• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Les commentaires de biotope



  • biotope 23 juillet 2009 20:01

    C’est de votre devoir d’arrêter les chauffards de la finance, les génocidaires capitalistes, les vampires du culte démoniaque du bonus financier... ###### ! [nom de fruit jaune, le plus souvent indigeste et farineux car ramassé vert et muri artificiellement sous emballage plastique]

    Mais il est plus aisé de sanctionner un sous-officier qui a provoqué un incendie de garigue que de donner la fessée à des financiers internationaux. Au moins on ne risque pas de finir comme JFK. et ça plait tellement aux blaireaux qui se gavent des fonds de télé poubelle.



  • biotope 6 mai 2009 09:01

    « On nage en pleine confusion, avec cette liste Dieudonné Dieudonné, censé drainer derrière lui un potentiel de partisans issu d’un vivier hypothétique de « jeunes de banlieue » en manque de politisation et qui pourraient être séduit par son positionnement « antisioniste ».. .. s’acoquine avec le Front National dont l’électorat de base a pour épouvantail les dits « jeunes de banlieue ». »


    La confusion n’est peut-être pas dans l’esprit de dieudonné, contrairement à ce que ressassent certains, mais bien dans l’esprit de ceux qui voit de la confusion dans son esprit. Je n’ai pas l’impression que dieudonné soit un homme d’esprit. Ses réations et ses sentiments sont plus viscéraux, tout simplement humains. Il n’aborde pas les humains par métaphysique interposée, mais charnellement. Il faut donc interpréter sa démarche à la lumière de réaction purement humaine.

    Contrairement à ce que disent ceux qui entendent en faire un affreux haineux, j’ai bien l’impression que le fond de sa démarche est tout bonnement liée à liberté d’expression, qui lui a été refusée depuis son fameux sketch pas fameux du reste.

    Beaucoup de maghrébins préfèrent la language franc de Le Pen au discours hypocrite, rusé, « typique des femmes », tant de la classe politique conventionnelle que des gens qui votent sarkozy plutôt que Le Pen (en demandant : passez le karcher mais ne dites pas qu’on vous l’a demandé, ne nous éclaboussez pas). Ceux-là préfèrent qu’on leur dise en face ce qui ne va pas avec eux, afin de pouvoir s’expliquer, franchement, virilement. Entre Le Pen et eux il y a sans doute un rapport plus authentique et finalement de respect mutuel qu’entre eux et les poulettes de luxe du pseudo socialisme contemporain.

    Certains maghrébins font copains comme cochons avec la classe politique parce qu’ils sont aussi faux jetons qu’eux : par devant c’est tout sourire, mais par derrière ça critique à tout de bras les Français, la France, les moeurs françaises, etc.

    Si dieudonné et certains maghrébins attaquent les juifs, c’est sans doute moins une attaque contre les juifs (faute de quoi c’est aussi une attaque contre ceux qui les suivent religieusement à la trace, à savoir les musulmans voire les chrétiens), qu’une attaque contre ceux qui monopolisent les médias en édictant ce qui doit être pensé, dit, pas dit, qui a le droit de cité et qui ne l’a pas... et il se trouve que ces gens qui monopolisent les médias sont... cherchez donc qui sont ces gens et regardez de qui se composent les intervenants des émissions de « débat » (de propagande, de lavage de cerveau).

    Il semblerait donc que le problème de fond ne soit pas l’antijudaisme mais l’absence de pluralité d’opinion (plus que de liberté d’expression sans retenue) sur fond de déficit de démocratie.
    Les maghrébins qui ne haissent pas Le Pen et qui suivent Dieudonné, ils pourraient sans doute dire que le monde politique, manque de pureté divine, il a que trop des relents de perversité satanique.

    Les plus détestables sont loins d’êtres ceux que désignent ceux qui ne jurent que par le discours des politiques et les programmes télévisés. Les plus haineux sont sans doute moins ceux qui réfléchissent et contestent que ceux qui se contentent d’obéir aux injonctions des tenants du pouvoir.



