Les chiffres du « bilan carbone », si on peut appeler ça ainsi, sont du grand n’importe quoi. Une prairie stockerait durablement 8 tonnes de carbone par an ?!...disons plutôt qu’elles produisent 8t de carbone sous forme d’herbe, ce qui n’a rien à voir avec ce qui sera stocké sous forme de fraction humique. Et la diminution de l’élevage ne signifie pas de facto une diminution de l’emploi agricole. Mais bon, on s’accroche à ce qu’on peut...
Où sont les sources de toutes ces affirmations ?
et là ça commence à faire un paquet !
110000lbs n’est pas 110000L !!!
@leypanou
Clojea,
vous m’avez donné l’impression de quelqu’un de dépassé(e) par ces nouvelles pratiques.
De là à tout mettre dans le même sac, il y a une différence. Et c’est malheureusement et avec des arguments à la limite de la rationalité que vous le faites.
quelle tristesse ces commentaires...
A l’auteur, merci pour ce retour d’expérience intéressant. Cela confirme tout de même mon sentiment sur les voitures électriques : ça ne semble pas encore mûre pour un véritable développement. C’est à se demander si ça le sera un jour, vu que la première voiture électrique a plus d’un siècle.
Enfin reste à intégrer le bilan énergie globale en fonction du mode de production d’électricité. Déplacer la pollution est-ce vraiment l’objectif ? ou alors la réduire ?
Le travail le dimanche ou la France, grand pays immobile et dépassé...
J’étais l’autre jour à l’aéroport Charles de Gaulle où j’allais embarquer vers 23h. A ma grande surprise, la table du petit restaurant où nous étions assis nous a prié de chercher un autre endroit car l’heure venait de passer à 21h01. Quelle stupéfaction ! L’aéroport est plein à craquer de voyageurs qui ne demandent qu’une chose, pouvoir s’assoir et se ravitailler...mais en France, que nenni, il est 21h00, on ferme.
alors qu’on n’aille pas dire qu’ouvrir un commerce le dimanche ne peut en aucun cas augmenter le chiffre d’affaires globale...
Merci pour cet article intéressant que j’ai lu avec attention.
En effet j’ai vécu 4 années dans ce pays, justement dans la ville de San Pedro Sula, et ceci jusqu’en mi 2010. J’étais présent dans le pays au moment du coup d’état et j’ai pu en effet observer le terrible changement qui a été amorcé. Ma femme est de là-bas (nous vivons maintenant en Europe) ce qui fait que j’ai pu y retourner, et que je reçois toujours des nouvelles locales. De plus, je travaillais avec ces industries du palmier à huile, dont la corporation Dinant...
J’aurai juste une précision à apporter : les jours précédent la consultation publique que Zelaya avait organisé, le climat était tendu, tout le monde annonçait d’ailleurs qu’un coup d’état allait se produire. Cependant, il s’agissait bien d’une consultation et non d’un vote pour modifier la constitution (ce qui a été répété faussement 1000 fois par les médias locaux, jusqu’à ce que le peuple veuille bien y croire, et qu’ainsi le coup d’état semble justifié). Le vote n’avait pour objet que de demander au peuple s’il donnait son accord pour une révision constitutionnelle, ou pas. Et pas de transformer Zelaya en dictateur à vie...
C’est en tout cas un bien triste pays, dans lequel très peu d’avenir pour les jeunes est encore possible, et donc une partie importante, ceux qui le peuvent, cherchent à s’enfuir. Les autres subissent, la mort, les crimes, l’impunité, sont le quotidien. On s’enferme dans ses « colonias », « residenciales », fermés par de plus en plus de gardes armés, chaque rue est barricadée, on tente de survivre comme on peut et de détourner le regard des unes de journaux qui présentent chaque jour les photos de corps ensanglantés, ayant perdu la vie la veille.
Un pays pourtant plein de richesses, saccagé, comme tant d’autres...
Je ne vois pas en quoi ce procédé rendrait la production de cette forme d’énergie meilleure marché que le biogaz tel qu’il est déjà fait aujourd’hui, alors qu’il faut en gros passer par le même procédé et en ajouter encore une couche. Or le biogaz n’est pas, aujourd’hui, compétitif par rapport aux énergies fossiles.
N’oubliez-pas de mettre en parallèle les exigences règlementaires, sanitaires, de sécurité et autres toujours plus handicapantes pour qui prétend faire quelque chose de nouveau.
Dans le fond je suis d’accord sur les grandes leçons de l’article.
Cependant il me semble qu’il y a dans cet article un vrai manque de réalisme industriel.
