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Les commentaires de benedicte_gab



  • benedicte_gab 24 janvier 2019 17:34

    @Christian Labrune
    Je ne suis pas toujours d’accord avec vous, mais là je salue votre sens de l’humour ... un tel article de propagande déconnecté de toute réalité et se contorsionnant pour déclarer légitime ce qui ne l’est pas ... J’ai de la famille en Equateur, alors ce qui se passe au Venezuela ils le savent, vu l’afflux de réfugiés qui débarquent dans le pays, qui est allé crescendo depuis que le gouvernement s’est assis sur le résultat des législatives



  • benedicte_gab 24 janvier 2019 17:22

    @oscar fortin

    1. Vous ne voyez rien puisque vous n’êtes ni au Venezuela ni dans un des payx proches submergé de réfugiés ... vous vous contentez de reproduire la propagande gouvernementale, relayée avec complaisance par des sites de gauche dite radicale qui veulent maintenir leurs illusions à tout prix en déni de la réalité des souffrances des vénézuéliens dont ils n’ont visiblement rien à foutre.
    2. J’ai de la famille en Equateur, ela fraude ce n’est pas l’opposition qui en a fait, mais le gouvernement et c’est d’ailleurs frauduleusement qu’ils ont écarté 3 députés après avoir louvoyé 3 jours pour donner les résultats et les truquer sans que ça saute à la gueule. Correa a fait la même chose en Equateur mais heureusement pour les équatoriens Lenin Moreno a déjoué en quelque sorte ses plans ... et vous aurez du mal à trouver la trace d’une quelconque mobilisation populaire pour demander le retour de Correa ou la libération de Glas son compère mis en prison. 
    3. la constitution d’un pays n’a de valeur que si le gouvernement en place la respecte (ma fille a appris lors de ses études que la constitution de la Russie sous Staline était un modèle) mais si le gouvernement se torche avec, parce que la Conseile national éléctoral, la conseil constitutionnel ne sont pas indépendant mais composé de membre la mafia gouvernementale ... et bien la constitution on peut la piétiner sans problème, ce dont ne se prive pas Maduro. Les équatoriens avaient appelé leur constitution« le papier toilette le plus cher au monde » en référence à ce qu’en faisait Correa et au coût de son élaboration.
    4. Si les gens ne vont plus voter au Venezuela c’est que les résultats sont fabriqués par le gouvernement à l’avance et qu’il ne sert à rien de se déplacer.

    Maintenant continuez votre propagande et gardez vos illusions ... du moins pour l’instant, parce que la réalité est têtue



  • benedicte_gab 15 janvier 2019 13:26

    article de propagande du régime pas de l’information ... aucun intérêt 



  • benedicte_gab 11 janvier 2019 19:39

    @Étirév
    Nous sommes pas en démocratie, n’y avons jamais été, nous ne sommes jamais sortis de la tyrannie d’une oligarchie, avec des castes qui se sont chassées les unes les autres pour prendre le pouvoir ... et nous avons le caniveau et l’indigence en terme de réflexion et de raison à la tête de l’Etat !
    Les société d’asservissement comme l’est la notre depuis l’antiquité, engendre forcément dégénérescence et débilité ... et tant que nous croirons que ces sociétés pompeusement appelées « civilisation » sont des sociétés supérieures nous continuerons à dégénérer ... la dégénérescence est dans leurs gênes, leurs fondements, l’arbitraire et caprices des pervers et psychopathes qui les dirigent, leur fantasmes de toute puissance et d’immortalité, etc... 
    Les élites sont une invention des oligarchies pour se maintenir au pouvoir et traiter les autres comme du bétail, mais ne vivant qu’en circuit fermé, passant leur temps à se brosser l’ego les uns les autres, elles tournent à vide, n’ayant comme seul objectif et comme souci que détenir le pouvoir coûte que coûte ... il faut voir où nous en sommes après des siècles de ce type de société, pas de quoi pavoiser ... 



  • benedicte_gab 11 janvier 2019 18:10

    Je suis bien d’accord, et je pratique ... mais je ne suis pas sûre que tout le monde le puisse, du moins sur le plan alimentaire. Habiter en zone rurale est un atout pour manger local sans se ruiner, mais dans les grandes agglomérations pour ceux qui ont de faibles revenus c’est certainement plus difficile voire très difficile. Il faudrait une politique d’impulsion de circuits courts de proximité ... ce qui n’est pas le cas actuellement. Sans compter que ceux qui n’arrivent à manger tous les jours que grâce aux banques alimentaires et autres, n’ont pas le choix des aliments qu’ils ingurgitent. Il y aussi des endroits où l’eau du robinet n’est plus potable en raison de l’agriculture et élevage industriel ... les gens n’ont pas toujours le choix hélas.

    Reste à voir comment faire pour inverser la vapeur et encourager les initiatives locales allant dans ce sens.

    Bonne continuation



  • benedicte_gab 11 janvier 2019 17:45

    Je trouve votre analyse sur punition/récompense un peu simpliste, ne voulant voir dans les GJ qu’une volonté de punir à leur tout faute de récompense et fort éloignée de ce qui anime une majorité des personnes concernées et des sources de leur révolte.