  • biotope 4 mai 2009 12:31

    J’avais acheté 1000 frs mon premier portable, un sagem bibande, au lieu d’un monobande à 500frs. La bibande ne m’a pas été utile et j’ai gardé le portable 7 ans. 1 rechargement ts les 8 mois. J’ai perdu la ligne en oubliant de la recharger ; organe m’avait envoyé un carton d’avertissement, mais trop tard. J’ai pris un portable premier prix , un sagem à 5€, chez SFR. Je recharger tous les 6 mois à 5 euros. Il me sert essentiellement de réveil. Je ne l’ai pas écrasé à coup de marteau parce qu’il me permet d’être appelé, mais quand je m’en sers il me brûle l’oreille dès les 10 premières secondes, comme si j’avais pris un coup de soleil. Résultat, si quelqu’un me tient au téléphone (bien tranquille à papoter avec son oreillette) ça me brûle tellement que ça m’irrite, et je m’énerve, je monte le ton... bref, j’ai un portable mais c’est comme si j’en avais pas (quand je l’utilise je change de coté, je l’éloigne, je souffle dessus pour le refoidrir car il chauffe un peu). Si la loi Hapodi nous impose un mouchard je résilierais mon forfait internet. Même si ça fait passer à coté de beaucoup d’infos, ça me fera le plus grand bien. Je reprendrais peut-être un forfait de temps en temps, le temps de faire le plein d’infos, de documents, et puis basta.



  • biotope 30 janvier 2009 18:55

    Mouais, des études financées par les coupeurs de verge, ça c’est du sérieux, comme les études de l’industrie agroalimentaire, pharmaceutique, et autres.

    le sujet est largement documenté dans le monde médical. cette pratique perdure pour une seule raison : elle est imposée par la violence, l’intimidation, la désinformation, à des personnes en étant de faiblesse physique, morale, mentale, intellectuelle, sociale, financière. cette pratique perdure comme perdure tous les autres crimes.

    libre à vous de la considérer comme chose à part, la seule et dernière chose qui doit distinguer l’homme et la femme. il y a suffisament de site, de livres, d’articles, qui expliquent les dégâts provoqués par cette pratique. je ne peux que me réjouir que tous ceux qui supporte cette pratique ignominieuse subissent la violence portée par la culture de la circoncision.



  • biotope 30 janvier 2009 18:50

    on peut aussi dire qu’il n’y a pas de rituel dans les formes contemporaines de circoncision. les demandeurs agissent sous le coup de pulsions ; pulsion de mort. leur comportement est induit, soit pas la propagande, soit par la haine de l’autre sexe, par le désir féministe de revenche sur le mâle, le désir de pouvoir, etc.

    rituel ou pas, il s’agit d’une démarche malsaine. et voir avec quel mauvaise foi nombre d’idiot-es, de pervers-es, se plaisent à surfer sur le monothéisme pour justifier l’amputation de garçons qui ne st même pas adeptes du monothéisme, en arguant de prétexte hygiéniste, culturel (« les américains le font »), etc. est plus que douteux.

    les femmes entretiennent volontiers la bestialité humaine, notamment celle des « hommes ». il n’est que justice que cette bestialité se retourne contre elles.



  • biotope 30 janvier 2009 18:29

    CODE PENAL (Partie Législative) LIVRE II ; Des crimes et délits contre les personnes TITRE II ; Des atteintes à la personne humaine CHAPITRE II ; Des atteintes à l’intégrité physique ou psychique de la personne Section 1 ; Des atteintes volontaires à l’intégrité de la personne Paragraphe 1 ; Des tortures et actes de barbarie Article 222-1

    Le fait de soumettre une personne à des tortures ou à des actes de barbarie est puni de quinze ans de réclusion criminelle. Les deux premiers alinéas de l’article 132-23 relatif à la période de sûreté sont applicables à l’infraction prévue par le présent article.

    http://droit.org/code/CPENALLL-222-1.html



  • biotope 29 janvier 2009 21:37

    C’est le cas, par exemple en Inde, où les adolescentes sont dépucelées par des prêtres hindou. officiellement c’est désormais interdit, mais cela se pratique encore. les gens le savent mais se taisent.

    et que je sache, les réseaux pédos sont des réseaux rituels, où les viols d’enfants sont ritualisés. les gens qui font ça, y compris dans les « familles », procèdent par actes rituels, compulsifs pour exorciser quelque chose (leurs abus personnels, etc.), pour se donner une dose quotidienne ou hebdomadaire de « pouvoir » (sur personne soumise, faible). etc.

    boire un café, aller au ciné, aller aux putes, tirer son coup... ne sont-ce pas des actes rituels pour la plupart des gens ?



  • biotope 29 janvier 2009 21:20

    « ous mélangez les problèmes, Biotope. La circoncision, l’excision ou l’infibulation sont des pratiques à caractère rituel (vous l’avez souligné vous-même) qui n’ont rien à voir avec des pulsions sexuelles et des rapports imposés à ses propres enfants. »

    et qu’est-ce qui se cache derrière les rituels ?

    et prétendre que les violences sexuelles relèvent de pulsions sexuelles, c’est de pas connaître le sujet.

    les mutilations génitales rituelles, comme les autres agressions sur les organes génitaux, relèvent d’une volonté de négation de la personne, de domination, d’atteinte à la personnalité, à l’intégrité physique et morale, etc.

    je ne prétends pas être un expert mais acceptez l’idée que vous avez besoin de reconsidérer votre conception de l’agression sexuelle.

    avant que la chose publique ne déclare la négligence, l’abandon, le manque de soin, comme de la maltraitance, vous auriez sans aucun doute dit qu’il ne s’agit pas de violence comme des coups, et pourtant les effets sont identiques.

    il en est de même pour la circoncision.

    les abrutis répètent à l’envie qu’il n’y a pas d’effets négatifs visibles à la circoncision, mais ces effets sont pourtant flagrant : ils sont ceux qui plongent le monde dans la barbarie, la perversité, la bestialité sanguinaire.

    J’ai dit ce que je voulais dire. Il est vain de chercher à faire comprendre. Pour comprendre ce que l’on ne comprend pas, il faut accepter de sortir de soi, de son histoire, et se mettre à la place des autres. Peu nombreux st ceux qui sont disposés ou capables de faire cela. Plus nbreux st ceux qui se contentent d’appréhender les choses intellectuellement. Et ils croient ainsi comprendre, mais ils ne comprendre rien.



  • biotope 29 janvier 2009 18:59

    A quand le crime de circoncision au pénal, comme ce devrait être le cas au terme de l’article 222 du nouveau code pénal ? Quand les coupeurs de verge ne seront plus ceux qui font et appliquent les lois. Quand ils ne seront plus juges et parties.



  • biotope 29 janvier 2009 18:59

    A quand le crime de circoncision au pénal, comme ce devrait être le cas au terme de l’article 222 du nouveau code pénal ? Quand les coupeurs de verge ne seront plus ceux qui font et appliquent les lois. Quand ils ne seront plus juges et parties.



  • biotope 29 janvier 2009 18:56

    Je m’étonne, sans m’étonner, de ne pas voir mentionné les mutilations génitales rituelles, notamment la circoncision.

    Ou bien faudra-t-il cesser de parler de violence sexuelle quand l’enfant violenté aura été anesthésié avant d’être sexuellement abusé ?

    Suffit-il d’anesthésier une femme pour pouvoir lui fracasser la tronche ?

    Non ? Pourtant n’importe quel perverse peut traiter le sexe de « son fils » de laid, de sale, de puant, d’impur, avant de demander à un type de l’amputer d’un de ses parties que nul n’ose enlever aux filles.

    Donc voilà, quand j’assiste à cette mascarade de la violence sexuelle faite aux enfants, je n’ai que mépris pour tous ceux qui ne voient pas l’utilité ou la justification d’ajouter le crime de circoncision. Mais peut-être ces individus considèrent-ils que sodomiser un enfant n’est rien d’autre qu’une mesure hygiénique comme le moucher.



  • biotope 26 janvier 2009 13:27

    Moi je propose une amende à quiconque parle arabe dans la rue. ça fera rentrer de l’argent dans les caisse de l’Etat.



  • biotope 26 janvier 2009 13:10

    Rien à foutre de miss ultrabrite



  • biotope 12 janvier 2009 19:37

    Comme tout orgniamse ou établissement de formation, lycée ou fac comprise, l’afpa n’est pas parfaite, ni dans son fonctionnement ni dans son contenu pédagogique. N’empêche qu’elle forme utilsement à des métiers qui embauchent/ embauchaient : ouvriers et technicien du bâtiment, employé du tertiaire, etc. Le niveau de compétence à la sortie est celui d’une personne qui vient d’avoir son permis alors que les entreprises demandent des pilotes de rallye, mais après 1 an de pratique en entreprise, une personne normalement douée peut rivaliser avec beaucoup de travailleurs qui ont plusieurs années d’expérience. Certains se mettent à leur compte dès la sortie de formation, et ça marche, plus ou moins. Maintenant c’est sûr que faire une formation de compta niveau bep ou même bac, c’est quasi inutile. idem pour agent administratif d’entreprise. le problème des formations sans débouchés se pose à tous les niveaux de qualification et avec tous les établissements de formation, ou presque (des HEC se retrouvent « manager » de fast-food...)

    L’américanisation de la France se poursuit, avec la privatisation de l’enseignement, qui coûtera à terme ce qu’il coûte aux USA. De plus en plus il faudra payer soi-même sa formation, ou prendre un crédit si on a la chance d’être un des rares chômeurs qui peut rapporter gros à un banquier. Malheur à ceux qui n’auront pas un niveau de formation initial général et élevé. Ce sera dûr de se remettre d’un accident de la vie qui oblige à reprendre des études à l’âge adulte. Et faut croire que, comme en Italie, seule la mafia offrira des déboûchés.



  • biotope 11 janvier 2009 09:03

    La crise selon lindon larouche

    http://leweb2zero.tv/video/miniplein_61493dbd3583ba7

    la crise n’a pas commencé avec l’explosion de la bulle immo

    le système ne peut pas être sauvé : il faut garantir les dettes lié à l’économie réelle et annuler les autres

    rocard plaide ainsi même pour une banqueroute organisée : http://www.solidariteetprogres.org/article5002.html



  • biotope 31 décembre 2008 09:46

    Si « on » ne passait pas son temps, si « on » ne monopolisait pas l’espace public, éducatif, publicitaire, promotionel, médiatique... avec ce qui se passe au moyen-orient (une espèce d’évènement laxatif versé dans le petit dej, le repas de midi, et dans la soupe du soir)... les gens auraient plus d’attention à porter à ce qui se passe chez eux, tout à coté, à leurs pieds.

    Arrêtez donc tous de verser des laxatifs (pour être correct) avec toujours les mêmes histoires orientales. Pour une fois, pendant une année, essayez donc, si vous le pouvez, si vous pouvez résister au diktat imprécateur de l’Ordre, de ne plus écrire d’article et de ne plus commenter les articles qui font chier le monde depuis 60 ans (oui « CHIER », je l’ai dit). Laissez les orientaux creuver dans leur coin, dans l’indifférence générale, et occupez-vous des vôtres, qui sont aux pieds de vos immeubles, dans vos sous-sols.

    Le temps est compté, l’énergie est comptée, le temps durant lequel un individu peut mobiliser son attention, sans concentration, sa mémoire, est compté. Pour une fois, durant l’année 2009, que ce temps soit consacré à autre chose que toujours les mêmes choses. Vous penez que ce sera possible ? Moi non, pas pour vous ; pour moi c’est déjà fait, je boycotte, j’ignore, je zappe.



  • biotope 14 décembre 2008 09:08

    Les lois sont souvent édictées pour faire croire que les problèmes sont pris en main, mais comme aucuns moyens ne sont alloués pour appliquer les lois, c’est du foutage de gueule. Toute personne aertie sait pourquoi l’Etat français, qui se targue de défendre les droits de l’Homme, se couche devant les circonciseurs.

    Facile de dire « l’atteinte à l’intégrité physique », « la violence sexuelle », etc. sont réprimées par la loi (ça fait bien sur le CV de la France, de l’Occident, ça lui donne bonne allure), puisque les dépositaires de la loi s’empressent de dire que la circoncision n’est pas une violence sexuelle.

    Un article pour résumer la chose :

    http://www.droit.univ-paris5.fr/cddm/modules.php?name=News&file=article&sid=59

    [attention : pas d’espace entre « s.php » et «  ?name »]

    Là où cela rejoint le féminisme, et les actions aussi débiles que celle décrite dans l’article agora (une action qui reprend celle d’une américaine il y a quelques années, qui a obten le droit de se ballader seins nus dans le métro de new-york, « comme les hommes »), c’est que le féminisme cache d’autre chose que la prétendue « défense des femmes » ou « promotion de l’égalité des sexes » ; il cache une destruction des nations, une « émasculation psychologique » des hommes pour prendre le contrôle des nations.

    Il y a une escroquerie dans le féminisme, même si quelques femmes qui se disent du féminisme sont animées d’un réel esprit égalitaire. La masse des néoféministes ne sont que des animaux de basse-cour qui font de l’agitation et qui urinent là où leur dit de faire. Elles agitent les mots du féminisme mais ne sont pas animées par un quelconque esprit d’égalité des sexes. Elles exploitent les beaux principes de manière sexistes, égoïstes, comme les machistes. Même espèce, même genre, même acabit.

