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Accueil du site > Tribune Libre > Quand les agences INCa et Santé Publique France rédigent une brochure (...)

Quand les agences INCa et Santé Publique France rédigent une brochure publicitaire trompeuse sur Gardasil

Appliquons le principe de précaution

C’est maintenant qu’il faut considérer les chiffres inquiétants publiés (des faits avérés et vérifiables par chacun sur les registres officiels disponibles sur internet) pour modifier les recommandations actuelles et conduire des études indépendantes de l’industrie pour élucider ce résultat paradoxal.

Tout au long de leur plaidoyer pour le vaccin, les auteurs de la brochure accusent, à juste titre, les vaccinations tardives d’être responsables d’une augmentation du risque de cancer.

Curieusement ils évitent de mettre en garde contre ces vaccinations de rattrapage et au contraire continuent de conseiller l’élargissement de la vaccination (vaccination de rattrapage autorisée jusqu’à 45 ans ! par la FDA).

Cette nocivité avérée des vaccinations tardives en population réelle aurait dû inciter Santé publique France et l’INCa à remplir leur mission de protection de la santé publique en déconseillant cette vaccination aux jeunes filles déjà contaminées par le HPV (de fait toutes les non vierges) au lieu de faire la promotion marchande tout âge du vaccin.

 

Quand les agences INCa [1] et Santé Publique France[2] rédigent une brochure publicitaire trompeuse sur le Gardasil, distribuée à certains médias par le laboratoire MSD[3]

 

L’INCa (institut national du cancer créé en 2003 par le premier plan cancer, organisme officiel chargé de l’organisation du traitement du cancer) et Santé Publique France, nouvelle agence sanitaire née récemment de la fusion de plusieurs existantes, viennent de rédiger une brochure trompeuse[4] que distribue le laboratoire pharmaceutique MSD à certains journalistes, pour tenter de nier le grave problème que pose l’augmentation du risque de cancer du col apparue après vaccination anti HPV dans tous les pays qui ont atteint une couverture vaccinale supérieure à 80%.

 

 L’évolution naturelle du cancer du col s’étalant sur deux décennies, les auteurs récusent la possibilité d’un lien entre cancer précoce et vaccin !

 Mais le cancer sous médicaments ou vaccins peut évoluer différemment. Ce n’est plus une évolution « naturelle » ! On le voit chaque jour avec les cancers soumis aux nouvelles drogues ciblées ou à l’immunothérapie à l’origine de cancers foudroyants quasi inconnus à cette échelle, avant l’ère de ces nouvelles molécules.

 Pourquoi le Gardasil échapperait-il à cette possibilité de modification de l’histoire naturelle du cancer du col de l’utérus ? Pourquoi évacuer cette hypothèse d’emblée ? Malheureusement l’analyse des registres a dors et déjà montré qu’il n’en ait rien[5]

Ainsi, après un rappel scolaire du crédo des études sponsorisées par les marchands des vaccins anti-HPV affirmant qu’on ne peut pas juger du résultat cancérologique avant 10 ans ou 20 ans, les agences vendent la peau du cancer du col avant de l’avoir éradiqué en exhibant des résultats contre l’infection à HPV et les lésions bénignes[6] [7]. INFECTION N’EST PAS CANCER ! Les lésions (anomalies cytologiques vues au microscope) découvertes à l’occasion des frottis du col utérin « CN2 et CN3 » abusivement étiquetées « néoplasies de haut grade » sont des dysplasies totalement bénignes qui régressent le plus souvent toutes seules et ne précèdent un cancer que dans 5% des cas pour les CN2 et dans 12% pour les CN3[8]. Et lorsque le processus de cancérisation naturelle s’enclenche, c’est au terme de longues années durant lesquelles le dépistage par frottis, s’il est réalisé selon les recommandations en vigueur, permet de prévenir le cancer invasif dans l’extrême majorité des cas.

 

Infection et dysplasies(= anomalies des cellules du col utérin) ne sont pas des cancers

Elles ne constituent pas des témoins fiables du risque de cancer sous le vaccin Gardasil. Les critères substitutifs basés sur la réponse aux infections ne remplacent pas les critères cancérologiques proprement dits. Ceux-ci nécessiteraient de longues années pour apprécier la valeur du vaccin pour diminuer possiblement le nombre de cancers du col dans les populations vaccinées.

Or le Gardasil est susceptible de modifier considérablement l’évolution naturelle et remplacer le résultat sur les possibles cancers à long terme (dont on ne disposera que dans de nombreuses décennies) par une efficacité sur les infections est une gageure, un pari. Et s’il aurait fallu de longues années pour affirmer l’efficacité du vaccin, il est malheureusement rapide de démontrer son danger. Comme pour le Titanic, ce fut rapidement démontré qu’il n’était pas insubmersible alors qu’il eût fallu de nombreuses décennies pour affirmer son insubmersibilité. 

 

 Les vaccins peuvent modifier l’histoire des maladies.

Les essais des premiers vaccins anti-sida Phambili puis Step, dans les années 2000, et la catastrophe toute récente du Dengvaxia aux Philippines[9] avec ses milliers de victimes (dont des dizaines de morts) ont cruellement montré qu’une vaccination qui n’a pas été convenablement étudiée avant mise sur le marché peut aggraver la maladie qu’elle était supposée prévenir[10].

Prudemment l’INCa et Santé Publique France reconnaissent qu’« il est attendu que l’efficacité vaccinale en vie réelle soit inférieure à l’efficacité rapportée dans les essais cliniques » et se défaussent par avance, (en cas d’échec) sur « les choix méthodologiques des études et les modalités de la vaccination », choix qu’ils ont pourtant soutenus en ne les dénonçant pas.

