La fin, c’est peut-être un début ? :)
Au delà d’un problème de sexe, ne s’agirait-il pas d’un problème de maturité ?
Et puis, LA FEMME et L’HOMME en tant que symboles sont des représentations polarisées, il y a des nuances infinies entre ces deux extrêmes, des manières infinies d’être au monde...
C’est légitime à mon sens qu’une discipline soit perçue selon un prisme féminin et masculin, incluant toutes les subtilités qu’il y a entre ces deux extrêmes.
Cela ne signifie pas forcément revendiquer la place de l’autre, mais proposer son interprétation du monde et la relation qu’on entretient avec la vie, que cela soit respecté et pris en considération dans les décisions qui doivent être prises, en ce qui concerne l’éducation, la vie de la communauté, les sciences, les arts etc..
Il y a un livre qui donne un point de vue intéressant sur ce qui a pu conduire, entre autre, Hitler et les nazis au pouvoir :
Alice Miller "C’est pour ton bien" 1985.
Moi j’utilise "The gimp" et "Openoffice" et je trouve ça très bien ! VLC est facile à utiliser et efficace.
Ubuntu et son interface son très bien également, très simple d’utilisation, même pour les non informaticiens. La seule chose qui est dommage avec les logiciels et OS opensource, c’est que si on est pas informaticien, on peut avoir l’impression d’avoir un paquet de potentialités dans les mains, et qu’on ne peut pas les utiliser parce qu’on ne sait pas comment faire. Mais bon, il y a plein de choses comme ça dans la vie...
La culture c’est aussi peut-être apporter un peu de cohérence et d’harmonie dans ce qui à priori semble ne pas en avoir, de trouver un sens ou d’en donner en s’appropriant une réalité, en dégageant des lignes de forces, des signes pour qu’elle soit porteuse de sens pour un plus grand nombre.
J’ai beaucoup apprécié cet article, et en effet, il me semble qu’un des buts majeurs de l’art, c’est de se positionner et ressentir, pour mieux se connaître et reconnaître chez l’autre ces liens universels que sont les sentiments.
L’impression que j’ai, c’est que la séduction suppose une forme de manipulation, qui peut être vraiment dérangeante, si son but, n’est pas "d’adoucir" l’expression d’une volonté un peu trop brutale, mais de manipuler l’autre perçu comme objet, ( chose, marionnette ) afin qu’il accomplisse ce que le séducteur ou la séductrice désire, sans lui avoir demandé explicitement. C’est à dire en mentant, en masquant l’intention réelle. Une fois la séduction réussie, le masque tombe révélant la "vérité". Ce type de séduction me dérange, mais il existe moult formes de séduction :) !
@teralmat
Je trouve ça très intéressant comme expérience.
Sinon, un des problèmes majeurs pour moi, que pose le numérique, c’est la sauvegarde. Dès qu’on produit quelque chose, on peut sauvegarder ce qu’on a réalisé, puis modifier un peu quelque chose, et sauvegarder le résultat également et ainsi de suite.
C’est un problème, parce que le choix de ce qui paraîtra le plus harmonieux ou efficace, ou quoi que ce soit qui sert le but que je me suis fixé, sera difficile.
En même temps, c’est interessant, parce que je peux voir toutes les étapes de la progression de ce que j’ai fait. Cela remet en question l’idée de résultat final. Et que le plus interessant, pour moi, c’est la génèse d’une création et son développement.
Mais est-ce que l’artiste pense à ce qui va être vu, ou à être le plus précis dans sa recherche de représentation, ou encore est-ce que l’arrière plan, qui n’est pas visible, n’assure pas aussi tout simplement l’harmonie du tout, même s’il n’est pas mis en avant ?
Ce que je trouve intéressant justement, par rapport aux sculptures de l’antiquité, c’est qu’on les trouve belles, alors qu’elles ont subit les outrages du temps, qu’elles ont été soumises aux intempéries et aux épreuves, et que malgré cela, on les trouvent toujours magnifiques, même dépouillées de leurs couleurs éclatantes.
