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Aurelien

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Le secret du bonheur, c’est la liberté. Le secret de la liberté, c’est le courage. Périclès

Tableau de bord

  • Premier article le 05/01/2007
  • Modérateur depuis le 11/01/2007
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Derniers commentaires



  • Aurelien Aurelien 19 février 2010 11:44

    C’est une réglementation qui a donné naissance aux crédits douteux en forçant les banques à prêter aux ménages défavorisés : la CRA (Community Reinvestment Act) partait d’un fonds social typique des gouvernements qui pensent redresser des inégalités. Fannie Mae et Freddy Mac, établissements semi publics sans fonds propres, se sont progressivement mis à reprendre un crédit sur deux aux banques américaines pour les décharger de leurs risques et les inciter à accélérer dans cette direction. Après ça, c’est un peu facile de tout mettre sur le dos du marché. Sur le banc des accusés, il y a du monde.



  • Aurelien Aurelien 19 février 2010 10:47

    Alors que la crise devient de plus en plus clairement de la responsabilité des Etats, il se trouve encore des personnes sérieuses pour chercher des bouc-émissaires et défausser des gouvernements de leur responsabilité élémentaire.



  • Aurelien Aurelien 16 février 2010 20:16

    Je ne partage pas votre engouement pour les prétendus « services publics » qui ressemblent parfois davantage à des « sévices publics ». Prenez le RER le matin aux heures de pointe et vous comprendrez ce que subissent des millions de Franciliens. L’Etat doit assurer son rôle redistributif des richesses, mais certainement pas celui de tenir des monopoles coûteux et aux prestations de très médiocre qualité. Il peut financer mais ne doit pas réaliser lui-même.

    Ensuite, l’émission d’obligation et leur souscription n’a rien à voir avec l’émission de nouveaux billets. Dans un cas, il s’agit de contrats privés entre acteurs consentants qui permet aux uns de confier leur épargne aux autres sans créer de monnaie et sans déstabiliser la quantité de monnaie en circulation.

    Dans le second cas, la création de monnaie gonfle la masse monétaire, alors qu’en même temps, les ressources nécessaires à la production n’ont pas augmenté pour autant. r nous ne pouvons pas obtenir une augmentation de richesses avec seulement une hausse de la masse monétaire. Concrètement, ce qui se passe, c’est que la création monétaire répartit la nouvelle monnaie de façon très hétérogène et aléatoire. Les acteurs les plus proches de la source de crédit facile voient leur revenu augmenter avant les prix, tandis que les plus éloignés voient les prix monter avant leur revenu ; on l’appelle aussi « effet Cantillon ».

    Ces distorsions injustes pénalisent les épargnants, faussent l’information sur les prix et rendent les emprunts coûteux et plus difficiles à lever, même pour des Etats. Il faut bien y réflechir avant de se lancer, et cela n’a en tout cas rien à voir avec l’endetement par émission d’obligations sans impact sur la masse monétaire.



  • Aurelien Aurelien 16 février 2010 14:50

    Vous mélangez gabegie budgétaire et cession de biens immobilier ou d’entreprises. L’Etat belge a vécu très largement au dessus de ses moyens, c’est à dire au dessus des moyens des contribuables belges déjà lourdement ponctionnés. A un moment, il faut rembourser ce qu’on a emprunté. Ca ne vous parait pas sensé ?

    Quant aux banques publiques, vous ne cessez de critiquer la BCE, pourquoi vouloir rajouter une couche avec des banques comme l’ancien crédit lyonnais, sources de corruption et de gabegies pour le contribuable français ? 



  • Aurelien Aurelien 16 février 2010 12:58

    La Grèce doit avoir une dette comprise entre 300 et 350 milliards d’euros. Les banques en détiennent, parait-il, entre 75 et 85 milliards d’euros, un petit quart. Comme elles détiennent de la dette italienne, espagnole, portugaise, etc. Les réglementations bancaires rendent la détention d’obligations d’Etat quasi obligatoire. Restent 3/4 des détenteurs de ces dettes, que leur proposez-vous ?

    Pensez aussi que si la Grèce fait défaut volontairement dans l’idée de spolier des investisseurs imprudents, non seulement l’Etat grec devra vivre d’amour et d’eau fraiche sans un kopeck de crédit dans la décennie qui vient, mais la défiance des fonds d’épargne visera dans l’Italie, l’Espagne et les autres PIGS avec l’idée que la spoliation peut aussi venir de ces pays. Cela plongerait ces pays dans un recul de niveau de vie sans précédent. Une vraie décroissance massive et brutale.

    Ceux qui rêvent d’effondrement du capitalisme y voient certainement une belle utopie. Mais l’immense majorité des Européens souhaite protéger sa qualité de vie et sa liberté. Et cela passe par la responsabilité et le respect des terme du contrat qui nous unit.

    Si la Grèce veut rester dans l’euro, parce qu’elle y voit des avantages je suppose, elle doit racheter ses mensonges passés et devenir responsable avec son budget. C’est du simple bon sens.

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