Réalité cyclique du temps
Notre écosystème planétaire semble connaitre en ce moment un état de tension très particulier que nous observons tous : troubles sociaux qui ont tendance à se généraliser, crise financière mondiale, mort subite inexpliquée d’un très grand nombre d’animaux (en particulier poissons, oiseaux, cétacés), inondations et glissements de terrain dues à des pluviométries exceptionnelles, éruptions volcaniques sur de nombreux points chauds, séismes à répétition sur les zones les plus fragilisées et en particulier pour toute la « ceinture de Feu » du Pacifique. Deux points de vue sont exprimés quand à l’interprétation de cette succession d’évènements. Les uns, partisans du « tout va bien » ou du « il en à toujours été ainsi » justifient leur position par le fait que les évènements sont sur médiatisés et que les réseaux de communications planétaires permettent, de nos jours, une instantanéité de l’information qui engage l’émotionnel et marque davantage les esprits. Les autres, angoissés par tant de remue ménage planétaire, sont prompts à interpréter ces désastres successifs comme les signes annonciateurs d’une fin des temps proches et se jettent sur tous les diseurs de bonne aventure ou les oiseaux de mauvaises augures. Difficile de rester objectif ou même intuitif dans cette cacophonie de paroles méprisantes ou d’angoisses résurgentes qui s’opposent et s’entrechoquent en feu d’artifice de dualité exacerbée. L’humanité est prête à se déchirer et la planète semble lui faire échos. Pourtant, c’est le propre de l’homme que d’essayer de comprendre, d’interpréter et de prévoir ce qu’il observe, ce qu’il vit ainsi que sa destinée. Pour tenter de trancher entre le « tout va bien » et le « quelque chose est en train de se passer », je pense que le recours à la science moderne de la statistique est assez éclairant ! Comme un dessin vaut mieux que tous les beaux discours voyons plutôt : Référence : http://www.notre-planete.info/medias/images/catastrophes_nombre.png
http://www.notre-planete.info/medias/images/catastrophes_bilan_types.png
Type et nombre de catastrophes survenues dans le monde de 1900 à 2007. Les séries sont regroupées en décennies. Les catastrophes hydrométéorologiques comprennent les sécheresses, les températures extrêmes, les inondations, les mouvements de terrain, les tsunamis, les feux et les tempêtes. Les catastrophes géologiques comprennent les séismes et les éruptions volcaniques. Les catastrophes biologiques comprennent les épidémies et les invasions d’insectes. Crédit : notre-planete.info d’après EM-DAT : The OFDA/CRED International Disaster Database www.em-dat.net -
Voila qui devrait donner un éclairage précis et convaincre les plus récalcitrants que la progression du nombre, de la fréquence et de la puissance des évènements de nature catastrophique n’est pas le fruit de l’imagination « d’allumés mystiques » mais bien le résultat d’un constat scientifique objectif. Quant à l’augmentation des troubles sociaux sur la planète, je crois que l’éclairage des médias classiques nous suffira !
Nous n’avons pas étés les seuls à user de moyens techniques et technologiques pour percer les mystères du cosmos qui nous entoure. De très nombreuses générations et civilisations qui nous ont précédées, ont tenté l’aventure de la connaissance et il ne serait pas raisonnable de rejeter d’emblée leurs études et leurs découvertes, souvent qualifiées d’empiriques, sans les examiner avec attention. Toutes les traditions anciennes voir antiques, qu’elles soient indiennes, chinoises, amérindiennes ou européennes font état de la nature cyclique et non pas linéaire du temps, en conséquence de quoi la connaissance des cycles permettrait une certaine prédictibilité non pas tant des évènements précis mais plutôt de contexte énergétique particulier favorable ou non à l’avènement de ces évènements. Ces cycles naturels que traversent l’humanité, notre planète, notre système solaire, voir au-delà, notre galaxie sont constitutifs de tout ce qui vit et chacun, avec un minimum de lucidité, les constate objectivement à son niveau à travers les cycles du jour et de la nuit, les cycles lunaires, les cycles menstruels, la ronde des saisons, la régularité du mouvement des astres, la naissance et la mort…
Notre système solaire, dans sa course cyclique à travers notre galaxie vient d’atteindre la proche banlieue de ce que les astronomes qui l’ont découverte en 1961 appellent la « nébuleuse d’or », un immense nuage photonique qui baigne une portion de l’univers dans lequel notre système solaire évolue cycliquement. La nébuleuse émet des ondes électromagnétiques à travers et au-delà du spectre visible. Sa présence fait partie d’une onde magnétique lumineuse parcourant l’ensemble de la galaxie. L’entrée de notre système solaire dans cet océan de lumière électromagnétique à la puissance encore inconnue perturbe déjà le cycle d’activité éruptif d’environ 11 ans de notre soleil. (Dernière éruption spectaculaire en date du 4 avril depuis la tache solaire 1176, dont les effets devraient se faire ressentir vers le 6 avril, à voir sur ( lien : http://www.youtube.com/watch?v=XvMqVGwwk2Q&feature=player_embedded )
Ces éruptions actuelles particulièrement puissantes et nombreuses influencent directement les champs magnétiques locaux (déplacement des pôles magnétiques, multiplication des aurores boréales, variations climatiques…) que nous pouvons dors et déjà mesurer. Des études scientifiques en cours pressentent de plus des corrélations probables entre la recrudescence des maximums solaires (taches et éruptions) qui induisent des perturbations magnétiques et les évènements telluriques, climatiques, voir sociaux que nous vivons en ce moment. (lien : http://www.solidariteetprogres.org/article7545.html et encore http://www.solidariteetprogres.org/article7597.html )
La présence de magnétite, un aimant naturel ( Fe3 O4) dans les minéraux, les racines des plantes leur permettant de pousser vers le bas, le corps de certains animaux en particuliers migratoires (oiseaux, insectes, poissons, cétacés …) et les cerveaux en général et le cerveau humain en particulier rend, notre planète et tout ce qui y vit, très réactifs aux champs magnétiques naturels ou artificiels. Les militaires, suite au travaux du génial Nicolas Tesla, l’ont bien compris qui mettent au point actuellement des armes et des techniques de contrôle magnétique capables de perturber l’électronique, les climats mais aussi le fonctionnement du cerveau des adversaires ! (lien : http://users.skynet.be/bioelectric/page4.html )
Les perturbations électromagnétiques en cours pourraient expliquer, avec la présence de cette magnétite, l’échouage massif de cétacées, de la mort de nombreux oiseaux et poissons, les invasions d’insectes que l’on observe un peu partout actuellement sur la planète.
La connaissance des cycles du temps en relation directe avec les déplacements des corps célestes à l’intérieur du système solaire et de ceux du système solaire à l’intérieur de la galaxie semble bien être la clef du déchiffrage des conditions énergétiques particulières qui rythme notre monde et en particulier celui des civilisations humaines et de leurs évolutions depuis la nuit des temps. Les anciens calendriers Maya ou autres ne sont que des instruments plus ou moins précis pour évaluer ou calculer les impacts énergétiques de ces cycles et s’ils ne sont pas la panacée, il serait par contre stupide de les rejeter avec apriori et de ne pas les étudier pour tenter de construire une science valide offrant une prédictibilité des évènements à venir.
Erik Gruchet , Saint Pierre le mardi 5 avril 2011.
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