Pourtant le problème d’évaluation du Gardasil est simple :

1°) le vaccin a été autorisé et est promu par les autorités sanitaires pour « diminuer le risque de cancer invasif du col de l’utérus  » depuis 13 ans (en 2006).

2°) La couverture vaccinale dépasse 80% chez les anglaises, suédoises et norvégiennes âgées de 20 à 24 ans en 2016 et chez les australiennes âgées de 20 à 34 ans en 2014 qui ont été vaccinées, en autres, lors des campagnes de « rattrapage » incluant les femmes jusqu’à 26 ans.

3°) les registres du cancer permettent une évaluation en temps réel de l’effet de la vaccination sur le risque de ce cancer jusqu’en 2016 (GB[11], Suède[12], Norvège[13]) ou 2014 (Australie[14]).

 

 Fake news des organismes officiels ?

Le plaidoyer de Santé Publique France et l’Institut National du Cancer est entaché de nombreux mensonges dont nous relevons ici quelques exemples.

1°) Les auteurs prétendent que « les augmentations d’incidence de cancer du col de l’utérus dans ces pays se situent au tout début des années 2000, soit en amont de l’introduction des vaccins contre les infections à HPV ».

 Ce qui est faux pour l’Australie pour la population générale et faux en particulier pour les jeunes femmes dont l’incidence de cancer invasif du col utérin (lissée sur trois ans)[15] n’a pas augmenté avant la campagne de vaccination, ni dans le groupe des 20-24 ans (1,4 en 2000 vs 1,3 en 2007), ni pour les 30 34 ans (10,5 en 2000 vs 10.4 en 2007). Dans ces deux groupes témoins, l’incidence de cancer n’a significativement augmenté qu’après la campagne de vaccination. Pourquoi mentir ?

Ce qui est faux aussi pour la Grande Bretagne sur l’ensemble de la population et aussi en particulier pour les jeunes femmes de 20-24 ans dont l’incidence (lissée sur trois ans) n’a pas augmenté avant la campagne de vaccination (3,1 en 2001-2003, 3,2 en 2002-2004, 3,3 en 2003-2005, 3,2 en 2004-2006, 3,3 en 2005-2007, 3 ,1 en 2006-2008) ainsi que le montre ce graphique de Cancer Research UK.

C’est deux ans après le début de la campagne de vaccination que le risque de cancer du col a commencé à augmenter.

Et faux encore pour la Suède ainsi que le montre ce graphique de Nordcan pour les femmes de 20-24 ans : l’augmentation d’incidence (lissée sur 5 ans) des cancers invasifs ne se manifeste significativement qu’à partir de 2009, soit trois ans après la mise sur le marché du vaccin !

Comment les experts des deux agences sanitaires officielles peuvent ils se tromper aussi lourdement et affirmer ainsi des contre-vérités ?

 

2°) Le texte de Santé France et de l’INCa omet de plus les informations cancérologiques les plus récentes : à l’appui de leur plaidoyer vaccinal, Santé Publique France et l’Institut National du cancer (INCa) fournissent les liens des courbes d’incidence de l’ IARC [16] qui s’arrêtent en 2012, alors que l’institut anglais des statistiques et Nordcan fournissent des données qui vont jusqu’en 2016 (dont les courbes mentionnées précédemment) et l’institut australien (ACIM) jusqu’en 2014.

3°) Pour exonérer le vaccin de toute responsabilité, Santé Publique France et l’Institut National du Cancer affirment aussi que les cancers déclarés en 2015 seraient secondaires à une infection antérieure, (ce n’est ni exclu ni certain car personne ne peut le démontrer scientifiquement).

 Mais la seule chose qui compte pour les femmes est de savoir si se faire vacciner en suivant les recommandations des agences sanitaires diminue le risque de souffrir un jour d’un cancer invasif. Or les données des registres officiels montrent que c’est le contraire qui se produit.

En Suède, le Gardasil est utilisé depuis 2006, la vaccination a été généralisée en 2010 et, avec un programme de rattrapage, la quasi-totalité des jeunes filles de 13 à 18 ans sont vaccinées. En 2016, l’âge des vaccinées s’échelonnait entre 18 et 24 ans et le groupe des 20-24 ans représente le groupe témoin le plus pertinent.

Dans ce groupe d’âge l’incidence lissée sur trois ans des cancers invasifs a augmenté de 150%[17] depuis la mise sur le marché du vaccin (de 1.49 pour la période 2006-2008 à 3.73 en pour la période 2014-2016, p<0.001) tandis qu’elle diminuait chez les suédoises de plus de 50 ans, non vaccinées.

 L’apôtre de la vaccination en Suède, Dillner[18] a d’ailleurs reconnu cette augmentation de l’incidence des cancers invasifs depuis la vaccination en l’attribuant à une supposée « baisse de l’efficacité du dépistage classique » alors qu’une telle hypothèse est contraire à toute l’expérience médicale de la littérature. En effet tout examen diagnostique gagne en efficacité et en fiabilité avec le temps. Il aurait plutôt dû conclure à l’accélération du processus de cancérisation depuis la vaccination, seule explication logique à la plus grande fréquence des « cancers de l’intervalle » et d’ailleurs cohérente avec sa suggestion de raccourcir à deux ans l’intervalle entre les dépistages chez les vaccinées.

 

La Grande Bretagne a organisé la vaccination pour les filles de 12 à 13 ans, avec un rattrapage pour les 14-18 ans dès 2008. D’après le Public Health England, la couverture vaccinale complète des filles âgées de 13 à 14 ans à 3 injections atteignait 86.7% en 2013/14[19]. Les filles vaccinées en 2008 atteignaient en 2015 l’âge de 19 à 25 ans La brochure de l’INVS et de l’INCa prétendent que « Les données publiées montrent l’absence d’augmentation de l’incidence du cancer du col de l’utérus pour les femmes de moins de 24,5 ans  ».

 Cette affirmation est mensongère car les chiffres publiés par l’Office national des statistiques anglais, (dont la capture d’écran suit), montrent une augmentation de 38% entre 2006-2008 et 2013-2015 (de 3,1/100000 à 4,3/100000).

 

 

Cette augmentation du risque de cancer a même été reconnue par les avocats anglais de la vaccination [20] qui en attribuent étonnamment la responsabilité à l’avancée de six mois de l’âge du premier dépistage (alors que ce groupe d’âge 20-24 ans n’est pas dépisté !). Comment se fait-il que nos experts français qui citent les conclusions de l’article n’en ait pas analysé le texte en détail ? 

Attendre dix ans ou cinq ans de plus avant de prendre en compte les données indiscutables de ces registres, c’est garantir les gains des entreprises (environ 5 milliards de dollars de chiffre d’affaire mondial annuel pour le vaccin anti-HPV), mais c’est aussi augmenter le nombre des futures victimes.

Appliquons le principe de précaution

C’est maintenant qu’il faut considérer les chiffres inquiétants publiés (des faits avérés et vérifiables par chacun sur les registres officiels disponibles sur internet) pour modifier les recommandations actuelles et conduire des études indépendantes de l’industrie pour élucider ce résultat paradoxal.

Tout au long de leur plaidoyer pour le vaccin, les auteurs de la brochure accusent, à juste titre, les vaccinations tardives d’être responsables d’une augmentation du risque de cancer.

Curieusement ils évitent de mettre en garde contre ces vaccinations de rattrapage et au contraire continuent de conseiller l’élargissement de la vaccination (vaccination de rattrapage autorisée jusqu’à 45 ans ! par la FDA).

Cette nocivité avérée des vaccinations tardives en population réelle aurait dû inciter Santé publique France et l’INCa à remplir leur mission de protection de la santé publique en déconseillant cette vaccination aux jeunes filles déjà contaminées par le HPV (de fait toutes les non vierges) au lieu de faire la promotion marchande tout âge du vaccin.

Cette discordance entre leur explication et leur préconisation est-elle la conséquence d’un oubli, d’une soumission au pouvoir qui veut imposer cette vaccination à tous par la loi ou/et de liens trop étroits de leurs experts avec l’industrie ?

Cette attitude des organismes chargés de notre protection sanitaire, contraire au principe de précaution dès qu’il menace un business rentable de l’industrie rappelle trop celle de l’institut de protection nucléaire après Tchernobyl ou de l’agence du médicament lors des scandales de ces dernières années. La méfiance du peuple en la parole de ses institutions publiques, en partie responsable de la crise actuelle de notre état ne peut qu’en être aggravée.

Nous les prévenons publiquement du danger que fait courir ce vaccin ; plus tard, lorsque le scandale éclatera et que la justice devra l’examiner ils ne pourront pas prétendre « qu’ils ne savaient pas ». Il sera de toute façon trop tard pour les victimes.

 

 

[1] INCa : institut national du cancer : recettes 2016 : 75,8 millions d’€ (dotations de l’État (ministères de la Santé et de la Recherche) 69,4 millions d’€). L’INCa est un GIP groupement privé-public, d’où interférence des intérêts privés dans la gestion du cancer en France et nombreux conflits d’intérêt (assumés par sa directrice de 2011 à 2015, actuelle ministre de la santé qui a prétendu publiquement que les experts sans liens d’intérêt ne sont pas compétents). Nos impôts financent l’agence public-privé !

 http://docteur.nicoledelepine.fr/bureaucratie-mammouth-inca-cancer-liberte-de-soigner-rcp-dermatologie-besancon/

[2] Santé publique France : agence nationale de santé publique. Etablissement public administratif sous tutelle du ministère chargé de la Santé, agence créée par décret n° 2016-523 du 27 avril 2016, fait partie de la loi dite de modernisation du système de santé de Marisol Touraine (loi n°2016-41 du 26 janvier 2016).Budget de près de 200 Millions € , 625 agents. Regroupe trois agences INVS, INPES, EPRUS mais la machine n’a pas dégonflé à l’occasion de la fusion. https://www.santepubliquefrance.fr/Sante-publique-France/Qui-sommes-nous

[3] Notons que sur le document dont nous disposons, aucun signataire précis n’est signalé, donc aucun moyen d’évaluer les liens d’intérêt du rédacteur….

[4] Santé publique France et Institut National contre le Cancer : « Information sur l’efficacité et l’impact des vaccinations contre les infections à HPV à partir des données « en vie réelle » » avril 2019. La brochure ne semble pas disponible sur internet à ce jour.

[5] Hystérie Vaccinale : Gardasil et cancer : un paradoxe. Fauves éditions, N et G Delépine 2018.

[6] Hartwig S, St Guily JL, Dominiak-Felden G, Alemany L, de Sanjose S. : Estimation of the overall burden of cancers, precancerous lesions, and genital warts attributable to 9-valent HPV vaccine types in women and men in Europe. Infect Agent Cancer. 2017 ; 12:19.

[7] Machalek DA, Garland SM, Brotherton JML, Bateson D, McNamee K, Stewart M, et al. : Very Low Prevalence of Vaccine Human Papillomavirus Types Among 18- to 35-Year Old Australian Women 9 Years Following Implementation of Vaccination. J Infect Dis. 2018 ;217(10):1590-600.

[8] Östör, A. : Natural history of cervical intraepithelial neoplasia : a critical review. Int J Gynecol Pathol, 1993. 12 : 186-192.

Dysplasie de haut grade : transformation des deux tiers ou de la totalité du tissu recouvrant le col.

[9] Fatima Arkin Dengue vaccine fiasco leads to criminal charges for researcher in the Philippines Apr. 24, 2019, 3:55 PM.

[10] D AL, Dans L, L MAD, S MAA, G GH : Controversy and debate on dengue vaccine series-paper 1 : review of a licensed dengue vaccine : inappropriate subgroup analyses and selective reporting may cause harm in mass vaccination programs. J Clin Epidemiol. 2018 Mar ; 95:137-139.

[15] Lorsque les effectifs bruts sont faibles, les incidences annuelles peuvent varier fortement d’une année sur l’autre ; pour atténuer ce bruit parasite il convient d’utiliser les moyennes sur plusieurs années ; l’inconvénient est de réduire un peu la période temporelle analysable. Dans le cas précis l’utilisation des valeurs moyennes sur 3 ans (ce qui s’appelle lisser les courbes) assure une plus grande fiabilité aux données mais tout en intégrant les données de 2016 fait perdre un an pour les calculs de probabilité.

[16] International Agency for Research on Cancer (+ CIRC centre international de recherche sur le cancer) créée en 1965 par l’OMS, siège à Lyon.

[18] Joakim dillner, Sparén, b andrae, ö b Strander, Livmoderhalscancer ökar hos kvinnor med normalt cellprov Läkartidningen. 2018 ;115:E9FD, texte en suédois.

[19] Public Health England Human Papillomavirus (HPV) vaccination coverage in adolescent females in England : 7

[20] Alejandra Castanon, Peter Sasienia : Is the recent increase in cervical cancer in women aged 20–24 years in England a cause for concern ? Preventive Medicine Volume 107, February 2018, Pages 21-28 https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0091743517304802?via%3Dihub

 

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36 réactions à cet article    


  • sls0 sls0 30 avril 2019 21:08

    Ce n’est pas le genre de vaccin que j’approuve car il me fait douter.

    J’ai relevé la phrase suivante :montrent une augmentation de 38% entre 2006-2008 et 2013-2015 (de 3,1/100000 à 4,3/100000).

    On passe de 0,00031% à 0,00043%, ça fait une augmentation de 0,00012% ce qui est déjà moins sexy. Il y a bien une augmentation relative entre les chiffres de 38% mais ça ne fait que 0,00012% d’augmentation de cas.

    Pouvez vous prouver que cette augmentation n’est pas due à une amélioration du dépistage ?

    Oui j’ai des doutes non étayés et ce n’est pas vos arguments qui étayent.

    L’OMS a déjà un sacré retour d’expérience, mes doutes commencent à se lever.

    https://www.who.int/vaccine_safety/committee/topics/hpv/June_2017/fr/

      Lire les 6 réponses ▼ (de sls0, njama, Hannibal42, undefined)

    • hgo04 hgo04 30 avril 2019 21:52

      Moi je suis abasourdi par l’homme, l’humain, cet animal se trouvant tout en haut de l’échelle...

      Ils vivent dans la confusion la plus totale, confusion établie maintenue et amplifiée par un phénomène tout simple : ils n’ont plus envie de réfléchir de se poser des questions, de trouver tout toujours plus compliqué, de ne plus avoir confiance en soi, de systématiquement s’en remettre aux autres. DE GAULLE disait que les français étaient des veaux, moi je dis, mais je me répètes, ils sont devenus idiots, imbéciles, dieu sait jusqu’à quel point.

      Je ne suis docteur en rien, mais nous n’avons pas à faire à des docteurs, nous avons à faire à des INDUSTRIELS !!!

      Les industries du médicaments sont en premier lieux DES INDUSTRIES !! ils sont la pour inventer ou réinventer un produit à vendre. Leur but c’est le commerce pas votre santé !!

      Pour eux je suis à maudire !!! rarement malade (4 ans que ma carte vitale n’a pas été remise à jour et encore, je l’ai fait au cas où...), pas de cancer, pas de maladies auto-immunes, rien nada, que dalle... un tout petit peu de cholesterol, et le médecin voulait à tous prix me créer un besoin dans cette merde de médoc jamais étudié indépendamment, avec de gros effets secondaires.. 

      Ho de temps à autre un rhum, un état grippal, une grippe peut etre !!!

      Mais je me demande ce qui en serait si je me gavais de médocs industriels fournis par des industriels aux profits des industriels !!! au premier petit bobo ! Je ne rejette pas les médocs, les rares fois où j’en prends (aspirine ou apparenté) ils me font effet car justement j’en prends peu !

      Faites comme vous voulez, mais arretez de porter aux cieux les industriels des médicaments... Ils ne sont ni vos amis, ni votre médecin.. ce sont vos dealers !!!

      On attend toujours l’hécatombe, les monceaux de cadavres annoncés par la ministre de la santé de l’époque, pour la vaccination contre la grippe... Ils sont ou les cadavres, ???

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      • Le Comtois 1er mai 2019 16:27

        @hgo04
        bien d’accord avec vous, c’est surtout une histoire de gros sous


      • njama njama 1er mai 2019 09:36

        Le Gardasil n’est pas un vaccin contre le cancer du col de l’utérus, mais un vaccin contre « certaines » infections HPV.

        Le lien de causalité entre infections HPV et cancer du col de l’utérus n’a jamais été démontré.

        INFECTION N’EST PAS CANCER



        • njama njama 1er mai 2019 10:06

          Vanessa Boy-Landry nous délivre une fois de plus un article fort bien documenté !
          Vaccins anti-HPV :15 médecins dénoncent les risques des conflits d’intérêts
          Paris Match | le 30/04/2019
          Quinze professionnels de santé s’opposent à la récente campagne en faveur de la vaccination des filles et des garçons contre le papillomavirus. Dénonçant l’influence de l’industrie pharmaceutique sur la promotion des vaccins anti-HPV, ils appellent les pouvoirs publics à y résister et demandent un moratoire.
          [......] Au contraire de l’« appel des 50 », des médecins et pharmaciens s’opposent à la généralisation de la vaccination contre le papillomavirus et considèrent qu’un moratoire sur ces vaccins « est nécessaire ». Tous très attachés à leur indépendance de l’industrie pharmaceutique, ces 15 professionnels de la santé signent un droit de réponse solidement documenté selon lequel des « incertitudes majeures pèsent sur l’efficacité et la sécurité » des vaccins anti-HPV.

