On apprend grâce à cet article du Figaro (datant du 30 août 2024) que "Ce témoin qui s’est manifesté spontanément en 2022 a été entendu l’année
d’après par la justice, selon une source proche du dossier."
@skirlet
Il est autorisé dans le cadre périscolaire depuis Jean Zay.
Absolument.
Et pas « dans les années 20 » comme le dit Fergus, mais dans les années 1936 et suivantes (cf : le gouvernement du Front populaire)
Une circulaire, qui d’ailleurs n’a jamais été remise en cause, tous gouvernements confondus. Ni remise en cause, ni reconsidérée d’ailleurs dans le but d’une éventuelle réactualisation...
Bien à vous.
Thierry Saladin
Bonsoir Panoramix,
Pour répondre à la question que vous posiez à Hervé Hum, personnellement je vous proposerai ce lien internet :
https://bernardsergent.fr/wp-content/uploads/2020/09/Esperanto-propedeutique2019.pdf
Lisez notamment le bilan pédagogique pp. 16-17
Bien cordialement.
Thierry Saladin
Bonjour Seth,
Vous écrivez : (...) De plus l’esperanto est une langue occidentale et même romane pour aussi mondiale qu’elle prétende être et donc inutilisable dans une très grande partie du monde à moins d’études fastidieuses.
Pour être précis, je vous répondrai trois choses :
1) D’abord que j’ai déjà entendu un linguiste qui — à l’issue d’une conférence tenue à Montpellier à la fin des années 1990 — affirmait, un peu comme vous, et je le cite : « l’espéranto est une langue romane ». C’est-à-dire latine.
Ce qui va a priori dans votre sens.
Sauf que l’espéranto n’est pas du tout latin — ou roman comme le sous-entendait cet universitaire, dont présentement le nom ne me revient pas (mais cela n’a aucune importance) — mais précisément une synthèse (et non un mélange) des langues latines, ET germaniques, ET slaves.
Ça, c’est pour le vocabulaire. Sur ce point, l’espéranto est donc une véritable langue européenne (si on met de côté le hongrois, le basque, le finnois, l’estonien et le turc qui n’appartiennent pas aux langues européennes : d’un point de vue famille linguistique s’entend. Lesquelles sont toutes des langues flexionnelles, alors que ces cinq-là sont agglutinantes.
2) Quant à la manière de construire les mots en espéranto, c’est calqué EXACTEMENT sur les langues que je vous cite maintenant : le chinois, le tibétain, le thaï, et le vietnamien.
Lesquelles langues sont appelées par les linguistes des langues isolantes.
3) S’agissant maintenant de toutes les autres langues parlées sur la planète — les linguistes (ce que je ne suis pas) les qualifient de langues agglutinantes — leur structure lexicale ne s’apparente pas exactement à l’espéranto, comme c’est le cas pour les langues isolantes, c’est vrai, mais elle s’en rapproche beaucoup. Et ce à la différence des langues dites flexionnelles qui sont étrangères à ce type de construction lexicale.
Maintenant libre à vous d’aller vérifier, ou de ne pas aller vérifier, ce que je viens de vous écrire.
Et je terminerai en précisant deux autres choses :
90% des gens — que ce soit sur AV ou bien ailleurs — qui disent une erreur sur ce sujet qu’est l’espéranto (croyant bien faire, cependant) ne prennent pas (ne prennent JAMAIS ?) la peine d’aller vérifier l’information qu’on peut leur donner.
C’est probablement plus rassurant pour elles : la nature humaine étant ainsi faite.
Elle répètent donc, quelque temps après, la même... — oserais-je dire le mot qui conviendrait en pareil cas ? — ânerie.
Une croyance se substitue alors à... une ignorance ignorée.
Quant à la question plus générale de l’espéranto, vous comprendrez que je ne souhaite pas m’exprimer ici.
Ce sujet étant bien trop vaste.
Bien cordialement, et merci pour votre attention.
Thierry Saladin
P.S. : pour le cas où vous seriez intéressé, voici ce lien internet :
http://claudepiron.free.fr/
Bonjour Eric F,
Vous écrivez avec raison : ’’frexit’’ est un anglicisme, il faut trouver un autre terme«
Il y en a un qui est aussi employé et depuis longtemps, c’est la triple sortie.
Triple sortie pour UE, Euro et OTAN.
Et il y en a même — dont votre serviteur — qui sont favorables à la quadruple sortie :
C’est-à-dire sortie de l’ UE, de l’euro, de l’Otan ET AUSSI du tout-anglais.
M’est avis que cela devrait vous plaire.
Si c’est le cas, bienvenue au club !
M’est avis aussi que seront quelque peu nombreux ceux qui ne comprendront pas bien l’intérêt de la quadruple sortie, alors qu’ils sont favorables à la triple.
Tout cela mériterait quelques explications : pour les excuser s’entend. En effet, derrière tout ça il y a un sacré plan, un plan diabolique, certes, mais génial. Et il faudrait que je décrive cette affaire sous forme d’un article sur AV.
Mais, le temps me manque. Je vais néanmoins m’y mettre. L’article devrait avoir pour titre : »Communication internationale : mythes et réalités", ou quelque chose du genre.
Merci pour votre patience. Et sans doute aussi pour votre soutien.
Bien cordialement.
Thierry Saladin
@Doume65
« Il n’y en a aucun, en fait » dites-vous avec assurance.
Finalement vous vous êtes trompé de peu, de très peu, car il y en a un : un seul. Et le voici :
https://www.youtube.com/watch?v=l0ErKbLL5WQ
Mi salutas vin.
Elkore.
Thierry Saladin
@ l’auteur,`
Bonsoir et merci pour cet article.
Je voudrais néanmoins préciser un point que les médias se sont bien gardés de préciser. Et ce malgré un dossier de presse qui leur fut envoyé en son temps .
À les en croire, ce projet de Cité internationale de la Langue française (LF) aurait jailli du cerveau d’Emmanuel Macron.
Il n’en est rien.
Ce projet remonte au 7 octobre 2001 : sur place au château de Villers-Cotterêts.
"Devant de hautes personnalités françaises, belge, québécoise, haïtienne, au balcon, 250 personnes étaient venues dans la cour, surtout de Paris, à 74 km de là, représentant plusieurs dizaines d’associations françaises pour le français et la Francophonie. Un Comité de soutien avait alors été constitué, composé de hautes personnalités françaises et étrangères très diverses : anciens ministres, parlementaires, académiciens, diplomates, historiens, chefs d’entreprise, présidents d’associations concernées…«
Du haut du balcon du château »Mon plaisir", des responsables de (Avenir de la langue française : ALF) et du FFI (Forum francophone international) lancèrent un appel pour la création in situ d’une Cité internationale de la langue française et de la francophonie.
Ce projet ne trouvant pas preneur pendant près de 17 ans, le couple Macron se laissa séduire en 2017 (Mme Macron joua un rôle non négligeable dans cette affaire déjà pendant la campagne électorale), mais bien sûr il ne fut jamais question de reconnaître les véritables initiateurs de ce projet. Ni de leur donner la parole hier, et encore moins de les inviter (du moins ceux qui aujourd’hui sont encore de ce monde).
Et sans aucune explication il fut, entre autres, décidé de ne pas retenir la francophonie.
Pourtant et au-delà de la petite dizaine d’associations de défense de la LF qui existent en France, il existe le HCILFF (Haut Conseil international de la défense de la Langue française et de la Francophonie), créé le 18 juin 2020, lui aussi systématiquement ignoré des médias, et donc de tous les communiqués qu’il a pu leur adresser régulièrement depuis cette date.
