@Aristide
Vous ironisez, mais le principe est connu depuis longtemps : la batterie, il me semble.😉
Je ne supporte pas qu’on coupe un arbre et à fortiori un chêne
Je partage.
Beau récit poignant même si on ne sait s’il est réel ou s’il est un conte
L’essentiel, c’est la symbolique de cette Loire éternelle, sauvage qui survit à toutes les agressions.
Merci pour ce joli récit d’une enfance, désormais lointaine, près d’un ruisseau, désormais l’ombre de ce qu’il était, semble t-il.
Mais, ça ne fait rien, les souvenirs sont beaux.☀️
Voilà, toutes les dérives et la nocivité de la chasse est résumée dans ce billet.
Le temps où ce plaisir morbide de quelques uns finira dans les oubliettes de la société approche.
En attendant, je retiens cet appel de Victor Hugo, devenu le cri de guerre de Sea Shepherd : « Il vient une heure où protester ne suffit plus, après la philosophie, il faut l’action. »
✊
Pas convaincu.
Car, pour résumer, qui dit « déchet » dit « consommation » et, seulement après, qui dit « consommation » dit « production ».
Aucune industrie ne fabriquera un produit si elle n’est pas sure qu’il y a un consommateur, en bout de chaîne, pour l’acheter.
S’il y a production, c’est qu’il y a consommation et même sur-consommation, certes encouragée par le marketing, la publicité, mais avérée.
Vous, moi, tout le monde sommes donc responsables de nos déchets. L’usage, vertueux ou délictueux, qui en fait nous concerne tous.
Et même, si ce n’est pas aussi facile à faire qu’à dire, tendre vers le 0 déchet est une bonne chose. Une paille en plastique ou un emballage McDo en moins dans un fossé au fin fond d’une campagne est déjà une victoire sur la pollution.
Très belle histoire. Peu importe que ce saule noir ait existé ou pas, ce qui compte c’est que la Nature trouve toujours son chemin pour renaitre ailleurs, différemment mais présente.
Merci Nabum
"Les élus du Var et des Alpes-Maritimes ont donc d’écrasantes responsabilités dans deux département en proie à la folie immobilière"
Tout est dit
Les sinistrés peuvent remercier Marc Daunis (sénateur et ancien maire de Valbonne Sophia-Antipolis) et Jean-Pierre Mascarelli (président du Syndicat Mixte de Sophia Antipolis) pour la construction du centre commercial Open Sky qui va artificialiser 100 000 m² supplémentaires, accentuant encore les risques d’inondation.
https://mysophiaantipolis.jimdofree.com/urbanisation-de-sophia/open-sky-centre-commercial/
On peut se demander légitimement combien ces individus perçoivent en sous-main pour prendre des décisions aussi mortifères pour les habitants.
J’ai aimé cet article plein de poésie, mais aussi d’inquiétude pour la préservation de ces lieux magnifiques des bords de Loire et leur biodiversité.
De l’inquiétude, on peut en avoir, et même de la révolte quand le 11 septembre dernier le CD45 a fait pratiquer une saignée destructrice dans le bois de Mardié, à l’endroit même où un couple de balbuzards nichait avec succès depuis plusieurs années ( http://www.balbucam.fr/fr/category/structure/actions/)
Voir aussi : https://reporterre.net/Pres-d-Orleans-les-citoyens-defendent-la-foret-contre-les-bulldozers
De quoi donner envie d’utiliser des moyens radicaux et violents pour arrêter ces fous inconscients que sont certains élus.
Personnellement, je n’arrive plus à trouver d’excuses à ces gens qui ne jurent que par le bétonnage et la bitumisation de nos espaces naturels sous prétexte de progrès ou de création d’emplois.
Victor Hugo a dit : « Il vient une heure où protester ne suffit plus, après la philosophie, il faut l’action. »
On ne peut qu’approuver
Je partage.