Je pense que chacun a une sensibilité qui lui est propre, et que chacun peut trouver ce qui lui parle le plus dans l’immensité de l’expression artistique. Certaines oeuvres sont plus parlantes que d’autres, ou parlent au plus grand nombre, parce qu’elles réunissent un certain nombre de symboles, qui sont communs à beaucoup de gens.
C’est assez réaliste comme petite histoire, mais un peu court à mon sens, et superficiel parce que les motivations des choix de vie des gens me paraissent beaucoup plus complexes que ça. Mais ça m’a fait rire.
Donc la question c’est faut-il se culpabiliser d’avoir de l’argent quand on a des amis pauvres ? ( toutes proportions gardées, parce que comme écrit plus haut, c’est une notion bien relative ).
@ Iks pey
Je ne désespère pas des gens, au contraire. Je trouve même que c’est extraordinaire ce que l’humanité arrive à accomplir . Et bien entendu, il y a des profits plus propres que d’autres, et surtout moins avides, parce qu’il y a conscience de besoins plus en rapport avec la "réalité".
Je trouve qu’il y a cependant beaucoup de peurs, oui. Et que cela motive un grand nombre d’actions destructrices, parfois.
La principale peur à mon sens, est de ne pas être aimé, cette peur découle de la dépendance du nourrisson par rapport à sa mère, qui, si elle ne l’aime pas, le condamne à la mort. Après, toutes les autres peurs, semble-t’il, découlent de cette peur première.
Des désirs excessifs en terme de profits et de possessions, à mon sens, trouvent leur origine dans une volonté de puissance, compensant un sentiment d’impuissance enfant, mais qui n’est plus en relation avec la "réalité". L’autre, les autres, la société, le monde sont chargés inconsciement de réparer la blessure, qui ne le sera jamais, car symbolisée, elle est en grande partie déconnectée de la souffrance originelle, mais au delà de cela, il n’incombe pas à l’autre qui n’est pas le parent, de réparer cela. Il y a aussi recherche d’instrumentalisation.
En cherchant trop de profits, au détriment de l’autre, je vis dans l’illusion que l’autre, et surtout une multitude d’autres vont m’aimer, entre autre parce que je suis puissant, et pour diverses raisons sociales, affectives etc., cela me donnera vraiment le sentiment d’exister. Parce que, au bout du compte, si je suis impuissant(e) je n’ai pas de pouvoir sur le monde, ( la mère ), je ne me sens pas aimé(e) parce qu’il n’y a pas de réponse à mon action, alors je n’existe pas, parce qu’il n’y a pas de relation.
Bien sur, c’est une interprétation très simplifiée, je ne prétend pas du tout que cela soit la seule, pleins de points de vue sont intéressants et entrent en ligne de compte.
Pour moi, cette peur est très humaine, commune à un grand nombre de personnes, et je ne la juge pas, mais peut-être que percevoir son origine, peut aider à être un peu plus conscient, et moins avides.
Pour ce qui est de la facilité, je ne pense pas que ce soit plus facile. C’est différent, c’est un outil. Mais c’est vrai que ça permet à des personnes qui n’auraient pas forcément osé s’impliquer dans une activité créative, de le faire, parce qu’elles auront des aptitudes plus en adéquation avec l’informatique. Ce que je trouve positif, parce qu’après tout, il y a un nombre important de gens qui ont un univers riche, et inhabituel que les conventions esthétiques ou sociales brident.
Je pense aussi, avant toutes choses, que c’est une question de passion. Une personne passionnée par ce qu’elle fait, s’impliquera vraiment dans la découverte de ces outils informatiques, qui ne sont en effet pas toujours évidents à manier, qui nécessitent un temps important d’apprentissage, surtout quand on est auto-didacte, mais qui permettent d’établir des correspondances inédites.
