Quand j’ai commencé à lire, j’ai été déçu d’avoir pris de vitesse sur ce thème (j’avais écris l’article qui vous a inspiré)...
Puis, en voyant votre deuxième tableau, je me suis dit que ce n’était pas plus mal : bravo pour cet impressionnant travail de synthèse, vous avez du y passer un moment !
Bonjour jpderval,
Merci pour votre commentaire, c’est toujours sympathique d’avoir des lecteurs heureux !
Ce n’est pas toujours le cas : un de mes articles, dans lequel je m’étais il est vrai un peu « défouler » (pas toujours constructif, mais ça fait du bien et certains le méritent) a été retiré d’Agoravox. Il a du déplaire à certains...
Mais bon, à mon âge on devrait pouvoir dire ce qu’on pense. Surtout que je n’écris qu’à partir d’articles que chacun peut trouver sur la toile. J’y enlève juste la langue de bois, et j’y ajoute un peu (beaucoup) d’ironie...
Cet article est biaisé car il amalgame invitation et apparition.
L’auteur, qu’est-ce qui vous permet d’affirmer que Pierre Legendre n’a jamais été invité ? Peut-être l’a-t’il été, et toujours refusé, et qu’après plusieurs refus, les médias ont laissé tomber...
Tout le monde ne rêve pas de s’afficher dans le petit écran.
Merci pour votre article. On pourrait encore insister sur l’hypocrisie de GSK, qui prétend ne pas savoir que c’était mal, et qui dit avoir « beaucoup appris » de cette affaire.
Merci surtout d’avoir signaler que les lanceurs d’alertes ont été deux courageux représentants médicaux. Aux premières loges, ils sont les plus vulnérables, car leur employeur peut les licencier (ce qu’il ne peut ni avec un médecin, ni avec un pharmacien, ni avec un chercheurs, et très difficlement avec un officiel).
Il semblerait que la presse française a tenté de se rattraper quelque peu...
Pour note, l’UNSA dénonce le plan social et craint 200 suppressions de postes rien qu’en France (un tiers de l’effectif total, la moitié si l’on exclu les chercheurs et les salarié de l’usine de Sophia-Antipolis). Il s’agirait de licenciements secs sans accompagnement digne de ce nom.
Elément à décharge (mais loin de justifier qu’on mette les gens à la rue), les autorités sanitaires obligent le laboratoire à vendre son Ebixa 18% moins cher.
Source : L’usine Nouvelle :
http://www.usinenouvelle.com/article/lundbeck-pourrait-licencier-200-personnes-en-france.N177279
Autant vous avez raison sur le fonds, Robert Gil, autant je trouve votre commentaire pour le moins hors sujet. Pour une fois, et c’est rare même sur AV, que l’article ne faisait pas l’apologie d’un Tibet idéalisé et fantasmé, c’est dommage.
Les tibétains n’auraient’ils pas le droit à l’autodétermination sous prétexte qu’ils s’étaient (plus ou moins) choisis des dirigeants aussi condamnables que ceux qu’on leur impose ?
Bonjour Tyral,
C’est fou ce que le politiquement correct peu nous faire dire. La prostitution, c’est avoir une relation sexuelle moyennant rémunération. Comme personne ne veut se prostituer, on invente des mots : auxiliaire de vie, acteur porno, escorte, « étudiant qui vend son corps pour boucler ses fins de mois ». Noble combat : une fois qu’on aura trouvé un terme pour chacun et chacune, on pourra dire qu’on a vraiment éradiqué la prostitution. :->
@ Sylvie Imbert : je ne peux malheureusement pas vous être d’une grande aide. Je sais que les procédures existent, mais je ne les connais pas. La dernière décision de l’AFSSAPS est déjà une très bonne avancée, mais on sent bien qu’elle est accordée du bout des lèvres, qu’elle est fragile.
@cathy30 : Merci pour votre commentaire.
Malheureusement, il n’y a pas qu’en médecine que les anciennes générations reproduisent sur la future relève les misères qu’elles ont subi. Prenons le cas de la recherche, que ce soit en sciences dures, en sciences humaines ou en économie. Combien de dizaines de supérieurs hiérarchiques apposent leur nom sur une publication à laquelle ils n’ont pas contribué ? Combien de brevets ont pour seul inventeur un directeur R&D dont on ne me fera pas croire qu’il est expert simultanément dans 15 domaines ? Tout ça parce que « ça a toujours été comme ça ».
Autant on peut reprocher beaucoup de choses à l’industrie pharmaceutique, autant je ne vois pas ce qu’elle aurait à gagner dans la mort à petit feu des hôpitaux publics...
J’admets que je suis allé un peu loin dans mon commentaire, mais cela m’agace que l’on livre les médecins à la vindicte populaire. Ce que j’ai voulu mettre en avant, c’est que les médecins sont avant tout aussi des citoyens comme les autres et qui ont les mêmes aspirations que les autres. Je parle des trajets pour les visites, vous citez des collèges et lycées, on pourrait aussi mentionner les gardes : en « désert médical », les médecins étant beaucoup moins nombreux, ils doivent assumer beaucoup plus de gardes, etc. Médecin à la campagne, c’est beaucoup, beaucoup plus de travail, pour gagner moins et avec les inconvénients de la campagne.
Mise à jour : Le dernier rappel était celui de trop. Bill Weldon a donné sa démission, en temps que directeur général (il reste président). Lui succède Alex Gorsky, qui était jusqu’alors vice-président responsable des appareils médicaux, des activités de diagnostic et de la chaîne d’approvisionnement.
Ecrit comme il l’est, cet article ressemble plus à un pamphlet en faveur de François Hollande qu’à une invitation à la réflexion sur l’euthanasie.
Et encore, ça m’étonnerait qu’il y ai beaucoup de patientes de chirurgie reconstructice, qui est un acte hospitalier, qui ont reçu des prothèses PIP.
A mon sens, c’est une non-information.
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