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Les commentaires de glattering



  • glattering 28 octobre 2013 03:41

    L’auteur confond beaucoup de choses. Car en effet un état ne fait pas faillite. D’ailleurs là l’auteur décrit ce qui se passe si l’état décide ne fermer ses services, ce qui est à peu près le contraire de faire défaut (et non pas faire faillite).

    Car dans le cas d’un défaut de paiement de la dette (ou d’une partie de celle ci), et bien c’est un véritable regain d’air, songez y, imaginez 50 milliards à payer en moins dans l’année, ça ne justifierait en rien de fermer les services de l’état, bien au contraire.

    Non, le shutdown est justement le symptôme d’un état qui dédie son action tout entière à payer les intérêts à ses créanciers, avant même le fait de fournir les services de base à ses citoyens.
    C’est donc bel et bien une preuve d’une soumission totale aux créanciers, tout le contraire d’un défaut de paiement, qui lui consiste à dire aux créanciers d’aller se faire voir (et en général, après un défaut, les créanciers ne fuient pas, ils reviennent illico, avec encore plus d’entrain, car même s’ils ont un goût amer,ils savent qu’une fois assainis, les comptes publiques permettront d’autant mieux de rembourser la dette à venir...).

    Business is business.



  • glattering 22 mars 2013 19:05

    Je pense qu’ils vont le garder tant qu’il aura un role d’enfumage, c’est a dire aupres des gens qui votent pour le PS en pensant qu’ils sont socialistes, ou du moins en pensant qu’ils defendent des acquis sociaux (d’ou le plus gros changement entre ce gouvernement et le precedent, ce ne sont pas les faits, c’est le discours, qui au lieu de dire oui, detruisons les acquis car il sont un boulet a nos pieds, dit a la place ah oui, bon on aimerait bien les conserver mais on n’a pas le choix que de les supprimer)

    Le jour ou ce mot ne servira plus a tromper la galerie, c’est sur, il degagera.



  • glattering 22 mars 2013 16:18

    Et comme les liberaux ont l’acces quasi exclusif aux medias, ils font tout pour qu’on vote pour eux.

     !) Du coup, voter non liberal (donc ni UMP ni PS) c’est voter extremiste selon eux.
    2) ne pas voter, c’est devenu anti democratique selon eux.
    3) bref, si on ne peut plus ne pas voter, ni voter sereinement selon sa conscience, car ces 2 actes sont devenus socialement montres du doigt, il reste quoi ? Il ne reste qu’un choix, c’est a dire pas le choix, a savoir voter liberal.



  • glattering 22 mars 2013 16:14

    Petite remarque : a partir du moment ou vous les appelez n’importe quoi socialiste, vous vous etes fait enfumer. Le mot socialiste apparait bien dans le nom du parti, le PS. Et la reference au socialistes s’arrete la.

    Nous avons des liberaux, de differentes sensibilites, certain des neo liberaux, d’autre des socio liberaux, mais ils restent tous, PS comme UMP, des liberaux. Le clivage n’est plus entre ce qu’on appelle gauche et droite aujourd’hui, ou plus le clivage gauche droite ne coincide plus (et fut-ce ne serait-ce qu’un jour le cas ?) avec les partis PS et UMP. Le PS et l’UMP sont des liberaux.

    Si on appelle droite le cadre, et gauche ceux qui veulent sortir du cadre, alors le PS et l’UMP sont clairement de droite. Le FdG et le FN sont centristes. Et des partis hors du cadre ? Peu ou pas.



  • glattering 21 mars 2013 18:21

    "Mais nos descendants, que feront-ils de la dette publique, qui nous permet de maintenir les mécanismes de l’Etat-Providence ?"

    Je ne vois pas en quoi la dette nous PERMET de MAINTENIR nos acquis sociaux. Au contraire, elle est l’outil qui permet de justifier leur disparition.



