Et oui, vous pouvez souhaiter la bienvenue aux jeux vidéos dans le monde de l’industrie moderne.
Fini le temps où trois passionnés dans leur garage programmaient un hit (qui restait confidentiel en dehors du cercle des gamers). Maintenant le jeu vidéo est une industrie mure qui est là pour gagner de l’argent.
Et encore, je pense qu’on peut s’estimer heureux de la situation actuelle. Dans le reste de l’industrie, on nous fait bien payer les pièces détachées. Vivement les patchs correctifs payant...
Encore un article écrit pour faire vendre un livre qui ne s’appuie sur aucun fait scientifique et dont l’auteur n’a même pas prit la peine de vérifier la cohérence...
Ainsi l’étoile la plus proche de la Terre, Proxima du Centaure (d’ailleurs particulièrement hostile à la vie), est suffisamment loin (4 années-lumières) pour décourager la communication avec elle, et a fortiori tout voyage en sa direction.
D’accord pour ce qui concerne les voyages, mais 8 ans pour obtenir une réponse me paraît plus que convenable comme délai, à comparer au temps que mettent certaines sondes pour atteindre leur objectif (4-5 ans parfois plus...).
nous sommes effectivement seuls dans l’Univers. Affirmer le contraire ne reposerait sur aucune base solide
Cette affirmation non plus, elle ne vaut ni plus ni moins.
L’impact, aurait-il été frontal, aurait sans doute pulvérisé les deux astres en donnant naissance à un nuage de poussières et de planétésimaux. S’étant produit avec une certaine incidence, il a arraché à la Terre la matière nécessaire à la formation de la Lune, tout en donnant à la Terre une inclinaison et une vitesse de rotation sur l’écliptique qui se sont dans l’ensemble conservés jusqu’à nos jours. L’évènement a généré les marées d’origine lunaire, la succession des saisons et des jours, ainsi qu’un phénomène dont la pleine portée a été longue à comprendre, la dérive des continents. A supposer que soient déjà apparues sur la Terre des formes de vie sous-marines primitives, ces diverses circonstances ont permis aux premières cellules, archae, eucaryotes, puis procaryotes, de se multiplier.
Que dire de ce paragraphe...
Il y a une erreur sur la date d’apparition de la vie (d’au moins 500 millions d’années...). De plus si la vie était déjà apparue à ce moment là, elle n’aurait eut aucune chance de survivre à cet impact.
Il faut également rappelé que la proto-Terre n’avait pas encore de surface solide à ce moment là. La première croûte s’est formée 100 millions d’années plus tard. source
La présence stabilisatrice de la Lune reste encore indispensable aux grands mécanismes biologiques actuels.
Cela aussi est en cours de discutions en ce moment : source
De plus il ne faudrait pas confondre cause et conséquence : votre tournure de phrase est plus que tendancieuse. La Lune est indispensable (en est on sûr d’ailleurs ?) parce que la vie est apparue sur une Terre avec une Lune, il n’y aurait pas de Lune, la vie terrestre n’en aurait pas besoin...
D’autres phénomènes potentiellement catastrophiques ont failli provoquer la disparition de la vie, mais n’étant pas allé jusqu’au bour de leur effet destructif, ils ont relancé le mécanisme de mutation sélection propre à celle-ci. Sans eux, nous n’existerions pas. John Gribbin mentionne une collision entre Vénus et une super comète, s’étant produite il y a 600 millions d’années et ayant recouvert tout le système solaire intérieur d’une couche de particules de glace et de poussière. Il en est résulté une glaciation quasi complète de la Terre (Terre « boule de neige »)
La Terre boule de neige, cette hypothèse a également du plomb dans l’aile.
D’ailleurs d’où vient cette histoire de comète et de Vénus ? Il faudrait vraiment une grosse comète pour recouvrir le système solaire intérieur de glace... J’aimerais voir vos sources.
Encore un spécialiste...