          ...« On est dans la pensée magique d’un produit révolutionnaire qui ne l’est pas », réagit le Dr Armel Sevestre, à Rennes.
          ... le Dr de Chazournes ne comprend pas. « Pourquoi un vaccin alors que le cancer du col n’est pas un problème de santé publique ? ». « Ce n’est pas un vaccin contre le cancer du col de l’utérus, mais un vaccin contre certains virus HPV en rapport avec ce cancer », rappelle le médecin.

          [.......] Lire l’article : https://www.parismatch.com/Actu/Sante/Vaccins-anti-HPV-15-medecins-denoncent-les-risques-des-conflits-d-interets-1621133

          Lire la suite ▼

          • njama njama 1er mai 2019 10:19

            Bénéfices
            « Si le vaccin a une efficacité de 30%, il faudra vacciner 100 000 femmes pour sauver une vie par an »
            Risques
            Si les 400 000 filles concernées choisissaient d’être vaccinées, « il y aurait chaque année 4 à 8 jeunes filles de plus atteintes de syndrome de Guillain-Barré du fait du vaccin, avec une mort tous les 2 ans à 3 ans. Chaque année, 1 ou 2 femmes resteraient handicapées de façon durable. »


          • njama njama 1er mai 2019 15:45

            Projet de vaccination universelle contre le papillomavirus (HPV)
            Nous, médecins et pharmaciens indépendants de l’industrie pharmaceutique dénonçons l’« appel des 50 » au nom de l’intégrité et de la raison,
            ...dénonçons le non-respect de la loi par les signataires de cet appel et nous opposons à la généralisation de ces vaccins en raison des incertitudes majeures qui pèsent sur leur rapport bénéfice-risque et coût-efficacité.
            Sommaire
            I- Un « appel des 50 » ne respectant pas l’obligation de déclaration des liens et conflits d’intérêt
            II- Le développement des vaccins contre le HPV est marqué par l’omniprésence des conflits d’intérêts
            III- L’efficacité du Gardasil® pour réduire l’incidence du cancer du col de l’utérus n’a jamais été démontrée
            IV- Un « appel des 50 » qui utilise des artifices de communication propres au marketing et dont la rigueur scientifique est absente
            V- Des incertitudes sur la sécurité des vaccins quadrivalents et nonavalents Gardasil® et Gardasil 9®
            CONCLUSION
            [...]Pour tous ces motifs, non exhaustifs, et en raison des très fortes incertitudes qui persistent sur ce vaccin, au contraire des signataires de l’« appel des 50 », nous, médecins et pharmaciens indépendants de l’industrie pharmaceutique, considérons qu’un moratoire sur ces vaccins est nécessaire.

            https://drive.google.com/file/d/1ElydjHmNaQ2MwL6ZMlBGzhHb3i7m5Jum/view

            Lire la suite ▼

          • sls0 sls0 3 mai 2019 03:59

            @njama
            J’ai essayé de voir l’argumentaire des 15 via votre lien, je n’ai qu’une page. Idem via le site de parismatch.
            J’ai essayé via google, même problème.
            En téléchargant j’ai un élément de plus le nombre de pages, 14. Mais il n’y a toujours que la première page de visible.
            Comme disait Euclide : ce qui est affirmé sans preuve peut être nié sans preuve. Surtout quand c’est affirmé par parismatch.
            15 contre 50 quand même.
            15 personnes sur 74000 pharmaciens et 226000 médecins, on est loin d’un avis majoritaire. 0,001%.


          • Eric F Eric F 1er mai 2019 10:57

            On est ici dans le cas d’une campagne massive en prévention d’un risque infime. Donc les effets de bord néfastes de cette campagne peuvent dépasser le gain escompté.

            Par ailleurs, des statistiques portant parfois sur un nombre de cas se comptant sur les doigts de la main sont extrêmement controversables, la marge d’incertitude sur les chiffres dépassent souvent la variation constatée (taux et efficacité des contrôles notamment). 


            • njama njama 1er mai 2019 14:59

              @delepine

              « Information sur l’efficacité et l’impact des vaccinations contre les infections à HPV à partir des données « en vie réelle » » avril 2019. La brochure ne semble pas disponible sur internet à ce jour.

              sauf erreur ce Rapport peut-être (?)

              http://espacecancer.sante-ra.fr/Ressources/Documents/Information_HPV_VF.pdf


              • sls0 sls0 3 mai 2019 04:19

                @njama
                Il faudrait lire le rapport avant de le mettre en lien.
                Quand on le lit on ne peut être que pro vaccin anti HPV.
                En essai clinique du 100% dans ce rapport, on test sur des personnes non primo infectées, on contrôle avant.
                En vie réelle c’est une vaccination sur du tout venant dont des primo infectés, normale que ce ne soit pas 100%. C’est un vaccin et non un sérum.
                Allez donc vacciner une vieille pute au bois de Boulogne, vous serez très loin des 100%.


              • njama njama 2 mai 2019 09:15

                Courageusement le site  ?Dr pourquoi docteur Comprendre pour agir publie un article sur l’appel de ces 15 médecins, ce droit de réponse à « l’appel des 50 » :

                « HPV : 15 médecins s’opposent à la généralisation de la vaccination »

                en concluant « Pour rappel, il y a chaque année environ 3 000 nouveaux cas de cancer du col de l’utérus et 1 100 décès. C’est le 12e cancer féminin le plus fréquent. »
                ce qui laisserait penser que le document n’a pas été vraiment lu par la journaliste.