Je vous livre un article tout récent, de ce matin :
Les auteurs de ces deux articles sont membres du HCILFF.
et aussi cette émission de radio courtoisie (surtout au minutage 31’) https://www.radiocourtoisie.fr/2023/10/23/le-francais-en-partage-du-23-octobre-2023-nouvelles-du-combat-pour-la-langue-francaise-la-cite-internationale-de-la-langue-francaise/
Bien cordialement.
Thierry Saladin
@l’auteur,
Pardonnez-moi pour cette question quelque peu hors sujet, mais que signifie exactement la qualification attribuée à quelque chose comme quoi « il serait 2.0 » ?
J’entends et ou lis ça depuis une bonne dizaine d’années et ai fini par déduire que cela devait plus ou moins vouloir dire quelque chose de moderne, d’actuel, et ou de ce genre.
Merci d’éclairer le vieux chnoque (de 68 ans) que je suis.
Bien cordialement.
Thierry Saladin
Bonjour Eric F,
Merci pour cette intervention.
Pardonnez-moi, mais je dois préciser certains points, qu’il me faudra un jour exposer dans un article. Je précise : sources à l’appui.
« L’anglais NE s’est PAS répandu bien au delà de l’ancien empire colonial, par « facilité »...« , mais a été répandu : ce qui n’est pas la même chose.
Si facilité il y a (ou il y avait), c’était surtout du point de vue anglo-saxon, et rien d’autre. Churchill est très clair sur ce point dans son discours tenu à Harvard en 1943.
D’ailleurs, tous les linguistes s’accordent pour dire que l’anglais est objectivement l’une des langues les plus difficiles au monde. Et du reste ce qui est parlé dans le monde est l’anglais mondial, du globish : mais pas vraiment de l’anglais.
Il suffit de demander à un anglophone natif ce qu’il en pense. Il vous répondra qu’il comprend ce qu’on lui dit ou ce qu’il lit, mais qu’il ne s’exprimerait pas comme cela.
»La langue véhiculaire des BRICS est l’anglais.« Vous avez probablement raison.
Depuis le temps (= la première moitié du XXème siècle) certaines pratiques sont apparues : du fait de certains réseaux d’influences, mais certainement pas par l’opération du Saint-Esprit. Autrement dit il n’y a rien eu de »spontané"
Comme je vous le disais, il faudra que je m’attelle à la rédaction d’un article sur ce sujet. Mais le temps me manque en ce moment. Parce qu’il y a un paquet d’idées reçues sur ce sujet : si vous saviez...
Bien à vous.
Thierry Saladin
@ l’auteur,
(...)En fait, les BRICS mettent la barre très bas pour ce qui est de la réorganisation des relations mondiales, contrairement aux rêves de leurs supporters occidentaux.(...)
Sans doute. Ou bien leur faut-il du temps...
Toujours est-il qu’un monde multipolaire, un vrai, donc plus juste, ne peut s’envisager en dehors d’un sujet qui reste pour l’instant complètement passé sous silence, même par les dirigeants des BRICS : c’est celui de la communication internationale.
Autrement dit la remise en cause de l’ordre établi — parce qu’imposé par les EUA et le RU pour leurs seuls intérêts, et ce dans la première moitié du XXème siècle — avec le tout-anglais.
Il y a plusieurs solutions à cela, notamment mais pas uniquement dans le cadre d’une nouvelle ONU.
Pour ce qui est de la réorganisation des relations mondiales, les BRICS iront-ils jusqu’à être assez malins, pour ne pas dire suffisamment éveillés et ambitieux pour aussi désangliciser le monde qui est au bord d’une catastrophe culturelle à terme ?
S’ils ont de sacrés atouts pour ce faire, la question reste néanmoins posée.
Bien cordialement.
Thierry Saladin
Bonsoir,
(...) M. Poutine a salué la politique étrangère phare de Xi,
l’initiative « la Ceinture et la Route », qui « vise à former un monde
plus juste et multipolaire (...)
Un monde multipolaire, un vrai, donc plus juste, ne peut s’envisager en dehors d’un sujet qui reste pour l’instant complètement passé sous silence, même par les dirigeants des BRICS : c’est celui de la communication internationale.
Autrement dit la remise en cause de l’ordre établi — parce qu’imposé par les EUA et le RU pour leurs seuls intérêts, et ce dans la première moitié du XXème siècle — avec le tout-anglais.
Il y a plusieurs solutions à cela, notamment mais pas uniquement dans le cadre d’une nouvelle ONU.
Les BRICS iront-ils jusque-là ? Autrement dit outre la dédollarisation du monde seront-ils assez malins, pour ne pas dire suffisamment éveillés et ambitieux pour aussi désangliciser le monde qui est au bord d’une catastrophe culturelle à terme ?
La question reste posée.
Bien cordialement à tous.
Thierry Saladin
@Krokodilo
Mais pour ces gens-là, le monde politique et les médias, il n’a jamais été question de poser le débat. Jamais !
C’est ainsi.
@amiaplacidus
(...)Mais voilà, l’UE n’est pas faite pour que les petites gens puissent
communiquer entre eux. Mais, simplement, pour que les nantis, ceux qui
ont le pouvoir économique, tiennent fermement ce pouvoir en mains.
Voilà un commentaire qui tranche avec bien d’autres sur ce fil. Bravo !
Lequel commentaire confirme que la démocratie, au sens étymologique du terme, n’existe pas. Elle est donc à mettre en place.
Etienne Chouard propose une méthode pour ce faire : une méthode raisonnable.
Mais pour l’instant le peuple la refuse : par flemme, par sottise... Tant pis pour nous !
Cordialement.
Thierry Saladin
Absolument, nous sommes tous des ignorants.
Mais il y a pire : c’est ceux qui ignorent leur ignorance, et c’est de ceux-là dont je parlais.
Le Défi des langues, et bien je l’ai proposé sur AV il y a plusieurs années.
Eh bien j’en connais au moins un qui ne l’a pas lu, sinon il ne viendrait pas une nouvelle fois la ramener... En répétant toujours la même chose.
Quant aux BRICS, il faudra une forte volonté politique pour remettre en cause le tout-anglais, car il y aura de sacrées résistances...
Bien à vous.
Thierry Saladin
Bonsoir Krokodilo,
Une nouvelle fois, vous aurez constaté que certains — en fait toujours les mêmes (même s’il y a aujourd’hui quelques petits nouveaux) — sont venus faire un petit tour sur votre article ; histoire de déverser leur fiel, leur venin, sur une langue construite (et non artificielle, comme disent les ignorants) dont ils ignorent absolument tout, mais dont la simple évocation des neuf lettres qui composent le nom leur donne des boutons...
Alors ?
Eh bien ils viennent se gratter dans les commentaires. Si ça peut les soulager...
Il n’empêche que le problème de la communication internationale existe bel et bien, même s’il est nié. Une question sur laquelle les gratteurs n’ont probablement jamais réfléchi. Ainsi sont les hommes / Tiaj estas homoj.
Les BRICS s’attelleront-ils à cette communication internationale, qui en fait est le thème de votre article ?
On peut l’espérer, mais rien n’est sûr : la sottise humaine se portant bien.
En effet, à ce jour je n’ai rien remarqué, tant au sommet de Johannesbourg qu’à la conférence de Valdaï, qui donnerait à penser qu’ils vont aller dans cette direction... Remettre en cause le tout-anglais. Car il s’agit bien de ça, et de rien d’autre : n’en déplaise aux ignorants.
Mais l’avenir n’appartient à personne et je ne le prédis pas. Je l’espère pour le futur de l’humanité. Un futur que notre génération ne verra pas mais qu’elle contribuera peut-être à enfin mettre en place.