    Une féministe américaines a dit : « les femmes ne seront jamais les égales des hommes tant qu’elles ne seront pas circoncises comme eux » (parlant tout au moins de la situation américaine)

    Isabelle CORPART Maître de conférences en droit privé à l’Université de Haute Alsace

    La Circoncision

    Etude (Mise à jour le 26/10/04)

    La circoncision est une excision totale ou partielle du prépuce. L’ablation chirurgicale du prépuce chez les garçons est parfois ordonnée à titre thérapeutique, mais le plus souvent, il s’agit d’une pratique rituelle. Pratiquée dans les religions juive et musulmane, elle est alors un signe d’appartenance à la religion. La circoncision sur indication médicale est justifiée par la permission de la loi, comme toute atteinte exceptionnelle au corps humain. Le droit a toutefois à connaître des suites dommageables d’une telle intervention. Quant à la circoncision rituelle, sans être autorisée expressément, elle n’est pas non plus interdite. En principe, elle ne comporte pas de risque pour la santé de l’enfant. Le plus souvent couverte par le secret des familles, elle est révélée au grand jour en cas de désaccord entre les père et mère quant à l’éducation ou la religion de l’enfant, ou encore lorsque l’opération cause exceptionnellement un dommage irréversible à l’intéressé. Les difficultés que pose cette intervention chirurgicale sont tantôt liées à la place de chacun des parents auprès de l’enfant, tantôt à la mise en jeu des responsabilités encourues en cas d’insuccès de l’opération.

    I - La circoncision et l’exercice conjoint de l’autorité parentale

    La loi n° 2002-305 du 4 mars 2002 relative à l’autorité parentale a fait émerger un droit commun de l’autorité parentale. Elle consacre un grand principe de coparentalité, mettant à égalité tous les parents qu’ils soient mariés ou concubins, vivant en couple ou séparés. Les décisions graves concernant l’enfant doivent être prises dans le respect de cette coparentalité, si bien qu’une circoncision faite à la demande d’un seul parent suscite des interrogations.

    A. La protection de l’intégrité physique du corps de l’enfant par ses parents

    Selon l’article 371-1 al 2 du Code civil, les père et mère ont le droit et le devoir de protéger leur enfant mineur non émancipé dans sa santé. Titulaires de l’autorité parentale, ils se voient confier un ensemble de droits et de devoirs ayant pour finalité l’intérêt de l’enfant. Dès lors, ils sont ensemble garants de sa santé et de son intégrité physique. Il leur appartient de solliciter tout acte médical ou toute intervention médicale sur la personne de leur enfant. Tel est le cas lorsque la circoncision répond à des impératifs médicaux (certaines malformations congénitales justifient cette intervention). Cette violation de l’intégrité corporelle est exceptionnellement admise, car elle s’accorde avec l’article 16-3 du Code civil. Conformément à la loi n° 2002-303 du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé, aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne (art. L.1111-4 CSP). Le patient mineur ne pouvant, par principe, consentir lui-même à cet acte médical en raison de son incapacité juridique, ce droit est exercé par ses parents ; cependant, si la circoncision n’est pas pratiquée sur un nouveau-né, mais sur un enfant plus âgé et ayant un degré de maturité suffisant, les parents sont obligés d’associer l’enfant à leur décision depuis la réforme relative à l’autorité parentale (C. civ. art. 371-1, al. 3). Dans le même sens, le code de déontologie médicale prévoit que le médecin appelé à donner des soins à un mineur doit s’efforcer de prévenir ses père et mère et d’obtenir leur consentement (art. 42).

    La question est plus délicate lorsque la circoncision n’est pas justifiée par un intérêt médical. En effet, chacun a droit au respect de son corps (C. civ. art.16-1) Le principe de l’inviolabilité du corps humain recevant application tant au civil qu’au pénal, devrait entraîner des sanctions. Toutefois, pratique très ancienne, la circoncision est tolérée tant qu’elle repose sur un consensus parental.

    B. La circoncision pratiquée sur décision unilatérale d’un parent de l’enfant

    L’article 372-2 du Code civil instaure une présomption de pouvoir entre les parents de l’enfant, qu’ils soient ou non mariés, vivent ensemble ou séparément. En conséquence, le père est réputé agir avec l’accord de la mère pour tous les actes de la vie quotidienne qu’il entreprend et inversement, à supposer que le tiers soit de bonne foi, c’est-à-dire ignore que les parents sont en désaccord.