    En premier lieu d’être acculé et voir sans cesse leur situation au quotidien, en termes de besoins vitaux s’aggraver sans aucun espoir d’amélioration en même temps qu’une caste de parasites s’affiche en faisant bombance avec arrogance et leur crache ouvertement leur mépris, leur disant qu’ils ne sont rien et n’ont pas leur mot à dire ... en quelque sorte qu’ils peuvent crever parce qu’elle n’en a rien à foutre.

    La privation d’autonomie et l’abrutissement des masses sont les piliers de la société d’asservissement pathologique et psychopathique qu’est la notre depuis l’antiquité. Les gens autonomes font de mauvais esclaves ! Il est évident que la caste au pouvoir ne fera jamais rien dans le sens de ce que vous appelez de vos voeux, la destruction progressive depuis des décennies d’une éducation nationale digne de ce nom le prouve amplement.

    Par contre c’est ce qu’apprennent par eux-même les GJ en se rencontrant, parlant et discutant au-delà des sympathies politiques qu’ils peuvent avoir, ils réapprennent le dialogue, la réflexion, ils se réapproprient le « politique » dont la plupart se désintéressaient, ayant bien intériorisé qu’ils n’en avaient pas les capacités et que seuls les politiciens étaient habilités et suffisamment intelligents (contrairement à eux) pour s’en occuper.

    Le mépris de l’oligarchie pour la population et sa partie la plus humble en particulier est une constante depuis des siècles, mais ils avaient suffisamment de calcul pervers pour la dissimuler publiquement. Cette oligarchie a été prise de cours par la défaite de Juppé (son candidat) à la primaire, et jugeant Fillon trop clivant, après avoir laissé fuiter ce qui permettrait de le mettre hors course, a bricole dans l’urgence le phénomène marketing Macron. Mais elle a fait une erreur de casting, en prenant un débile arrogant et immature qui une fois élu s’est comporté en monarque absolu, ne cessant de renouveler ses insultes et son mépris sur la population. Et là les gens n’ont pas pu faire semblant de ne pas voir comme par le passé, ils se sont retrouvés face à une réalité glaçante, que pour ces gens-là ils étaient moins que rien et qu’ils continueraient à les asphyxier jusqu’à ce qu’ils en crèvent. Ce n’est pas forcément totalement conscient ... mais cette réalité ne pourra pas être gommée, et encore moins alors que neuneu 1er et sa clique multiplient les provocations et le mépris à chacune de leurs interventions.

    Je dois avouer que je ne vois pas comment on va sortir de là ... il n’y a rien à attendre de ce gouvernement et assemblée de pantins arrogants.



  • benedicte_gab 8 janvier 2019 16:13

    @velosolex
    Mais le végétarisme n’est pas le véganisme. Il faut apprendre à équilibrer son alimentation, mais c’est faisable, étant donné qu’il n’exclut pas la totalité des protéines animales, oeufs, lait et fromage font partie du régime végétarien. Je ne suis pas végétarienne, mais je n’ai aucun problème avec les amis végétariens, je préfère manger peu de viande mais de petits producteurs locaux, parce que d’une part je suis contre l’élevage industriel (c’est une monstruosité et je n’ai pas attendu les vegans pour en être consciente) et de surcroît franchement c’est pas la même chose gustativement et qualitativement. 

    Je ne sais pas si ça vient de la guerre, je pense plutôt personnellement que c’est un alignement sur le mode de vie des « classes très aisées », comme le pain blanc, etc... le désir d’accéder à des conditions jugées enviables et donc meilleures. C’est comme l’abandon de la cuisine comme pièce principale et pièce de vie, parce que chez les bourgeois la cuisine c’était pour les domestiques, bien que quelques décennies après on en soit un peu revenu avec les cuisines dites à l’américaine ouvertes sur le séjour. Au XIXème siècle les bourgeois se devaient d’être gras et en embonpoint, témoignage de leur richesse et de leur possibilité de se gaver de victuailles auxquelles n’avaient pas accès les classes populaires.

    Par contre le véganisme est une idéologie qui relève du religieux en partant d’un dogme « il est mal de tuer un animal pour se nourrir » et dont les incohérences sont multiples. Vive l’agro-industrie et la bouffe merdique estampillée « vegan », les OGM, l’extraction pétrolière pour faire du synthétique et du plastique (parce que la laine et le cuir c’est satan), etc... donc vive la destruction de la planète et des espèces vivantes sauvages (c’est à dire libres). Par contre utiliser les animaux pour leur confort personnel d’urbains aisés (ce que sont la grande majorité d’entre eux) avec des chats et chiens en appartement qu’ils nourrissent de croquettes vegan, qui vont les rendre malades en raison des carences ... là c’est visiblement hors de l’exploitation animale selon eux. Le consumérisme débridé qui transforme la planète en poubelle pas de souci pourvu qu’il soit estampillé « vegan », etc...
    Les vegans sont hyper-agressifs, s’érigent en êtres supérieurs alors qu’ils participent activement à la destruction de la planète, et de ce fait ils me gavent grave. Ceci dit il y a toujours des exceptions et des gens honnêtes et cohérents mais c’est marginal, et ceux là ne se nourrissent pas de merde industrielle, ne demande pas que l’on fabrique de la viande clonée industriellement (comme c’est actuellement en cours aux USA), etc ...

    amicalement



  • benedicte_gab 31 octobre 2017 16:07

    @pipiou
    Il y a surtout d’abord un problème grave d’orientation ... accentuée par une pression mise sur les lycéens en terminale pour s’inscrire à tout prix quelque part.

    Ce n’est pas tellement que les étudiants échouent en première année que le fait qu’ils abandonnent la filière où ils se sont inscrits avant la fin de la première année. 
    Une grosse partie du problème est en amont de l’inscription. Personnellement je pense qu’une année sabbatique après le bac, pour prendre le temps de réfléchir, à faire des petits boulots, partir au pair à l’étranger ou toute autre choses, tout en prenant le temps de réfléchir à ce que l’on voudrait faire et se renseigner sur les filières existants serait des plus pertinent. 
    Par ailleurs si l’on 
    Il y a également un problème de niveau d’enseignement dans bon nombre d’université où la qualité d’un certain nombre de cours est médiocre ... contrairement aux études du privé non universitaire où la sélection s’effectue en premier lieu sur l’argent au vu du coup de la scolarité, et/ou le bachotage mis en oeuvre dans les lycées privés pour passer la sélection. 
    Mettre en oeuvre une sélection juste, ne risque pas d’être mis en oeuvre, parce qu’il faudrait qu’en dehors d’un niveau suffisant pour suivre l’enseignement, examiner les motivation et raisons pour lesquelles les jeunes veulent entrer dans cette filière ... et au vu du défaut d’aide à l’orientation dans notre système scolaire, impossible à mettre en oeuvre.
    Et puis dans une société qui sans le clamer explicitement, prône que vous êtes un looser si vous ne faites pas d’études supérieures ... ça n’aide pas non plus. 
    J’ai 58 ans et j’ai vu comment les politiques successifs s’étaient ingénié à faire baisser le niveau de l’école publique, alors que tous leurs enfants sont dans des écoles privées, moyen détournée et non affiché de faire en sorte de non seulement reproduire mais accentuer les inégalités.
    Les problèmes de l’université ne sont que la conséquence de tout un ensemble de problèmes et c’est à l’ensemble qu’il faudrait s’attaquer, en amont sinon quelles que soient les mesures mises en oeuvre, elles seront vécues comme injustes et ce ne sera pas faux.


  • benedicte_gab 20 octobre 2017 22:58

    @pallas
    Le seul point sur lequel je suis d’accord est que l’espèce humaine est issue et fait partie de la nature et que sa disparition ne changera rien à la face de l’univers .... ne m’en veuillez pas mais ça s’arrête là.

    Non les formes de vie ne s’entredévorent pas, elles se nourrissent de leur environnement mais ne cherchent aucunement à le détruire, ni détruire une autre espèce, par ailleurs les formes de collaboration entre espèces au sein de la nature prennent de multiples formes et sont parfois étonnantes.
    De même si notre société/civilisation est biophobe et enfermée dans une forme de démence ou pathologie destructrice, ce n’est pas le cas de toutes les cultures. 
    Les amérindiens du nord n’avaient aucun problème à cohabiter avec les loups, coyotes, grizzlis, serpents, rapaces, etc... et avaient le respect des autres espèces, y compris végétales et du vivant en général, et sont en ligne de front sur le continent nord-américain à se battre pour le respect de la terre. 
    Et en Amazonie, les peuples qui vivent encore dans la jungle, ne considère pas les jaguars, caimans, anacondas, mygales et autres comme étant à éradiquer, et leur cases n’ont pas de porte et ils ne font pas brûler du feu toute la nuit pour éloigner les « prédateurs » comme on voudrait nous faire croire que nos ancêtres préhistoriques le faisaient.
    Notre culture/société est au corps/terre ce qu’un amas de cellulaire cancéreuse et à notre corps ... ce n’est pas tout à fait la même vision que la votre.



  • benedicte_gab 20 octobre 2017 17:51

    la biodiversité n’est pas menacée par l’être humain, il en a déjà détruit une partie, et continue dans sa démence destructrice, de surcroît les écosystèmes étant des structures complexes interdépendantes, il y a des effets boule de neige à envisager mais que l’on ne peut pas prévoir ... trop de variables dont nous sommes ignorants, il faut arrêter de croire que l’on peut modéliser le vivant ; le croire relève de la religion.


    Il y a très peu de vrais agriculteurs, le reste ne sont que des exploitants agricoles. Je vis dans un département rural, et il y a toutefois de plus en plus de petits agriculteurs ou éleveurs qui changent ou ont changé leurs pratiques, entre ceux qui sont passés en bio, ou en raisonné (ce qui est vraiment déjà pas mal), et c’est un changement par conscience et non dans un but marketing, ils vendent en direct ou circuits courts pas dans les supermarchés, et dans ce type de circuit les fruits et légumes de saison ne sont pas plus chers, voire moins qu’en supermarché. 
    Un arboriculteur plus tout jeune qui vendait des pommes m’a expliquée qu’il était passé en raisonné et qu’il aurait bien voulu passer en bio, mais que pour cela il faudrait qu’il arrache tout le verger, et le replante avec des variétés non hybridés. L’avantage de s’approvisionner au marché, quand on le peut, c’est qu’on parle avec les gens et qu’on apprend des tas choses.

    Parce que le vivant n’est pas mécanique, ni statique, il évolue, il mute, il se transforme, c’est ce qui caractérise ce qui est vivant. Les hybrides (et pire les OGM) ne tiennent pas compte de l’environnement dans lequel ils sont plantés et ne s’adaptent pas dans le temps à la transformation de leur environnement, ne produisant pas de semences qui seront utilisées pour la prochaine mise en culture. Antérieurement à la mise en coupe réglée de l’agriculture par l’agrochimie avec les scientistes de l’INRA, et avec la complicité de consommateurs stupides qui achètent à la vue sans tenir compte de la qualité gustative et nutritive, veulent du sans pépin, du sans vers, du sans tâche, etc... les variétés plantées étaient différentes selon les régions, parce que le climat, la terre sont différentes et donc adaptées au terroir.
    J’avais vu un documentaire (il doit bien y avoir une quinzaine d’année) dans lequel Vananda Shiva (Inde) expliquait bien le problème et démontrait preuve à l’appui que les variétés anciennes produisaient très bien quand elles étaient cultivés dans la bonne région et avec des bonnes pratiques, contrairement à ce que prétendaient les lobbys des semences et de la chimie. 
    On vous raconte des conneries avec ce coffre-fort de semences mis en place par des psychopathes comme Bill Gates, parce que si ces semences devaient être utilisées 50 ans après, il est probable que moins de 10% ( et c’est pas sûr) réussiraient à germer dans un environnement ayant changé et devenu plus hostile qu’il ne l’était au moment de leur stockage.
    Mais il n’y a aucune volonté politique que ça change, bien au contraire ... et puis c’est pas la bêtise humaine dans nos sociétés qui va aider ...


  • benedicte_gab 20 octobre 2017 17:13

    Des années que le problème a commencé à être posé dans une indifférence quasi-générale ... mais qu’attendre d’une société qui est biophobe, pour qui le vivant est une nuisance à éradiquer, dont la majorité de la population n’a aucun contact avec le vivant et la nature et ne cherche même pas à en avoir ... et comme dirait ma fille n’est pas foutu de distinguer une abeille d’une guêpe (image à ne pas prendre au pied de la lettre).

    Parmi les éléments également qui contribue à la disparition de certains insectes, le broyage des bords des routes, chemin, qui ne détruit pas seulement l’habitat de certaines espèces mais les broie avec ... il n’y a presque plus de lucioles dans les campagnes.
    C’est dramatique, mais comme pour tout un tas de choses nous allons visiblement attendre que le ciel nous tombe sur la tête et des catastrophes pour prendre la mesure de nos actions et comportements criminels ... tant pis pour les générations future, qui s’apercevra avec horreur que l’eau n’est pas produite par les robinets et la nourriture par les supermarchés (c’est aussi une image). Le fait même que nous soyons une société où « après nous le déluge » semble être le credo de la majorité de la population montre pour moi à quel point nous sommes une société dégénérée ...
    Il semble que seul des peuples indigènes ont gardé le respect du vivant et se battent en divers endroits de la planète pour tenter de stopper la marche forcée vers la destruction qui creuse non seulement la mort de la plus grande partie des espèces vivantes mais également la nôtre. 
    Ceci dit la disparition de l’humanité ne fera ni chaud ni froid à l’univers ... et il probable que la vie reprendra sur notre planète à partir de ce qui restera.


  • benedicte_gab 19 octobre 2017 23:30

    @Mélusine ou la Robe de Saphir.

    Quand j’ai lu "Rejeter Freud et la psychanalyse, c’est déjà le signe par excellence de l’ANTISEMITISME." ça a déclenché un fou rire instantané !

    Libre à vous d’être une adepte de Freud et que vous fassiez partie de ceux pour qui il est bon ton de brandir l’accusation d’antisémitisme en dépit du bon sens, mais je n’avais jamais entendu ou lu une utilisation de cette accusation aussi cocasse et ridicule.

    Je vais faire exploser votre baromètre très personnel de l’antisémitisme, en vous disant ce que je pense deFreud  : un pervers puritain-pornographe (peut-être même pédophile) obsédé par le sexe, ayant projeté ses fantasmes malsains sur les autres pour les manipuler et les y enfermer, en excluant la moitié de l’humanité (les femmes) comme étant incompréhensibles (ce qui ne l’empêchait pas d’élucubrer à leur sujet). Je peux vous dire également que ça n’avait pas été une franche surprise quand j’avais appris qu’une partie de ses malades, mais plus significatif également de ses collaborateurs étaient devenus irrémédiablement fous ou s’étaient suicidés … c’est un problème plus fréquent qu’on ne l’imagine dans l’entourage des personnes perverses.

    Non, Freud ne peut en aucun cas être rattaché à Socrate, si des parallèles peuvent-être fait avec le « connais-toi toi-même » de Socrate c’est avec le processus d’individuation de Jung ou celui de connaissance de soi de Krishnamurti …

    Quand au « fameux pavé dans la mare » ... vous avez des hallucinations ?



  • benedicte_gab 19 octobre 2017 20:22

    Ne soyez pas trop dur avec la personne interviewée. D’une part c’est loin d’être une apologie du régime, et s’il a de la famille au pays il a intérêt pour leur sécurité à rester relativement modéré dans ses propos.

    Mais la photo de la banderole en fin d’article n’est pas sans intérêt, au vu de la propagande du gouvernement. On sent la colère dans la question avec les 3 points d’interrogation, et si « insécurité » fait référence à la criminalité, « pénurie » fait référence à la grave crise alimentaire et sanitaire que subit la population avec les conséquences de la sous-alimentation en terme de maladie et de mortalité infantile, et « injustices, répression, mensonges et pour mon futur » vise directement la nature due régime chaviste et son fonctionnement. 

    La criminalité a peut-être toujours été un problème mais avec la pénurie alimentaire, de produits de base et de médicaments elle a explosée. La police est corrompue, les criminels ne sont presque jamais arrêtés et jugés. Mello n’exagère pas en disant que tous les week-end à Caracas c’est autant de morts que dans les manifs depuis le début ... l’insécurité est permanente dans le pays. Mais cela prouve que le gouvernement bolivarien est aussi corrompu que les précédents, n’a mené aucune lutte contre la corruption de la police, une police corrompue n’est pas sans avantage pour un régime corrompu et tyrannique. 

    Je ne cache pas que j’ai soutenu le chavisme au départ, parce que les vénézuéliens soutenaient leur gouvernement, que les attaques à son encontre relevaient à ce moment-là de la mauvaise foi, qu’on avait des informations de sources indépendantes en provenance du pays, la parole des gens, les réalisations en cours, que les élections étaient transparentes, que leur régularité étaient certifiée par des observateurs indépendants non choisis par le gouvernement et dont certains venaient même de pays hostiles au gouvernement comme les USA, et que la constitution était respectée, dont le droit au référendum révocatoire.

    Mais, avec le recul ; il semble que tout ceci n’ait eu pour but que d’endormir la population et obtenir d’elle une confiance absolue, ainsi qu’une partie de l’opinion internationale, le temps que les chavistes puissent concentrer tous les pouvoirs entre leurs mains ... et ils ont commencé à tomber le masque, c’est un régime mafieux et dictatorial qui a pille l’argent du pétrole, n’a distribué que des miettes à la population, et prêt à se maintenir par tous les moyens au pouvoir.
    Lors des législatives, le régime a fraudé mais avait sous-estimé sont rejet par les vénézuéliens, donc le front d’opposition arc-en-ciel (toutes les tendances politiques du pays) a réussi à l’emporter ... pas de souci assemblée déclarée nulle et non avenue, depuis les élections sont une mascarade digne d’une république bananière, sans aucun contrôle possible, une nouvelle assemblée fantoche à la botte du régime, rebelote pour les élections des gouverneurs ... c’est plus la peine d’aller voter au Venezuela peu importe ce que tu votes, le gouvernement donnera les résultats qu’il veut. Et le régime tire sur le peuple qui manifeste sa colère ...

    Le comportement de chien de Pavlov c’est pas mon truc. Il suffit pas que j’entende brailler « c’est un complot de la CIA et des USA », pour que cela paralyse mon esprit critique et que je me mette à hurler au loup avec celui qui le crie, sans chercher à savoir ce qu’il en est.
    Alors de voir tous ces gens se réclamant de gauche, anti-système, vouloir changer la société, etc .. se pâmer comme un seul homme devant Maduro, appeler « victoire de la démocratie » son déni le plus évident, et par la même cracher sur le peuple vénézuélien qui cherche désespérément à sortir du cauchemar dans lequel il s’est retrouvé piégé : j’ai envie de vomir ... et l’avenir me parait bien sombre ! 



  • benedicte_gab 18 octobre 2017 21:04

    Je cite un fait tiré de « La société de consommation » de Baudrillard pour illustrer la manière dont les riches déplacent la barrière pour mettre à l’écart les moins riches, les pauvres n’en parlons même pas. Le tennis a été un sport une activité de riche, mais quand le tennis s’est « démocratisé, les riches se sont mis au golf.

    Ce qui est à noter, c’est que la psychopathologie des »riches« a pour conséquence, qu’ils ne font rien par plaisir, parce qu’ils aiment le faire, mais uniquement pour marquer leur rang et leur territoire et en exclure ceux qu’ils méprisent et jugent de les côtoyer. 
     Il y a fort longtemps (je ne suis pas toute jeune) dans l’émission Dimanche Martin, animée par feu Jacques Martin, celui-ci avait fait déguster en aveugle (c’est à dire en cachant les étiquettes des bouteilles), à des tastevins officiant dans les plus prestigieux concours médaillant les vins, une dizaine de bouteilles, en leur demandant de désigner le meilleur vin après dégustation. Ils avaient été quasi unanime à désigner le même. Or quand les étiquettes ont été révélées et leur prix d’achat, il s’est avéré qu’ils avaient primé le moins cher, celui que la classe moyenne pouvait s’offrir sans problème pour célébrer une occasion, face à des vins allant de bien plus cher à hors de prix. Mais la qualité gustative n’est pas le critère pour les riches, seul le prix compte, et le fait qu’ils soient les seuls à pouvoir l’acheter ... lol 
    Autre anecdote, remontant à quelques années, mais je n’ai pas la notion du temps. Une émission de télé avec mixé des jeunes du 93 avec des jeunes riches de Neuilly ou quelque chose de similaire. A noter que c’était à sens unique du 93 vers Neuilly sans que ceux de Neuilly aillent dans le 93. Donc ces jeunes assistent à un anniversaire donné dans un restaurant prestigieux où trône un énorme gâteau ... et lors du service du dessert, s’étonnent que l’on ne découpe pas le gâteau mais que des assiettes avec des portions arrivent, et apprennent que le gâteau qui trône est factice et n’est qu’un élément du décor... morts de rire sur le plateau télé, ils disent que chez eux, les gâteaux d’anniversaire ils se mangent tous !
    Je n’aime pas les riches et j’assume, mais je ne les jalouse, ni ne les envie ... s’ils n’étaient pas aussi nuisibles, à toujours trouver que le quignon de pain qu’ils laissent au plus pauvres est toujours trop gros alors qu’ils ne savent pas quoi faire de l’argent qu’ils accumulent, je les laisserais à leur vide et sécheresse d’âme, leur vie de dandinage de croupion dépourvue du moindre plaisir ou sentiment de satiété. 
    Le racisme anti-riches, c’est comme le racisme anti-blanc, ce n’est qu’une conséquence du racisme des uns et des autres, quand tu ne reçois que mépris,dévalorisation et violence institutionnelle, tu développes des réactions similaires inverses, c’est humain et compréhensible ... que ça ne nous permette pas d’avancer dans la bonne direction c’est sûr, mais tant qu’il s’agira de reprocher à l’autre la paille qu’il a dans son oeil, en refusant de voir la poutre dans le sien ... la situation et les tensions s’aggraveront. Je ne suis pas croyante, mais la parabole reste d’actualité.
    Donc au lieu de s’aligner sur la psychopathie des riches, il me semblerait que réfléchir collectivement à ce que devrait être les bases et valeurs d’une société »heureuse" où il fait bon vivre, et établir un diagnostic des obstacles dans la société actuelle à un changement de paradigme et d’orientation serait un point de départ incontournable. Mais le sport collectif le plus pratiqué, de se cracher les uns sur les autres, de se chercher repoussoirs et faire-valoirs, de comment se sentir et prétendre supérieurs à d’autre, et de foncer sans aucune réflexion, comme un taureau sur la muleta, sur les épouvantails brandis par les uns et les autres .... ben je ne suis pas optimiste concernant l’avenir.


  • benedicte_gab 18 octobre 2017 20:04

    @Amaury

    Je ne peux qu’être d’accord avec la critique de ces journées gadgets dont le nombre ne cesse de pulluler, dont le seul impact est de se donner bonne conscience à peu de frais et sans rien faire de concret. Je le suis également sur un caritatif dont les structures ne sont que la nouvelle mouture des « dames patronnesses », ont le coeur aussi sec, à la différence toutefois qu’une majorité des bénévoles qui font tourner ces structures le font avec coeur et sont touchées par la situation des personnes qu’elles tentent d’aider.

    Pour avoir discuté avec une bénévole de l’association de chien d’aveugle fondée par Arletty, ceux qui ont de l’argent donnent rarement, évidemment il y a des exceptions qui confirment la règle, ce sont majoritairement ceux qui ont peu qui donnent, peu évidemment, ils n’ont pas les moyens mais sur le peu qu’ils ont ils donnent un peu.

    Par contre votre postulat de départ sur la pauvreté est à priori faux, bien que je ne doute pas que vous le croyez sincèrement, parce que nous sommes conditionnés à penser ainsi, que c’est une croyance collective et ce n’est pas la seule qui soit dénuée de fondement.

    La pauvreté n’est pas inhérente à la « condition humaine » elle est une construction sociale des sociétés d’asservissement appelées « civilisations » pour lui donner un vernis de vertu et d’évolution. Depuis l’antiquité nous somme une société d’asservissement.

    Ce qui caractérise (entre autre et très schématiquement, voire caricaturalemen) la structure de ce type de société est qu’une minorité en fantasme de toute-puissance et d’immortalité, met la majorité de ses concitoyens en coupe réglée, les considère comme du bétail, les spolie de leur usage des biens communs, dont elle s’attribue la propriété exclusive, et de leur droit à décider de leur existence. Il faut beaucoup de pauvres, avec volant de miséreux pour permettre à la caste dirigeante d’assouvir ses fantasmes, qui ne le sont jamais, l’avidité étant un tonneau des danaïdes.

    Richesse et pauvreté sont les deux faces d’un même concept. Pour se sentir toujours plus puissants, il y a 2 moyens. L’un les guerres impériales, coloniales, etc. pour augmenter le nombre de personnes sous leur coupe, c’est toujours en-cours même si l’on prétend parer de vertu ces actes d’agression criminels en « guerres humanitaires » sauf que les peuples concernés en font les frais (Irak, Lybie et Syrie pour les plus récents) avec de plus des systèmes genre Francafrique, que la France n’est pas la seule à mettre en oeuvre. L’autre paupériser davantage la population pour augmenter l’écart de revenu, mise en œuvre depuis un bon moment en France et ailleurs … les ultra-riches sont de plus en plus riches ce qui va de pair avec une paupérisation accrue des populations.

    Il ne faut pas confondre culture et civilisation, bien que nous ayons déjà détruits une partie d’entre elles, il y a autant de cultures et sociétés humaines différentes que de peuples. Et nombre de ceux qui n’ont pas créé de civilisation (pas tous, on peut être un peuple psychopathique sans pour autant créer de civilisation) considère l’accumulation de possession et l’avidité de pouvoir comme relevant de la folie ou de la nuisance, bien conscients que ceux qui sont mus par elles, nuisent à l’intérêt général et au bien-vivre de la communauté. Le mépris dans lequel la majorité des « civilisés » (et ce n’est pas un procès d’intention à votre égard, je ne connais pas le regard que vous portez sur ces peuples) tiennent les peuples indigènes, empêche de voir que cette croyance n’est qu’une croyance et la conséquence d’un comportement pathologique cultivé depuis l’antiquité.

    Citation d’Alex Etcitty du peuple navajo, ami de l’écrivain Tony Hillerman dont les romans policiers se situent en territoire Navajo : « On m’a appris que c’était une chose juste de posséder ce que l’on a. Mais si on commence à avoir trop, cela montre que l’on ne se préoccupe pas des siens comme on le devrait. Si l’on devient riche, c’est que l’on a pris des choses qui appartiennent à d’autres. Prononcer les mots « Navajo riche » revient à dire « eau sèche ». »

    Je trouve la citation particulièrement parlante, mais les navajos ne sont pas un cas isolé, et ce n’est pas un hasard si la seule tentative actuelle d’expérimentation d’une autre société, d’une autre gouvernance, à l’échelle d’un territoire, le zapatisme est mise en œuvre par des peuples indigènes.

    Je répète que l’avidité de possession, de pouvoir et la cupidité, ne sont pas des tares inhérentes à l’humanité, mais des tares cultivées par un certain type de société, et ne pas en prendre conscience est le plus sûr moyen de ne jamais aller vers une société plus saine, parce que pour corriger un problème, il faut en diagnostiquer les causes réelles, sinon on continue à le creuser tout en prétendant travailler à le résoudre, et ceci pouvant être fait en toute bonne foi.

    Il ne s’agit pas de supprimer les riches pour rendre tout le monde pauvre comme le hurlent certains, ou de répartir la misère, mais de comprendre la réalité que recouvre le double concept de richesse/pauvreté, comprendre que le premier ne va pas sans le second, que c’est un cercle vicieux, une spirale infernale.

    Je ne peux pas développer dans un commentaire. Je ferais un parallèle. Quand vous avez faim ou soif, le fait d’étancher cette faim ou cette soif, en mangeant ou en buvant de l’eau, procure un bien-être, un sentiment de satiété. Un boulimique ne connaît pas la satiété, et la boulimie est bien considérée comme un trouble pathologique, ou résultant dans certains cas d’un dysfonctionnement biologique … il ne viendrait à l’idée de personne de sensé de prétendre qu’être boulimique est être supérieur et de valoriser et cultiver cette pathologie à l’échelle d’une société. C’est pourtant ce que l’on fait avec l’avidité de possession, apanage autrefois de la seule oligarchie, et la base du consumérisme actuel. Mais ce que vous croyez vouloir et croyez qu’il vous manque pour être heureux, une fois acquis ne vous apporte aucun sentiment de satiété, aucune réelle satisfaction, et vous voulez autre chose, parce que le manque que vous ressentez vous ne l’avez pas diagnostiqué et vous ne le pourrez pas tant que vous croyez sincèrement que c’est l’accumulation de possession qui peut le combler. De même que le boulimique (dont la boulimie n’est pas d’origine biologique) n’entend pas son corps lui dire c’est assez et que ce n’est pas l’absorption de nourriture qui comblera ta sensation de manque, celui enfermé dans la spirale du consumérisme ou de l’avidité de possession, n’entend pas son âme (à prendre au sens religieux du terme, je sais vous êtes croyant mais ce n’est pas mon cas, l’âme est pour moi l’énergie vitale qui anime, la partie intangible de l’être indissociable de sa partie tangible corporelle et ne fait qu’un avec elle) lui dire stop, ce n’est pas ça qui comblera ta sensation de manque.

    J’espère que vous ne prendrez pas ce long commentaire comme une attaque personnelle. Vous ne faites pas mystère du milieu dans lequel vous êtes né et auquel vous appartenez. Je n’aime pas ce milieu mais je ne suis pas sectaire. Je vous reconnais un certain esprit critique par rapport à votre milieu, je pense que vous n’allez pas au fond des choses, mais c’est un reproche que je pourrais faire à la majorité de mes semblables.

    Par ailleurs comme d’autres auteurs sur Avox, vous ne méritez pas de servir de tête de turc à certains, dont l’occupation principale semble être de cracher sur les autres, et systématiquement sur certains en particulier, quoi qu’ils disent, sans avoir quoi que ce soit à dire ou à argumenter sur le sujet de l’article, parfois on se demande même s’ils ont pris la peine de le lire ! Je trouve ça navrant et fait que le fil des commentaires sur Avox ressemble de plus en plus à la poubelle de ceux des articles des médias mainstream. Ce n’était pas comme ça au début.

    J’ai fait assez long j’arrête … sincères salutations.



  • benedicte_gab 12 octobre 2017 17:12

    Vous dites que « Nous sommes, en Europe, moins menacés par l’intégration dans une communauté supra-nationale que par les mouvements de division interne qui travaillent les vieilles nations. » mais en fait je pense que les mouvements de division interne sont justement liés à la dépossession des populations de tout pouvoir sur les orientations politiques par cette entité supra-nationale et dictatoriale qu’est devenue l’UE et dont les gouvernements nationaux sont devenus de simples exécutant écrasant les peuples pour satisfaire la seule cupidité des oligarchies européennes. Normal dans ces conditions que l’on assiste à des replis identitaires visant à se soustraire à cet écrasement et espérant relocaliser le pouvoir politique, que cela soit réellement conscient ou non, et que ce soit les régions qui ont réussi à conserver une certaine forme d’identité culturelle qui soient les premières demandeuses. 

    Par ailleurs il semble que le sentiment indépendantiste a progressé en Catalogne a partir du moment où Madrid a fait casser par le conseil constitutionnel le statut d’autonomie qu’elle avait obtenu ... 
    Toutefois quand ça l’arrange cette oligarchie n’a pas de souci pour atomiser la Yougoslavie puis reconnaître l’indépendance proclamée unilatéralement du Kosovo ... si ça peut lui profiter.
    Aux catalans de voir, ce n’est pas à moi de décider pour eux, d’autant plus qu’il me semble difficile n’ayant pas de contacts là-bas de savoir ce qu’ils pensent et veulent vraiment.


  • benedicte_gab 28 septembre 2017 14:36

    En rapport avec le début du commentaire de Christian Labrune sur les enfants, j’avais beaucoup aimé ce propos de St Exupéry dans Le petit prince (je suis allée la rechercher) :


    Les grandes personnes aiment les chiffres.Quand vous leur parlez d’un nouvel ami, elles ne vous questionnent jamais sur l’essentiel. Elles ne vous disent jamais : « Quel est le son de sa voix ? Quels sont les jeux qu’il préfère ? Est-ce qu’il collectionne les papillons ? » Elles vous demandent : « Quel âge a-t-il ? Combien a-t-il de frères ? Combien pèse-t-il ? Combien gagne son père ? » Alors seulement elles croient le connaître. Si vous dites aux grandes personnes : « J’ai vu une belle maison en briques roses, avec des géraniums aux fenêtres et des colombes sur le toit... » elles ne parviennent pas à s’imaginer cette maison. Il faut leur dire : « J’ai vu une maison de cent mille francs. » Alors elles s’écrient : « Comme c’est joli ! »


  • benedicte_gab 23 septembre 2017 18:47

    Article visiblement de propagande sans aucunement justifier le postulat visant à effrayer pour éviter toute réflexion sur le suejt de « la menace réelle d’une réémergence d’épidémies terriblement meurtrières dans le passé et que l’on croyait oubliées » 

    lesquelles ?? la peste, le choléra, la lèpre contre lesquelles il n’y a jamais eu de vaccination et qui ont pourtant disparues en Europe ? L’hygiène et la salubrité sont bien plus importants que la vaccination ce qui avaient été prouvé par une expérience in vivo en Inde sur la tuberculose dans 2 bidonvilles, 1 où tout le monde a été vacciné, l’autre où la salubrité avait été grandement améliorée ... c’est dans le second que la tuberculose a reculé pas dans le premier.
    La rougeole, les oreillons et la rubéole n’ont jamais donné lieu à des épidémies meurtrières, ni même les méningites et l’hépatite B ... et la polio, la diphtérie, la coqueluche et le tétanos sont couverts par les vaccinations obligatoires existantes.
    Quand à l’aluminium prétendre qu’il n’y a pas d’études scientifiques à ce sujet c’est faux, et que la suspicion soit réduite à l’hexagone également ... 
    @ l’auteur
    Vous êtes payé combien pour raconter n’importe quoi ? et par qui ? pour empoisonner les enfants et affaiblir les défenses immunitaires des générations futures ?
    Il y a quelques années des médecins légistes allemands avaient mis en corrélation l’importante augmentation des morts subites des nourrissons avec la vaccination de ceux-ci avec des vaccins multi-valences ... mais pas de souci ça rapporte !





  • benedicte_gab 22 septembre 2017 16:22

    Merci pour cet article ... mais j’ai des doutes sur la capacité dans cette société de chacun contre tous à avoir un sursaut de conscience à se mettre à travailler et lutter ensemble pour ne pas se faire broyer et éviter un avenir encore plus sombre à nos enfants 



  • benedicte_gab 22 septembre 2017 15:40

    Je ne connais ni Bernard Ravet et son livre, ni Nassira El Moaddem contre laquelle vous montez un article à charge pas forcément objectif et l’article ne m’apprend rien sur le livre en question, et je n’ai pas d’opinion sur le sujet de ce fait.Mais je mets toutefois le lien d’un article critique sur le livre lu juste avant le votre sur le livre qui parle lui de son contenu https://marwen-belkaid.com/2017/09/21/bernard-ravet-ou-la-fable-marseillaise/ et si je ne peux préjuger de sa totale pertinence, soulève toutefois des points qui semblent judicieux