                Ces chiffres de 3 000 nouveaux cas de cancer du col et de + ou 1 000 décès/an en France qui donnent un peu d’épaisseur à la question de santé publique sont largement relayés dans la presse qui reprend sans doute docilement les données de l’INCa et de Santé Publique France sans jamais que ne soit précisé qu’ils ont été fournis ... par le fabricant MSD ainsi que par une société de Consulting !


                • sls0 sls0 3 mai 2019 04:38

                  @njama
                  L’auteure de l’article sur pourquoi docteur c’est Mégane Fleury journaliste gastronomique. Ouais pourquoi pas ?
                  Le lien vers l’appel des 50 ne fonctionne pas non plus via ce site.


                • njama njama 3 mai 2019 08:32

                  @sls0

                  les liens hypertexte ne fonctionnent pas parfois depuis ou sur certains sites, parfois depuis des iPad ou iPhone/Androïd aussi...
                  si ceux-là ne marchent pas on ne peut plus rien pour vous

                  L’« appel des 50 » https://sf2h.net/wp-content/uploads/2019/03/Communiqu%C3%A9-HPV-2019.03.25.pdf

                  Droit de réponse à l’« appel des 50 » https://drive.google.com/file/d/1ElydjHmNaQ2MwL6ZMlBGzhHb3i7m5Jum/view


                • sls0 sls0 3 mai 2019 20:43

                  @njama
                  C’est pas plus mal que je vois l’appel des 50 en dernier.
                  Après sa lecture j’aurais peut être lu d’une manière moins approfondie vos arguments.
                  Il y a un lien vers le site de déclaration d’intérêt donc l’appel est dans la légalité. Mais il peut avoir parmi les 50 des personnes qui n’ont pas déclaré sérieusement, si ne c’est pas majoritaire ça n’enlève rien à la légalité de l’appel. Il y a un conseil de l’ordre pour enquêter sur des fraudes éventuelles.
                  Sans rentrer dans le détail c’est un peu ce que dit l’OMS.
                  Dans la liste des signataires c’est plus du professeur que du médecin généraliste, du colloque et du contact avec l’industrie pharmaceutique est de l’ordre du normal. Un évêque risque plus d’avoir un contact avec le pape qu’un curé de campagne, une histoire de position fonctionnelle.
                  A l’époque où je bossais j’avais beaucoup plus de contacts voir de repas d’affaire qu’un magasinier à l’outillage. Une histoire de position fonctionnelle. Si moi j’étais connu pour refuser tout cadeau, je ne trouvais rien à dire pour les cadeaux au magasinier.
                  Caméras thermiques, théodolites, analyseurs, enregistreurs 32 voies, ect, il n’y avait pas que le clé de 10 en gestion le magasinier.
                  Il y a bien 10 jours à Kobe au Japon, mais il y avait aucun liens commerciaux avec mon entreprise. Un cadeau pour service technique rendu, pas d’hisoire de fric ou d’influence. 
                  Les gens un peu pourris pensent que tous sont comme eux, il y a aussi le renvoi d’ascenceur institutionnalisé à l’ENA qui pourrait faire croire au tous pourris. J’ai connu du non pourri, difficile pour moi le tous pourris.

                  Lire la suite ▼

                • njama njama 2 mai 2019 09:16

                  (suite) on peut lire dans le droit de réponse pages 3 & 4  :

                  « Il faut savoir qu’il n’existait pas jusqu’à présent de suivi épidémiologique régulier des cancers de la vulve, du vagin et du pénis en France, car on estimait que le nombre de cas était trop faible pour justifier d’un tel suivi. Ces estimations n’ont été intégrées qu’en 2018. Mais les estimations citées dansl’« appel des 50 » sont tirées d’une étude conçue et financée par MSD [8], fabricant du Gardasil® et avec la participation de plusieurs de ses employés et de la société de conseil Stève Consulting (c). »

                  [8] Abramowitz L, et al. (2018) Epidemiological and economic burden of potentially HPV-related cancers in France. PLoSONE 13(9) : e0202564.

                  Funding : The study was supported by MSD Vaccins. ...

                  "Competing interests : The study was supported and funded by MSD Vaccins. André Dahlab, Xavier Bresse and Mathieu Uhart are former employees of MSD Vaccins. MSD Vaccins is the market authorization holder of Gardasil®, Human papillomavirus 9-valent vaccine, recombinant. Charlotte Cancalon, Laura Catella and Stève Bénard are employees of stève consultants. As a private pharmaceutical industry, MSD Vaccins is not allowed to access French hospital information from the PMSI database ; it has to contract with consultant firms such as stève consultants that comply with the criteria of confidentiality, expertise and independence defined by ministerial order (July 17, 2017).


                  • njama njama 2 mai 2019 09:22

                    (suite et fin) Note page 11/14 du PDF

                    c - Stève consulting est une société lyonnaise spécialisée dans la conception d’études destinées à faciliter l’accès des médicaments aux marchés dont les clients sont les laboratoires pharmaceutiques.
                    Stève consulting s’est déjà illustrée en fournissant à plusieurs Etats européens des modélisations médico-économiques favorables au vaccin quadrivalent. Il en a été ainsi de l’Allemagne, de la Belgique, de la Grande-Bretagne, et de l’Italie. Il n’y a eu, à cette époque, que deux modélisations médico-économiques indépendantes, la modélisation française et la modélisation faite en Autriche à la demande de la ministre de la Santé, qui concluait qu’avec un vaccin efficace à 100% et une protection à vie en vaccinant toutes les filles de 12 ans, il aurait fallu attendre 52 ans pour observer une réduction de 10% du nombre de cas.