    Toutes les difficultés ne sont pas aplanies pour autant, le législateur s’étant bien gardé de définir la notion d’acte usuel. On admet généralement qu’un parent peut faire seul un certain nombre de démarches administratives (demande de cartes d’identité ou de passeport, inscription scolaire ou demande de dérogation), inscrire l’enfant dans un club de sport ou de loisirs et également ordonner des interventions médicales de routine ou ne créant aucun risque grave pour l’enfant. En revanche, pour une demande d’ablation de prépuce, des nuances s’imposent. En effet, si une opération du phimosis peut être faite valablement à la demande d’un parent agissant seul (TGI Paris, 6 novembre 1973), une circoncision rituelle n’est pas considérée comme un acte usuel, si bien qu’elle nécessite un double consentement parental (Cass. Civ. 1, 26 janvier 1994). C’est toutefois au médecin d’apprécier au cas par cas la nature de l’acte envisagé. Encore faut-il préciser que le choix de la religion est une décision prise conjointement par le couple et que tout différend devra être réglé par le juge aux affaires familiales, conformément à l’intérêt de l’enfant.

    Une circoncision pratiquée par un parent malgré l’opposition de l’autre peut être doublement sanctionnée. D’une part, comme nous le verrons, en engageant sa responsabilité civile, d’autre part, en restreignant ses prérogatives. Le législateur sanctionne effectivement les dépassements de pouvoir dans l’exercice de l’autorité parentale lorsque les circonstances le justifient. Ainsi, alors que l’exercice du droit de visite et d’hébergement ne peut êre refusé à l’autre parent que pour des motifs graves (C. civ., art. 373-2-1 al. 2), le juge peut tenir compte de l’attitude d’un parent. Il peut estimer que le fait de confier les jeunes enfants à leur père est préjudiciable à leurs intérêts, dès lors qu’il leur a imposé la circoncision dans des conditions menaçant leur équilibre (CA Paris, 29 septembre 2000). En conséquence, le juge peut refuser à ce dernier tout droit de visite afin de soustraire les enfants à son autorité (Cass. Civ. 1, 24 octobre 2000). En cas de désaccord parental, le père ou la mère peuvent s’opposer à une opération non médicalement justifiée en demandant au juge aux affaires familiales de trancher (C. civ., art. 373-2-6) ou en saisissant le juge des enfants, s’ils estiment que la santé du mineur est en danger (C. civ., art. 375). En outre, une fois la circoncision réalisée, la mise en oeuvre de la responsabilité civile ou pénale est envisageable.

    II - La circoncision et les responsabilités encourues

    Au regard du droit civil et du droit pénal, une circoncision ne pose véritablement de difficulté que dans des situations extrêmes. Nombre de sectionnements sont pratiqués dans le secret d’un cabinet médical ou dans un service hospitalier, avec l’accord des parents et dans le respect des règles de l’art. En revanche, les désaccords entre les parents et les suites dommageables des ablations de prépuce peuvent entraîner des sanctions tant civiles que pénales.

    A. La circoncision et la mise en oeuvre de la responsabilité civile

    Des actions fondées sur le droit de la responsabilité civile peuvent être engagées dans deux situations. Premièrement, à l’encontre d’un parent. En effet, dans la mesure où la circoncision rituelle est pratiquée par l’un des parents à l’insu de l’autre, ce dernier peut valablement intenter une action en responsabilité civile contre l’instigateur de l’opération (C. civ., art. 1382) (CA Paris 29 septembre 2000, précité). Toutes les fois où les parents ne respectent pas les règles relatives à l’exercice en commun de l’autorité parentale, ils encourent des sanctions. Le fait que le couple conjugal se disloque n’y change rien, puisque la coparentalité perdure au-delà. Ainsi la Cour de cassation a-t-elle admis que, si le mari emmène son fils au Maroc pour le faire circoncire, les circonstances justifient à elles seules la demande en dommage-intérêt introduite par la mère (Cass. Civ. 2, 17 décembre 1998). Dans cette affaire, le père a effectivement profité de l’exercice de son droit d’hébergement pour prendre cette décision grave sans l’assentiment de la mère. L’arrêt relève en outre que cet acte chirurgical ne s’imposait pas d’après les certificats médicaux versés au dossier.