Cela agrandit considérablement le champ d’expériences qui est un des propos de l’art, à mon sens. C’est une rencontre possible et compactée, de plusieurs formes artistiques, qui ouvre de nombreuses perspectives, si on ne se limite pas à appliquer les mêmes techniques et habitudes acquises avec les autres arts. Mon impression, c’est que nous créons des outils, et ces outils en retour nous ouvrent des potentialités. Ces potentialités étaient sans doutes en nous, mais elles sont révélées par l’outil me semble t’il.
Je trouve cet article très intéressant, parce qu’il soulève en effet des questions importantes. En fait à mon sens, c’est vraiment une remise en question complète de nos conceptions artistiques. J’ai l’impression que l’art numérique, c’est plus des créations d’univers. Ce que je trouve formidable, c’est que ça ouvre des espaces, et là ou avant il fallait beaucoup de place pour exprimer sa créativité, on peut explorer des tas de possibilités ! C’est illimité...
Je trouve que c’est un article interessant.
@ Icks pey
Ce texte du Vatican, est fort beau. Le problème, c’est l’application. Et bien malheureusement, souvent des textes bien charitables, motivés par des idéaux sociaux généreux, ne le restent que dans le texte. La réalité ne suit pas, parce que très simplement, la recherche du profit, au détriment de l’autre est motivée par la peur, et qu’à l’heure actuelle, l’idée de profit implique que ce soit fait quasiment systématiquement au détriment des autres. Donc, il y a une dichotomie entre un idéal de respect de l’autre, et une réalité qui quelque part oblige à exploiter l’autre pour son profit. Je pense que c’est générateur d’un conflit interne majeur, pour un grand nombre de gens. Il y a un double message, d’un côté, je dois répondre à une morale chrétienne qui implique un certains nombres d’actions altruistes, cela va être en surface valorisé, mais dans les faits, ce qui est récompensé, c’est l’inverse. La récompense est souvent matérielle, c’est une certaine sécurité, mais au bout du compte, est-ce vraiment une récompense ?
C’est tout à fait logique que les enfants d’enseignants montrent de meilleures aptitudes scolaires que les autres enfants, l’enseignement passant beaucoup par le language, et ce language scolaire répondant à des régles très précises et codifiées, les enfants qui ont vécu dans ce « bain » linguistique sont donc tout à fait logiquement familiers avec l’univers scolaire, et forcément c’est plus facile quelquepart. C’est le cas pour chaque milieu social, dans leur domaine de prédilection. Il y a surement des exceptions cependant.
Pour ce qui est des échecs scolaires, je crois qu’on oublie souvent une donnée importante : l’affect. Dans des milieux où la souffrance psychique et affective est intense, l’enfant a un panel de solutions qui s’offrent à lui, pour survivre, se sentir exister, pas complètement impuissant, et valorisé. Il peut fuir dans la connaissance, devenir obsédé par la réussite, se remplir de savoir pour ne pas penser à ses vrais problèmes, pour ne pas ressentir. Mais c’est assez rare, à part chez les enfants de milieux favorisés parce qu’il a accès à une forme de pensée qu’il peut maîtriser. Un enfant qui lui se sentira incapable de s’approprier des connaissances ( parce qu’issu d’un milieu social qui est « coupé » du « formatage » culturel et scolaire ), ne voudra pas « fuir » son quotidien dans des connaissances qui lui paraîtront à mon avis tout à fait inutiles, pour avoir un minimum de « pouvoir » sur son destin. Quand on vit dans la peur, le manque d’amour et de respect, acquérir des connaissances est très difficile, les frustrations et la souffrance engendrées par ces manques prennent trop de place. Il manque aussi une dimension importante, c’est savoir identifier ce qu’on vit en terme de sentiments. Qu’est-ce que je ressens, face à telle situation, etc..Un enfant qui ne parle pas, ou peu, garde ses sentiments pour lui parce qu’il a honte de se montrer petit, quand on lui demande tant d’être grand et de se battre, est en perte d’identité.