Mais je constate aussi. Journée sponsorisée par ... MacDo, roi de l’emballage à usage unique, dont je retrouve des contenants, en pleine campagne, à 15 kms du MacDo le plus proche, ELeclerc (idem les autres hypers) et ses suremballages inutiles.
Certaines communes renvoient aux pollueurs leurs déchets. Efficace et dissuasif.
Il y aurait encore bien d’autres choses à dénoncer sur ces incivilités : mégots, canettes, couches-culottes, artisans...
Mais, je suis fatigué devant tant de bêtise des jeunes et des moins jeunes.
Je suis loin mais je suis l’évolution de ce projet écocide.
Bravo pour votre article explicite sur les méthodes de financement quasi mafieuses de Pierres&Vacances et la complicité pour le moins étrange des élus LREM de l’Isère.
Soutien à votre combat pour l’environnement.
Ému, vraiment ému par ce texte tant il traduit ma pensée profonde, mon désespoir d’assister, impuissant, à la disparition de notre Nature.
Comment l’humanité a t-elle pu en arriver là ?
Je suis infiniment triste pour mes petits enfants.
Ce que je retiens de tout ce que je lis sur le sujet, c’est que 92% des cours d’eau sont pollués par les pesticides et que des initiatives comme le désherbant écologique Osmobio attendent toujours une autorisation de vente par l’administration française.
Pour les particuliers, ce sera réglé dans 1 an, mais c’est vrai qu’ils sont encore nombreux à user et abuser du glyphosate sur le moindre brin d’herbe qui « défigure » une allée de graviers.
Et abandonner ces poisons ne serait pas une régression mais une autre manière de cultiver avec de nouvelles techniques ( pas de labours ou juste en surface )
Le seul retour en arrière, ce serait, finalement, de retrouver le respect de la Terre (avec un grand T) et de la Nature perdu depuis 60 ans.
C’est vrai, les chats sont « responsables » de la prédation de beaucoup d’oiseaux. Je l’ai constaté avec les miens, surtout les jeunes.
Mais, peut-on leur reprocher d’assouvir leur instinct naturel de prédateur ?
Pas plus tard qu’hier, j’ai assisté à un épisode cruel de cette nature qui ne juge pas.
Assis sur ma terrasse, je téléphonai et j’ai vu un superbe chardonneret se poser à quelques mètres sur un arbuste pour picorer. Tout à coup, une ombre surgie du dessus de ma maison. C’était un faucon qui a fondu sur le pauvre oiseau et l’a emporté. La scène a duré à peine une seconde et j’ai été choqué par la violence de l’attaque. Peux t-on reprocher à ce rapace cet acte cruel ?
Pour en revenir aux chats, notre problème, en France, c’est leur trop grand nombre. Souvent errants, abandonnés et non stérilisés, ils se débrouillent comme ils peuvent.
Il faut en prendre conscience et mettre en place une loi qui oblige les particuliers, les éleveurs et les élus locaux à les stériliser.
Peut-être, qu’alors leur nombre diminuera et leur prédation aussi.
Pire que tout ce qu’on peut imaginer.
C’est un syndrome chinois qui va durer des millions d’années sans qu’on puisse y faire quoique ce soit.
Quel héritage pour les centaines de générations à venir, si tant est que l’humanité survive à sa folie.
Quand je pense que le gouvernement japonais veut dissimuler à tout prix les conséquences de ce désastre et que le gouvernement français a tout fait pour sauver la filière nucléaire après ce désastre.
C’est un suicide à terme, selon les caprices de la nature.
Globalement, je partage.
Mais en dehors de l’indépendance des médias, comment le simple citoyen que je suis peut-il exprimer ses choix si ce n’est en votant, sachant que cette expression ne changera pas grand chose à sa vie ?
Ce dont je suis convaincu, c’est que celui qui ne vote pas perd sa légitimité à émettre un avis sur la conduite de sa commune, de sa région ou de son pays.
