Cela dit, la bête du Gévaudan a raison dans ses propos. C’est ce que l’on appelle la liberté de penser.
Je crois que ce combat pour l’avortement est dépassé. C’est dans les moeurs, point final.
Il y a peut-être aussi des hommes qui sont contre le droit de vote des femmes. On ne va pas remonter à Jeanne d’Arc.
Cette excitation a un but, détourner l’attention des questions actuelles.
Fergus. Analyse très intéressante. Pour ce qui est du fond lde l’affaire, je persiste au nom de tout ceux qui peinent à boucler les fins de mois, voire les débuts et qui sont victimes de ce racket.
Ensuite, pour une condamnation pénale, il faut un dépôt de plainte et le juge ne s’appuie jamais uniquement sur le texte. Il faut démontrer l’infraction à la loi d’une manière argumentée, ensuite démontrer l’intention de nuire et enfin le préjudice. Si vous partez au tribunal, le Dalloz à la main, vous risquez simplement de vous prendre une « dénonciation calomnieuse » si vous perdez.
De plus, il ne faut jamais laisser penser à votre adversaire que vous allez porter plainte.
Enfin, contrairement à ce qui est exposé, je n’ai jamais mis mon site en avant ni citer son objet. J’ai juste cité un livre à l’appui d’une citation. Selon votre raisonnement, si je cite la bible, c’est de la publicité.
Je pensais qu’Agoravox, que je fréquentais il y a 7 ans, est d’un niveau plus élevé. De mon côté, tout ce que j’écris est tiré soit d’un dossier que je traite, soit d’un procès en cours, soit d’une expérience vécue que je peux prouver.
Au lieu de ça, des personnes qui se cachent derrière leur anonymat se permettent de tenir des propos niveau café du commerce en s’appuyant sur leur propre interprétation,
Je quitte donc définitivement ce forum d’anonymes car je n’y apprends rien.
La différence entre pag et moi, c’est que je n’ai pas de pseudo, c’est mon vrai nom et ma photo au lieu de baies rouges. En regardant google, on y trouve très facilement mon adresse. Quand je parle, j’assume. Je ne suis pas comme ces trouillards qui sont terrorisés à l’idée d’être reconnus, qui veulent lancer le peu d’idées tout en restant anonyme. Ces gens, je les plains. Ils vivront toujours dans l’anonymat. Quant au site « les éditions Luthenay » il travaille avec des bénévoles, des gens qui aident les autres dans une démarche d’écriture thérapeutique. Nous intervenons notamment conjointement avec des cliniques. Eh oui, il y a d’autre moyen d’être utile au autres que d’aboyer comme un petit roquet auprès de ceux qui agissent pour la communauté nécessiteuse. L’anonymat, qu’est-ce que c’est courageux et admirable. Juste bon à écrire des obsénités sur les murs d’obscures toilettes publiques dans sa petite sous préfecture. La prochaine fois que vous voulez mettre un commentaire, indiquez votre nom, prénom et téléphone avec une vraie photo.
La différence entre pag et moi, c’est que je n’ai pas de pseudo, c’est mon vrai nom et ma photo au lieu de baies rouges. En regardant google, on y trouve très facilement mon adresse. Quand je parle, j’assume. Je ne suis pas comme ces trouillards qui sont terrorisés à l’idée d’être reconnus, qui veulent lancer le peu d’idées tout en restant anonyme. Ces gens, je les plains. Ils vivront toujours dans l’anonymat. Quant au site « les éditions Luthenay » il travaille avec des bénévoles, des gens qui aident les autres dans une démarche d’écriture thérapeutique. Nous intervenons notamment conjointement avec des cliniques. Eh oui, il y a d’autre moyen d’être utile au autres que d’aboyer comme un petit roquet auprès de ceux qui agissent pour la communauté nécessiteuse. L’anonymat, qu’est-ce que c’est courageux et admirable. Juste bon à écrire des obsénités sur les murs d’obscures toilettes publiques dans sa petite sous préfecture. La prochaine fois que vous voulez mettre un commentaire, indiquez votre nom, prénom et téléphone avec une vraie photo.
Effectivement, après la parution de mon livre en 2010 (le livre noir de la banque) où j’insistais lourdement sur ce point, les banques, à partir de 2012 ont rajouté dans la convention, les fait que la banque débitera directement les frais.
Ceci a été contesté au tribunal comme clause abusive et abus de position dominante. En effet, le client est privé de sa liberté et faculté d’examiner les factures avant d’en ordonner le paiement.
Si la banque paye la créance, ce sont des commissions d’intervention, et il y en a pour environ 8€. Le compte serait alors débité de 10+8 soit 18€.
