@Christian Labrune
Je ne suis pas toujours d’accord avec vous, mais là je salue votre sens de l’humour ... un tel article de propagande déconnecté de toute réalité et se contorsionnant pour déclarer légitime ce qui ne l’est pas ... J’ai de la famille en Equateur, alors ce qui se passe au Venezuela ils le savent, vu l’afflux de réfugiés qui débarquent dans le pays, qui est allé crescendo depuis que le gouvernement s’est assis sur le résultat des législatives
@oscar fortin
Maintenant continuez votre propagande et gardez vos illusions ... du moins pour l’instant, parce que la réalité est têtue
article de propagande du régime pas de l’information ... aucun intérêt
@Étirév
Nous sommes pas en démocratie, n’y avons jamais été, nous ne sommes jamais sortis de la tyrannie d’une oligarchie, avec des castes qui se sont chassées les unes les autres pour prendre le pouvoir ... et nous avons le caniveau et l’indigence en terme de réflexion et de raison à la tête de l’Etat !
Les société d’asservissement comme l’est la notre depuis l’antiquité, engendre forcément dégénérescence et débilité ... et tant que nous croirons que ces sociétés pompeusement appelées « civilisation » sont des sociétés supérieures nous continuerons à dégénérer ... la dégénérescence est dans leurs gênes, leurs fondements, l’arbitraire et caprices des pervers et psychopathes qui les dirigent, leur fantasmes de toute puissance et d’immortalité, etc...
Les élites sont une invention des oligarchies pour se maintenir au pouvoir et traiter les autres comme du bétail, mais ne vivant qu’en circuit fermé, passant leur temps à se brosser l’ego les uns les autres, elles tournent à vide, n’ayant comme seul objectif et comme souci que détenir le pouvoir coûte que coûte ... il faut voir où nous en sommes après des siècles de ce type de société, pas de quoi pavoiser ...
Je suis bien d’accord, et je pratique ... mais je ne suis pas sûre que tout le monde le puisse, du moins sur le plan alimentaire. Habiter en zone rurale est un atout pour manger local sans se ruiner, mais dans les grandes agglomérations pour ceux qui ont de faibles revenus c’est certainement plus difficile voire très difficile. Il faudrait une politique d’impulsion de circuits courts de proximité ... ce qui n’est pas le cas actuellement. Sans compter que ceux qui n’arrivent à manger tous les jours que grâce aux banques alimentaires et autres, n’ont pas le choix des aliments qu’ils ingurgitent. Il y aussi des endroits où l’eau du robinet n’est plus potable en raison de l’agriculture et élevage industriel ... les gens n’ont pas toujours le choix hélas.
Reste à voir comment faire pour inverser la vapeur et encourager les initiatives locales allant dans ce sens.
Bonne continuation
Je trouve votre analyse sur punition/récompense un peu simpliste, ne voulant voir dans les GJ qu’une volonté de punir à leur tout faute de récompense et fort éloignée de ce qui anime une majorité des personnes concernées et des sources de leur révolte.
En premier lieu d’être acculé et voir sans cesse leur situation au quotidien, en termes de besoins vitaux s’aggraver sans aucun espoir d’amélioration en même temps qu’une caste de parasites s’affiche en faisant bombance avec arrogance et leur crache ouvertement leur mépris, leur disant qu’ils ne sont rien et n’ont pas leur mot à dire ... en quelque sorte qu’ils peuvent crever parce qu’elle n’en a rien à foutre.
La privation d’autonomie et l’abrutissement des masses sont les piliers de la société d’asservissement pathologique et psychopathique qu’est la notre depuis l’antiquité. Les gens autonomes font de mauvais esclaves ! Il est évident que la caste au pouvoir ne fera jamais rien dans le sens de ce que vous appelez de vos voeux, la destruction progressive depuis des décennies d’une éducation nationale digne de ce nom le prouve amplement.
Par contre c’est ce qu’apprennent par eux-même les GJ en se rencontrant, parlant et discutant au-delà des sympathies politiques qu’ils peuvent avoir, ils réapprennent le dialogue, la réflexion, ils se réapproprient le « politique » dont la plupart se désintéressaient, ayant bien intériorisé qu’ils n’en avaient pas les capacités et que seuls les politiciens étaient habilités et suffisamment intelligents (contrairement à eux) pour s’en occuper.