Vous semblez confondre l’espace de stockage d’un ordinateur et sa puissance...
Votre article aurait eut tellement plus d’impact en expliquant qu’un i7 haut de gamme est 130x plus puissant (en terme de flops) qu’un cray X-MP. Dommage, vous vous contentez de donner des quantités d’infos stockées, c’est sans intérêt et sans grande significations...
P.S. : « comme les langages interprétés (Java tout particulièrement, .net, Javascript, Python, etc) »
Java et les langages dotnet ne sont pas interprétés mais compilés (en byte code certe mais compilés quand même). Quand à java script et python ce ne sont certainement pas eux qui ralentissent tes applis, ils ne servent pas à ça...
Bizarre de choisir les usines de dessalinisations pour parler du greenwashing. Certes elles sont polluantes (quelles industries ne le sont pas.. ?) mais ce ne sont surement pas les pires.
Concernant l’acidification des océans, rien à voir il s’agit d’un phénomène totalement différent.
Et pour l’instant il n’y a aucune autre solution réaliste pour lutter contre le manque d’eau potable ni à court terme, ni à moyen terme ni même à long terme (on va oublier le remorquage d’iceberg qui s’il est possible techniquement est ridicule au niveau coût-rejet polluant).
Il y avait bien d’autres exemple bien plus pertinent à présenter, dommage.
Ce que je pense par rapport aux conséquences de la chute d’elenin sur le soleil :
pas grand chose à vrai dire : la comète est petite. Les comètes sont constituée de glace et de poussière, une comète de cette taille va fondre rapidement (surement avant d’avoir percée la première couche du soleil) donc elle ne devrait pas avoir beaucoup de conséquence.
Une comète plus (très) grosse pourrait provoquer des « remous » sur la surface du soleil et peut-être provoqué quelque chose mais elenin je ne pense pas (c’est un avis perso bien sur, il est admis qu’une chute de comète sur le soleil n’a pas de conséquence mais évidemment il reste peut-être (surement) des phénomènes à découvrir sur la physique du soleil...).
Article plutôt intéressant mais quelques imprécisions ou erreurs tout de même :
Parallèlement de nombreuses observations dans le monde entier font état de « météorites » tombant justement dans la nuit du 25 au 26 septembre, dégageant une couleur verte inhabituelle, et certains se demandent s’il ne s’agirait pas plutôt de morceaux de ce satellite.
La couleur verte des météores n’a rien d’inhabituelle, le plupart d’entre-eux sont tout simplement trop petits pour qu’on en distingue la couleur.
La couleur verte indique simplement que le météor en question était ruche en magnésium (MgI).
Concernant la chute de comètes sur le soleil, elles sont très régulières. SOHO en avait détecté 2000 au 26 décembre 2010 (lancement le 2 décembre 1995).
Quant à la comète Elenin :
Qu’elle puisse tomber sur Terre ; pourquoi pas (je n’y crois pas une seconde mais pourquoi pas...) pour peu que les calculs ce soit planté de 30 000 000 de km...
Qu’elle soit plus grosse qu’on le pense pourquoi pas...
Mais que l’alignement Terre-Soleil-Elenin puisse avoir une conséquence quelconque sur la Terre, la NON ! Sa masse est ridicule par rapport à celle de la Terre ou du Soleil. Quand bien même elle serait plus grosse que prévue (même 2 ou 3 fois plus grosse) sa masse resterait négligeable. Il n’y a jamais eut de mise en évidence d’une corrélation entre phénomène géologique sur Terre et les alignements dans le système solaire ; même pas durant les alignements Jupiter-Soleil-Terre. Donc une minuscule comète...
La sphère de dyson ça va beaucoup aider pour nourrir 10 000 000 000 d’être humains... (c’est de l’ironie...).
Et encore nous serons surement beaucoup plus de 10 milliard quand nous aurons le niveau technologique pour fabriquer une sphère de dyson. Vous êtes totalement hors-sujet là...