Si la banque refuse de payer l’écriture, alors ce sont des frais de refus, environ 15€.
Une autre bizarerie que j’ai bien développé dans un précédent livre « Le livre noir de la banque ». La banque facture 15€. Admettons. Mais, selon le code du commerce, elle doit vous présenter cette facture de 15€ payable par « tous moyens à votre convenance ».. Au lieu de ça, elle se sert sur votre compte.
C’est comme si votre coiffeur, après vous avoir coiffé, va fouiller dans votre veste et se servir lui même. Ce serait anormal. Pourtant la banque le fait.
Oui, le client est en tort, le compte doit présenter un solde suffisant et disponible. La banque qui refuse est dans son droit.
Mais pourquoi accorde-t-elle un découvert de 15€ pour payer sa facture de frais ?
Une banque n’a aucune obligation d’accorder un crédit à son client.
Rendre un compte débiteur, c’est accorder un crédit.
Un prélèvement se présente de 10€ en l’absence de provision.
La banque le refuse, et c’est tout à fait son droit.
Conformément à la convention de compte signée et acceptée, une facture de 15€ est émise par la banque.
Conformément aux dispositions du contrat initial, cette facture de 15€ se présente sur le compte toujours non approvisionné.
La banque choisi d’accorder un découvert ponctuel de 15€
Cet accord de découvert permet à la facture d’être payée.
La banque est toujours dans son droit.
Les juges considère ceci comme une discrimination. La banque favocise un créancier (elle-même) au détriment d’un autre créantier (l’émetteur du prélèvement de 10€)
Ce raisonnement,, personne ne le comprend et sûrement pas les banquiers.
Heureusement que les juges le compennent très bien et jugent souvent la banque pour « abus de position dominante ».
Je les aime bien le juges...
@V_Parlier Oui, j’ai payé 190€ car je n’étais pas à la bonne place. C’était dans le tgv le 19 novembre 2023 entre Metz et Paris. L’agent était immatriculé 11645. Il a fait le constat que le billet était en règle mais que la place ne correspondait pas à la réservation. Il a effectué un contrôle d’identité en exigeant ma carte d’identité. Et à ceux qui excuseraient son comportement en le qualifiant d’exceptionnel, trois autres contrôleurs étaient témoins ainsi que toutes les instances.
Il était aussi innocent que les conducteurs de locomotives qui emmenaient leur chargement en Pologne durant la seconde guerre mondiale.
@Jules Seyes Bravo, je suis d’accord. Un non coupable, c’est un homme politique par exemple quoi qu’il fasse.
Pour tenir le peuple, il faut le culpabiliser en permanence pour qu’il vive dans le stress. Tout ce que fera ou dira l’hommr de la rue sera tout juste toléré.
C’est pour cela que la France est le pays de la... tolérance.
@Fergus
C’est pas faux.
Quand la rumeur accuse tous les banquier de malhonneteté, mon réflexe n’est pas d’accuser la rumeur, mais de rechercher les brebis galeuses pour une grande fête de l’Aïr
@lecoindubonsens
1°) Sans connaître au centime près les salaires, les dirigeants, notamment des deux principales fédérations, sont comparables aux salaires dans l’industrie automobile.
2°) Je n’ai pas le chiffre exact des licenciements pour insuffisance de travail, mais le principe est plutôt de la « placardisation ». L’individu se retrouve sans bureau, sans objectif, sans mission, sans titre. Ils tiennent en moyenne six mois.
3°) Il y a trois procès en cours, au pénal, qui devraient aboutir à ce résultat. L’accusation est : « pratiques commerciales trompeuses ». Nous recevons actuellement les clients qui se portent partie civile. (Tribunaux de Chartres, Montbéliard et Laon). Bien entendu, je ne peux pas en dire plus.
@Gérard Faure-Kapper
La jeune femme qui rentre chez elle le soir et qui se fait agresser devrait être rassurée, SELON une étude, l’immense majorité des femmes rentrent chez elles sans aucun problème.
L’employé de banque qui place un « produit » quelconque ne touche pas de commission. Par contre, s’il ne place rien, il aura des problèmes.
Il est vrai que je suis archi détesté par toutes ces professions que je stigmatise parce qu’elles rendent la vie des français difficile et stressante.
Et ce sera ainsi jusqu’à l’heure dernière.
Losque j’étais en active, il m’arrivait de rejeter des chèques, mais pas dans ces circonstances.
Lorsque j’avais le cas, je prenais mon téléphone et je rencontrais le client. Nous étudions ensemble ses comptes et trouvions une solution.
Ce n’est pas le cas de beaucoup de directeur qui trouvent plus simple de « retoquer » sans explication.
