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Les commentaires de Pharmafox



  • Pharmafox 10 janvier 2013 16:41

    Quand j’ai commencé à lire, j’ai été déçu d’avoir pris de vitesse sur ce thème (j’avais écris l’article qui vous a inspiré)...

    Puis, en voyant votre deuxième tableau, je me suis dit que ce n’était pas plus mal : bravo pour cet impressionnant travail de synthèse, vous avez du y passer un moment !



  • Pharmafox 2 août 2012 16:15

    Bonjour jpderval,
    Merci pour votre commentaire, c’est toujours sympathique d’avoir des lecteurs heureux !
    Ce n’est pas toujours le cas : un de mes articles, dans lequel je m’étais il est vrai un peu « défouler » (pas toujours constructif, mais ça fait du bien et certains le méritent) a été retiré d’Agoravox. Il a du déplaire à certains...
     Mais bon, à mon âge on devrait pouvoir dire ce qu’on pense. Surtout que je n’écris qu’à partir d’articles que chacun peut trouver sur la toile. J’y enlève juste la langue de bois, et j’y ajoute un peu (beaucoup) d’ironie...



  • Pharmafox 12 juillet 2012 15:55

    Cet article est biaisé car il amalgame invitation et apparition.

    L’auteur, qu’est-ce qui vous permet d’affirmer que Pierre Legendre n’a jamais été invité ? Peut-être l’a-t’il été, et toujours refusé, et qu’après plusieurs refus, les médias ont laissé tomber...

    Tout le monde ne rêve pas de s’afficher dans le petit écran.



  • Pharmafox 10 juillet 2012 11:23

    Merci pour votre article. On pourrait encore insister sur l’hypocrisie de GSK, qui prétend ne pas savoir que c’était mal, et qui dit avoir « beaucoup appris » de cette affaire.

    Merci surtout d’avoir signaler que les lanceurs d’alertes ont été deux courageux représentants médicaux. Aux premières loges, ils sont les plus vulnérables, car leur employeur peut les licencier (ce qu’il ne peut ni avec un médecin, ni avec un pharmacien, ni avec un chercheurs, et très difficlement avec un officiel).

    Il semblerait que la presse française a tenté de se rattraper quelque peu...



  • Pharmafox 26 juin 2012 09:58

    Pour note, l’UNSA dénonce le plan social et craint 200 suppressions de postes rien qu’en France (un tiers de l’effectif total, la moitié si l’on exclu les chercheurs et les salarié de l’usine de Sophia-Antipolis). Il s’agirait de licenciements secs sans accompagnement digne de ce nom.

    Elément à décharge (mais loin de justifier qu’on mette les gens à la rue), les autorités sanitaires obligent le laboratoire à vendre son Ebixa 18% moins cher.

    Source : L’usine Nouvelle :
    http://www.usinenouvelle.com/article/lundbeck-pourrait-licencier-200-personnes-en-france.N177279



  • Pharmafox 25 juin 2012 15:35

    Autant vous avez raison sur le fonds, Robert Gil, autant je trouve votre commentaire pour le moins hors sujet. Pour une fois, et c’est rare même sur AV, que l’article ne faisait pas l’apologie d’un Tibet idéalisé et fantasmé, c’est dommage.

    Les tibétains n’auraient’ils pas le droit à l’autodétermination sous prétexte qu’ils s’étaient (plus ou moins) choisis des dirigeants aussi condamnables que ceux qu’on leur impose ?



  • Pharmafox 25 juin 2012 15:23

    Je vous remercie beaucoup.



  • Pharmafox 8 juin 2012 13:18
    Je lisais que jusqu’aux Etats-Unis, les chercheurs étaient choqués de la fermeture du centre de Reims consacré au cancer, tant les équipes ont bonne réputation.