Pour ne me focaliser que sur le point que je connais le mieux, la méthanisation, il est très irréaliste de suppose qu’un jour, à terme, on pourra remplacer le combustible fossil à usage de transport par le biogaz. De plus affirmer que ça ne nécessite pas de lourdes infrastructures est erroné aussi. La production de ce gaz, simple dans le principe, est lourde à mettre en oeuvre à échelle industrielle.
Cependant il est certain que si les politiques cessaient d’appliquer à ce genre de technologie des normes ultrastrictes parfois issues de l’industrie chimique, où, basiquement, on fait fermenter de la m**** dans une cuve. Comparer du H2SO4 concentré à de la bouse de vache, et y appliquer des normes parfois équivalentes, voilà qui semble dommage et injuste.
En résumé le fond me plait, la forme me semble décalé.
Je ne doute pas une seule seconde que le pétrole représente 99,99% des revenus d’exploitation.
Quand bien même cela serait le cas, si la valorisation du gaz représente 0,01% à l’échelle de cela, soit à l’échelle d’un groupe comme TOTAL sans doute encore plusieurs dizaines de millions d’euros de valeur énergie, et bien je ne comprends pas que l’on ne s’en occupe pas.
Quant à l’hydrogène sulfuré, il est évident que si l’on décide de valoriser ce gaz, il faudra le purifier, comme on le fait pour le gaz naturel. Cet hydrogène sulfuré deviendra du soufre élémentaire par exemple. Donc aucun problème de toxicité. Evidemment il vaut mieux bruler ce gaz plutot que de le laisser s’échapper à l’atmosphère, cela va de soi.
Il y a une chose que je ne comprends pas : qu’il ne soit pas suffisament rentable de purifier et comprimer ce gaz pour exporter cette énergie.
Je travaille dans l’industrie du biogaz, et il me semble incompréhensible que ce soit rentable de faire des unités de biogaz (je parle là des cas NON subsidiés où l’on est en concurrence directe avec l’utilisation des combustibles fossiles, type projets en PVD) et que tout ce gaz qui s’échappe ne représente pas un intérêt économique suffisant pour le valoriser.
Si quelqu’un a des éléments de réponse je serai preneur !
Une bouffée d’oxygène qui aide à relativiser un peu.
En effet, comme c’est bien dit, la Planète reprendra toujours ses droits. Il est de bon ton de constater que l’on mélange allègrement protection de la planète et développement durable. Ne l’oublions pas, le concept de développement durable est définit par l’Homme pour l’Homme (assurer nos besoins sans affecter ceux des générations futures). C’est donc considérer que la planète a pour unique fonction celle de nous héberger. Nous sommes le nombril du monde...
Arrêtons donc de confondre ce concept avec celui de « sauvons la planète ». Si il y a trop de CO2, la planète le résorbera sans peine en le re-intégrant dans ces cycles peu à peu. Par contre, NOUS, nous aurons sans doute beaucoup à perdre vu notre échelle de temps humaine (versus géologique).
Merci Voltaire,
Enfin la Raison refait un peu surface grace a vos propos.
Il faut savoir que chaque année des milliers d’Iceberg se décrochent et partent à la dérive, fondant peu à peu. Difficile d’imaginer que l’on puisse donc causer un dérèglement sur la planète.
La question que je me pose concerne plus le but même du projet, que je n’ai toujours pas saisi : est-il purement économique ? C-a-d que cette eau douce serait moins couteuse que de l’eau déssalée ? Ou alors est-ce là un projet qui doit concrétiser le rêve d’un homme, tout en misant sur la montée des prix de l’eau, ce qui fera de cette voie quelque chose de très rentable dans 30 ans ?
J’ai entendu maintes fois cette histoire, mais je ne sais toujours pas quel est son but profond...
Quel filtre domestique recommenderiez-vous ?
Merci
La raccourci n’est-il pas un peu facile ? Un pays comme la Belgique, petit, avec une population éduquée et riche d’épargne personnelle, peut en effet « survivre » à une absence de gourvernement. Mais 8 mois, sur l’échelle des changements dans les sociétés (ceux là mêmes qui engendrent des besoins de réformes ou autres), c’est très peu. Quant à prétendre que "(la Belgique) est tout bonnement en train de montrer à la planète qu’on peut se passer de gouvernement."... cela me semble complètement irréaliste.
Rédaction digne d’un collégien. Style employé : raconter sa vie (comme si elle intéressait les autres). Article sans le moindre intérêt, discussion de bistrot.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération