• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Les commentaires de dana hilliot



  • dana hilliot dana hilliot 18 octobre 2007 16:56

    stephanemot écrit : « Sarko l’a lue à Ahmadinejad qui lui a renvoyé l’intégrale de Montesquieu. »

    excellent :)





  • dana hilliot dana hilliot 8 février 2007 17:49

    @rocia

    on frise l’attaque ad hominem là :)

    oui cela dit, l’auvergne est une belle région !)



  • dana hilliot dana hilliot 8 février 2007 17:47

    @un passant

    qu’est-ce qui vous fais penser que je sois de gauche ?

    je ne vois pas le rapport entre votre question et mon texte. Je n’ai absolument présenté aucune solution. Je me suis contenté de poser un problème après tant d’autres, en considérant justement qu’avant de brandir des solutions aussi pauvres que celle présumée sous le solgan de sarkozy, il y aurait nécessité à mieux percevoir la réalité des choses.

    Je ne répondrais donc pas àvotre question qui m’est d’ailleurs inintelligible.



  • dana hilliot dana hilliot 8 février 2007 17:43

    @rocia

    mais tant mieux pour vous ou tant pis si vous avez été capable de supporter cela, de tolérer cette souffrance.

    Doit-on pour autant nier qu’il existe des gens qui ne le supporteront pas ? Peut-on nier que des gens, c’est un fait, je n’y peux rien, ne le supportent pas ? Que d’autres n’aient pas la même capacité que vous ?



  • dana hilliot dana hilliot 8 février 2007 16:38

    @actias

    ben dis donc.

    Que de haine.

    Je m’étonne qu’un article aussi minable puisse mériter autant de haine. « merde, connard, fillette de huit ans »

    Vous avez le surmoi qui fonctionne à bloc vous. Enfin.. tant mieux pour vous.

    (c’est dingue ce qu’on peut se permettre d’insultes sur internet, bien à l’abri derrière son écran d’ordinateur.)



  • dana hilliot dana hilliot 8 février 2007 16:33

    merci pour cette citation admirable reinette, citation qui prend encore plus de saveur quand on sait ce que madame parisot entend faire du « droit du travail ».

    le monde idéal des partisans du MEDEF est un monde où effectivement la liberté (de penser) ne serait l’apanage que de quelques uns, qui en tireraient profit, tandis que pour le plus grand nombre, ce serait la liberté d’être gentiment exploités.

    Une liberté contre une autre en somme. Un nouveau partage..



  • dana hilliot dana hilliot 8 février 2007 16:25

    oui tu as raison, l’argument qui consiste à dire qu’on ne peut connaître la pauvreté à moins de l’avoir vécu n’est pas forcément très bon. Quoique.. Peut-être après tout existe -t-il des expériences irréductibles ?

    Si je disais ça, c’était surtout parce qu’il me semble qu’on trouve beaucoup trop facilement des « solutions » aux problèmes des pauvres - d’autant plus facilemen qu’on n’est pas directement concerné à vrai dire. Il existe un excellent texte de feu John Kenneth galbraith à ce sujet, sur « l’art d’ignorer les pauvres » :

    http://www.monde-diplomatique.fr/2005/10/GALBRAITH/12812

    l’auteur a beaucoup plus de compétences et d’humour que moi, et je vous en conseille la lecture.



  • dana hilliot dana hilliot 8 février 2007 16:15

    Merci pour les commentaires, surtout les plus argumentés. Il y a tout de même un aspect des choses que je n’ai peut-être pas assez souligné dans mon texte, sans doute parce qu’il est effectivement trop long et tortueux, et qui n’apparaît pasje crois dans les commentaires. Je resouligne donc :

    Ce qui me frappe, c’est l’incapacité où nous sommes, pour la plupart,à admettre que le modèle de « réussite sociale » fondé sur la « valeur » travail, ne convienne pas à tout le monde. je veux dire qu’il y a des personnes, qui, pour de multiples raisons, sont incapables d’adhérer à ce cheminement là.