  • glattering 21 mars 2013 18:17

    Je vous suis entierement lorsque vous dites que nous hypothequons notre avenir en detruisant la planete sur laquelle nous vivons.

    En revanche, le coup de la dette et des generations futures, c’est un gros contre sens. La dette n’est pas une dette que nous laissons a nos enfants. Ou plutot, oui, mais pas que. La dette n’est que le transfert de richesses des detenteurs de la dette vers les detenteurs des creances (de ceux qui on emprunte vers ceux qui ont prete).

    Et si la dette des uns est transmise aux generations futures, ou du moins a une partie des generations futures, il faut bien garder en tete que les creances des autres sont egalement transmises, elles, a une autre partie des generations futures.

    Donc la dette n’est pas un transfert de richesses des generations futures vers nous, mais a tout moment, elle est un transfert de richesses d’une categorie de la population vers une autre, c’est donc en permanence une transfert au sein de la population presente.



  • glattering 22 février 2013 01:27

    Voire même une machine à vide qui tourne avide...



  • glattering 15 février 2013 20:31

    Je souscris a votre intervention, sauf pour la citation de fin, « science sans conscience n’est que ruine de l’âme », qui est de Rabelais, pas d’Einstein, soit quelques 4 siecles auparavant ! ;)



  • glattering 14 février 2013 16:26

    "La manipulation des foules ne datent pas d’hier , la propagande a été initié et développé durant les années sombres du nazisme avec la radio , puis étendu avec la télévision dans la plupart des pays du monde.« 

    Meme pas, les techniques de propagande largement reprises par les dirigeants nazis ont été développées et perfectionnées aux Etats Unis dans les années 1900-1920. Renseignez vous sur l’entrée en guerre des Etats Unis dans la premiere guerre mondiale, par un gouvernement élu sur une base pacifiste. Une commission a ete créée pour retourner l’opinion publique, et ca a tres bien marché !

    L’idee de base de la propagande, autrement appelée »relations publiques", est que dans un régime soit disant démocratique, c’est a dire dans lequel les institutions font croire que les décisions sont prises par le peuple, il faut quand meme un soutien d’une majorité, appelée l’opinion publique, car sinon la différence entre les décisions prises par les dirigeants réels et la volonté du peuple pourrait paraitre trop importante et dé-légitimer le pouvoir en place.



  • glattering 11 février 2013 23:04

    Ah bon y’a un probleme de retraites ? Je veux dire, un probleme FONDAMENTAL de financement ?
    Arretons nous 2 minutes pour se remettre des ordres de grandeur en tete.

    (source insee et banque mondiale)

    annee PIB euros constants population
    1975 850 milliards 53 millions
    2005 1700 milliards       63 millions

    Donc en 40 ans, le PIB a double tandis que la population n’a fait que legerement augmenter.
    Les retraites dans tout ca ? Leur part par rapport aux travailleurs a beaucoup augmente, c’est vrai, mais leur part par rapport a la richesse produite elle, n’a pas augmente !
    Donc aucun probleme de financement au niveau de l’economie dans son ensemble.
    Seulement on a gele les cotisations par PERSONNE. Donc forcement, il s’est cree un defaut de financement. Si chaque personne produit beaucoup plus, mais que moins de personnnes produisent, il suffit de reajuster le taux de cotisation pour qu’il soit plus eleve par personne (et qu’on ne me dise pas que ca alourdit le cout d’un travailleur puisque celui ci produit beaucoup plus qu’avant. Son cout de financement des retraites augmente bien moins vite que ce qu’il produit comme richesses. Le gros probleme c’est que la richesse degagee par les gains de productivite n’est pas redistribue du tout)



  • glattering 11 février 2013 20:00

    Le but est de privatiser l’education. Pour cela, il faut d’abord rendre le service publique de l’education couteux et inefficace pour ensuite justifier le fait de le supprimer. A ce moment l’education privee aura deja pris la releve et la transition aura ete en « douceur » (dqns les esprits, car pour le porte monnaie, ca sera different).

    Je vois que nos dirigeants mettent du coeur a l’ouvrage...



  • glattering 6 février 2013 23:05

    C’est a mon avis tres bien vu. Le manque de richesses, nourriture, etc, que l’on voit partout, n’est pas le signe d’un manque absolu, mais bien le signe de l’accaparament sans precedent des richesses du monde par une ultra minorite.

    C’est contre intuitif, car tout autour de nous nous montre la penurie : penurie d’argent (artificielle), de nourriture (artificielle egalement), de richesses, etc. On ne voit que ca, a la tele, dans les journaux, et malgre le fait qu’on voit que certains sont tres riches, on ne s’imagine pas a quel point, et a quel point leur seule richesse suffit a etre la cause de l’apauvrissement de nous tous, les autres, les meprisables, ceux qu’on peut sacrifier, ceux pour qui ces gens la ne voient pas d’objection a les eradiquer. Leur pouvoir issue de leur richesse les gonfle d’orgueil, et ils en viennent a oublier que leur richesse est batie sur notre pauvrete. Sans nous, ils ne seraient rien. A quoi servirait des milliards au milieu d’un desert : ils faut du monde pour porduire des biens et des services dont certains ne feront que profiter, sans produire.Et si les machines peuvent produire a notre place, et bien nous creverons la gueule ouverte, les gains de productivite ne beneficiant qu’a ces memes la.

    Le coeur du probleme de la pauvrete, de la malnutrition, des guerres, du chomage (qui en lui meme n’est pas negatif, seule la pauvrete qui lui est liee l’est), de la destruction de l’environnement, etc, tout a une cause majeure qui est le systeme monetaire, qui par construction assure a ses dirigeants la main mise graduelle mais ineluctable sur l’ensemble des richesses materielles du monde.

    La vraie question reste : comment se fait il que le systeme monetaire soit aux mains de qquns et sans controle des peuples ? Mais parce que ce nous ne sommes pas en vraie democratie. Enfin oui, mais jusqu’a un certain point.

    Nous sommes libres tant que notre liberte n’entame pas la position de nos maitres. Nous sommes libres tant que notre pouvoir ne peut changer l’etat fondamental de notre systeme monetaire. C’est pourquoi l’Europe s’est construite en s’affranchissant de notre avis par exemple, pour chaque jour nous eloigner plus surement d’un point ou nous pourrions remettre en question les injustices et les corriger.

    La question de la democratie, et celle en corollaire de notre systeme monetaire, structurent a elles deux l’ensemble des autres problematiques. Elles ne determinent pas tout dans les details, mais elles mettent en place le cadre dans lequel les autres questions pourront esperer etre abordees. Ainsi, on pourra faire des petites choses pour l’environnement, des petites choses pour les pauvres ou la faim dans le monde, mais rien de fondamental.

    Et si ces petites choses nous paraissent tres importantes, c’est bien que l’on nous a fait perdre completement nos points de reperes et notre capacite a evaluer les ordres de grandeur, et que les possibilites de changement que permettrait la remise en question du systeme monetaire est sans rapport avec notre imagination (pour le plus grand soulagement de ceux aux commandes).

    http://www.youtube.com/watch?v=XMs0aI4C0Ro



  • glattering 5 février 2013 22:50

    Quand on veut supprimer un service de l’état auxquel les citoyens sont fondamentalement attachés, on procede par étapes :

    1) on dégradee le service fourni
    2) une fois le service pourri, on le montrre du doigt en faisant remarquer qu’il coute de l’argent
    3) on le supprime avec l’appui des citoyens, du coup ravis de se débarasser d’un service couteux et inefficace.
    4) les memes citoyens vont ensuite pouvoir payer pour ce service et engraisser les entreprises privées qui degageront alors du profit.

    Pour l’assurance chomage, on est dans la phase de dégradation du service.