Vos messages sont complétement faux. J’habite en Bretagne et aucun soucis pour avoir des fruits et légumes à complètes maturations et délicieux. Et les meilleurs ne sont pas forcément, dans les jardins bien entretenus avec un choix judicieux de terreau ni avec des engrais, etc... mais dans des vergers et jardins abandonné.
Evidemment il ne faut pas compter avoir des pêches excellentes dans le nord de la France (et encore ça n’est pas une loi absolue). Il faut faire pousser les fruits et légumes de saison mais aussi qui se plaisent dans le climat où l’on se trouve.
Maintenant comme vous sembler tant estimer les fruits et légumes italien et espagnols, trouvez moi une pomme ou une poire (ayant poussée dans le sud de ces pays) -ou une endive espagnole...- aussi bonne que celles que l’on trouve dans la moitié nord de la France et nous en reparlerons...
WOW ça c’est du scoop...
Il y aurait dégagement de dioxines lors d’un incendie...
Allez voir ici : vous vous rendrez compte qu’il y a des dégagements de dioxines partout et tous les jours. Quasiment toutes les combustions de matières organiques dégagent de la dioxine, je ne parle pas des moteurs de voiture et des procédés industriels.
Bref, encore un article alarmiste qui crie au scandale devant un rejet polluant bien moins importants que ceux produit par la vie de tous les jours. Mais c’est vrai qu’un gros incendie dans une centrale nucléaire c’est plus spectaculaire et plus vendeur qu’un incinérateur à ordure avec un filtre sous-dimensionnée ou des voitures sur la route...
Cordialement (en rigolant doucement quand même)
Intéressant maintenant concernant ces 2 questions :
Quel est le mécanisme exact produisant la spéciation et plus généralement, la transformation des espèces ?
et
La reproduction sexuée est la plus répandue, [...] alors que la parthénogenèse [...] est l’exception [...] pourquoi ce mode de reproduction n’est pas
courant, car il est plus efficace que la reproduction sexuée
Pour la première question : c’est la sélection naturelle tout simplement.
Pour la seconde, la question parait plus vaste et complexe mais, AMHA, je pense que le mieux est d’appliquer le principe du rasoir d’ockham.
La reproduction asexuée à un sens dans le cadre d’organismes simples ayant un cycle de vie rapide.
Par organisme simple, je ne parle pas forcément de la complexité du code génétique mais de celle de l’organisme (un organisme de vertébré est bien plus complexe que celui d’une amibe, il comprend énormément d’organes et même de cellules ayant tous des fonctions différentes). Par reproduction rapide, j’entends le temps entre le début de la phase de reproduction et l’apparition d’un second organisme autonome (20 minute pour une bactérie, environ 2h pour une amibe).
J’exclue les organisme multicellulaire pratiquant la parthénogenèse car il s’agit d’une modification de la reproduction sexuée : un gamète (issu du mécanisme de la reproduction sexuée se développe sans l’apport d’un second gamète)
Les animaux simples à reproduction rapide peuvent se permettre de rater une reproduction car le cycle est rapide et peu couteux en énergie. Imaginons qu’une modification génétique survienne : soit le mutant n’est pas viable, problème réglé on se reproduit à nouveau (si j’ose dire). Soit le mutant est « meilleur » (au sens mieux adaptés) que l’original, il va se reproduire à son tour, se développer et pourquoi pas évincer « l’original » mais au final ce n’est que bénéfice pour l’espèce.
Dans le cas d’organisme plus complexes, rater une reproduction est problématique car la dépense d’énergie est beaucoup plus importante. La stabilisation énergétique elle est nécessaire car l’organisme est plus complexe.
Si une amibe à quelques organites en plus ou en moins que ça voisine, cela n’a pas grande importance (en tout cas tant que cette organite n’est pas absente en tout cas). Si un embryon d’animal supérieur oublie de développer un coeur ou les vaisseaux sanguins, cela sera beaucoup plus problématique.
