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Les commentaires de apami



  • apami 26 mai 2012 10:07

    Toute cette analyse repose sur une erreur tres commune aujourd’hui. La démocratie n’a pas pour objet principal de selectionner de meilleurs dirigeants, elle a pour objet principal d’empecher des oppresseurs de venir au pouvoir.

    Une fois que dans l’isoloir vous avez eliminé les buletins de ceux qui vous paraissent potentiellement des oppresseurs, vous avez fait 99% de votre travail. Dans les quelques bulletins qui restent, si vous voulez, vous pouvez vous amuser à essayer de trouver « le meilleur », mais c’est sans grande importance.



  • apami 30 décembre 2011 14:12

    On rappellera incidemment ici que Pequeresse est la fille d’un directeur de Bolloré....



  • apami 30 décembre 2011 14:04

    effectivement qigong = 氣功 

    mais contrairement a ce que vous ecrivez, 功 ne signifie pas travail. Cela signifie accomplissement
    氣 signifie « respiration ».

    Le qigong peut donc s’interpreter comme l’accomplissement par la respiration.

    Mais cela ne met pas en cause le reste de votre article...



  • apami 30 septembre 2011 10:36

    Pire encore que regarder « on est pas couché » : faire un article dessus !



  • apami 3 juillet 2011 10:20

    Il faut cliquer sur le bouton « non » en haut à gauche de l’article...
     smiley



  • apami 27 novembre 2010 21:33

    Pour etre explicite, je pense que l’essence de l’être humain se trouve essentiellement dans son cerveau. on pourrait me greffer un corps entier, à partir du cou par exemple que je continuerais à dire la même chose. C’est tellement evident. Je pense donc je suis moi même.

    Parler de la mort cardiaque est un raccourci commode du bon vieux temps. avoir ramené ce critère dans le champ des donc est juste un habile moyen d’avoir plus de bidoche à traiter.

    Je comprends que les états de mort encéphaliques soient rares et qu’il peut exister des cas ou il n’y a plus aucune chance de survie (du cerveau donc) à court terme, et ou on peut considerer comme juste et équitable de pratiquer un prelevement d’organe. Mais ce que disent les textes (et c’est cela qu’il faut regarder) c’est juste « arret définitif du coeur », et là, je ne suis pas d’accord. Si on suit ce schéma Emmanuel Vitria était un mort marchant pendant 19 ans (et le professeur Edmond Henry , son chirugien un assassin). De plus le coeur n’est pas l’organe le plus vital... Un patient sans foie... n’a plus aucune chance si je ne fais pas erreur.

    Il eut fallu définir l’état de mort comme un état de mort encéphalique, ou un état devant entraîner de manière irréversible la mort du cerveau, quel que soit les soins que l’on pourrait apporter.



  • apami 27 novembre 2010 21:14

    Bonjour Vivin,

    Non, je ne veux pas me désinscrire par peur de souffrir... Je demande à me désinscrire car j’ai bien compris que l’on peut faire de moi un donneur mort ALORS MEME QUE JE SUIS ENCORE VIVANT, C’est à dire que mon cerveau soit parfaitement intact et fonctionnel, et que, avec une greffe de coeur (disons artificiel pour évacuer les problemes philosophiques), je puisse vivre encore longtemps et conscient.



  • apami 24 novembre 2010 14:14

    Je comprends ce que vous dites, le don de son vivant est avantageux à plus d’un titre, mais je ne comprends pas bien pourquoi vous ne traitez pas clairement la question de la soi-disant « mort par arret cardiaque persistant ». Et d’ailleurs ca n’a l’air de choquer personne.

    Bien sûr ca vient de la définition légale de la mort. Excusez moi, mais dans ce domaine, la loi peut aller se faire voir ailleurs !

    Grace à cette loi, on pourrait me prèlever des organes alors que mon cerveau est en état de marche, et peut être même alors que je suis en mesure d’en avoir conscience ? On pourrait me sauver en me posant un de ces coeurs artificiels dont vous parlez, mais non, on me traite comme un vulgaire bipbipbip bip bip république populaire bip bipbip volontaire ?

    Et en plus en supposant implicitement mon accord ??? Un opt out en quelque sorte...

    ouille... c’est où qu’on se désinscrit ?



  • apami 24 novembre 2010 13:57

    Bof, c’est pas très difficile de se représenter des grandes sommes :

    1 milion = construire quelques maisons ordinaires
    1 milliard = reconstruire une ville moyenne
    20 milliards = dépenses annuelles de construction en france
    4 500 milliard = valeur de toutes les maisons résidences principales de france (24 milions, surface moy 100m2 , 1700€/m2)



  • apami 24 novembre 2010 13:32

    Non, il n’a pas dit « détail ».



  • apami 23 novembre 2010 11:56

    "Dès lors qu’un simple quidam qui va retirer son pognon se fait répondre par sa banque qu’elle n’en a plus, ça donne lieu à un rush instantané« 

    C’était le bon temps.. Aujourd’hui vous allez au distributeur de billets et il vous dit »pas plus de 500€, merci".