                      Lire les 5 réponses ▼ (de sls0, njama)

                    • njama njama 3 mai 2019 09:17

                      3 000 nouveaux cas de cancer du col et de + ou — 1 000 décès/an en France, ces chiffres ne sont pas des données épidémiologiques mais des « estimations » tirées d’une étude conçue et financée par MSD [8], fabricant du Gardasil® et avec la participation de plusieurs de ses employés et de la société de conseil Stève Consulting (c).

                      Le vaccin contre le papillomavirus est-il un réel problème de santé publique ? that is the question ! sachant que « par an, il naît un peu plus de 400 000 filles susceptibles d’être la cible de ce vaccin », et que la protection contre le cancer du col de l’utérus concernerait au final seulement 144 femmes !

                      On apprend que dans 3 études réalisées à Reims, Amiens et Besançon le portage d’HPV à haut risque concerne 14 à 15 % de la population soit 60 000 femmes (page 2).

                      Parmi ces dernières 2 à 3 % sont porteuses des HPV 16 et 18 prédisposant au cancer du col et présents dans ce vaccin (page 2), soit 1 800 femmes (page 2).

                      Dans 90 % des cas, ces virus s’éliminent naturellement dans l’année il ne reste donc que 180 femmes concernées (page 2).

                      Elles ne seront protégées que contre 70 % des virus à haut risque soit 144 femmes.

                      On pourrait courir le risque de vacciner 400 000 personnes pour en protéger 144 si ce vaccin n’avait pas d’effets indésirables,...

                      (citations et chiffres indiqués dans cet article de 2007 publié ici par LNPV sur AV analyse argumentée par l’auteur à partir des chiffres publiés dans la plaquette du Quotidien de médecin diffusée après que ce vaccin a obtenu le prix « Galien ».)

                      Lire la suite ▼

                      • sls0 sls0 3 mai 2019 21:29

                        @njama
                        Je viens de me taper le quotidien du médecin
                        Pourquoi ? LNPV dans son acticle ne met pas de lien. Comme il écrit que son analyse a été publiée dans le quotidien du médecin j’y suis allé voir. Nada, rien, un menteur. Et vous voulez que l’on croit sur parole un menteur dont vous reproduisez une partie de l’article dans votre commentaire ?
                        Bien vos liens, parismatch, un article d’une journaliste gastronomique, un article fallacieux sur agoravox.
                        Pas franchement solides vos sources. Sur un tel thème, un article paru dans science ou nature avec pair review et suivi de discussion serait le bien venu.
                        Jusqu’à maintenant aucun argument scientifique sérieux pour appuyer vos dires.
                        Coté OMS, c’est plus solide, il y a même de la méta analyse, c’est du solide coté parution, j’ai regardé les indice factor, c’est du sérieux.


                      • troletbuse troletbuse 3 mai 2019 22:55

                        @sls0
                        Et dans wikipedia, qu’est-ce qu’ils en disent ?


                      • njama njama 5 mai 2019 11:24

                        @sls0 réponse à 3 mai 21:29

                        LNPV dans son acticle ne met pas de lien. Comme il écrit que son analyse a été publiée dans le quotidien du médecin j’y suis allé voir. Nada, rien, un menteur.

                        Votre réaction est un vulgaire coup bas, une attaque ad hominem assez grossière parce que vous n’avez pas trouvé ! Croyez-vous que Jean-Marie Mora Président de la Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations aurait pris le risque d’exposer juridiquement l’Association en trafiquant des chiffres publiés dans Le Quotidien du médecin  ?

                        Une simple recherche Google nous dirige vers la publication de la LNPLV : bulletin 32 pages 10-07 - Ligue Nationale Pour la Liberté des ... Dépôt légal octobre 2007 ISSN 1777-3262

                        http://www.infovaccin.fr/tzr/scripts-admin/downloader2.php?filename=T004/fichier/d9/f0/4cktxublcag8&mime=application/pdf&originalname=2007_10.pdf.

                        Voilà le GARDASIL® vaccin proposé pour prévenir le cancer du col ... “Quotidien de médecin” diffusée après ... sées à Reims, Amiens et Besançon le portage ...

                        (je cite) en page 2 L’Edito « Le mot du président » :
                        Les experts chargés de conseiller les services de santé pour la mise sur le marché de tel ou tel médicament sont presque tous salariés des laboratoires fabricants (pour le GARDASIL® les deux experts John Bosnego et Alan Show étaient des biologistes employés par le laboratoire fabricant le vaccin).
                        [...]
                        Voici mon analyse argumentée avec les chiffres publiés dans la plaquette du “Quotidien de médecin” diffusée après que ce vaccin ait obtenu le prix “Galien” [en 2007].
                        Je donnerai à chaque fois la page ou vous pouvez retrouver cet argument dans le fascicule du prix “Galien”.
                        Pour cerner le sujet nous allons nous intéresser à une année de naissance des filles, on aurait pu prendre une génération, mais les pourcentages étant les mêmes j’ai fait le choix d’une année de naissance.
                        • Par an il naît un peu plus de 400 000 filles susceptibles d’être la cible de ce vaccin.
                        • On apprend que dans 3 études réalisées à Reims, Amiens et Besançon le portage d’HPV à haut risque concerne 14 à 15% de la population soit 60 000 femmes (page 2).
                        • Parmi ces dernières, 2 à 3 % sont porteuses des HPV 16 et 18 prédisposant au cancer du col et présents dans ce vaccin (page 2) soit 1 800 femmes.
                        • Dans 90 % des cas, ces virus s’éliminent naturellement dans l’année (page 2) il ne reste donc que 180 femmes concernées
                        • Elles ne seront protégées que contre 70% des virus à haut risque soit 144 femmes (page 2)
                        • “Pour espérer faire reculer le cancer du col il faut s’appuyer sur la synergie entre vaccin et dépistage” (page 2) qui est indispensable.
                        Il ne faut pas bien sûr oublier ces 144 femmes concernées et on pourrait imaginer un dépistage offert à l’âge de 15/20 ans à toutes les femmes, comme c’est fait pour les mammographies à un âge plus avancé.