Le mépris de l’oligarchie pour la population et sa partie la plus humble en particulier est une constante depuis des siècles, mais ils avaient suffisamment de calcul pervers pour la dissimuler publiquement. Cette oligarchie a été prise de cours par la défaite de Juppé (son candidat) à la primaire, et jugeant Fillon trop clivant, après avoir laissé fuiter ce qui permettrait de le mettre hors course, a bricole dans l’urgence le phénomène marketing Macron. Mais elle a fait une erreur de casting, en prenant un débile arrogant et immature qui une fois élu s’est comporté en monarque absolu, ne cessant de renouveler ses insultes et son mépris sur la population. Et là les gens n’ont pas pu faire semblant de ne pas voir comme par le passé, ils se sont retrouvés face à une réalité glaçante, que pour ces gens-là ils étaient moins que rien et qu’ils continueraient à les asphyxier jusqu’à ce qu’ils en crèvent. Ce n’est pas forcément totalement conscient ... mais cette réalité ne pourra pas être gommée, et encore moins alors que neuneu 1er et sa clique multiplient les provocations et le mépris à chacune de leurs interventions.
Je dois avouer que je ne vois pas comment on va sortir de là ... il n’y a rien à attendre de ce gouvernement et assemblée de pantins arrogants.
@velosolex
Mais le végétarisme n’est pas le véganisme. Il faut apprendre à équilibrer son alimentation, mais c’est faisable, étant donné qu’il n’exclut pas la totalité des protéines animales, oeufs, lait et fromage font partie du régime végétarien. Je ne suis pas végétarienne, mais je n’ai aucun problème avec les amis végétariens, je préfère manger peu de viande mais de petits producteurs locaux, parce que d’une part je suis contre l’élevage industriel (c’est une monstruosité et je n’ai pas attendu les vegans pour en être consciente) et de surcroît franchement c’est pas la même chose gustativement et qualitativement.
Je ne sais pas si ça vient de la guerre, je pense plutôt personnellement que c’est un alignement sur le mode de vie des « classes très aisées », comme le pain blanc, etc... le désir d’accéder à des conditions jugées enviables et donc meilleures. C’est comme l’abandon de la cuisine comme pièce principale et pièce de vie, parce que chez les bourgeois la cuisine c’était pour les domestiques, bien que quelques décennies après on en soit un peu revenu avec les cuisines dites à l’américaine ouvertes sur le séjour. Au XIXème siècle les bourgeois se devaient d’être gras et en embonpoint, témoignage de leur richesse et de leur possibilité de se gaver de victuailles auxquelles n’avaient pas accès les classes populaires.
Par contre le véganisme est une idéologie qui relève du religieux en partant d’un dogme « il est mal de tuer un animal pour se nourrir » et dont les incohérences sont multiples. Vive l’agro-industrie et la bouffe merdique estampillée « vegan », les OGM, l’extraction pétrolière pour faire du synthétique et du plastique (parce que la laine et le cuir c’est satan), etc... donc vive la destruction de la planète et des espèces vivantes sauvages (c’est à dire libres). Par contre utiliser les animaux pour leur confort personnel d’urbains aisés (ce que sont la grande majorité d’entre eux) avec des chats et chiens en appartement qu’ils nourrissent de croquettes vegan, qui vont les rendre malades en raison des carences ... là c’est visiblement hors de l’exploitation animale selon eux. Le consumérisme débridé qui transforme la planète en poubelle pas de souci pourvu qu’il soit estampillé « vegan », etc...
Les vegans sont hyper-agressifs, s’érigent en êtres supérieurs alors qu’ils participent activement à la destruction de la planète, et de ce fait ils me gavent grave. Ceci dit il y a toujours des exceptions et des gens honnêtes et cohérents mais c’est marginal, et ceux là ne se nourrissent pas de merde industrielle, ne demande pas que l’on fabrique de la viande clonée industriellement (comme c’est actuellement en cours aux USA), etc ...
amicalement
@pipiou
Il y a surtout d’abord un problème grave d’orientation ... accentuée par une pression mise sur les lycéens en terminale pour s’inscrire à tout prix quelque part.