    Quand au guichet... quel guichet ?



  • apami 8 octobre 2010 15:05

    Article peu clair . Je ne critique pas des fautes d’orthographe ou de grammaire simple mais cette phrase :

    "D’un autre côté, c’est au tour du procureur de Paris, Jean-Paul Marin, proche lui aussi de l’Elysée, qui tente de bloquer l’ordonnance, en dessous, sur la recevabilité de la constitution de parties civiles dans l’affaire Karachi du juge Renaud Van Ryumbeke que Le Nouvelobs.com a mis en ligne, hier."

    est peu compréhensible, et prête même au contresens.

    soit vous écrivez ;

    C’est au tour du procureur qui tente de bloquer ... de faire ceci ou cela
    ou (plus probablement)
    C’est au tour du procureur de tenter de bloquer

    si vous écrivez :
    ... bloquer l’ordonnance, en dessous,...
    dans ce cas c’est une ordonnance qui serait en dessous...
    il faut dire
    ... bloquer par en dessous l’ordonnance ...

    quand vous écrivez :
    ...dans l’affaire Karachi du juge Renaud Van Ryumbeke...
    L’affaire en question n’est pas l’affaire du juge. Sauf erreur il n’y est pas impliqué.

    il fallait donc dire :

    C’est au tour du procureur Jean-Paul Marin, proche lui aussi de l’Elysée, de tenter de bloquer l’ordonnance du juge juge Renaud Van Ryumbeke. Cette ordonnance à propos de la recevabilité de la constitution des parties civiles dans l’affaire Karachi a été mise en ligne, hier par Le Nouvelobs.com .


    Vous faites aussi des erreurs de sens, par exemple :

    Selon votre texte :

    « Mais au juste, qu’est-ce qu’un procureur de la République ? Selon Wikipedia, en France, le procureur de la République est le magistrat du ministère public chargé de l’action publique dans le ressort d’un tribunal de grande instance »

    et juste en dessous :

    « Alors pourquoi un magistrat (procureur) qui devrait normalement défendre les parties civiles ne joue pas son rôle ? »

    Vous venez de dire : le procureur est chargé de l’action publique (de proteger la société française en général). Pas de la protection des parties civiles (c’est à dire l’expression d’intérêts particuliers). C’est certes moralement regrettable mais dura lex sed lex, c’est comme cela.

    Ce qu’il fallait dire est :

    En quoi la constitution de partie civiles sur ce sujet dans cette affaire serait nuisible à la la société ? Est-ce le rôle d’un procureur de s’opposer à la constitution de parties civiles ? Est-ce le rôle d’un procureur de s’opposer à la mise en oeuvre d’une ordonnance d’un juge d’instruction ?

    je stoppe là la critique. Améliorez la forme s’il vous plaît. Sur le fond je suis d’accord avec vous mais un tel manque de clarté nuit à votre propre cause.



  • apami 3 septembre 2010 13:14

    @Cogno2

    « c’est de l’ »information« qui est transmise, en l’occurence l’ »état« de la particule, et non la particule elle même. »

    D’un point de vue quantique c’est exactement la même chose. Grosso modo Les deux particules ne sont que deux maximums d’un seul champ quantique d’atome d’ytterbium qui s’étend dans l’univers. On peut dire qu’il n’y a pas d’atomes d’ytterbium, il y a « de l’atome d’ytterbium ». En tout endroit de l’univers il existe une certaine quantité d’atome d’ytterbium potentiel. Ce qu’on appelle « un tel atome » est simplement un endroit ou la quantité potentielle est proche de la certitude, et « le vide » un endroit ou la quantité potentielle est proche de l’absence..

    Pour l’exprimer la même question autrement deux « particules » quantiques (simples ou composées) dans le même état sont indiscernables, et pour le cas des bosons (une particule est soit un boson soit un fermion, et un atome est un boson), deux bosons ne peuvent être dans le même état. Autrement dit recopier l’état d’un boson est strictement équivalent à le téléporter. D’autre part

    Notez qu’un être humain est un très gros boson.

    En réalité on touche ici à un intéressant point qui est le fait que le concept « d’identité » est vide de sens. Je ferai un article là dessus un de ces jours...



  • apami 5 août 2010 13:23

    Retournez dormir avec votre nitrogene... Et laissez moi mon azote.



  • apami 2 août 2010 13:30

    Article infect. Quelle importance la couleur de la peau ? Aucune, d’autant plus que l’intéressé lui même a exprimé clairement son mépris pour de telles considérations.



  • apami 19 mai 2010 14:23

    Il me semble que l’employeur qui te vire alors que tu as du DIF, tu peux l’attaquer car il aurait du utiliser le DIF pour te reconvertir et te garder. Mais bon...