                        On pourrait courir le risque de vacciner 400 000 personnes pour en protéger 144 si ce vaccin n’avait pas d’effets indésirables, mais le VAERS aux Etats-Unis vient de publier une information (visible sur son site) sur les effets indésirables dus à ce vaccin. Le VAERS qui a toujours précisé que seul 1% des effets indésirables lui étaient communiqués. Quels sont ces chiffres :
                        5 décès (donc dans la réalité 500) et 3 000 effets indésirables (donc 300 000) qui sont des paralysies, des syndromes de Guillain Barré, des crises d’épilepsie, des attaques cardiaques, des fausses couches.

                        Par ailleurs les résultats des essais concernent la présence d’anticorps et non l’absence de cancer, il faudrait pour cela avoir un recul d’au moins 20 à 30 ans, or pour ce vaccin nous n’avons aujourd’hui que six ans de recul. Dans le “Guardian mai 2007” on peut lire “nous sommes des cobayes avec ces campagnes de vaccinations à grande échelle".

                        Le but du laboratoire est il de protéger les femmes ? N’est-il pas seulement de remplacer les pertes financières dues au retrait du VIOXX® ? On peut se poser la question.

                        Lire la suite ▼

                        • njama njama 5 mai 2019 12:32

                          @sls0 réponse à 3 mai 21:29
                          Coté OMS, c’est plus solide, il y a même de la méta analyse, c’est du solide

                          L’OMS l’a dit !
                          L’OMS a dit que... argument d’autorité d’une enseigne internationale dont les quelques 190 pays membres se sont engagés à suivre les « recommandations »...

                          Recommandation ne vaut pas prescription médicale, ni que les patients y consentiraient, ni forcément vérité !

                          L’OMS écrit :« Pratiquement tous les cas de cancer du col (99%) sont liés à une infection à HPV ». https://www.who.int/bulletin/volumes/89/9/11-030911/fr/

                          Vérité ? cela ne se pourrait lorsque on sait que les HPV sont absents de nombreuses lésions cervicales.

                          L’Institut Pasteur ne mouille pas à ce point sa culotte 

                          A ce jour, les chercheurs ont identifié une douzaine de papillomavirus humains (HPV) à l’origine du cancer du col de l’utérus, premier cancer à avoir été reconnu par l’OMS comme étant attribuable dans tous les cas à une infection virale.

                          « attribuable » = Qu’il faut attribuer à, qui doit ou peut être attribué à...

                          place au doute tout de même !


                          • njama njama 5 mai 2019 12:41

                             Mexican scientist cures the Human Papilloma Virus

                            « She [Eva Ramon Gallegos, a researcher from Mexicon National Polythecnic Institut (IPN)] also explained that besides eradicating HPV, the main cause béhind cervical cancer, photodynamic thérapy is also used to eliminate premalignant lesions of cervical cancer in its first satges. The results of her investigations show that she was able to eradicate HPV in 100 % of the patients who had the virus but had no premalignant lesions, 64,3 % in women with HPV and lesions, and 57,2 % in women who had lesions but don’t have HPV »

                            une bonne moitié des femmes (57,2 %) qui ont des lésions cervicales n’ont pas de HPV... même si l’échantillon est faible il est suffisant pour dire contredire l’affirmation de l’OMS !
                            l’article source en espagnol :
                            « Los resultados de los estudiados de Eva Ramón Gallegos arrojó los siguientes resultados : se logró eliminar el VPH en el 100% de las pacientes que lo portaban sin tener lesiones pre malignas, 64,3 por ciento en las mujeres con VPH y lesiones, y el 57,2 por ciento en quienes presentaban lesiones sin VPH. »

                            (trad) : « Les résultats des études d’Eva Ramón Gallegos ont donné les résultats suivants : il a été possible d’éliminer le HPV chez 100 % des patients qui le portaient sans lésions pré-malignes (ou précancéreuses), 64,3% chez les femmes atteintes de HPV et de lésions, et 57,2% chez celles qui présentaient des lésions sans HPV ».

                            Lire la suite ▼

                          • njama njama 5 mai 2019 12:54

                            @sls0

                            Les infections HPV ne seraient que des co-facteurs que l’on retrouve que dans un certain nombre de cancers cervicaux, l’imposture intellectuelle est manifestement de prétendre qu’elles en seraient la cause... à 99 % selon l’OMS.

                            En restant dans le petit monde des virus et de l’histoire de la médecine il y a eu un précédent assez analogue avec le VIH à ce genre de boniment statistique 

                            " Si le VIH est la cause du SIDA, pourquoi des milliers de victimes du SIDA n’ont-elles jamais été infectées par le VIH ? Le courant scientifique dominant a éludé cela. Pourquoi des centaines de milliers de personnes ayant été, depuis de nombreuses années, infectées par le VIH, sont-elles demeurées en parfaite santé ? " Dr Peter Duesberg  :


                            propos que l’on pourrait pasticher en :

                            " Si le HPV est la cause du cancer du col de l’utérus , pourquoi des milliers de victimes de cancers cervicaux n’ont-elles jamais été infectées par le HPV ? Le courant scientifique dominant a éludé cela. Pourquoi des centaines de milliers de personnes ayant été, depuis de nombreuses années, infectées par le HPV, sont-elles demeurées en parfaite santé ? "

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