Toutes ces souffrances, rendent très ardues l’accès au savoir proposé en classe, leur attention entre autre étant déjà perturbée par la certitude qu’ils n’y arriveront pas. Un enfant de milieu favorisé ou intellectuel, pourra se valoriser, devant ses parents ou sa famille par son savoir, pour un enfant qui vit dans des conditions précaires, la survie, la valorisation résideront plutôt dans l’acquisition de connaissances plus concrètes, plus liées à la gestion pratique de son quotidien.
Pour moi, au delà des différences sociales même si elles sont génératrices souvent de souffrances, c’est la douleur psychique qui empêche la réussite scolaire d’un enfant. Dans un milieu par exemple ouvrier où des enfants se sentent aimés, exister parce que les parents sont disponibles pour cela et pas complètement anéantis par leur propre souffrance, l’enfant aura toutes les chances de réussir scolairement, j’en connais. Et puis, la réussite d’une vie ne réside pas forcément dans l’excellence scolaire, des tas de gens très diplômés, ne sont pas heureux.
Je ne sais pas si cela incombe aux enseignants de résoudre tout cela, je pense qu’une classe à gérer, ce doit être déjà assez difficile ! Je pense que ce n’est pas possible pour eux de s’occuper de chaque élève au cas par cas en fonction de ce qu’il vit, ou alors il faudrait vraiment réduire les effectifs.
Ce qui pourrait être intéressant, ce serait de créer un nouveau type de cours, sur la connaissance de soi. Que les enfants sachent d’où ils viennent, ce qui anime leur psyché, tant au niveau de leurs sentiments que de leurs hormones, qu’ils se sentent un minimum de pouvoir sur eux-mêmes. En essayant juste de leur apprendre à se connaîte, à reconnaître leurs besoins réels etc.. Même si c’est un rôle qui incombe aux parents à priori, malheureusement pour certains qui sont complètement désespérés ce n’est pas possible.
Il y a des enfants, qui dès le plus jeune age, sont en rupture avec leur vie intérieure, et à mon sens un des meilleurs moyens pour accéder à ses émotions, c’est l’art. Sous n’importe qu’elle forme. J’ai l’impression qu’il y a plein de solutions, pour améliorer le système scolaire, et aider les enseignants et les enfants et leur famille par la même occasion.
Je trouve ça incompréhensible, cette réduction des postes dans l’enseignement. D’abord parce qu’un enseignement humain ne peut être aussi systématisé pour être vraiment efficace, que pour les enseignants ce doit être de plus en plus difficile de maintenir un semblant de respect dans des classes surchargées, avec des enfants de plus en plus excitables par les diverses stimulations auxquels ils sont soumis et des contextes familiaux delicats. La différence est un enrichissement pour chacun, elle nous permet d’avoir accès à une conception du monde différente, et évite ainsi l’enfermement dans un système de pensée qui mène tout droit à l’entropie de ce même système. Seulement, pour que la communication entre des personnes différentes soit possible, qu’on dépasse les à priori et les peurs, il faut du temps, de la patience et des médiateurs, qui en l’occurence à l’école, sont des adultes. Et c’est d’eux, à mon sens, dont les enfants ont besoin avant tout. En supprimant des postes, en fermant des classes, ce système fait peser une responsabilité excessive sur les enseignants, niant les mutations du monde et l’impact qu’elles ont sur les enfants, et revendique que ceux-ci se prennent en charge beaucoup trop prématurément.
Ce que dénonce le livre, c’est un système de pensée. C’est pour ça que chaque être humain peut être assujetti à ce type de comportement. Et qu’un certain discernement et la connaissance de soi peut aider à percevoir quand la peur de ne pas se sentir exister conduit à réagir d’une manière destructive ou irrespectueuse pour l’autre.
A percevoir aussi quand l’autre agit de cette manière, parce que ce système est tellemment enraciné dans nos codes sociaux, que parfois avant de sentir l’atteinte, la blessure peut être béante.