Et tant pis pour les sots qui ressassent leurs fadaises sur un sujet, la communication internationale dont ils ignorent tout. Je l’ai déjà dit.
Mais, optimiste incorrigible, on va miser sur leur intelligence et leur faire une suggestion de lecture : « Le Défi des Langues : du gâchis au bon sens. » par Claude Piron. Ed. l’Harmattan. Un bouquin qui n’a pas pris une ride depuis 1994, sauf sur la question de la traduction automatique : forcément.
prix neuf : 32 euros.
Fartu bone, kaj bonan kuraghon.
Thierry Saladin
@Phase : descente aux enfers !
« Les Français sont nuls en langues étrangères »
Pardonnez-moi, mais cette affirmation cent fois, mille fois dite et répétée en France correspond à ce que l’on appelle le handicap linguistique. Et que beaucoup ignorent.
En deux mots, le spectre de la langue française est étroit sur la gamme des fréquences. Ce qui veut dire que les Français deviennent sourds pour les fréquences qu’ils n’entendent pas dans leur langue maternelle.
Et de ce fait, ils éprouvent beaucoup de mal à reproduire des sons qu’ils n’entendent que peu ou mal.
Locuteurs privilégiés pour apprendre une langue étrangère : les Allemands, les Néerlandais, les Slaves (Russes notamment). Ils ont un spectre large dans leur langue.
Les Anglais sont aussi désavantagés que nous Français. Mais voilà, eux ne se cassent pas la tête : beaucoup ne font aucun effort pour apprendre une langue étrangère.
Bien cordialement.
Thierry Saladin
@ l’auteur,
Oui, comme le dit très justement Fanny, la langue, ici le français, c’est le plus important.
Or, vous n’en parlez pas dans votre article. Excellent par ailleurs.
Une des conséquences de la politique africaine de nos dirigeants, disons depuis Sarkozy (et vous le dites vous-même), c’est une perte de confiance de ces pays en la France et donc un affaiblissement déjà sensible de la francophonie.
Ensuite, vous écrivez en français pour un lectorat francophone.
Très bien.
Alors pourquoi employez-vous l’acronyme anglais ECOWAS à la place de CÉDÉAO : Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest ?
Laquelle communauté a aussi une troisième langue officielle, le portugais.
Et pour finir sur ce sujet, USA se dit également en bon français EUA : États-Unis d’Amérique.
Mais vous faites comme vous voulez, bien entendu.
Cordialement.
Thierry Saladin
Bonjour chapoutier,
Effectivement, la page est effacée, mais je l’ai quand même trouvée, ici
Si pour une raison quelconque vous ne pouvez pas y accéder, sachez que j’ai recopié l’article avant de le traduire en français.
Alors, dites-le moi : on trouvera un moyen pour vous le faire parvenir.
Une question en passant : le site VS de Sylvain Ferreira ne serait-il pas en dérangement ? Depuis trois ou quatre jours, il n’y a plus aucun commentaire. ???!!!
J’ai pensé à un dérangement une fois que j’ai essayé d’en mettre un, c’était mon troisième. Eh bien il fut refusé.
Bien cordialement.
Thierry Saladin
Bonjour Fergus,
Pardonnez-moi, mais je dois vous avouer que ces derniers temps j’ai beaucoup de mal — vraiment ! — à vous suivre dans vos écrits et ou commentaires. Mais peu importe.
Si je vous écris aujourd’hui c’est parce que vous venez à l’instant d’évoquer, je vous cite : « la duplicité du personnel politique aux affaires ».
Voilà qui me semble très intéressant.
Alors je vous pose une question, toute simple : que pensez-vous des analyses et propositions d’Étienne Chouard ? Lequel est favorable, et aussi se bat depuis en gros une vingtaine d’années, non seulement pour :
Je lirai tout ça avec attention, n’en doutez pas, et vous informe que je n’y répondrai pas.
Merci, et bien cordialement.
Thierry Saladin
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