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Aurelien

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Le secret du bonheur, c’est la liberté. Le secret de la liberté, c’est le courage. Périclès

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  • Premier article le 05/01/2007
  • Modérateur depuis le 11/01/2007
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Derniers commentaires



  • Aurelien Aurelien 15 février 2010 16:49

    La population grecque s’est plantée seule en élisant des gouvernements corrompus, de droite comme de gauche, et en ne payant pas ses impôts. Pourquoi exiger des Français qu ;’ils pyent les impôts que les Grecs refusent de payer ? La bureaucratie grecque pèse presque 7 % du PIB, contre 1.5 % en Suède. Etc. Qui aliène qui dans cette histoire ?

    Je ne vois pas le rapport avec le mathusianisme. Les lois sur les 35 heures rentraient dans une démarche malthusienne, pas lq uestion de la dette.



  • Aurelien Aurelien 15 février 2010 16:27

    Je ne souhaite pas entrer dans le débat sur la distinction entre les différentes formes de capitalisme, mais nous reconnaissons tous que le capitalisme de connivence français n’est pas comparable au capitalisme du régime totalitaire chinois ou du capitalisme bien plus libéral de Hong Kong.

    La question du lien qui associe les banques centrales aux grandes institutions financières mérite aussi un débat. Depuis que nous avons abandonné l’étalon-or et que les banques centrales refinancent de grandes banques aux fonds propres minimes, contrepartie de l’achat massif de dette publique par ces mêmes banques, nous rentrons dans un débat fondamental lourd : monopole des monnaies, inflation spoliatrice, collaboration entre banques et Etats, etc.

    Si la dette grecque n’attire plus les fonds de pension, ni les assurances, c’est bien parce que la Grèce a triché et laissé dériver sa dépenses publique malgré de lourdes subventions de l’Europe. Irresponsable, elle n’inspire plus confiance et se trouve prise dans l’explosion des nouvelles émissions des Etats européens, trois fois leur niveau de 2008. Malgré la forte inflation par la BCE, il n’y a pas assez d’épargne pour tout le monde.



  • Aurelien Aurelien 17 mars 2009 14:59

    Je comprends l’inquiétude de FIY. Mais si on sauve dans l’immédiat quelques cas malheureux de l’expulsion, on condamne bien plus de famille à terme. Déjà, la plupart des investisseurs institutionnels ont fui le logement locatif : ce fut la vague des ventes en gros suivie des ventes à la découpe. Aujourd’hui, on risque de faire fuir les derniers propriétaires bailleurs. On évoque le chiffre d’un million de logements vides. Et ce n’est pas fini. Tout est fait pour faire fuir les investissements dans la pierre, ce qui alimente la pénurie de logements en France...et fait monter les prix. C’est triste, et ce d’autant plus que ce n’est pas simple à expliquer.



  • Aurelien Aurelien 10 novembre 2008 10:25

    Je me permets de réagir en retrouvant un amalgame au cours de ces échanges :

    1. Le capitalisme est un système économique fondé sur la propriété privée et l’accumulation possible de capital. Le capitalisme chinois, japonais, russe, américain ou français ne sont pas similaires dans leur fonctionnement. Le capitalisme n’est ni moral ni immoral, il est ; et rien de plus. 
    2. Le libéralisme est un courant de pensée qui se fonde sur les droits naturels de l’individu et se penche sur les mécamismes de l’échange. Il aborde donc les questions de protection des droits de chacun, des différentes formes de régulation (auto-régulation, régulation contractuelle ou légiférée, etc.).

    Le capitalisme chinois, dans sa forme actuelle, n’a rien de libéral, qu’on privilégie l’angle plus économique ou plus social. Le capitalisme américain l’est plus que le capitalisme français, mais les Etats-Unis continuent à subventionner certaines industries, à taxer ou interdire des importations ou à intervenir dans la vie des entreprises (la crise des subprimes vient notamment du Community Reinvestment Act renforcé en 1995 par Clinton). Ajoutons le Patriot Act et d’autres pratiques choquantes, nous avons affaire à un Etat qui sait être dirigiste dans tous les domaines de la vie de chaque citoyen américain.

    Si vous écoutez Rocard qui condamne "l’ultralibéralisme" pour mieux défendre le libéralisme, ou Pascal Lamy qui défend le libéralisme dans le Monde de ce week-end (dans lequel il prône un meilleur encadrement "dur" de l’économie financière), il est aisé de comprendre que ce fameux libéralisme offre des réponses essentielles pour mieux faire fonctionner le capitalisme et revenir sur les mauvaises ’et parfois trop nombreuses) réglementations (obligation de prêter aux ménages défavorisés faite aux banques, normes comptables, Bâle II...) qui peuvent amener des crises comme celle que nous vivons aujourd’hui.


  • Aurelien Aurelien 10 novembre 2008 09:51

    Obama vient de la gauche du parti démocrate. Mais il évolue vite, surtout sous la pression des "blue dogs" et de l’entourage de Bill Clinton, plutôt libéral au sens européen (et original) du terme.

    Ne pas vouloir acheter des chemises aux Chinois ne protège pas beaucoup les emplois, cela menace notre pouvoir d’achat (imaginez tous les produits technologiques quatre fois plus cher, la fin du tourisme exotique, des vêtements accessibles...), les exportations de produits à haute valeur ajoutée qui, eux, assurent des emplois en nombre, la prospérité...

    L’humanité progresse par l’échange, pas par le repli sur soi. Il faut aussi évoquer le danger des discours nationalistes qui se profilent derrière le protectionnisme, et qui peuvent nous entraîner dans des conflits explosifs comme nous l’avons vu après la crise de 29.

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