    Deuxièmement, le médecin qui a pratiqué la circoncision peut être poursuivi civilement. Seuls les actes médicaux peu graves peuvent être pratiqués avec l’autorisation d’un seul parent ; les traitements plus invasifs, voire dangereux ou affectant l’avenir de l’enfant nécessitent quant à eux un double consentement. Le médecin est responsable s’il ne s’est pas entouré des autorisations nécessaires. En outre, la circoncision est un acte chirurgical qui nécessite une anesthésie et s’accompagne parfois de complications (infection, amputation, nécrose du gland, hémorragie). Les suites dommageables de l’intervention chirurgicale engagent le médecin qui commet une faute au moment de l’ablation ou lors des soins ultérieurs. Tenu d’une obligation de moyens, le médecin doit donner au malade des soins consciencieux et attentifs : les professionnels de santé ne sont responsables d’un acte médical qu’en cas de faute (C. santé publ., art. 1142-1, I, al. 1er). Le médecin est responsable en cas de négligence. Il est également tenu d’informer les parents de l’enfant de toutes les suites, notamment du caractère irréversible de l’intervention. Même le médecin agréé par les autorités religieuses pour pratiquer en qualité de « mohel » (l’accès à la fonction de « mohel » est réglementé) des actes de circoncision rituelle peut être jugé responsable des dommages causés à l’enfant (CA Paris, 12 février 1992).

    B. La circoncision et la mise en oeuvre de la responsabilité pénale

    Hormis les cas où l’intervention est pratiquée pour préserver la santé de l’enfant, on peut se demander s’il s’agit d’un « acte médical » qui justifie, au regard de la loi pénale, une atteinte à l’intégrité physique de l’enfant. Dès lors, l’incrimination d’atteinte volontaire à l’intégrité corporelle serait applicable. En la matière, un parallèle peut être mené avec l’excision, condamnée pénalement pour mutilation ou barbarie (CP, art. 222- 9) ; la même question se pose pour la stérilisation et en particulier la ligature des trompes. En effet, si le droit français reconnaît à chacun le droit de choisir librement sa religion, il n’autorise pas la libre pratique de mutilations sous couvert de conceptions religieuses. Un rapprochement doit être fait entre la circoncision et l’excision car, dans les deux cas, il s’agit d’interventions non justifiées par un intérêt médical et préjudiciable à l’intégrité physique de l’enfant. Dès lors, ces atteintes devraient être jugées contraires à l’article 16-3 du Code civil. Ordonnées en dehors de tout impératif médical, elles devraient être prohibées (pour la ligature des trompes de Fallope, V Cass. avis 6 juillet 1998). Pourtant les tribunaux ne suivent pas cette approche. En effet, le Code pénal ne prévoit aucune incrimination spéciale pour les mutilations génitales. Si, dans l’ancien code pénal, le crime de castration était clairement qualifié et sévèrement condamné, ni la circoncision, ni l’excision ne sont explicitement condamnées. Les mutilations génitales tombent en principe sous le coup de lois plus générales (CP, art. 222-1 et suivants relatifs aux atteintes volontaires à l’intégrité de la personne). L’enfant est précisément protégé contre les mauvais traitements à caractère physique : les textes visent les actes de torture, de barbarie, les coups et blessures volontaires. C’est sur ce fondement de violences physiques que sont poursuivis et condamnés ceux qui se livrent à des mutilations rituelles. Des décisions en ce sens ont effectivement sanctionné les personnes ayant pratiqué une excision (Cass. crim. 20 août 1983) En revanche, la question reste entière pour la circoncision. Pratiquée sur indication médicale, elle n’est évidemment pas condamnable. Cependant la circoncision rituelle est plus ambiguë. On peut relever ici une tolérance certaine à l’égard de cette atteinte à l’intégrité physique qui n’a jamais fait l’objet de poursuites pénales. Elle n’est pas jugée contraire à l’ordre public. La frontière avec les mutilations qui, quant à elles, amènent des sanctions pénales, reste pourtant ténue, surtout si l’intervention se solde par un échec.

    Un autre argument pour l’admission d’une permission coutumière peut être trouvé dans les travaux préparatoires de la Convention internationale des droits de l’enfant de 1989, visant spécialement l’article 24 alinéa 3 qui tend à « abolir les pratiques traditionnelles préjudiciables à la santé des enfants », dans la mesure où ils n’ont porté que sur l’excision.

    Force est de constater que les autorités législatives, judiciaires ou exécutives sont réticentes à prendre des mesures visant à interdire cette atteinte à l’intégrité physique. Plusieurs raisons peuvent sans doute être invoquées. La première tient aux obstacles d’ordre matériel qu’il y aurait à combattre des pratiques largement diffusées. La seconde à la difficulté de déterminer quelles sont les personnes qu’il convient de poursuivre pénalement. Enfin, la condamnation de la circoncision rituelle renverrait les familles dans la clandestinité, avec tous les risques que cela génèrerait pour l’enfant. Le mieux n’est-il pas l’ennemi du bien ?



  • biotope 13 décembre 2008 12:57

    Et quand les seins seront banalisés comme en Afrique, quel sera le symbole sexuel par excellence ? les fesses, comme en Afrique ?