    Je donne un exemple : A moins de vivre dans un égoïsme complet, je pense que chacun d’entre nous a dans on entourage, connaissance de personnes qui ont traversé une épisode dépressif (et même, je suppose que parmi les lecteurs d’agoravox, il y en a un paquet qui vécu ou qui vivra ou qui vit actuellement un tel épisode). Un des caractères marquants de ces périodes, c’est que vous êtes en général dans l’incapacité de trouver en vous les ressources pour quitter votre lit (j’exagère, mais dans les cas les plus graves c’est à peu près ça) - et de fait, aller travailler n’est pas seulement impossible, mais probablement contre-indiqué (d’autant plus si le travail en question constitue une des occasions de déclenchement de la dépression). Ce qui se passe à ce moment là, c’est qu’on ne croit plus que le travail constitue la voie idéale de l’épanouissement personnel.

    C’est juste un exemple. Je crois que des tas de gens sont effectivement, et pas seulement lors d’un épisode dépressif, mais de part si j’ose dire leur constitution psychique et émotionnelle, pas en mesure d’adhérer à la croyance selon laquelle le travail salarié est la panacée. Peut-être sont-ils moins tolérants envers la frustration comme disent les psychanalystes ou psychologues.

    Si les choses allaient tellement de soi, si les problèmes liés au chomage relevaient simplement d’une mauvaise volonté, ou de ce que certains ici appelent la paresse (voire la feignasserie), croyez-vous que la France ferait partie des pays consommant le plus d’antidépresseurs et anxyolitiques ? Il me semble que le modèle « réussite par le travail » que certains ici considèrent comme évident, presque « naturel », est en réalité fortement pathogène.

    Je suis vraiment étonné de constater comment en tous cas certains semblent incapables de considérer qu’on ne vive pas le monde du travail comme ils le vivent eux. Que l’idée même qu’on puisse le vivre autrement qu’ils ne le vivent leur paraît insupportable.

    On se précipite sur des solutions politiques. Je crois qu’on devrait plutôt commencer par produire des analyses plus fines des disparités au travail, et de la pluralité des désirs humains. Essayer de comprendre pourquoi ce modèle de société ne fonctionne pas pour tout le monde, s’interroger sur les raisons qui font qu’on y adhère ou pas, qu’on est capable de s’y épanouir ou pas.

    Nous sommes, à en croire les discours qui se déploient en profusion en ce moment, très loin du compte à ce niveau. Comme si l’approche des élections devait s’accompagner d’une horreur de la singularité, de la différence.



  • dana hilliot dana hilliot 8 février 2007 13:51

    merci stephane klein c’est gentil et argumenté comme commentaire.



  • dana hilliot dana hilliot 25 janvier 2007 14:09

    En 1926 le brave pharmacien Émile Coué publiait « La Maîtrise de soi-même par l’autosuggestion consciente ». Je cite la conclusion :

    "Cette conclusion est bien simple et peut s’exprimer en peu de mots : nous possédons en nous une force d’une puissance incalculable qui, lorsque nous la manions d’une façon inconsciente, nous est souvent préjudiciable. Si, au contraire, nous la dirigeons d’une façon consciente et sage, elle nous donne la maîtrise de nous-mêmes et nous permet non seulement d’aider à nous soustraire nous-mêmes et à soustraire les autres à la maladie physique et à la maladie morale, mais encore de vivre relativement heureux, quelles que soient les conditions dans lesquelles nous puissions nous trouver.

    Enfin et surtout, elle peut, elle doit être appliquée à la régénération morale de ceux qui sont sortis de la voie du bien." http://fr.wikisource.org/wiki/La_Ma%C3%AEtrise_de_soi-m%C3%AAme_par_l%27autosuggestion_consciente

    Globalement on n’a pas fait mieux depuis dans le genre.

    Je ne doute pas cela dit que les gens susceptibles d’accéder à cette forme de bonheur y parviennent à force de méthodes. Tant mieux pour eux si ces accumulations de banalités niaises les aident.

    Je préfère les gens sur lesquels ces fades méthodes d’autosuggestion ne produisent aucun effet.



  • dana hilliot dana hilliot 16 janvier 2007 19:06

    j’avais écrit à Arte pour m’en plaindre (étant sous linux ubuntu edgy) ils m’avaient gentiment répondu qu’ils prenaient en compte mon message etc.. c’était il y a quelques mois rien de nouveau manifestement..