    Parmi d’autres : le site de Serono en Suisse (Merck). Plus discutable, car lorsque Merck a acheté Serono, c’était une coquille vide dont la seule valeur tenait aux accord qu’elle avait passé avec d’autres biotechs. A moins d’un miracle, la fermeture avait quelque chose d’inéluctable. C’est sans doute ce qui avait poussé Bertarelli à vendre.

    Quant au site de Novartis à Nyon a été sauvé par la pression de la rue, et les menace de boycott par les médecins (pour le coup assez bête de leur part : les médicaments de Novartis sont des incontournables).


  • Pharmafox 8 juin 2012 13:11

    Bonjour Tyral,


    Je vous aurais bien indiqué la CNIL, mais quand on sait les connections d’AstraZeneca avec le pouvoir, autant prêcher dans le désert (Louis Schweitzer, président d’AZ jusqu’en avril dernier, pour ceux qui l’ignoreraient).

    Ensuite, il y a le Canard Enchaîné. Ils vont faire un article, ça n’intéressera pas le lecteur moyen, et tout sombrera aux oubliettes.

    La meilleure solution serait encore de contacter un blogueur reconnu. Il y avait Peter Rost, mais il semble avoir pris sa retraite comme blogueur, de même pour Philip Dawdy. Il existe un blog des victimes du Seroquel, mais vos infos risquent d’être hors-sujet pour eux. Les autres que je connais ne publient pas les documents...

    Bon courage, n’hésitez pas à nous tenir informés.


  • Pharmafox 30 mai 2012 16:03

    C’est fou ce que le politiquement correct peu nous faire dire. La prostitution, c’est avoir une relation sexuelle moyennant rémunération. Comme personne ne veut se prostituer, on invente des mots : auxiliaire de vie, acteur porno, escorte, « étudiant qui vend son corps pour boucler ses fins de mois ». Noble combat : une fois qu’on aura trouvé un terme pour chacun et chacune, on pourra dire qu’on a vraiment éradiqué la prostitution. :->


    Je m’interroge : Si on institue ces « auxiliaires », l’Etat devient-il proxénète ? Auront-ils le statut d’auto-entrepreneur ou seront-ils salariés ? Quel sera pour eux l’âge de la retraite ? La Sécu à laquelle je cotise remboursera-t’elle pour que d’autres s’envoient en l’air, à l’oeil ? Y aura-t’il un catalogue ?

    @l’auteur : et vous-même, êtes-vous prêt à donner de votre personne ?


  • Pharmafox 27 avril 2012 13:44

    @ Sylvie Imbert : je ne peux malheureusement pas vous être d’une grande aide. Je sais que les procédures existent, mais je ne les connais pas. La dernière décision de l’AFSSAPS est déjà une très bonne avancée, mais on sent bien qu’elle est accordée du bout des lèvres, qu’elle est fragile.


    Vous-êtes vous renseignée auprès de l’EMEA (l’agence européenne) ?


  • Pharmafox 27 avril 2012 13:35

    @cathy30 : Merci pour votre commentaire.


    Je tiens à préciser que j’ai proposé cet l’article avant d’apprendre que l’AFSSAPS vient d’autoriser la prescription au cas par cas de Baclofène aux patients alcooliques. Je m’en réjouis, car l’agence a accepté de privilégier l’intérêt des patients, et parce que les médecins qui le prescrivaient n’auront plus à choisir entre cet intérêt et le respect de la loi. smiley


  • Pharmafox 20 mars 2012 14:18

    Malheureusement, il n’y a pas qu’en médecine que les anciennes générations reproduisent sur la future relève les misères qu’elles ont subi. Prenons le cas de la recherche, que ce soit en sciences dures, en sciences humaines ou en économie. Combien de dizaines de supérieurs hiérarchiques apposent leur nom sur une publication à laquelle ils n’ont pas contribué ? Combien de brevets ont pour seul inventeur un directeur R&D dont on ne me fera pas croire qu’il est expert simultanément dans 15 domaines ? Tout ça parce que « ça a toujours été comme ça ».