    C’est quoi le but, passer son temps à prendre les hommes en porte-à-faux ? Chaque fois que les hommes voudront voir les femmes avec un regard sexuel, ils se feront châtrer, par la loi à défaut de pouvoir l’être physiquement ?

    Y’a une truc que je trouve étrange : tout le modne trouve désormais normal qu’hommes et femmes subissent les mêmes opérations de chirurgies esthétiques, qu’ils soient soumis au même diktat de la mode, de l’esthétique, de l’apparence, etc. par contre aucune féministe ne revendique la banalisation de la circoncision féminine, à savoir l’équivalent féminin de la circoncision féminine, ou dit autrement l’ablation des peaux de vulve.

    La circoncision est la seule chose qui reste l’appanage des hommes ; les vieux l’infligent aux jeune spour les soumettre, et les femmes neoféministes l’infligent aux garçons pour soumettre les hommes. Les tumultueuses n’ont-elles pas envie d’être totalement nues ? le plus intimement nu qui soit ? avec les peaux de vulve en moins ? Etrange que les américaines dont elles s’inspirent ne revendiquent pas le droit de pouvoir choisir entre un homme circoncis et un homme intact, étrange qu’elles se satisfassent que les hommes soient tous circoncis. Comment se fait-il que les féministes ne revendiquent pas pour les femmes le droit d’être circoncises, la banalisation de la circoncision féminine ?

    Que font-elles du droit que certains veulent de ne pas se voir infliger la vue de glandes mammaires qui, contrairement à ce qu’exhibent les mass medias, sont loins d’être tous affriolants. en clair, non seulement les féminin veulent priver les hommes de leur plaisir sexuel, mais elles veulent leur infliger la dégueulasserie des menstrues, des seins moches, des femmes nues plus proches des femelles primates que des créatures sublimes immaginées par les hommes pour pouvoir aimer les femmes.

    C’est étrange : soit cette mutilation génitale rituelle est un faire-valoir social, auquel cas c’est une discimination de la femme que de ne pas circoncire les filles, soit c’est un acte de négation et c’est alors une discrimination des hommes que de ne pas circoncire les femmes. Ceci ne semble déranger personne, et surtout celles qui prétendent incarner l’égalité des sexes, l’égalité du traitement des sexes.

    Je prévois déjà les réponses débiles, qui reflètent le blocage mental, le conditionnement qui empêche toute réflexion non induite : l’excision n’a rien à voir avec la circoncision, l’excision est un crime condamnée par la loi, pas la circoncision.

    Avis à ceux qui voudraient sortir ce genre de poncif : Epargnez-vous, épargnez-moi ; ignorez mon message.



  • biotope 6 septembre 2008 09:14

    C’est pas facile de faire de la croissance quand on a plus de colonies, de peuples à exploiter, de ressources naturelles gratuites puisque volées aux colonisés. Quand en plus on tombe sous la coupe de financiers internationaux, du grand patronat, des mafias diverses, [pléonasme] qui se foutent de la nation française, eux pour qui ne comptent que le profit, eux qui détruisent les nations, les familles, les indentités, les cultures, pour transformer les gens en consommateurs solitaires, consommés consommables isolés face à leur puissance mafieuse. C’est bien ceux-là qui en appellent à la main d’oeuvre étrangères pour casser le salaire des autochtones, ceux-là qu itiennent les médias de masse dont se goifrent ceux qui se plaignent de ne plus avoir de boulot, d’être envahis par les étrangers, ceux qui se font mettre par devant et par derrière.

    Pour que la France remonte la pente, une condition première, de laquelle découleront les autres : que les français cessent de s’abrutir avec les mass medias des vendeurs d’armes, des financiers internationaux sans bannière autre que celle de l’argent. Les français s’imaginent manifestement qu’ils deviendront riches en suivant les pirates battant pavillons monétaires, mais ils n’ont manifestement pas encore compris que ces pirates les mènent à leur perte. Tant pis pour eux s’ils ont du plomb dans la tête en croyant avoir de l’or, quand eux-même disent « que les plombés [par le sida, la maladie, l’infortune, la laideur, l’ignonrance...] soient plombés par le système ».



  • biotope 24 août 2008 11:51

    « Il vous faut urgemment consulter un psychiatre ! »

    ça c’est de l’argument. moi je dois consulter un psy, mais pas les coupeurs de verge et leurs épigones.

    votre anus est trop dilaté. vous avez pris goût à la sodomie. remontez donc votre pantalon, ça sent pas bon.