On pourrais aussi ajouter que les espèces complexes ne peuvent pas se permettre de « bonds » dans l’évolution. Si un organisme simple, utilisant la reproduction asexuée, subit d’importantes mutations lors de la phase de reproduction une nouvelle espèce viable peut apparaitre (même s’il y a peu de probabilité). Si un organisme complexe subit la même chose, et même si le nouveau né est viable, il sera le seul de son espèce et donc ne pourra se reproduire.
Donc une stabilité génétique (relativement importante) est nécessaire à l’évolution des organismes complexes). L’un est conséquence de l’autre.
On peut alors se poser la question de l’oeuf et de la poule...
Alors là je rigole doucement.
Partir de l’observation des dipladénias et pondre une théorie sensée bouleverser le monde de la physique : le tout sans le moindre calcul ni équation (même une toute bête avec pleins de signes compliqués histoire de donner l’impression que vous y connaissez quelque chose).
Un peu de sérieux et de modestie (surtout la modestie) s’il vous plait, merci.
Je vois que vous n’êtes pas botaniste. Poser un support prés d’une tige et voir la tige s’en rapprocher soit, mais il nous manque déjà quelques données sur votre expérience :
Pour commencer quel type de support (matière, taille, ...)
Quels expériences avez vous essayé, de premier abord, je dirais que vous avez posé votre support à côté du pot.
Les plantes grimpantes ont toutes le même type de développement : s’ouvrir et s’étaler jusqu’à rencontrer un support sur lequel elles peuvent grimper. L’écartement se faisant d’autant plus vite que la plante grandit (pas de gravité magique ou holotopique là-dedans, juste la bonne vieille gravité de Newton qui donne le poids et fait ainsi descendre les tiges).
Avez-vous essayé de mettre un support AU DESSUS d’une tige qui commençait à descendre, histoire de voir si elle remontait ? Ou de mettre un support au milieu d’une plante pour voir si elle se resserre ?
Il reste l’éventualité d’un rayonnement infrarouge dont la réflexion par
le support pourrait être captée mais c’est bien improbable
Justement non, ce n’est pas du tout improbable. Si vous aviez
pris la peine de vous renseigner, vous sauriez que la photosynthèse est
plus efficace dans le proche infrarouge et dans la composante rouge du
spectre que dans le reste de la lumière visible. Cela montre que les
plantes y sont donc fortement sensibles. Et cela peut suffire à
expliquer votre observation : la plante recevant plus de lumière (en
infrarouge), l’auxine qui régule sa croissance va migrer du côté opposé
de la tige. Celle-ci va donc pousser plus vite d’un côté que de l’autre
et se tordre. C’est le principe même du phototropisme.
Désolé pour votre belle théorie, pas de séisme dans le monde de la physique, ni dans celui de la botanique d’ailleurs^(pas même de quoi faire un sujet de thèse, un exposé au lycée à la rigueure...).
Sans animosité aucune, vous m’avez bien fait rire le temps de lire votre article.
Cordialement.
P.S. Heureusement vous ne devez pas connaitre les myxomycètes, vous n’avez jamais du entendre, non plus, parler des interractions et de la communications entre végétaux, sinon vous nous auriez sorti une théorie sur le plan des végétaux pour dominer le monde en détruisant toute forme de vie animale.
"Entrée dans le domaine du débat public, l’écologie fait parfois l’objet de discours simplifiés.«
Ca c’est un fait.
» La hausse des températures va favoriser l’évaporation
ce qui devrait augmenter la quantité de vapeur d’eau dans
l’atmosphère or, il s’agit d’un gaz à effet de serre ? Alors
réchauffement supplémentaire ?
Cela n’est pas acquis car l’on ignore dans quelle
proportion l’évaporation se trouvera renforcée. De plus, la vapeur d’eau
génère des nuages dont certains rafraîchissent et d’autres réchauffent
l’atmosphère.
Solde du phénomène : Inconnu."