    Pour en revenir aux internes, il faut malheureusement noter qu’ils n’intéressent effectivement personne. Pire : pour monsieur tout-le-monde, il est plus facile de se désoler du sort de la femme de ménage, prolétaire par excellence, que sur celui de l’interne, qui, par ses diplômes, appartient à une élite. Les séries hospitalières nous montrent bien que le soucis du médecin, interne ou non, est de savoir avec qui s’envoyer en l’air, éventuellement comment soigner son patient, mais jamais s’il bouclera ses fins de mois.

    Le premier combat à gagner sera peut-être celui-là : faire comprendre ce qu’est un interne. Un médecin qui n’en est pas un tout à fait, qui doit faire l’essentiel du travail, n’a droit à aucun repos ni loisir (en dépit du droit du travail) et s’en prend plein la figure à la première occasion.



  • Pharmafox 20 mars 2012 14:02

    Autant on peut reprocher beaucoup de choses à l’industrie pharmaceutique, autant je ne vois pas ce qu’elle aurait à gagner dans la mort à petit feu des hôpitaux publics... 

    Ce serait même le contraire.

    Par exemple, il y a 15 ans, les hôpitaux constituaient leurs stocks de médicaments dans la plus totale opacité. Ce temps est révolu, contrôle des coûts oblige, et certains laboratoires y ont perdu un marché juteux et de chaleureuses relations avec certains responsables hospitaliers.

    Les cliniques étant des entreprises avant d’être des services publics, elles chercheront également le meilleur prix pour les médocs, quitte à ce que ce soit au détriment de l’intérêt du patient.

    Si les mutuelles sont plus chères, si les tarifs des cliniques sont plus chers, les patients retarderont toujours plus le moment de se soigner. Au lieu d’acheter un produit sans ordonnance pour un petit rhume, ils attendront que le rhume passe tout seul ou en reviendront au cataplasmes de grand-mère.

    Non, je crois vraiment que l’industrie pharmaceutique est hors du coup (pour cette fois).


  • Pharmafox 28 février 2012 08:53

    J’admets que je suis allé un peu loin dans mon commentaire, mais cela m’agace que l’on livre les médecins à la vindicte populaire. Ce que j’ai voulu mettre en avant, c’est que les médecins sont avant tout aussi des citoyens comme les autres et qui ont les mêmes aspirations que les autres. Je parle des trajets pour les visites, vous citez des collèges et lycées, on pourrait aussi mentionner les gardes : en « désert médical », les médecins étant beaucoup moins nombreux, ils doivent assumer beaucoup plus de gardes, etc. Médecin à la campagne, c’est beaucoup, beaucoup plus de travail, pour gagner moins et avec les inconvénients de la campagne.


    Justement, s’installer à proximité d’un médecin concurrent peut s’avérer un excellent calcul pour peu que les deux partis trouvent avec lui un terrain d’entente sur les heures de consultation, de visite, les gardes, etc.

    J’écris que le mode d’opération sera directif parce qu’on a vu que la voie pour les aides fiscales était bloquée. C’est vrai que François Hollande parle de « favoriser », et c’est l’auteur de l’article qui parle de supprimer la libre installation. Les « coins convoités » ne serait pas les déserts médicaux, mais les exceptions comme par exemple le départ à la retraite d’un médecin installé à Nice (pas Jacques). Qui dit mode directif dit passe-droits et combines.

    Et bien sûr, tous les partis, de droite, de gauche, du centre et d’ailleurs avancent qu’il faut faire quelque chose contre les déserts médicaux, mais refusent de balayer devant leur porte. Je ne mets pas plus en cause le PS que les autres, mais puisqu’on fait ici l’éloge de François Hollande, ça me parait normal de parler lui.


  • Pharmafox 27 février 2012 14:15

    Mise à jour : Le dernier rappel était celui de trop. Bill Weldon a donné sa démission, en temps que directeur général (il reste président). Lui succède Alex Gorsky, qui était jusqu’alors vice-président responsable des appareils médicaux, des activités de diagnostic et de la chaîne d’approvisionnement.