La direction était d’accord avec mes méthodes qui évitaient des contentieux coûteux. De plus, j’avais la fonction de formateur pour expliquer ces méthodes aux commerciaux, avec la bénédiction de la direction.
Quant au livre « les commissions d’intervention » il a été envoyé gratuitement aux principales banques et aussi à des avocats et même des juges.
Si vous voulez, je vous envoie un exemplaire gratuitement. Vous pourrez me faire de la « publicité ».
Pour information, l’association « Les éditions Luthenay » est composée de bénévoles et s’est spécialisée dans l’écriture thérapeutique.
Il suffit de fouiller un peu dans les réseaux pour savoir que ces cas ne sont pas exceptionnels.
L’affaire dont je parle a été vécue, comme toutes les autres.
Il est vrai que je ne dis jamais bonjour à un contrôleur. Je n’ai aucune envie de lui souhaiter une bonne journée, car une bonne journée, c’est un bon paquet d’amendes à des pauvres gens, donc de commissions.
Je persiste donc.
Quant à « cher ami », il est vrai qu’il s’applique surtout aux contrôleurs qui nous reviennent très cher...
Elles ne versent pas de dividentes aux actionnaires...
... c’est pour mieux verser de très gros salaires à l’équipe dirigeante.
Le personnel ne touche pas de commission si il vend...
... mais sera viré s’il ne vend pas.
L’avantage pour les dirigeants des banques mutualistes, c’est qu’ils n’ont pas de responsabilité, ni civile, ni pénale...
Et c’est le pauvre président bénévole de la Caisse Locale qui se retrouvera à l’ombre.
@Fergus Désolé cher ami, mais je persiste et signe des deux mains. Il n’est pas possible qu’une personne soit à la fois assermenté, donc sa parole est supérieur à l’autre, et commissionné, donc il à tout intérêt à avoir raison.
Assermenté et commissionné, ça n’a pas l’air de vous choquer.
Qu’and un jeune étudiant prend le train pour aller voir ses parents, il mettra dans son billet une somme très importante au vue de ses maigres ressources. Il va économiser sur tout, pas de sandwich, pas de boisson, le stop pour les dernier kilomètres.
Et puis, parce qu’il n’est pas à la bonne place dans un train à moitié vide, c’est 190€ d’amende dressé par quelqu’un qui ne voit que ses 19€ de commission. Le reste du monde peut crever.
Bien sûr, en pourcentage c’est minime, mais celui qui a vécu ça n’est pas un pourcentage, c’est quelqu’un qui se bat pour survivre.
Et ce n’est pas parce que la sncf a plein de défaut qu’il ne faut pas rajouter celui-ci.
Assermenté et commissionné, c’est incompatible.
Le dossier auquel je fais allusion est réel. Je l’ai conseillé utiliment pour les recours, mais il n’y a rien eu à faire. Qu’il paye ce salaud de pauvre !
Un beau procès . Le Crédit Mutuel avait porté plainte contre moi auprès de la 17ème chambre correctionnelle à Paris pour des propos tenus dans un blog. J’ai été assez fier de gagner d’autant plus que le Crédit Mutuel avait pris l’ancien batonnier de Paris comme avocat.
Dans ce jugement, le tribunal avait validé mes théories sur l’illégalité des commissions d’intervention.
Le Crédit Mutuel avait fait appel. La Cour n’a pas remis en cause les conclusions du jugement en instance, donc l’illégalité des commissions d’intervention, mais m’a condamné à 1€ d’amende pour avoir écris à propos des cadres sup de la banque : « ils sont blancs comme le vautour qui vient de naître ».
Craignant que j’aille en cassation, la banque ne m’a même pas signifié le jugement.
Moralité : il ne faut jamais craindre les tribunaux quand vous avez raison et que votre dossier est très carré et bien monté, Seule condition, avoir un avocat spécialiste et la mienne a été exceptionnelle.
Là où il y a anomalie, c’est que le contrôleur est à la fois assermenté, donc aucune discussion possible, et à la fois commissionné (10%), donc très motivé.
Ainsi, une personne qui n’est pas assise à la bonne place, pour le contrôleur, c’est 19€ qui rentrent dans sa poche. Il n’est donc pas enclin à discuter.
Ensuite, la machine pour recouvrer les créances est bien huilée. Les huissiers sont salariés. Ils emettent une simple injonction de payer, et si elle n’est pas contestée, c’est la saisie sur le compte.
Le médiateur sncf se contente de faire un copié collé de la réponse du contrôleur.
Prendre un avocat, c’est minimum 1.500€.
Un contrôleur qui fait un trajet lui rapportera minimum 20€ par compartiment.
Tout ceci est documenté, ce ne sont pas des propos en l’air.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération