@Spartacus, si il y a bien un secteur ou Friedman n’est pas d’usage, c’est bien l’agriculture, regarde le G2 d’un coté (les states) tu as l’inventeur des subventions (directe aux paysan, indirecte sous forme de subvention à l’assurance récolte/revenu, indirecte sous forme d’aide aux transports, d’aide à la régulation des surproductions, par l’aide alimentaire avant 2000, puis aide à la filière éthanol et bio-plastique après) de l’autre coté tu as un marché fermé (la Chine) avec des taxes à l’importation (100% sur la poudre de lait c’est autre chose qu’une norme réglementaire) d’une vision global et planifié par un parti unique (qui peut être malin, que ce soit dans l’achat suite à une diplomatie intelligente, il y a un quasi monopole sur la potasse, et bien qui a été voir son voisin Indien, pour représenter plus de 60% des achats de potasses et pour faire diminuer les prix), soit par l’achat de terre et l’investissement dans des pays fragiles (pour tes terres je t’offre un stade de foot et la concurrence, bah on peut toujours sortir du béton de quoi financer votre campagne). Mais l’OMC et bah l’agricole est trop important, TF1 l’avait bien compris des les premières télé-réalités, pour qu’il ce passe quelques choses il faut affamer les gens, après y à plus qu’à filmer. L’alimentation est trop importante pour qu’elle soit laissé au marché (cf Allemagne, Chine, States, Australie, Europe) tout le monde intervient, mais personne ne l’assume, là ou l’état n’intervient pas les gens ont faims (loi de King), même Cuba importe des céréales (le maraichage n’est suffisant). Le gros problème c’est de faire ouvrir les yeux au français, il y a une planète au delà de la France, mais les gens y arrivent pas dés qu’il voit des parcs de bovins en Amérique du sud, il veulent le reprocher aux éleveurs Français, dés qu’on leurs dits que le maïs consomment de l’eau, la moitié de la France oublie qu’elle ce plaint de la pluie la moitié de l’année, dés qu’on leurs parlent de nourritures exotiques ils sont charmés (quinoa n’a pas plus d’oligos que du sarrasin local et déjà une bouillie d’avoine est bien équilibré, le soja a l’équivalent d’un oestragène végétal si ça ce n’est pas un perturbateur endocrinien....et c’est pareil pour pleins de plantes, les poisons sont à la base bio, la mort aussi est bio, les maladies sont bios) et comprennent à moitié que le climat n’est pas le même sur terre (par exemple le lait, c’est simple les plus bas coûts sont sur les climats tropicaux un peu vallonné, si c’est plat mieux vaut faire du soja, sinon c’est le lait car l’herbe pousse 10 mois sur 12, c’est-a-dire argentine et Nouvelle-Zélande, cela n’a rien à voir avec des réformes ou un marché parfait).
@Fergus, la réalité sociale des élevages concentrationnaire, ou hors sol et qu il fût promus par l INRA et les chambres d agriculture pour les paysans n ayant pas assez de terre ( hors sol) ou difficile a cultivé dans les années 50 à 80, donc pour les paysans les plus pauvres, c est grâce a cela que la Bretagne a pût garder ses bretons ( vivre au pays et pas a Paris).
Mais si tu es pauvre et qu un système te permet ou a permis a ton père de sortir de la misère ( cf Bretagne avant guerre) jusqu’où tu es prêt a le defendre , c est l orgueil du petit parvenu et encore non sans mal que tu attaques, écoute les ouvriers défendant leurs usines, la pollution ou le moyen de rembourser sa maison n aura pas le même effet .
@Robert Bibeau la politique est forcément assujettis a un cadre géopolitique, les lois économiques sont aussi celle qui arrange celui qui a la plus grosse armé, sinon la dette sur PIB s appliquerait a lui comme a la Grèce. En fait les lois et leurs interprétation sont déjà politique au niveau tacite. Avec 15% d inflation on détruit le capitale en moins de 6 ans. Si la bce est structuré sur l inflation c est aussi pour maintenir les retraites par capitalisation, que son discourt sur le maintient des prix.
@abcd après je suis plutôt favorable au économie mixte, pas forcement des doublons publics, privés, plutôt des choix sectoriels, en gros je ne crois pas à une économie du bien et du mal (que ce soit le marché la nationalisation), je crois plutôt à une économie basé sur des outils (publics, privés, marchés différentiés, fixation des prix, politique économique, taxe , subvention) qui ont des avantages et des inconvénients, l’histoire nous permet d’avoir quelques avis sur ses outils et comment les utiliser (bon à priori, la production vivrière est mieux efficient par des fermes, qu’une collectivité, d’un autre coté, le soin du dispensaire à la sécu est mieux géré en public, cf Etats-Unies, à savoir s’il faudrait un doublon public pour la pharmacopée, que Pasteur refasse des médocs ou s’il vaudrait mieux qu’on réglemente mieux, je ne sais). Le marché pour l’essentiel est une mascarade (ni la Chine, ni les States ne peuvent ne pas intervenir sur l’agriculture et les marchés, que ce soit par la subvention d’option ou l’intervention comme une taxe à l’importation, le marché libre c’est un choix de pays pauvres). Mais cela peut être intéressant dans des cas précis (pas un fourretout entre un marché secondaire d’action, puisque l’émission de titre est le seul marché primaire, un immobilier qui tient plus de valeur économique du territoire que du volume occupé, cf 500 m carré à Paris ou dans la Creuse et un marché du travail ou on a remplacé la flexibilité spatiale des cadres, par une flexibilité qui n’est plus que l’acceptation du déclassement ou d’une insécurité)
@Luniterre j’aurai l’avis inverse, pour moi l’essentiel est par nature politique, parce que cela nécessite la notion de public (imaginé des routes privés avec des péages devant chaque maison et l’économie ce casse la gueule, mais vu que c’est évident on le croit naturel, c’est faux, c’est un bien public tellement évident, qu’on y pense jamais) , en fait ce qui nous questionne le moins est justement le plus important et c’est parce qu’on ignore l’essentiel qu’on fait de l’économie, on fait de l’économie quand y à des routes, des lois, une justice, une population qui sait lire la loi et des garanties (économique, énergétique imaginez vous en Afrique en pleine guerre civile, à quoi sert d’acheter un camion pour faire du commerce ; si vous êtes pas sur de votre monnaie ou de la capacité à acheter du pétrole demain, comment perdre le risque de faire du commerce ?). Quand tout va bien (grossièrement, je ne parle pas d’un monde idéal, mais d’une société avec des garanties, sans famine, ni guerre), les économistes arrivent pour dire c’est grâce à nous, maintenant le public doit partir (privatisé, marché), mais justement c’est parce que le public garantie qu’on peut ce permettre de privatisé, allez en Somalie, y à rien à privatiser et l’économie ne fonctionne pas.