  • dana hilliot dana hilliot 20 décembre 2006 12:39

    ha oui excusez moi pour les coquilles de ma réponse précédente : mon clavier est en train de rendre l’âme..



  • dana hilliot dana hilliot 20 décembre 2006 12:36

    cher zerth,

    vous écrivez :

    =>Financièrement, une famille RMiste qui bénéficie donc d’aides parallèles (réduction dans les transports, aide au logement, réduction pour les loisirs) s’en sort beaucoup mieux avec le revenu minimum qu’avec le revenu d’un travail rémunéré faiblement.

    Sur quoi vous fondez vous pour affirmer cela ? C’est une espèce de bateau en ce moment dans l’opinion qui à ma connaissance ne repose sur aucune donnée fiable.

    Sinon, votre brève histoire de la genèse du RMI français est vraiment bien faite. Merci pour ce rappel.

    Je reviens toutefois sur le dilemne assistance/insertion. Les choses ne sont pas si tranchées. Je vous parle là en tant qu’ex-rmiste. Quand on prétend au rmi, on signe un contrat qui n’est pas forcément un contrat de retour à l’emploi. Disons que le I de insertion en est venu à signifier des choses plus large que le simle retour à l’emploi (comme vous le dites, souvent précaire et mal rémunéré).

    On peut par exemple bénéficier du rmi pour des raisons de santé : d’inemployabilité. Cette notion d’inemployabilité prend en compte le fait que certaines personnes, à certains moments de leur histoire, ne sont pas en mesure de se consacrer à un travail salarié. Elles ne sont pas pour autant considérées comme handicapées (au sens où une invalidité serait prise en charge par la cotorep), mais leur vulnérabilité rend la perspective d’un retour à l’emploi dangereuse pour la santé de l’individu. Le RMI existe alors dans ce cas pour permettre à la personne de ne pas couler complètement, de se maintenir tant bien que mal. (éviter par exemple de se retrouver sans toit).

    Les contrats d’insertion proprement dit voient leur efficacité mises en péril par la situatin du marché du travail du’ne part, et les ressources propres de la personne d’autre part. On trouve environ un tiers de rmistes qui constituent ce que certains économistes considèrent comme des personnes qui de toutes façons demeureraient inemployables même en situation de plein emploi. (en Angleterre par exemple, ces personnes sont considérées comme handicapéses et n’entrent pas dans les statistiques du chomage).

    Les deux tiers restants.. Beaucoup d’accidentés de la vie si je puis dire. Des gens qui ont perdu leur époux/épouses, se sont retrouvés isolés, on tperdu leur emploi etc.. Tout le mode connaît je crois dans so entourage des exemples de ces cycles de désocialisation , accompagnés généralement de phases dépressives etc.. Pas mal de diplomés aussi - qui n’étaient sans doute suffisamment pas « guerriers » pour réussir sur un marché du travail qui s’apprente parfois à un champ de bataille (il ne suffit pas d’avoir un diplome pour réussir professionnellement, parfois il faut aussi être un « battant » - or, il y a des gens qui ne sont pas des battants, ils ont d’autres qualités peut-être mais pas celle là. Moi par exemple :)

    Globalement je dirais que le rmi concerne surtout des personnes qui n’ont pas la tournure d’esprit pour réussir dans ce monde là, parce qu’il ne croit pas suffisamment à la réussite sociale, parce qu’ils ont parfois d’autres aspirations. L’existence du rmi nous renvoie aussi à mon avis au caractère univoque et tyrannique de notre modèle de réussite sociale. Et notre incapacité relative à faire une place décente à tous ceux qui ne sauraient s’épanouir dans un tel modèle.

    Enfin, je crois qu’il faut arrêter de délirer sur le bonheur qu’il y aurait à être au rmi. Je ne nie pas qu’ily ait une grande diversité de situation (il y a ne toute minorité de gens qui effectivement ont une attitude perverse vis-à-vis du rmi, et bien souvent il y a papa et maman derrière qui financent, et donc ils ne sont pas vraiment au rmi.)

    Mais majoritairement, le rmi c’est quand même une grosse galère. Le moindre centime devient vital. Il faut adopter un certain ascétisme (les rmistes sont souvent des décroissants qui s’ignorent. C’est pourquoi je suis assez énervé par le mouvement de la décroissance : c’est plus facile et gratifiant de devenir pauvre quand on a des sous, que lorsque de toutes façons, on n’a rien..)

    Et c’est surtout le désespoir : parce que sortir du rmi, je peux vous dire, c’est la croix et la bannière. Seul, on n’y arrive pas. la volonté ne suffit pas. Moi, j’ai eu la chance de rencontrer des travailleurs sociaux bienveillants et efficaces (peut-être parce que je vis dans un coin perdu et qu’ils sont moins sous pression que dans les zones urbaines) et d’amis, de proches, solidaires et patients. Parce qu’il faut du temps.

    Bref, le rmi, ça ne fait pas tout, mais ça laisse une chance de se maintenir à flots quelques temps, si on a la chance de ne pas être absolument seul. C’est peut-être le pue qui reste de solidarité instituée dans ce pays. Il faut le revoir, le modifier, certainement ( par exemple il n’est pas normal qu’un pays comme la France institue au travers du montant du rmi la pauvreté : je rappelle que le rmi est en dessous du seuil de pauvreté tel que défini par les instances européennes et l’INSEE. ). Mais je crois que ceux qui stigmatisent les rmistes le font dans la mesure où ils s’imaginent ne pas pourvoir devenir eux-mêmes un jour des rmistes. Tant mieux pour eux s’ils le croient. Moi je ne suis pas sûr que quiconque soient à l’abri des accidents de la vie.

    Merci pour votre texte en tous cas.



  • dana hilliot dana hilliot 5 décembre 2006 16:20

    Merci pour ce texte Nicolas qui résume assez bien les inquiétudes qui accompagnent mon intérêt pour la candidature de François Bayrou. J’apprécie beaucoup l’homme et ses idées, mais j’ai très peur que le « commando » udf comme il le désigne lui-même, ne soit pas tout à fait sur la même longueur d’ondes que le chef du parti.

    Je fréquente de temps à autres le forum de l’UDF (voir leur site) : j’espère que les discussions qui s’y tiennent ne sont pas représentatives du mouvement (parce qu’il y a des gens là dedans que je n’aimeraipas avoir comme ami politique)

    D’un autre côté je me dis (peut-être à tort) : voilà, c’est une élection présidentielle. Je crois que Bayrou a le profil d’un chef d’état, et des idées qui me semblent suffisamment ouvertes, une philosophie et une méthode (très rocardienne d’ailleurs) que j’apprécie (je me rend compte d’ailleurs que je préfère une philosophie du projet démocratique à un programme fait d’une série de mesurettes plus ou moins cohérente).

    Donc : si je dois voter pour un chef de l’état, oui, Bayrou me séduit. mais si c’est pour qu’à l’arrivée on se retrouve avec un gouvernement de droite style UMP/UDF, je ressentirai ça comme une trahison insuportable.

    Tout l’enjeu de l’élection de Bayrou est là : il doit pour réussir séduire aussi les gens de gauche. Les sympathisants de Straus Kahn, de Kouchner, de Delors, de Rocard etc. Mais il doit assurer ces gens de gauche qu’ils ne sont pas en train de voter pour un futur gouvernement UMP/UDF. Et pour le moment, bien qu’il ait très clairement affirmé sa sympathie pour des personnalités politiques de tous bords, on ne peut pas dire qu’en retour on lui ait renvoyé l’ascenseur.

    Donc je suis perplexe.