@pallas
Le seul point sur lequel je suis d’accord est que l’espèce humaine est issue et fait partie de la nature et que sa disparition ne changera rien à la face de l’univers .... ne m’en veuillez pas mais ça s’arrête là.
la biodiversité n’est pas menacée par l’être humain, il en a déjà détruit une partie, et continue dans sa démence destructrice, de surcroît les écosystèmes étant des structures complexes interdépendantes, il y a des effets boule de neige à envisager mais que l’on ne peut pas prévoir ... trop de variables dont nous sommes ignorants, il faut arrêter de croire que l’on peut modéliser le vivant ; le croire relève de la religion.
Des années que le problème a commencé à être posé dans une indifférence quasi-générale ... mais qu’attendre d’une société qui est biophobe, pour qui le vivant est une nuisance à éradiquer, dont la majorité de la population n’a aucun contact avec le vivant et la nature et ne cherche même pas à en avoir ... et comme dirait ma fille n’est pas foutu de distinguer une abeille d’une guêpe (image à ne pas prendre au pied de la lettre).
@Mélusine ou la Robe de Saphir.
Quand j’ai lu "Rejeter Freud et la psychanalyse, c’est déjà le signe par excellence de l’ANTISEMITISME." ça a déclenché un fou rire instantané !
Libre à vous d’être une adepte de Freud et que vous fassiez partie de ceux pour qui il est bon ton de brandir l’accusation d’antisémitisme en dépit du bon sens, mais je n’avais jamais entendu ou lu une utilisation de cette accusation aussi cocasse et ridicule.
Je vais faire exploser votre baromètre très personnel de l’antisémitisme, en vous disant ce que je pense deFreud : un pervers puritain-pornographe (peut-être même pédophile) obsédé par le sexe, ayant projeté ses fantasmes malsains sur les autres pour les manipuler et les y enfermer, en excluant la moitié de l’humanité (les femmes) comme étant incompréhensibles (ce qui ne l’empêchait pas d’élucubrer à leur sujet). Je peux vous dire également que ça n’avait pas été une franche surprise quand j’avais appris qu’une partie de ses malades, mais plus significatif également de ses collaborateurs étaient devenus irrémédiablement fous ou s’étaient suicidés … c’est un problème plus fréquent qu’on ne l’imagine dans l’entourage des personnes perverses.
Non, Freud ne peut en aucun cas être rattaché à Socrate, si des parallèles peuvent-être fait avec le « connais-toi toi-même » de Socrate c’est avec le processus d’individuation de Jung ou celui de connaissance de soi de Krishnamurti …
Quand au « fameux pavé dans la mare » ... vous avez des hallucinations ?
Ne soyez pas trop dur avec la personne interviewée. D’une part c’est loin d’être une apologie du régime, et s’il a de la famille au pays il a intérêt pour leur sécurité à rester relativement modéré dans ses propos.
Je cite un fait tiré de « La société de consommation » de Baudrillard pour illustrer la manière dont les riches déplacent la barrière pour mettre à l’écart les moins riches, les pauvres n’en parlons même pas. Le tennis a été un sport une activité de riche, mais quand le tennis s’est « démocratisé, les riches se sont mis au golf.
@Amaury
Je ne peux qu’être d’accord avec la critique de ces journées gadgets dont le nombre ne cesse de pulluler, dont le seul impact est de se donner bonne conscience à peu de frais et sans rien faire de concret. Je le suis également sur un caritatif dont les structures ne sont que la nouvelle mouture des « dames patronnesses », ont le coeur aussi sec, à la différence toutefois qu’une majorité des bénévoles qui font tourner ces structures le font avec coeur et sont touchées par la situation des personnes qu’elles tentent d’aider.
Pour avoir discuté avec une bénévole de l’association de chien d’aveugle fondée par Arletty, ceux qui ont de l’argent donnent rarement, évidemment il y a des exceptions qui confirment la règle, ce sont majoritairement ceux qui ont peu qui donnent, peu évidemment, ils n’ont pas les moyens mais sur le peu qu’ils ont ils donnent un peu.
Par contre votre postulat de départ sur la pauvreté est à priori faux, bien que je ne doute pas que vous le croyez sincèrement, parce que nous sommes conditionnés à penser ainsi, que c’est une croyance collective et ce n’est pas la seule qui soit dénuée de fondement.
La pauvreté n’est pas inhérente à la « condition humaine » elle est une construction sociale des sociétés d’asservissement appelées « civilisations » pour lui donner un vernis de vertu et d’évolution. Depuis l’antiquité nous somme une société d’asservissement.
