lloren : « Grâce aux réflexions aussi puériles que les vôtres, les services de désinformation ont encore de beaux jours devant eux...et je ne m’étonne plus qu’au 11 septembre 2011, il y en a encore toujours qui cherchent sérieusement les avions et les bâtons de dynamite......Effarant.Mais bon, bonne continuation ! »
llorren : « (en fait il s’agit de foreuses munies de mèches diamantées utilisées pour carotter le béton afin d’y placer les charges explosives- dont les traces ont été retrouvées dans les échantillons prélevés au sol (nano-thermite). »
L’article de Niels Harrit, qui conclut à la « présence de nano-thermites » dans un échantillon de poussière des WTC, est plus que sujet à caution. La démarche employée par Niels Harrit et ses co-aurteurs n’est pas crédible, vu leur erreur grossière dans la réalisation des essais de calorimétrie différentielle (DSC) : ils ont pratiqué ces tests sous air ambiant alors que les échantillons contenaient du carbone.
De surcroît, l’argument d’autorité reposant sur la publication de cet article dans « The Open Chemical Physics Journal » ne tient pas la route, pour plusieurs raisons :
- parmi les nombreux scientifiques qui faisaient partie du comité de lecture, plusieurs ont démissionné en raison de la parution de cet article, y compris la rédactrice en chef de la revue.
- dans la rubrique des remerciements, David Griscom (« truther » ayant publié des articles sur le site de Steven E. Jones) est cité en premier pour ses « éclaircissements et ses encouragements ». Or le même David Griscom, reconnu pour ses travaux sur les verres mais non-spécialiste en nano-thermites, a également fait partie du comité de lecture.
- depuis l’acceptation de cet article en février 2009, « The Open Chemical Physics Journal » semble en veilleuse. On compte même zéro article en 2010 : http://www.bentham.org/open/tocpj/openaccess2.htm
llorren : « Pourquoi interdire l’accès à certains étages, d’où provenait le bruit de »perceuse« (en fait il s’agit de foreuses munies de mèches diamantées utilisées pour carotter le béton afin d’y placer les charges explosives- dont les traces ont été retrouvées dans les échantillons prélevés au sol (nano-thermite). »
Si les Tours Jumelles avaient fait l’objet d’une demolition contrôlée, de lourds travaux de préparation par de nombreux agents mystérieux auraient été nécessaires pendant des semaines, à l’insu des 25.000 personnes qui fréquentaient quotidiennement chacun des Tours. Bref, ces agents mystérieux auraient été les champions du monde de la discrétion.
lloreen : « Danny Jowenko parle du WTC 7 et il livre par ces mots la preuve absolue qu’il n’y a JAMAIS eu d’avion qui se soit crashé dans le world trade center (les deux tours). »
A propos de Danny Jowenko, spécialiste néerlandais en démolition contrôlée, et qui, au cours d’une interview télévisée, a émis un avis selon lequel la chute du WTC7 est le fruit d’une « démolition contrôlée » : certains « truthers » affirment que D. Jowenko disposait de « toutes les informations utiles » [sic] pour en arriver à cette conclusion. Pourtant, au cours de cette longue interview :
1) D. Jowenko précise « Je ne sais pas comment cet immeuble était construit » ou encore « Je ne connais pas la hauteur des étages ». Quand on lui présente l’image d’un immeuble adjacent, il le prend pour le WTC7 en partie effondré. Il fait des conjectures sur la forme des poutres, et estime finalement incomplets les plans qu’on lui présente.
2) D. Jowenko précise qu’il n’a « absolument aucune image de la façade du WTC7 endommagée par les Twin-Towers ». Lorsqu’il demande la distance exacte qui sépare les immeubles, on lui répond qu’on l’ignore... et l’intervieweur s’empresse d’affirmer que le building n’était que « légèrement endommagé ».
3) D. Jowenko dit vers la 11è minute : « Non, je ne crois pas qu’il s’agisse d’explosifs ». Mais ses justifications ne valent pas plus que celles qui l’ont précédemment conduites à affirmer l’inverse.
4) D. Jowenko commente les rapports officiels en le trouvant « étranges ». Mais il confesse un peu plus tard, après avoir donné son avis sur les conclusions des rapports : « Je ne suis pas très au courant de ces rapports officiels ».
5) D. Jowenko ne découvre que vers la fin de l’entretien que les incendies n’ont pu être éteints par les pompiers, faute d’approvisionnement en eau.
6) Dans les dernières minutes de l’interview, D. Jowenko précise « Pour moi, c’est une discussion de café du commerce. Il me manque trop d’informations. Notamment des images de l’autre façade, celle en face des tours jumelles. »