  • dana hilliot dana hilliot 23 novembre 2006 16:56

    Bon c’est rassurant tout de même qu’une majorité de lecteurs d’agoravox soulignent l’indigence de ce texte

    cela dit, G. Schmidt, son auteur, exprime une « opinion » (au sens le plus péjoratif du terme, voir Platon) qui se répand assez facilement dans les conversations.. ce n’est pas nouveau. Mais dans les années 90 on n’aurait pas entendu des choses pareilles (le politquement correct a parfois du bon quand il évite de proférer des âneries). Peut-être parce qu’à l’époquen tout le monde se sentait concerné, directement ou indirectement (par ses proches) par la perspective du chomage ou du rmi. J’ai l’impression à entendre les conversations de comptoir parfois, que ce sentiment d’ « être concerné » tend à disparaître au profit de la désignation d’un bouc émissaire (le fou, l’arabe, l’enfant dissipé, le délinquant ou futur délinquant, le chomeur, le pauvre etc.)



  • dana hilliot dana hilliot 23 novembre 2006 13:59

    Ce texte est d’une bétise sans nom Je m’étonne que la rédaction d’agoravox puisse laisser passer des raisonnement d’un simplisme aussi aberrant

    Encore une fois, on peut s’autoriser à ce genre d’arguments si on part du principe que le RMiste, le chomeur c’est l’Autre, c’est-à-dire une sorte d’aberration sociale. Or, le rmiste,le chomeur, ça peut-être demain ou hier ou maintenant n’importe lequel d’entre nous.

    Lisez ça : http://www.another-record.com/danahilliot/pdf/lettre_au_rmi.pdf



  • dana hilliot dana hilliot 23 novembre 2006 12:07

    quelqu’un dans les commentaires évoque au sujet de votre texte une confusion entre condamnation et prison.

    Vous regrettez que le débat sur l’état des prisons françaises occulte un autre débat, relatif aux conduites qui sont condamnées par la société.

    Mais quel est à votre avis l’objet des débats obsédant sur la délinquance et ses causes ? Et ne parle-t-on pas beaucoup, notamment à l’occasion du projet de loi sur la « prévention » (et les guillements s’imposent) de la dite délinquance ?

    je ne comprend bien où vous voulez en venir. Certes les prisons accueillent des gens qui, pour de multiples raisons, ont été condamnés. C’est une tautologie non ?

    D’autre part, on a l’impression à vous lire que la société française serait divisée en deux : les délinquants et les personnes honnêtes, et que chacune de ces deux parties obéiraient à des causalités, des déterminismes différents. Or, je suis désolé mais le délit, ça peut concerner chacun d’entre nous un jour ou l’autre. La prison est l’affaire de tous, parce que chacun d’entre nous peut y avoir affaire un de ces jours.

    Ça me fait penser à certains types de débats sur les troubles mentaux, de la dépression jusqu’à la folie. Si on part du principe que le délinquant ou le fou c’est l’Autre, déterminé par je ne sais quel causalité héréditaire ou génétique comme on dit maintenant, on risque de s’engager tout droit vers un type de société extrêmement inquiétant.

    Il faut donc distinguer les deux approches : la prévention de la délinquance et des délits, et les conditions de détention. Il me semble que c’est ainsi que le débat pubic s’organise (et je ne crois pas que les lignes de partage gauche/droite sur ces sujets soient si marquées que cela). Les propositions que vous faîtes à la fin de votre texte concerne le premier débat. Mais je crois qu’il est dangereux de mêler les deux champs de questionnement.



  • dana hilliot dana hilliot 21 novembre 2006 17:35

    Je suis un linuxien depuis 3 ans et Ubunuteros depuis un an et demie. J’ai complètement oublié comment fonctionne Windows (ce qui me rend incapable de dépanner mes amis sous Windows). J’ai un usage de l’informatique quotidien mais pas spécialisé (internet, bureautique, développement web, un peu de musique, téléphonie, etc..), et les rares fois où j’ai eu des problèmes avec le matériel, les forums d’Ubuntu m’ont dépanné en quelques heures. La communauté est extrêmement réactive et très affables avec les nouveaux venus !

    L’auteur de l’article a raison : essayez avec un linux live, on en trouve plein sur le net et dans les magazines d’informatique.

    Et si vous désirez avoir des infos précises avant de vous lancer, posez vos questions par exemple ici : http://forum.ubuntu-fr.org/viewforum.php?id=9



  • dana hilliot dana hilliot 20 novembre 2006 13:17

    merci beaucoup J’attends avec impatience le prochain volet sur l’émergence de la conscience