Ce qui caractérise (entre autre et très schématiquement, voire caricaturalemen) la structure de ce type de société est qu’une minorité en fantasme de toute-puissance et d’immortalité, met la majorité de ses concitoyens en coupe réglée, les considère comme du bétail, les spolie de leur usage des biens communs, dont elle s’attribue la propriété exclusive, et de leur droit à décider de leur existence. Il faut beaucoup de pauvres, avec volant de miséreux pour permettre à la caste dirigeante d’assouvir ses fantasmes, qui ne le sont jamais, l’avidité étant un tonneau des danaïdes.
Richesse et pauvreté sont les deux faces d’un même concept. Pour se sentir toujours plus puissants, il y a 2 moyens. L’un les guerres impériales, coloniales, etc. pour augmenter le nombre de personnes sous leur coupe, c’est toujours en-cours même si l’on prétend parer de vertu ces actes d’agression criminels en « guerres humanitaires » sauf que les peuples concernés en font les frais (Irak, Lybie et Syrie pour les plus récents) avec de plus des systèmes genre Francafrique, que la France n’est pas la seule à mettre en oeuvre. L’autre paupériser davantage la population pour augmenter l’écart de revenu, mise en œuvre depuis un bon moment en France et ailleurs … les ultra-riches sont de plus en plus riches ce qui va de pair avec une paupérisation accrue des populations.
Il ne faut pas confondre culture et civilisation, bien que nous ayons déjà détruits une partie d’entre elles, il y a autant de cultures et sociétés humaines différentes que de peuples. Et nombre de ceux qui n’ont pas créé de civilisation (pas tous, on peut être un peuple psychopathique sans pour autant créer de civilisation) considère l’accumulation de possession et l’avidité de pouvoir comme relevant de la folie ou de la nuisance, bien conscients que ceux qui sont mus par elles, nuisent à l’intérêt général et au bien-vivre de la communauté. Le mépris dans lequel la majorité des « civilisés » (et ce n’est pas un procès d’intention à votre égard, je ne connais pas le regard que vous portez sur ces peuples) tiennent les peuples indigènes, empêche de voir que cette croyance n’est qu’une croyance et la conséquence d’un comportement pathologique cultivé depuis l’antiquité.
Citation d’Alex Etcitty du peuple navajo, ami de l’écrivain Tony Hillerman dont les romans policiers se situent en territoire Navajo : « On m’a appris que c’était une chose juste de posséder ce que l’on a. Mais si on commence à avoir trop, cela montre que l’on ne se préoccupe pas des siens comme on le devrait. Si l’on devient riche, c’est que l’on a pris des choses qui appartiennent à d’autres. Prononcer les mots « Navajo riche » revient à dire « eau sèche ». »
Je trouve la citation particulièrement parlante, mais les navajos ne sont pas un cas isolé, et ce n’est pas un hasard si la seule tentative actuelle d’expérimentation d’une autre société, d’une autre gouvernance, à l’échelle d’un territoire, le zapatisme est mise en œuvre par des peuples indigènes.
Je répète que l’avidité de possession, de pouvoir et la cupidité, ne sont pas des tares inhérentes à l’humanité, mais des tares cultivées par un certain type de société, et ne pas en prendre conscience est le plus sûr moyen de ne jamais aller vers une société plus saine, parce que pour corriger un problème, il faut en diagnostiquer les causes réelles, sinon on continue à le creuser tout en prétendant travailler à le résoudre, et ceci pouvant être fait en toute bonne foi.
Il ne s’agit pas de supprimer les riches pour rendre tout le monde pauvre comme le hurlent certains, ou de répartir la misère, mais de comprendre la réalité que recouvre le double concept de richesse/pauvreté, comprendre que le premier ne va pas sans le second, que c’est un cercle vicieux, une spirale infernale.
