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alcodu

Je suis libéral avec une sensibilité et des préoccupations de gauche.
J’ai été élu pendant un an au Conseil National du parti Alternative Libérale sur la liste : gauche libérale.
J’ai été candidat aux élections européennes en Ile de France.
J’anime depuis 2003 la Gauche Libérale, association qui vise à faire renaître une véritable pensée de gauche, c’est à dire basée sur les Droits de l’Homme (libéraux) de 1789.

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  • Premier article le 09/08/2008
  • Modérateur depuis le 22/12/2008
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Derniers commentaires



  • alcodu 20 octobre 2008 16:53

    Désolé logan, mais comme tous les étatistes (surtout ceux de gauche) vous confondez le capitalisme d’Etat, avec le libéralisme.
    Or les libéraux sont totalement opposés au capitalisme d’Etat que vous décrivez.

    Les sociétés du CAC40 en France sont toutes de connivence avec l’Etat au niveau économique ou politique. La taille qu’elles ont acquise résulte toujours de marché d’Etat, de protection d’Etat, de concession d’Etat ou de capitaux d’Etat, c’est à dire de la corruption (légale).

    Les libéraux préconisent un rôle de l’Etat exactement contraire. Au lieu de protéger, financer, subventionner, autoriser, il s’agit de vérifier que les règles de la concurrence et du Droit sont bien respectées et de sanctionner quand il y a lieu.
    Si des monopoles se créent, l’Etat doit les briser.

    Dans la société socialo-gaulliste c’est l’Etat qui crée les monopoles. Dans tous les domaines, industrie, syndicats, enseignement, transport, protection sociale, l’Etat crée des monopoles. C’est bien l’Etat qui encourage les concentrations et les regroupements d’entreprises (GDF-Suez). .



  • alcodu 20 octobre 2008 14:17

    - Désolé, posté plus haut par erreur - Ceci n’est pas une réponse.

    En France qui est anti-libéral ? pratiquement tout le monde : tous les partis extrêmes, de droite et de gauche, l’UDF, les écologistes, 95 % de l’UMP et 98% du PS. Et encore ceux qui se disent "libéraux" au PS et à l’UMP ne parlent que d’économie, c’est dire qu’ils n’ont pas vraiment tout compris !
    Quand à prétendre que Sarkozy est libéral cela montre une inculture politique assez dramatique.

    Dans cet univers totalement anti-libéral à qui fait-on porter le chapeau à chaque fois que l’occasion s’en présente ? Eh bien au libéralisme (toujours accompagné du préfice "ultra" ou "néo"), et à la "mondialisation libérale".

    Le procédé sert au étatistes à préserver leurs privilèges. Plus ils créent de pauvreté et de misère et plus ils s’en servent pour justifier leurs interventions. La mécanique étatiste ne fait qu’augmenter les inégalités. Elle ponctionne la société civile pour tenter de résoudre les problèmes qu’elle a elle-même créés avec ses contraintes absurdes et ses aides sélectives. Elle détruit les entreprises, pénalise l’emploi, subventionne les plus malins ou les plus malhonnêtes. La dégradation de la situation économique et sociale lui fournit de nouvelles occasions pour augmenter ses aides et pour légiférer. La machine infernale se nourrit des dégats qu’elle occasionne.
    .



  • alcodu 20 octobre 2008 14:13

    En France qui est anti-libéral ? pratiquement tout le monde : tous les partis extrêmes, de droite et de gauche, l’UDF, les écologistes, 95 % de l’UMP et 98% du PS. Et encore ceux qui se disent "libéraux" au PS et à l’UMP ne parlent que d’économie, c’est dire qu’ils n’ont pas vraiment tout compris !
    Quand à prétendre que Sarkozy est libéral cela montre une inculture politique assez dramatique.

    Dans cet univers totalement anti-libéral à qui fait-on porter le chapeau à chaque fois que l’occasion s’en présente ? Eh bien au libéralisme (toujours accompagné du préfice "ultra" ou "néo"), et à la "mondialisation libérale".

    Le procédé sert au étatistes à préserver leurs privilèges. Plus ils créent de pauvreté et de misère et plus ils s’en servent pour justifier leurs interventions. La mécanique étatiste ne fait qu’augmenter les inégalités. Elle ponctionne la société civile pour tenter de résoudre les problèmes qu’elle a elle-même créés avec ses contraintes absurdes et ses aides sélectives. Elle détruit les entreprises, pénalise l’emploi, subventionne les plus malins ou les plus malhonnêtes. La dégradation de la situation économique et sociale lui fournit de nouvelles occasions pour augmenter ses aides et pour légiférer. La machine infernale se nourrit des dégats qu’elle occasionne.
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  • alcodu 20 octobre 2008 13:55

    > le néo libéralisme ou encore appellé le libéralisme économique n’ont absolument rien avoir avec le libéralisme classique des lumières

    > comme je l’ai évoqué dans un texte sur agoravox, le libéralisme classique a mené au socialisme

    Ah bon, le libéralisme n’a rien à voir avec le libéralisme ? 
    Et ce sont les adversaires du libéralisme qui définissent le libéralisme et pas les libéraux ? Amusante conception de la politique.

    En ce qui concerne le deuxième paragraphe je suis assez d’accord, le socialisme est une déviance du libéralisme du XIXe siècle.

    La première révolution française, la révolution libérale ne cherchait pas à obtenir une amélioration du sort du peuple par le partage des richesses. Les libéraux du XVIIIe et du XIXe siècle avaient bien compris que c’était par l’abolition des privilèges, des rentes, des corporations fermées et réservées que l’on pouvait améliorer le sort des plus démunis.

    L’influence du mouvement libéral a littéralement fait exploser les barrières érigées par le corporatisme. Les générations précédentes n’étaient pas plus intelligentes, elles étaient aussi inventives, et pourtant le grand démarrage industriel ne s’est produit qu’avec la libération des énergies individuelles rendu possible par cette révolution sociale.

    Si au cours de ces deux siècles ont s’était contenté de partager les richesses, au lieu de les créer, le résultat aurait été catastrophique et la face du monde changée.

    Mais peu à peu le libéralisme a été supplanté par le socialisme. Les idées libérales, c’est à dire de gauche, ont été abandonnées et méprisées au profit d’une nouvelle doctrine qui s’est auto-proclamée "de gauche" et qui recouvre deux aspects : D’une part un idéal de justice sociale qui a immédiatement séduit l’opinion, d’autre part un ensemble de moyens pour parvenir à cet idéal, largement théorisé par les penseurs marxistes.

    Le problème du socialisme c’est que la coercition et le planisme, qui sont les moyens de parvenir à l’idéal égalitaire, peuvent être utilisés à de toutes autres fins une fois que leur mécanique infernale est en place. A partir du moment ou une mécanique dirigiste est établie on peut l’utiliser pour favoriser une catégorie désavantagée, mais aussi pour favoriser les blonds aux yeux bleu ou ceux qui appartiennent à la bonne religion. Bilan de l’affaire : les deux plus grandes catastrophes humaines et sociales que le monde ait connu : le national-socialisme cinquante millions de morts et le communisme : cinquante millions de morts plus la ruine économique.


    C’est ce que Hayek a très bien décrit dans la route de la servitude.

    Les socialistes sont des usurpateurs qui n’ont rien à faire à gauche. Ils doivent être combattus par les libéraux comme leurs amis conservateurs. Ils trompent les plus pauvres depuis 150 ans. Il est grand temps de les éliminer politiquement.
    .



  • alcodu 20 octobre 2008 10:28

    Je vous ai répondu un peu plus haut.

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