L’égalité comme vertu à combattre ?
Ce n’est pas nouveau, toutes les idéologies (le libéralisme ?) qui veulent justifier l’injustice sociale combattent cette notion.
Mais, je veux bien admettre, que l’égalité en tant qu’aboutissement est une chimère.
Et d’ailleurs, le problème ne se situe pas là.
Proposez-moi une solution du genre : « on s’engage que l’espérance de vie en bonne santé des 10% les plus pauvres rattrapera celle des 10% les plus riches dans les 5 ans à venir », et j’ignore complétement le thème de l’égalité.
Si, si, je vous jure, promis, craché, si on parle bien d’égalité dans la richesse, hein ?
Je ne vous ferai pas le procès d’intention, de ne pas accorder aux plus pauvres, les derniers progrès de la médecine par exemple, le même traitement juridique que pour les plus riches d’entre nous. Il ne vous viendrait pas à l’idée de fustiger cette égalité-là ?
Médecins, Profs, Conseillers emploi ou CAF…,
On pourrait faire une longue liste, mais aussi, on pourrait la résumer à « tout le monde dans l’exercice de son métier, de sa fonction »,
Cela a commencé à « merder » dès l’instant où on a voulu imposer la vue de l’esprit que pour être « pro » il fallait être « distant ».
Toute activité humaine n’a de sens que si elle est liée à une prise en compte de l’amélioration d’une condition humaine.
Pas l’amélioration du compte en banque que de quelques personnes.
Mais pourquoi donc la Russie ne procède pas comme le font allègrement les occidentaux à des « printemps républicains » ?
J’aimerais autant éviter de me taper une tsar bomba.
À part le caractère sournois du comportement, qui n’est pas la manière habituelle d’agir des gens « normaux » (hors 0,1 %), je ne suis pas offusqué qu’on puisse dénoncer, pour le coup, de vrais anti-patriotes ou anti-humanistes (pour faire plaisir et à la droite et à la gauche).
D’autant plus, qu’il est dans la nature même des 0,1 %, par le truchement du « business are usual », que de produire de la délation si cela peut améliorer sa fortune.
Évidemment, on n’échappera pas à la rodomontade de ceux qui nous ferons remarquer que ce n’est pas forcément des riches qui seront dénoncés.
Qu’ils se rassurent, je n’ai nullement l’intention d’ignorer les effets collatéraux, et comme je le répète, l’objectif est les 0,1 %
Pas de cadeaux pour ces gens-là.
Les rodomontades de Jupiter ne sont qu’un détail.
La vérité, c’est qu’il n’est pas question d’éviter la guerre à moins que le Kremlin tombe entre-temps. Coup d’État, révolution, victoire de l’Ukraine (je me devais de le proposer), ..., avec bien sûr un nouveau logiciel politique à la tête de la Russie.
La Russie et la Chine doivent être remis à leurs places, c’est-à-dire celles de territoires à piller et de mains d’œuvres pas chères. Et surtout, elles ne doivent plus laisser penser qu’on puisse se dresser contre l’occident en général et les États-Unis en particulier.
Du point de vue des idéologies occidentales, d’autres choix n’existent pas. La vérité est là : si les États-Unis ne sombrent pas rapidement, la guerre aura lieu.
Ce n’est pas l’élection de Trump qui changera quelque chose. On peut penser que la Russie pourra de nouveau souffler, mais c’est pour mieux se concentrer sur la Chine. La différence entre les démocrates et les républicains, c’est juste l’ordre des hostilités envers la Chine et la Russie.
Oui.
Pour être honnête, je n’ai pas lu l’article, mais juste répondu à la question du titre.
Ce n’est pas ma faute, si les questions sont aussi faciles, pourquoi s’embarrasser du reste ? :->
@Garibaldi2
D’ailleurs, on dit « pot de vin » ou « potdevintine » ?
@DACH
Fin du régime de Biden, pronostic : moins de 9 moins.
Je suis sûr de tenir mon pari, par contre je pense que vous avez déjà perdu le votre ;)
@Doume65
Connaissons toute l’histoire ?
La locataire a-t-elle fini pour obtenir un crédit pour pouvoir payer ?
Ne l’avoir demandé que dès l’instant où elle ne pouvait plus reculer, peut se comprendre. Faire un crédit pour payer des dettes n’est pas forcément une bonne solution.
La somme donnée ne peut plus être dépensée pour de la nourriture, des soins (beaucoup de gens n’ont pas de mutuelle). Là aussi, on peut comprendre l’instinct de conserver quelques réserves, non ?
Le bailleur devait peut-être réaliser des travaux non honorés, ou mettre des choses (électricité) aux normes, et la locataire conservait l’argent pour lui remettre lorsque cela serait réalisé ?
Vous pouvez dire que je ne fais que des hypothèses, mais avoir un raisonnement aussi tranché qui ferait des propriétaires des personnes assermentées, c’est franchement osé, vu la pléthore de personnes habituées à la fraude et à la malfaçon dans ces milieux.
C’est marrant ces propriétaires (soi-disant « petits ») qui veulent spéculer sur la pierre, et qui se plantent.
C’est ça le vrai libéralisme, la fameuse « main invisible » qui régule.
On fustige les conséquences dont on chérit les causes, c’est toujours la même histoire.
Les propriétaires veulent être rentier point barre, il n’y a rien d’honorable dans le fait d’être propriétaire.
Trouver la perle rare, du pauvre gars, ne représente en rien la grande majorité des propriétaires à l’appétit vorace, et à la morale plus que douteuse.
De toute façon, la seule mesure efficace, serait que l’état construise des logements MASSIVEMENT. Là, le prix s’effondrerait vraiment.
Je ne suis pas pour que les « petits propriétaires » souffrent, entendons-nous bien.
Cependant, entre deux maux et lorsqu’on décide d’arbitrer, je choisirai toujours celui qui impacte le nombre d’individus le plus élevés.
Ne me dites pas que la masse énorme de locataires en souffrance contient massivement de mauvaises personnes indélicates ?
Le fait qu’une femme puisse avorter, ne doit pas être remis en question.
Jamais.
J’image mal la moitié de la population, les femmes, accepter de valider par un vote, un référendum… la fin de cette liberté indispensable.
Je suis, comme le rédacteur, surpris qu’on utilise la constitution, qui est censée entreposer les lois de base de fonctionnement de la constitution, comme le mode de scrutin par exemple.
À vrai dire, la liberté d’avorter dans la constitution ne me dérange pas plus que ça, par contre le fait que ce soit un précédent pourrait par exemple faire entrer dans la constitution qu’il ne peut y avoir d’autre choix de programmation budgétaire que celle que l’Europe définie par exemple.
De toute façon, il faut se faire à l’idée que rien n’est écrit dans le marbre et une sixième république remettrait les compteurs à zéro.
On se donne rendez-vous à Tataouine les Pins sur la place du marché à 14H00 ?
Bravo, petite.
C’est exactement ça, le capitalisme détruit aussi bien la nature que le lien social.
Séparer les deux comme le revendiquent les pseudos écolos de droite, ce n’est rien y comprendre au lien quasi charnel qui existe entre destruction du tissu social et de la nature.
Quelle belle évolution Greta ;)
Que la croupe était belle, mais que la soupe était bonne.
Ventre vide n’a pas de tête, et une bite a vite fait de se transformer en saucisse.
Freud avait tort : penser que tout ce qui dans la tête provient de ce qui est dans le slip, n’était que dans celles des gens bien nourris qui le consultait.
@Inquiet
Vous l’aurez compris, ce que j’appelle « progrès » ne concerne pas la capacité d’obtenir le bolide dernier cri, mais uniquement ce qui concerne l’amélioration des conditions de vie (et non de survie).
Faisons court. Quand la populace éclairée quémande de l’égalité, elle demande à être traitée de la même manière en termes de droits et devant le progrès.
En résumé, être jugé par rapport aux faits et non par rapport au pédigrée, et par exemple pouvoir se soigner avec les thérapies les plus couteuses s’il le faut sans en payer le prix socialement (mort sociale suite à l’acquittement des frais de santés).
On pourrait mettre en place un observatoire de l’espérance de vie en bonne santé, en faisant en sorte que le 1ᵉʳ et le dernier décile de la population, en fonction des revenus, ait la même espérance.
Ouf, Patrick Bruel fait le dos rond et ne se prononce ni pour ni contre.
D’ailleurs, pourquoi les accusations à son encontre ne prennent pas des proportions comme pour Gérard Depardieu ?
Une idée ?
C’est la violence moderne : on peut violer, tuer, torturer ..., mais tout en conservant un langage châtié.
Ou alors Gérard Depardieu est l’ami de Poutine ?
Non, je dois être complotiste.
Attention, s’il est (Depardieu) condamné suite à des accusations de viols (pour de vrais), je serai le premier à lui cracher à la figure.
Mais je ne voudrais surtout pas qu’il soit condamné pour viol à cause de son comportement.
Voudriez-vous qu’à l’avenir on vous condamne non pas par rapport à ce que vous avez fait, mais parce qu’on vous accuse de mal vous comporter ?
Mon combat, il se situe là, pas autre part.
Il existe des gens qui sont obsédés par le pouvoir qu’ils peuvent exercer sur les autres.
Chez les hommes, on les identifie souvent par l’expression « mâles alpha ».
Ce que ce post révèle, c’est qu’il n’y a ni « mâles alpha » ni « alpha » tout court.
En réalité, il existe tout simplement des gens nocifs qui souhaitent s’imposer.
On connait tous le fameux « bucheron sympa » avec une force herculéenne et qui passe son temps à sourire parfois niaisement.
C’est tout simplement, le choix, l’instinct malveillant de la personne, qui ne souhaite pas collaborer avec les autres, mais les utiliser, qui en font une personne « violente », et pas simplement physiquement.
À y regarder de plus près, on constatera assez vite, que la violence, la domination s’exerçant sur autrui, est en fait érigée en qualité suprême valorisée par nos « zélites ».
Nous sommes abreuvés en considérations positives de gens qui maltraitent des millions d’autres juste parce que classifier comme « méritants » (riches) on ne pourrait qu’accepter leurs exactions.
Il se pourrait même que l’appréciation du niveau de violence, parmi les violents, soit interprétée comme une nécessité pour survivre ou vivre « agréablement ».
En observant, le train de vie, largement usurpé sur celui des autres, des nantis, certains identifient presque inconsciemment sur quel mode ils doivent continuer de fonctionner. La prime étant bien sûr à la violence.
Comme disait Keynes "le capitalisme, c’est la croyance stupéfiante selon laquelle les pires des hommes vont faire les pires choses pour le plus grand bien de tout le monde"
Finalement, peut importe qui tient l’arme, peut importe que ce soit un homme ou une femme.
@Tolzan
Mauvaise idée que de s’installer en Israël, il faudra qu’il explique comment des armes lui étant destinées sont arrivées dans les mains du Hamas ?
@Eric F
En français, ça veut dire que les « élites politiques » sont soumises aux « élites financières » (ou font partie d’elles) et n’ont pas de patries.
Même l’encensement des USA n’est que pour l’utilité que peut « encore » apporter l’armée américaine (le gendarme du monde). Le jour où cette machine de guerre défaille complétement, ils sont encore (les élites financières) capable de demander à Vlad de devenir leur nouveau shérif
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