant les Sunnites ca donne ca .... (no exception)
http://www.seneweb.com/news/61/une-femme-decapitee-en-pleine-rue-a-la-m_n_145417.html
Maintenant Hollande et sa bergere Royale applaudisse, ca donne une idee sur la moralite de ces individus, toute la classe politique Socialiste etant coupable de ses crimes car ils les endorse (bon courage Messieurs et Mesdames, moi ils y aurit longtemps que j aurais demissionne car quitte a vendre mon ame, plutot contre quelques Milliards aux iles Caimens AH AH AH AH AH ...Comme je dis seul Dieu jugera en final, mais a mon humble avis ils sont tres mal barres ....
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il faut distinguer les shiites des sunnites a priori
Il serait interessant de savoir dans le flux d immigres le pourcentage ?
Les Shiites n ont commis aucun actes terroriste nos amis sunnites ca donne ca,
http://www.seneweb.com/news/61/une-femme-decapitee-en-pleine-rue-a-la-m_n_145417.htmlNotre ami Hollande et sa bergere Royal applaudissent a cela, ainsi que toute la classe politique socialiste, ma foi, sont mal barres ... (ne pas condamner c est applaudire dans un tel cas non ?)
qd a vendre mon ame je prefere pour quelques milliards aux iles Caimens, mais sans toucher a un cheveu d un humain
ma foi Dieu jugera, mais ca devrait pas etre trop dur, je devrais pouvoir le faire ...
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Excellent article. Oui, aidons Bachar plutôt que bombarder.
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@Patricia
Suggestion :
Nous disposons en ce moment sur nos terres d’un grand nombre de Syriens mâles (et de femelles surement libérées) en bon état de marche, la preuve ils sont arrives, et dont on ne sait que foutre.
Tout le monde voit bien que la solution serait qu’ils puisse rentrer chez eux, plutôt que chez nous.
On les charge a 50% du prix des passeurs dans nos 2 magnifiques Mistral dont on ne sait que foutre, et en route pour un port en Syrie ou leur gouvernement légitime pourra les embaucher pour aller buter les Daesh, ce qui est bien leur devoir national.
On leur demanderait le service de buter en priorité, et au passage, nos ressortissants qui sont partis la bas pour une bien mauvaise cause et qui doivent être devenus dangereux.
Un fort contingent de légionnaires a bord leur donnerait les rudiments de la nécessaire discipline militaire.
Si il y a de la place de reste, on pourrait y joindre des bobos immigrationnistes pour les missions de sacrifice.
Au boulot le Pédalo
Iren-Nao -
@Patricia
Oui, tout comme les russes, aidons le gouvernement de Syrie et BOMBARDONS les convois de
l’EI. Le Hezbollah et l’armé Syrienne nettoieront les villes et villages. -
23 photos hilarantes !
PHOTOS. N’écoutant que son courage, BHL pose au côté d’un soldat.
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Les guignols de politiques qu’il y a dans ce pays n’arrivent pas à la cheville d ’ASSAD.
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Choix cornélien
Quand on est syrien...Etre torturé dans les geôles-abattoirs du fiston Al Assad, (que ne renierait pas son père pour avoir maintenu la tradition) ?Ou bienEtre torturé par les crétins décérébrés de l’EI ?Pas facile de survivre entre la peste et le choléra.-
@Agafia
je vois que les sionistes ne baissent jamais les bras, surtout en matière d’hypocrisie.Il y a une évidence mondiale, qui n’est maintenant réfutée par plus personne, au point que le cinglé criminel de l’Elysée tombe le masque et avoue que l’objectif de toutes ces tueries est « de faire tomber Assad ». Pour le bénéfice de qui ?Alors, comme tout est démasqué, on tente une dernière, les geôles d’Assad, la peste et le choléra.En 40, les miliciens parlaient des « geôles de Staline », ce qui leur permettait de justifier leurs forfaits.Mais vous nous prenez pour des cloches. L’article ne parlait pas de ça. Il parlait du soutien des occidentaux, d’Israël, et du criminel Hollande aux djihadistes.Personne n’a jamais dit que Bachar était un saint.Nous avons l’exemple de la guerre sino-japonaise. Mao savait très bien que Tchang Kaï Tchek était un chef de guerre cruel, et que le Kuomintang était un grand massacreur de communistes. Pourtant, il n’a pas hésité, au moment de l’invasion japonaise, à appeler à l’union avec le Kuomintang. Parce qu’il se battait pour son peuple et les communautés chinoises massacrées. Votre combat à vous est différent : c’est un combat racial. -
« Après tout OBAMA est Président Américain et défend les intérêts du peuple qui l’a élu ». Ce genre d’ânerie m’a intrigué dans un article globalement réaliste et informé.