  • apami 9 mars 2010 11:12

    à Frédéric Lyon :

    L’acquisition de la nationalité Française par naturalisation n’a pas à se préoccuper des éventuelles nationalités ou de l’absence de nationalité du candidat.

    Vous prétendez n’accorder la nationalité qu’à ceux donc la nationalité admet réciproquement le droit du sol. Malheureusement pour votre raisonnement, la loi française ne contient pas le droit du sol. La désinformation haineuse des partis populistes le fait croire mais c’est faux. Naître en France ne fais pas de vous un français. L’ignorance n’est pas une bonne base pour prétendre légiférer.

    En fait tout le monde le voit bien en lisant ce fil, vous essayez de créer une discrimination envers les personne d’origine maghrébine... Mais enrobée dans du papier doré.

    Tant qu’à faire, votre raisonnement devrait demander aussi à exclure la transmission de la nationalité Française des parents aux enfants.

    Concernant vos critères de naturalisation, là encore vous exposez votre ignorance : tous les critères que vous exposez sont déjà en application.



  • apami 8 mars 2010 12:50

    Reconnu comme tel ? Je ne vous reconnais pas comme tel, vous n’avez pas de visa, et donc : dehors.



  • apami 8 mars 2010 11:56

    Que d’erreurs !

    Avant de faire un article sur la nationalité Française, il faudrait déjà connaître le sujet :

    Voici un résumé du droit actuel en matière de nationalité, je n’ai pas mis les cas spécifiques.

    Est français dès la naissance (et peut dans certains cas y renoncer vers sa majorité) :
     - toute personne don un au moins des parents est français
     - toute personne née en France d’un au moins des parent né en France

    Devient français à sa majorité (sauf s’il s’y oppose) :
     - toute personne née en France y ayant vécu x années entre tel age et tel age, et présent en France le jour de ses 18 ans

    Devient Français :
     - toute personne ayant paru être français continument pendant 10 ans.
     - tout conjoint de Français qui le déclare après un certain délai (plusieurs années)

    Peut demander à devenir Français :
     - tout étranger ayant résidé un certain temps en France a le droit de demander à être naturalisé.

    Dès le début vous oubliez le cas qui rend français la majorité des français : être né en France d’un parent né en France.

    Vous défendez l’égalité de droit et de traitement des français, indépendamment de la source de leur nationalité. Certes, C’est nécessaire et même indispensable. Mais en réalité le malaise est plus profond : Même dans la loi et dans les règlements il y a de bons et de mauvais étrangers alors même que la non discrimination selon la nationalité est un principe constitutionnel.

    En effet la loi distingue très clairement les étrangers communautaires (et assimilés), et les autres.

    Un étranger communautaire n’a par exemple pas de restrictions en terme d’emploi (à part l’armée et ce genre de choses).

    Un étranger communautaire à droit à la protection de nos ambassades (et probablement aussi de notre armée) à l’étranger.

    Cher compatriote : je comprends très bien que vous vous plaignez que votre CNI ne vous permet pas d’être traité comme de droit. Mais le fait est que c’est pire que cela : aujourd’hui, même les francais de naissance se trouvent broyés par la machine.



  • apami 25 février 2010 15:03

    @marc houssaye
    On peut évidemment remettre en cause la réalité et qualifier d’illusion toutes nos perceptions, mais sans même sacrifier le concept de réalité on voit que l’illusion de l’identité est d’une autre nature : pour que la perception d’une identité existe il faut rassembler le concept de mémoire et le concept d’intelligence. L’identité c’est la perception d’une continuité de la conscience à travers la mémoire.

    Une nation n’est pas équipée d’une intelligence. L’identité nationale n’est alors qu’un artifice de langage. Cela relève de la même erreur d’invoquer ce concept que de qualifier globalement les ressortissants d’une nation : les italiens n’aiment pas les pâtes (c’est à dire qu’on peut trouver au moins un italien qui les détestent), non plus que les français les grenouilles.C’est même condamnable de définir une différence sur la base d’une nationalité. Nous avons payé cher pour le savoir, et invoquer l’identité nationale relève de la même erreur, qui paraît illusoirement plus acceptable car appliquée à notre nation même. Que ne dirions nous pas si les suisses se mettaient en devoir de décortiquer l’identité nationale française ?

    Je le dis sans fard : en allant au fond des choses, la mise en place de ce débat, la création même de ce ministère, est une infraction aux règles nationales et internationales prohibant la discrimination.

    La nation existe : c’est la loi qui la définit dans ses dimensions géographiques et de la nationalité. Est français celui qui correspond aux critères définis dans le code civil, et dès lors s’applique à lui un ensemble de règles.

    On peut parler de traditions, voire de tendances, peut être même d’habitudes françaises. Tout cela laisse la marge nécessaire à l’existence des exceptions (beaucoup de français aiment les grenouilles ?). L’identité n’a pas cette souplesse et donc est de droit à exclure du champ des qualificatifs applicables à la nation.

    Je demanderais bien à maître Eolas de donner son point de vue sur ce point.