    On a fait de l’assurance chomage une usine a gaz inutile, contre productive, couteuse, tout en faisant en sorte que les citoyens bénéficiant de ses services (le plus important étant l’indemnisation) soient de moins en moins nombreux (pour qu’il y ait le moins d’opposition possible lors de son démantelement complet).

    Les 4 étapes que j’ai décrites s’appliqueront et pour certaines s’appliquent déja a :
    - l’assurance vieillesse (retraites)
    - l’assurance maladie
    - l’éducation

    Ce sont les 3 princnipaux domaines convoités par les marchés financiers (assureurs privés, banques etc) pour dégager du profit, des milliards a portée de main, et ce grace a leurs représentants, leurs poulains, qu’ils auront porté, soutenu, c’est a dire financé, je parle bien sur des politiques.



  • glattering 25 janvier 2013 20:07

    Quelques rappels sur la dette.
    Elle est clairement illegitime et a ete cree de toutes pieces depuis pres de 40 ans.

    En effet, un etat souverain decide de ses prerogatives, et par l’impot finance ces prerogatives. C’est fondamentalement a l’equilibre. Si le cercle de ses attributions s’etend, entrainant une hausse de ses depenses, il en va de meme de ses recettes, qu’il ne manquera pas de trouver agin de maintenir l’equilibre et financer sainement ces nouvelles attributions.

    En partant de la, deux cas de figure se presentent dans le cas d’un endettement. Soit ses prerogatives (et donc ses depenses) augmentent mais ses recettes restent les memes, soit ses prerogatives sont constantes, mais ses recettes diminuent. Dans les deux cas, cela pose la question de la capacite de l’etat a lever l’impot.

    Mais alors que dans le premier cas, on peu imaginer que l’augmentation de l’impot soit mal vecue par la population, et ce meme si cela signifie plus de services rendus, on a plus de mal a concevoir, dans le 2e cas, qu’a depenses egales, la population souhaite voir diminuer les recettes de l’etat, au prix d’un endettement necessaire pour combler la difference, endettement qui sera forcement, in fine, paye par la population elle meme.

    Le 2e cas prend tout son sens lorsqu’on prend conscience de la corruption des dirigeants aux puissances de l’argent qui sont les pourvoyeuses de l’endettement, sous forme des prets accordes a l’etat. La population n’a donc aucun interet aux baisses d’impot qui vont endetter l’etat. Les marches financiers eux oui. Ils peuvent desormais preter avec interet et engranger des milliards. Et la dette sera payee par la population.

    C’est une immense pompe qui va des pauvres vers les riches (excusez moi pour l’archaisme des mots utilises...). Car la dette ne va pas ecraser les generation futures comme on nous le repete a l’envie. Enfin oui, mais une categorie de la population seulement. Car si les uns heritent de la dette, d’autres heritent des creances et du revenu genere par cette dette !

    Autre point, la croyance que la dette est insupportable a un ultime objectif : celui de reduire les depenses de l’etat, car on considere qu’il est hors de question d’augmenter l’impot (impot que l’on avait pourtant prealablement diminue afin de creer artificiellement un deficit, ensuite comble par de la dette.).
    Car diminuer les depenses, cela signifie quoi dans les faits ? Cela signifie diminue le cercle des prerogatives de l’etat tout simplement, et donc permettre aux acteurs prives recuperer la des secteurs autrefois hors d’atteinte, secteurs auxquels ces acteurs prives ne manqueront pas de faire cracher le profit qu’ils exigeront alors.

    Enfin, et ce sera mon dernier point, le niveau de la dette est il si eleve ou bien est ce repete pour pouvoir justifier ce que je decris dans le paragraphe precedent ? Faisons une rapide comparaison :

    PIB annuel de la France : environ 2000 milliards d’euros.
    Dette publique : environ 1600 milliards.
    Soit un ratio de 80%

    Imaginez que vous gagnez 30 000 euros par an (votre PIB)
    Et que vous achetiez une maison a 150 000 euros, donc une dette de 150 000 euros.
    Cela donne un ratio de 500%.