Evidement que ce flot de réfugiés et ces morts imbéciles en syrie, irak, lybie, en pleine mer ou sur les plages maintenant, sont bien plus l’oeuvre de l’empire et ses caniches que de dirigeants forts peu démocrates mais qui n’avaient pas occasionnés ces flots de migrants cherchant à sauver leur peau. Il est assez facile de voir que c’est le chaos et les terrains de jeux des terroristes que nous mettons en place dans un premier temps avec bon espoir d’y placer des « hommes de paille » et d’instaurer peut-être un jour des démocraties comme les nôtres ou le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes et choisir leur avenir est un sujet de fous rires permanent chez nos maîtres.On juge un arbre à ses fruits, alors regardons le résultat de l’intervention en Afghanistan, Irak, Lybie et Syrie. Je pense qu’il s’agit de prestidigitation pour focaliser l’attention du public sur des chaos extérieurs (créés par nous) et nous éviter de voir celui qui rampe vers nos pays via la surenchère des flambeurs de casino de la planète (« nos » (leurs) banques centrales par ex).
On semble oublier que ces « démocrates », ces amoureux de la démocratie laissent la Corée du Nord menacer régulièrement la planète de frappes nucléaires et qu’il n’est nullement question de leur chercher noise. Plus de mauvais coups à prendre que de butin à saisir sans doute...
A force de mettre au sommet de la pyramide du pouvoir les pires d’entre nous (parce que si ce les meilleurs, on ne mérite pas de survivre à nos bêtises...) on a ça. Jusqu’à la lie nous boirons.-
Bas du Pif ? c’est pas lui qui manage http://bdif.jlvi.fr/temp/cialis-49451.html ?
Z’ont le même nom ..Si Bas du Pif se goinfre de grains comme ça, pas étonnant qu’il soye si agressif ..Il lui faudrait des sédatifs-
Dans une guerre l’ ennemi de mon ennemi est mon allié donc peu importe, cette organisation barbare qui met en esclavage sexuel des fillettes chrétiennes qui ont eût le tort de vivre doit être vitrifiée par tous les moyens.
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@TREKKOTAZ : on pourrait essayer d’en convaincre françois et angéla !... Mais là, tout de suite, faut prendre en charge ce ou ces millions de pauvres victimes qui nous tombent sur la tête !... Sont un peu « surbookés » nos illustres !.....Faut qu’ils mélangent tout çà à leurs « chomistes », leurs « bénéficiaires » des « restos du coeurs », leurs agriculteurs qui crevaient déjà avant, leurs retraités qui se demandent comment finir leur pauvre mois, et tous les autres !... Pas facile de dissoudre la misère nouvelle dans la misère déjà en place !!!... Sans rien perdre de ses « émoluments » de « chefs », ni sa retraite dorée non plus !..... Faudra que les « pauvres » fassent un cran de plus à leur ceintures !......Ou 2 !...... Pas grave !...... Et quand il n’y aura plus de trous à la ceinture.....Ben, y’aura moins de pauvres !... C’est bon pour les « stats » !......Adishatz.
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bonjour
trois mois suffiraient pour stopper cette putain de guerre en Syrie,exterminer cette raclure de mercenaires recrutée ,entrainée,armée et payée par les usa et leur sousfifres et permettre à ces réfugiés de rentrer ,reconstruire ,retrouver leurs racines et leur dignité,le droit de vivre en paix.mais la stratégie du chaos est en vogue chez nos décideurs dictateurs-
@ l’auteur : Je pense qu’il serait grand temps de demander son avis à Bernard-Henri !....Adishatz.
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L’article est malsain, les sbires de Poutine sont à l’œuvre. Assad est le terroriste qui empêche la Syrie de prospérer dans ds bases démocratique saine, libérale et populaire. La Syrie ne veut pas du parti Baas, ces disciples finiront par se réfugier sous terre et ne verront plus la lumière du jour alors que nous, partisans de la démocratie ainsi que le peuple syrien seront en train de boire un verre à Damas dans un des palais du dictateur à la lumière du jour.
Nous avons une longue tradition de lutte pour la démocratie et les libertés individuels.-
@Werner Laferier
Ce cher Werner, c’est toujours un régal, un monument de subtilité. Heil Hitler ! -
@Werner Laferier
Et pour quelle Démocratie ? cherchez autre chose que la démocratie ou la dictature.. ! -
@Werner Laferier
Salut camarade !!Un grand merci, chacune de tes interventions me fait bien marrer, c’ est énorme !!!Continue à défendre le monde libre et la démocratie sur agoravox ! -
Dernière heure , des informations provenant de Syrie (non signé mais possiblement provenant de T. Meyssan ) :La France tente d’entraver le déploiement militaire russe en Syrie
| 6 septembre 2015La Russie poursuit la préparation de son déploiement militaire en Syrie [1]. Des équipes syriennes s’activent jour et nuit pour agrandir l’aéroport de Lattaquié et y construire une nouvelle piste et des hangars pour les avions russes. Répondant à des journalistes en marge du Forum de Vladivostok, le président Poutine a confirmé ses intentions tout en précisant qu’il était encore trop tôt pour évoquer ce déploiement [2].
Selon toute vraisemblance, la Russie devrait annoncer son entrée en guerre contre Daesh à la demande de la Syrie, avant la fin septembre. Il est peu probable que les forces aériennes russes puissent être coordonnées avec celles de la Coalition conduite par les États-Unis. On assistera alors à une répartition des rôles, Moscou bombardant l’ensemble des jihadistes en Syrie, sans intervenir dans le conflit entre le gouvernement et son opposition autochtone, tandis que Washington et ses alliés se concentreraient sur le seul Émirat islamique (« Daesh ») en Irak.
Depuis un an, la Coalition anti-Daesh s’est contentée d’empêcher les jihadistes de gagner du terrain, mais n’a pas cherché à les détruire. Bien au contraire, de très nombreux témoignages attestent du largage répété d’armes aux jihadistes. Toutefois, la Coalition semble avoir changé de stratégie en juillet. Elle a ainsi bombardé Daesh et a aidé l’Armée arabe syrienne à défendre Hassaké, tuant environ 3 000 jihadistes.
Le déploiement russe contre Daesh en Syrie mettrait fin aux ambitions de la France de renverser la République.
Le président François Hollande, qui déclarait le 25 août son intention de « neutraliser » son homologue syrien [3] cherche donc à s’y opposer. Il faut comprendre « neutraliser » au sens militaire du terme, c’est-à-dire éliminer du jeu au besoin en tuant.
C’est pourquoi la France devrait annoncer le 7 septembre son intention de bombarder Daesh en Syrie, sans l’accord de la République arabe syrienne. Les avions français voleraient ainsi au secours du Front al-Nosra (al-Qaïda) et entraveraient le déploiement militaire de la Russie.
Cependant, au sein des armées françaises, on relève que la France a déjà brièvement participé aux actions de la Coalition en Syrie, même si cette participation est restée secrète [4]. Lorsque le président Hollande ordonna de se retirer, Washington réagit en cessant tout partage de renseignement. Par conséquent, la France, qui a fermé l’ensemble de ses installations en Syrie depuis le début du « Printemps arabe », ne dispose aujourd’hui d’aucune information sur ce qui s’y passe et parle d’un sujet dont elle ignore tout. L’état-major français fait remarquer qu’il lui faudra des semaines d’observation avant de comprendre la situation au sol et de pouvoir débuter des bombardements efficaces ; un délai qui pourrait réduire à néant les ambitions de François Hollande.
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@lmcal140
merci pour cette infoje me doutais que, derrière l’annonce de Hollande de soit disant bombarder Daesh en Syrie, il y avait un coup fourré, et je pensais que c’était forcément une question d’occupation de l’espace aérien, au profit d’Israël.Ce que vous dites, c’est encore beaucoup plus grave. Ce fou criminel, intoxiqué par les agents Fabius et BHL, veut se mettre en travers de la Russie. Non seulement il va encore nous ridiculiser, mais il va, sans remords, envoyer nos pilotes vers une mort inutile.Je crois qu’il est extrêmement urgent d’entamer une procédure de destitution. Je vois que vous faites partie des gens qui sont capables de rassembler une documentation suffisante à l’appui de cette procédure. -
@Layly Victor
Destitution du président : est-ce possible et surtout utile ? Dans de très nombreux pays, les lobbys sionistes préparent et finances les oppositions susceptibles de prendre le pouvoir.
Autant en Europe qu’en Amérique. Les financements proviennent parfois d’une tierce source.
Concernant la Syrie : je crois qu’une entente secrète permet aux avions de chasse US et Turque de pénétrer certaines parties du ciel de la Syrie....sans risquer d’être abattus par la DCA syrienne.
Je soupçonne que cette entente se poursuivra après l’arrivée du contingent russe. Nos ’’amis’’
américains craignent surtout que des systèmes de défense aérien S-400 (notez bien S-400) aient été secrètement installés sur (sous) le sol syrien par leurs ’’amis’’ russes. Affaire a suivre ! -
’’La Russie poursuit la préparation de son déploiement militaire en Syrie [1]. Des équipes syriennes s’activent jour et nuit pour agrandir l’aéroport de Lattaquié et y construire une nouvelle piste...’’
Peu probable que l’allongement des pistes de l’aéroport (35.401434,35.948725) soit prévu.
Les pistes font actuellement 2797 mètres....et elles sont recouvertes d’asphalte. Non, plutôt
la construction d’une ou deux nouvelles pistes en BÉTON ...pour les avions de chasse.-
@lmcal140
MORICE sort de ce corps ! -
Voici , selon une source LIBANAISE, ce que l’armée syrienne possède en terme d’équipement russe
( ainsi que l’état d’avancement des contrats des fournisseurs russes )Selon une source syrienne, cité par le quotidien libanais asSafir, les Russes ont l’intention de renforcer la coopération militaire avec la Syrie ..
En effet, pour la première fois depuis le début de la guerre contre la Syrie, des équipes d’experts russes ont commencé à explorer les aéroports militaires afin de les moderniser. Actuellement des travaux de rénovation ont lieu sur les pistes afin de les élargir en particulier dans le nord de la Syrie.
La source syrienne a affirmé que même si la nature des armes qui pourraient être délivré à Damas n’a pas été encore défini, néanmoins les Syriens ont demandé des Russes plus de 20 hélicoptères de combat, de type Mi 28 connu sous le nom de « chasseur de nuit ». La source a souligné que la réponse russe s’est traduite par l’envoi de nouveaux experts en Syrie, avant de donner une réponse définitive.
Il faut dire que l’armée syrienne a besoin des Mi 28 afin de pouvoir renforcer ses activités militaires et sa capacité d’effectuer des opérations la nuit, sachant que les opérations aériennes syriennes nocturnes sont encore menées à travers un système de vision traditionnelle. Alors que les pilotes sont censées opérer via des casques de nuit à navigation compacte, équipés d’un laser détecteur de cibles.
Les Mi 28 ou chasseur de nuit sont des hélicoptères équipés de 16 missiles anti-char de type Chatrom d’une portée de huit kilomètres. Une unité de trois hélicoptères peut arrêter un escadron de chars.
A noter que l’armée syrienne avait présenté sa demande il y a dix ans, mais la complexité de la bureaucratie a retardé la livraison.
A vrai dire, les Syriens sont gênés par la lente exécution des Russes des accords militaires qui ont été conclus avec eux au cours des dix dernières années. Surtout que l’armée syrienne a plus que jamais besoin d’armes à cause de la guerre qu’elle mène sur plus de 450 fronts internes, sans compter que les Russes ont du mal à s’accommoder avec les nouveaux besoins de leur allié dans la guerre des gangs , d’autant plus qu’il n’a pas reçu de compensation pour les chars qu’il a perdu dans les batailles.