Je ne peux pas développer dans un commentaire. Je ferais un parallèle. Quand vous avez faim ou soif, le fait d’étancher cette faim ou cette soif, en mangeant ou en buvant de l’eau, procure un bien-être, un sentiment de satiété. Un boulimique ne connaît pas la satiété, et la boulimie est bien considérée comme un trouble pathologique, ou résultant dans certains cas d’un dysfonctionnement biologique … il ne viendrait à l’idée de personne de sensé de prétendre qu’être boulimique est être supérieur et de valoriser et cultiver cette pathologie à l’échelle d’une société. C’est pourtant ce que l’on fait avec l’avidité de possession, apanage autrefois de la seule oligarchie, et la base du consumérisme actuel. Mais ce que vous croyez vouloir et croyez qu’il vous manque pour être heureux, une fois acquis ne vous apporte aucun sentiment de satiété, aucune réelle satisfaction, et vous voulez autre chose, parce que le manque que vous ressentez vous ne l’avez pas diagnostiqué et vous ne le pourrez pas tant que vous croyez sincèrement que c’est l’accumulation de possession qui peut le combler. De même que le boulimique (dont la boulimie n’est pas d’origine biologique) n’entend pas son corps lui dire c’est assez et que ce n’est pas l’absorption de nourriture qui comblera ta sensation de manque, celui enfermé dans la spirale du consumérisme ou de l’avidité de possession, n’entend pas son âme (à prendre au sens religieux du terme, je sais vous êtes croyant mais ce n’est pas mon cas, l’âme est pour moi l’énergie vitale qui anime, la partie intangible de l’être indissociable de sa partie tangible corporelle et ne fait qu’un avec elle) lui dire stop, ce n’est pas ça qui comblera ta sensation de manque.
J’espère que vous ne prendrez pas ce long commentaire comme une attaque personnelle. Vous ne faites pas mystère du milieu dans lequel vous êtes né et auquel vous appartenez. Je n’aime pas ce milieu mais je ne suis pas sectaire. Je vous reconnais un certain esprit critique par rapport à votre milieu, je pense que vous n’allez pas au fond des choses, mais c’est un reproche que je pourrais faire à la majorité de mes semblables.
Par ailleurs comme d’autres auteurs sur Avox, vous ne méritez pas de servir de tête de turc à certains, dont l’occupation principale semble être de cracher sur les autres, et systématiquement sur certains en particulier, quoi qu’ils disent, sans avoir quoi que ce soit à dire ou à argumenter sur le sujet de l’article, parfois on se demande même s’ils ont pris la peine de le lire ! Je trouve ça navrant et fait que le fil des commentaires sur Avox ressemble de plus en plus à la poubelle de ceux des articles des médias mainstream. Ce n’était pas comme ça au début.
J’ai fait assez long j’arrête … sincères salutations.
Vous dites que « Nous sommes, en Europe, moins menacés par l’intégration dans une communauté supra-nationale que par les mouvements de division interne qui travaillent les vieilles nations. » mais en fait je pense que les mouvements de division interne sont justement liés à la dépossession des populations de tout pouvoir sur les orientations politiques par cette entité supra-nationale et dictatoriale qu’est devenue l’UE et dont les gouvernements nationaux sont devenus de simples exécutant écrasant les peuples pour satisfaire la seule cupidité des oligarchies européennes. Normal dans ces conditions que l’on assiste à des replis identitaires visant à se soustraire à cet écrasement et espérant relocaliser le pouvoir politique, que cela soit réellement conscient ou non, et que ce soit les régions qui ont réussi à conserver une certaine forme d’identité culturelle qui soient les premières demandeuses.
En rapport avec le début du commentaire de Christian Labrune sur les enfants, j’avais beaucoup aimé ce propos de St Exupéry dans Le petit prince (je suis allée la rechercher) :
Article visiblement de propagande sans aucunement justifier le postulat visant à effrayer pour éviter toute réflexion sur le suejt de « la menace réelle d’une réémergence d’épidémies terriblement meurtrières dans le passé et que l’on croyait oubliées »
Merci pour cet article ... mais j’ai des doutes sur la capacité dans cette société de chacun contre tous à avoir un sursaut de conscience à se mettre à travailler et lutter ensemble pour ne pas se faire broyer et éviter un avenir encore plus sombre à nos enfants
Je ne connais ni Bernard Ravet et son livre, ni Nassira El Moaddem contre laquelle vous montez un article à charge pas forcément objectif et l’article ne m’apprend rien sur le livre en question, et je n’ai pas d’opinion sur le sujet de ce fait.Mais je mets toutefois le lien d’un article critique sur le livre lu juste avant le votre sur le livre qui parle lui de son contenu https://marwen-belkaid.com/2017/09/21/bernard-ravet-ou-la-fable-marseillaise/ et si je ne peux préjuger de sa totale pertinence, soulève toutefois des points qui semblent judicieux
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