Je suis d’accord avec certains commentaires qui disent que cet état d’esprit ne doit pas être éliminé, d’autant plus qu’il faut de tout pour faire un monde ! Et au delà de ça, cela fait partie de l’humanité, c’est un comportement qui s’avère destructeur la plupart du temps, mais qui a sans doute son utilité par moment. Parce qu’un certain nombre de personnes n’interagissent qu’en rapports de pouvoir. Et c’est leur droit !
Que ce mode relationnel soit dominant par contre ne l’est pas. Parce que tout le monde n’a pas envie de vivre selon ce modèle.
Je pense qu’il y a un certain nombre de techniques assez simples, pour désamorcer les manipulations des petits chefs avides de pouvoir et de désirs d’humiliations ( cela masquent en réalité, beaucoup de fragilité narcissique ). Qui nécessitent un peu de recul vis à vis de soi-même et une certaine connaissance de soi.
Certaines sont issues de la psychologie, d’autres s’inspirent des arts martiaux orientaux, ce qui les réunis est bien souvent la prise de conscience, que l’autre est un miroir, et que celui qui a du pouvoir, c’est celui à qui on le donne. Chacun a sa responsabilité là dedans. Et que si l’autre a du pouvoir sur un aspect de ma personnalité, c’est qu’il y a quelque chose à regarder à cet endroit . Le ou la petit(e) chef humiliant(e) peut devenir une occasion de se connaître mieux, et ainsi de changer son comportement. C’est comme un jeu, finalemment. L’autre teste ma réactivité en terme de rapport de force, n’y a t’il pas moyen d’y répondre autrement ?
Bien sur, il faut d’abord se sentir un peu calme, avoir pris un peu de recul par rapport à la situation, avoir exprimé sa colère et sa frustration, d’une manière qui ne soit pas destructrice, mais libératrice. Et ça, ce n’est pas le plus évident, mais ça vaut le coup d’essayer.
Après, le SC reprend sa place d’EH (être humain), avec ses fragilités, son désir d’exister à lui (ou à elle ) aussi etc..
@reid raster
« En second, j’ajoute que le nolife, tout comme le geek ou le nerd, est généralement un homme, car ce sont bel et bien les hommes qui peinent le plus à trouver une partenaire de vie. Il me semble bien que les femmes soient trop courtisées de toutes parts pour se retrouver seules, ce qui est le lot de bien des types qui passent alors le temps en jouant aux jeux vidéos. »
C’est intéressant, parce que j’ai l’impression que c’est récurrent, ce problème du « geek » par rapport aux femmes. Je crois que cette perception est erronée. Et que c’est juste de la peur de se confronter aux femmes, et de ne pas se trouver peut être aussi puissant que certains hommes aiment à se l’imaginer. Peut-être se mettent-ils la barre trop haut tout seul ou choisissent-ils des femmes très exigentes ou inaccessibles ! Un des problèmes majeurs pour moi des jeux vidéos, mais ce n’est pas limité à ce domaine, cela vaut aussi pour le cinéma, la musique etc., est la dictature par l’image d’une pseudo perfection. Très souvent, les modèles humains sont très stéréotypés que ce soit pour les hommes ou les femmes. Cela change un peu avec des jeux comme les Sims, où il y a un plus grand choix pour la création de personnages, mais ça reste très limité.
Il y a beaucoup de femmes seules, et particulièrement dans la société occidentale actuelle. Et je ne trouve pas non plus que ce soit vrai que ce sont les hommes qui peinent le plus à trouver une partenaire. Et puis en plus, il arrive que des hommes ayant une partenaire, jouent tout autant. Donc, même si il y a une peur paralysante de la relation à la femme notamment, c’est surtout de la peur et pas « réel », ça peut être dépassé .
Ce n’est pas parce qu’on est un gros puceau pustuleux, qu’on est rien ! Et puis est-ce une vision vraiment réaliste ? Parfois ce qu’on imagine de soi déforme le miroir.... et donc le reflet ne correspond pas à ce que d’autres pourraient penser. En tous cas, je trouve ce commentaire très sincère et ça c’est une qualité qui transcende les pustules !
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