Cela dit, les Russes ont marqué quelques progrès en livrant récemment des blindés à roues de type B T R 82 et qui sont apparus sur plusieurs fronts de bataille. Un geste à l’armée syrienne pour compenser ses pertes en chars et lui fournir une meilleure défense face aux missiles US de type Taw largement répandus entre les mains des groupes armés.
Aussi, les Russes ont récemment offert aux Syriens la dernière génération des lanceurs de type Smirch BM 30, capable d’assurer une couverture de feu élevée aux forces terrestres.
Ces lanceurs sont capables de tirer 12 missiles d’une portée de 90 km, munis d’ogives explosives de 900 kg et pouvant couvrir une zone de 640 mille km2. On peut toujours lire sur ces missiles le label des parachutistes russes.
Toutefois, la demande de missiles de type Iskander dont la portée maximale est de 280 kilomètres n’a toujours pas vu le jour sachant que Damas avait effectué sa demande en 2004.Dans le domaine des drones, les Russes ont fourni à l’armée syrienne des drones de type Orlan . Toutefois, la Russie a annulé divers contrats d’armements notamment l’accord des S-300 , des missiles d’une portée de 150 à 200 km, et Moscou a remboursé Damas 430 millions de dollars. L’accord a été annulé sous la pression israélienne, soit après deux visites du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu exhortant Moscou d’annuler la transaction.
Concernant les rumeurs sur la livraison à Damas de chasseurs russes de type MiG 31, elles sont fausses puisqu’une telle livraison n’a jamais eu lieu. De plus, la Syrie n’en a pas besoin pour l’instant à cause de leur coût élevé et dans une guerre où il est plus efficace de posséder des chasseurs de type Yak-30. D’ailleurs, la Syrie a demandé à la Russie de lui livrer 36 chasseurs de ce type il y a trois ans d’une valeur de 550 millions de dollars. Mais les Russes n’ont toujours pas exécuté l’accord.
Au cours des deux dernières années, plusieurs promesses de livraison ont été faite : l’une en 2012 puis en 2014. La mise en œuvre de cet accord est vitale pour l’armée syrienne, car ce chasseur n’est pas cher par rapport à ses pairs, son prix ne dépasse pas les 15 millions de dollars. Mais surtout ce chasseur est capable de jouer le rôle d’avion d’entraînement avancé, c’est un chasseur de combat, de reconnaissance et de soutien pour les troupes terrestres, avec sa cargaison de trois tonnes de bombes.
Pour ce qui est de l’accord de livraison des 24 Mig-29 , il a été reporté plusieurs fois depuis sa signature en 2007 et la dernière fois que la Russie a annoncé qu’elle remettra des avions à la Syrie c’était en 2013. Mais l’armée syrienne possède 60 à 80 MiG-29 , capables d’effectuer des tâches similaires des chasseurs Sukhoi 28 dont l’armée syrienne possède 20 .
Par ailleurs, la Russie n’a jamais caché avoir fourni des matériels militaires aux autorités syriennes officielles dans l’objectif de lutter contre le terrorisme, a déclaré la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova. Elle a ainsi commenté le récent entretien téléphonique entre le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov et son homologue américain John Kerry.
Dans ce dialogue, John Kerry a exprimé son inquiétude à l’égard des informations publiées dans les médias sur un renforcement supposé de la présence militaire russe en Syrie. Selon lui, si cette information est véridique, cela pourrait aboutir à une escalade du conflit en Syrie.
Sergueï Lavrov a pour sa part confirmé qu’une telle assistance avait toujours été accordée à Damas, selon Mme Zakharova. Le diplomate russe a rappelé que Moscou avait plus d’une fois exhorté la « coalition internationale » à coopérer avec les autorités syriennes sous l’égide de l’Onu afin de combattre l’Etat islamique, a-t-elle ajouté.
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Concernant les systèmes défensif S-300 : je soupçonne que les russes ont bel et bien respecté le contrat et installé sur le sol syrien...des systèmes S-400...sous contrôlent de personnels russes.
(non activés, radars non éclairant)
La surprise pourrait être grande pour les pilotes israéliens, américains, turques....et français.
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