Le problème avec la vapeur d’eau c’est qu’elle retombe très vite au sol.
Les nuages ne rafraichissent pas l’atmosphère. Ils peuvent rafraichir le sol en empêchant les rayons du soleil de l’atteindre (l’albédo d’un nuage est plus élevé que celui du sol (excepté les surfaces en eau et en neige). Le problème c’est qu’avec l’augmentation des gaz à effet de serre, les rayons renvoyés vers l’espace ne peuvent pas sortir de l’atmosphère autant qu’ils le feraient sans ces gaz, d’où réchauffement.
Une augmentation de l’évaporation, va donc plutôt causer (si elle cause quelque chose) des orages plus violents (surtout en été et remontant plus vers les pôles qu’à l’heure actuelle).
" Est-il différent pour la planète que nous brûlions toutes nos réserves d’énergies fossiles en 50 ans sans faire d’économie ou en 100 ans en se montrant prudent ? Dans les deux cas, dans un siècle les compositions atmosphériques seraient très proches."
La différence c’est qu’en 100 ans la nature aura plus de temps pour réabsorber une partie de ces rejets : dans les océans (aïe aïe aïe), dans la végétation, etc...
@Evrard :
Non toujours pas.
Comme je l’ai dis la masse est une constante. Relisez mon post précédent.
Faut le comprendre aussi, il ne peut pas tout faire, là il est en train de faire des confetti avec le texte de loi en préparation pour autoriser la construction dans les zones inondables.
@Evrard
plus on s’en approche, plus le poids du vaisseau spatial augmente,
donc plus il faut plus d’énergie.
Oh la la. Je veux bien que vous défendiez votre point de vue mais pas en disant n’importe quoi quand même.
La masse (et non pas le poids) est une constante (sinon c’en est fini des lois de la physique). Au pire, il peut y avoir perte de matière, donc de masse mais la masse ne peut augmenter.
La relation est E=MC². Donc quand le vaisseau s’approche de la vitesse de la lumière (C), E augmente car V (vitesse du vaisseau) augmente (en ne pouvant dépasser C pour les raisons énoncé par Einstein dans sa théorie) avec la relation E=MV². E tend donc vers l’infini.
Non, je ne confonds pas les deux. Je dénonce la fait qu’encore une fois l’Homme développe (et commence à produire) une technologie sans réfléchir aux conséquences possibles.
Oui l’utilisation de l’hydrogène est non polluante mais elle ne sera pas sans conséquence si elle l’est à grande échelle.
Comme je l’ai dit dans l’article, l’écologie ce n’est pas seulement « ne pas polluer ».
Tu confonds quantité de vapeur d’eau dans l’atmosphère avec taux d’humidité de l’air. C’est du second que je parle car c’est de lui que dépend la formation des précipitations.
Ce ne sont pas les rejets seuls qui vont provoquer les précipitations c’est l’ajout avec l’humidité déjà présente qui va augmenter leur fréquence.
il est vrai que la production de chaque véhicule est faible (dans le cas de la pile à combustible en tout cas).
Personnellement, j’habite dans une ville moyenne (50 000 habitants, 100 000 dans l’agglomération), le tronçon de quatre voies de 3 km situé à proximité immédiate voie passé 65 000 véhicules/jour. C’est sur des zones comme celles-ci que le problème se posera (surtout aux heures de pointes).
Un simple calcul démontre que les quantités de vapeur d’eau émises par
des véhicules munies de piles à combustibles sont bien inférieures à
l’humidité de l’air dans nos régions.
C’est vrai, mais l’humidité produite va s’ajouter à celle déjà présente.
Les relevé d’humidité atmosphérique en France métropolitaine montrent qu’elle est presque tous les jours supérieure à 80 % en milieu de nuit et tôt le matin aussi bien dans le nord que dans le sud. lien
Nous risquons d’atteindre plus vite la saturation et donc de voir des précipitations se produire.
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