Si aucun candidat n’a convaincu, il y a 3 possibilités :
-s’abstenir, qui peut, si l’abstention est importante, traduire une crise de la représentation et poser la question de la
légitimité du pouvoir politique élu.
-voter blanc, ce qui indique une volonté de se démarquer du choix proposé par l’élection. Depuis 2014, les bulletins blancs, même non pris en compte dans les suffrages exprimés, sont décomptés séparément des votes nuls et annexés en tant que tel au procès verbal dressé par les responsables du bureau de vote. Ils ont, au moins, le mérite d’indiquer la hauteur du désaccord des électeurs.
-le vote nul, qui ne sera pas pris en compte dans les résultats de l’élection. Le plus mauvais choix à mes yeux..
Alors, c’est vrai, ce qui nous est proposé, aujourd’hui, c’est un choix entre la peste et le choléra. Au 2ème tour en tous cas.
Si je sais déjà pour qui je voterai au 1er tour, je sais aussi pour qui je ne voterai en aucun cas au 2ème.
Au moins, je me serai exprimé.
L’ @ouragan est de retour avec ses thèses complotistes aussi peu crédibles que celles des climato-sceptiques ou des « chemtrailistes ».
Je ne citerai donc que cet extrait d’un article sur la cohabitation du loup avec les bergers en Roumanie :
J’y ai rencontré des bergers qui m’expliquaient que la protection des troupeaux, c’était leur métier ! Que bien sûr des ours et des loups s’approchaient, mais qu’ils étaient là pour les chasser, que leur simple présence faisait fuir les prédateurs.
Il y a pourtant des troupeaux de plusieurs milliers de bêtes également dans ce pays d’Europe de l’Est ! Peut-être parce qu’il y a toujours eu des prédateurs et, qu’en tout temps, il a fallu partager le territoire avec eux, COHABITER, il y a eu une transmission entre les générations de bergers et il y a encore aujourd’hui une fierté à protéger le troupeau.
Il n’y a qu’en France qu’on rencontre cette haine des prédateurs.
Pourtant, que la montagne serait belle avec moins de brebis et plus de vie sauvage.
@périscope
Belle mais stérile envolée d’un facho intégriste...comme d’habitude
Votre article est intéressant.
Cependant, comme vous l’écrivez, la F1 est hybride et instable.
Impossible d’utiliser ses graines d’une année sur l’autre.
Et c’est tout le problème, cette variété a été génétiquement créée et la nature n’a pas eu le temps d’en sélectionner les caractéristiques suffisamment stables pour qu’elle puisse se reproduire seule.
Qu’elle soit cultivée en bio ou non n’y change rien. Sans reproduction provoquée, elle disparaitrait immédiatement.
De plus au niveau gustatif, il n’y a pas photo. Certes, elles sont belles, bien rouges mais pas vraiment goûteuses, comparées à des variétés naturelles et/ou anciennes.
Que ce soit chez Kokopelli ou un autre, l’important reste la pérennité des graines, le seul argument qui garantit une reproductibilité naturelle et non une brevetabilité du vivant par des multinationales.
Quant à la vulnérabilité au mildiou ou aux insectes ravageurs, je vous invite vivement à lire attentivement cet article : Tomates sans arrosage ni pesticide : cette méthode fascine les biologistes
Ceci dit, je ne remet pas en cause votre savoir-faire ou votre sincérité. Je crois surtout que les agriculteurs, au sens large du terme, sont victimes des discours des agro-industriels qui ne voient que productivité et croissance.
Au détriment d’une agriculture qui garderait cette harmonie avec la nature que nos grands-parents connaissaient encore il y a quelques décennies.
Beau récit.
J’ai été velivole et je me souviens très bien, non pas de cigognes, mais de 3 buses qui nous ont guidé vers une ascendance.
Un souvenir magique et impérissable que notre spirale, accompagnés de ces oiseaux à quelques mètres des ailes.
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