  • Pharmafox 27 février 2012 13:59
    Démagogie de bas-étage.

    François Hollande veut mettre fin à la libre installation des médecins ? Autrement dit, imposer à un médecin qui finit ses études d’aller s’installer à un endroit donné. Le concours de médecine est national, non ? Va-t’on demander à un Alsacien qui n’a aucune attache à plus de 100km de Colmar d’aller s’installer dans le Lot ou en Isle et Vilaine ?

    Bien sûr, il y a le corollaire à cette belle proposition : les amis et les fils des amis auront le droit d’avoir les coins convoités. François Hollande propose de remplacer un système qui défavorise les zones rurales au profit d’un système qui favorise les pistonnés. Combien de députés socialistes (pour ne citer qu’eux), médecins de profession, exercent en « désert médical » ? Liberté (mais pas d’installation), Egalité (si tu as la carte du Parti), Fraternité, c’est la république française selon Hollande.

    Soyons honnêtes : pour que les médecins acceptent déjà d’aller s’installer dans des trous paumés, il faudrait pour commencer leur offrir des conditions équivalentes à ceux installés en zone urbaine. Je ne sais pas ce qu’il en est des indemnités kilométriques, mais à la campagne, le médecin en visite doit souvent rouler 20mn entre 2 patients, contre 5 à 10 pour le médecin de ville. A la fin de la mâtinée, le premier a consommé deux fois plus d’essence et a facturé 2 fois moins de consultation. Faites le calcul. Et même une fois ces mesures prises, combien de citadins endurcis parmi les électeurs seraient prêts à quitter la ville, ses magasins et son cinéma, pour un hameau et ses volailles uniquement parce que la loi les y obligent ? 

    Cela dit, la loi ne concernerait que les FUTURS médecins, aucun risque de se mettre à dos ceux qui voteront dans quelques mois. Au contraire les médecins actuels seraient sûrs de ne pas voir un concurrent s’installer à deux pas de chez eux pour leur prendre leurs patients.


  • Pharmafox 10 février 2012 15:47

    Ecrit comme il l’est, cet article ressemble plus à un pamphlet en faveur de François Hollande qu’à une invitation à la réflexion sur l’euthanasie.


    La minuscule allusion à l’UMP ne trompe personne, sans parler des autres partis.


  • Pharmafox 10 février 2012 15:41

    Et encore, ça m’étonnerait qu’il y ai beaucoup de patientes de chirurgie reconstructice, qui est un acte hospitalier, qui ont reçu des prothèses PIP.


    Les PIP, c’était de la prothèse bas-de-gamme pour la nunuche trop pauvre pour se payer un implant de qualité/un psy qui l’aide à s’accepter/un gigolo, et assez bête pour payer quand même quelque chose dont elle n’a pas besoin (ou assez aveugle pour rester avec un homme qui ne l’aime pas telle qu’elle est, car ne dit-on pas que l’amour est aveugle).


  • Pharmafox 10 février 2012 15:36

    A mon sens, c’est une non-information.


    Le chiffre de 1300 morts n’est toujours qu’une estimation. Pour ma part, j’espérais, j’attendais un résultat précis. D’ailleurs, les chercheurs se sont basés sur les décès depuis 2006 pour les extrapoler. Pourquoi ne donnent-ils pas ce nombre ? Parce qu’il est trop élevé ou trop bas à leur goût ?

    Enfin, la fourchette initiale de 1000-2000 a été ramené à une fourchette de 1050 à 1700 morts. Ce qui est paradoxal, c’est de répéter que c’es tune hypothèse « conservatrice ». Dans ce cas, il fallait maintenir le haut de la fourchette à 2000...

    En fin de compte, on s’en fiche, aujourd’hui on a juste deux chercheurs qui recyclent leurs travaux pour faire parler d’eux.