    Pourquoi on trouverait tout a fait normal le 2e cas, et pas le premier ? Ils sont fondamentalement similaires. A la difference qu’un etat ne fait en plus jamais faillite et decide de ses recettes, et est « immortel ». Alors franchement, je ne vois pas le probleme.

    My 2 cents.
    Bonne journee,

    /glattering



  • glattering 25 janvier 2013 19:42

    Je cite « Duplicité des gouvernements qui font croire qu’ils décident de tout. »

    Je dirai meme, duplicité des gouvernements qui font croire qu’ils décident de tout, alors que ce n’est pas le cas, mais surtout, qu’ils ont renonce a detenir le pouvoir !

    Car la loi s’impose toujours. Si les gouvernements n’ont plus le pouvoir monetaire, economique etc, c’est bien parce qu’ils y ont renonce !! Et il leur serait aussi facile de le reprendre qu’ils l’ont abandonne ! Seulement, les financeurs de campagne electorales s’assurent que les candidats seront de bons pions reconnaissants qui continueront a ne pas reprendre le pouvoir.



  • glattering 25 janvier 2013 19:35

    Un referendum d’ici 2017 ? Pourquoi si lointain ? Pour permettre de choisir le moment opportun pour faire un referendum et s’assurer du resultat ? Et permettre a la machine mediatique, forgeuse d’opinion publique, de se mettre en marche ?



  • glattering 5 septembre 2012 14:11

    Bonjour, avez vous une source pour cette affirmation ? Cela m’intéresse. Merci.



  • glattering 26 août 2012 12:05

    Je n’aime pas Mélenchon, mais les sujets qu’il aborde sont les bons, je suis content qu’il soit médiatiquement visible, même si c’est parfois pour le descendre.

    Les sujets importants qui enferment tous les autres : système monétaire et banques, l’UE d’aujourd’hui qui est l’instrument des libéraux pour nous asservir, et la démocratie (et pas représentative, quelle farce ce truc). Si on ne se penche pas là dessus, il sera toujours impossible de régler le problème du chômage, de la pauvreté, de l’environnement, et des acquis sociaux d’une manière générale.

    Le système actuel est l’instrument d’une caste de privilégiés pour enrôler l’ensemble de la société dans un jeu qui ne profite qu’à ceux-ci. Changeons les règles du jeu !



  • glattering 8 mars 2012 17:31

    J’ai compris plein de trucs en regardant cette conférence sur la micro biologie des sols, tout simplement passionnant ce M Bourguignon !

    http://www.youtube.com/watch?v=5WqrY9m2PzA&feature=results_main



  • glattering 28 février 2012 04:31

    Bonjour à tous,

    Je pense que regarder attentivement cette conférence de M Bourguignon est un devoir de citoyen pour arrêter de se faire enfumer par le discours dominant. Pour comprendre les tenants et aboutissants d’une agriculture consommatrice d’engrais, de pesticides et d’insecticides et bientôt d’OGM, comme une fuite en avant face à des sols de moins en moins fertiles car complètement détruits à coup de produits toxiques.
    1) première étape qui enclenche la fuite en avant : on tue les sols en mettant des pesticides
    2) du coup, on met des engrais pour conserver les rendements
    3) et on rajoute des insecticides car les plantes malades attirent les insectes
    4) et on envisage même des OGM pour diminuer (soit disant) les quantités de pesticides et conserver les rendements.
    Tout ça profite à une industrie pétrochimique et agroalimentaire, pour qui le seul objectif est le profit (et non pas la simple rentabilité).

    La présentation de M Bourguignon (agronome) est tout simplement passionante tant on apprend de choses à la minute ! Merci.

    Lien vers les fichiers torrent de la conférences :
    http://www.les-renseignements-genereux.org/rechercher/?id=5498&var_recherche=bourguignon