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23 ans, je fais des statistiques en recherche agronomique.
J'essaie de m'intéresser à l'actualité pour voir ce qui va m'arriver en pleine poire. Je ne devrais certainement pas :-)

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  • Bubble Bubble 28 février 2013 10:01

    Complètement d’accord avec l’article !
    Et on peut faire le même constat pour les auteurs de crimes et de délits : combien ont agi en se justifiant par un sentiment de « légitime défense » plus ou moins direct ? Exemples : je vole à l’étalage parce que « la société m’exploite » quand j’ai de quoi vivre correctement ; je fraude le fisc parce que « la société m’exploite » alors que je resterais riche après avoir payé mes impôts ; je tue ma femme au taser dans le noir « en croyant que c’était un cambrioleur ».

    Voilà je pense la signification du message « n’ayez pas peur » de JP2 : un appel à se libérer de ses angoisses internes, source de notre individualisme maladif (individuel par peur de l’autre) qui amène les gens à s’enfermer (isolement de la société) voire à la criminalité (isolement des règles de la société).

    Les médias nous refilent de l’anxiété en abondance, donc c’est pas gagné... quelque part, parce qu’on aime ça aussi, voir le danger qui ne nous atteint pas, ça nous conforte dans notre position d’enfermement. Mais ça rend malade en même temps.



  • Bubble Bubble 26 février 2013 16:30

    Dans notre petit coin de banlieue parisienne, on dit qu’on va « pondre une réforme », comme quoi la toilette domestique a encore un usage intellectuel.

    Des thèses sur le sujet, peut être... en tout cas, des bouquins oui ! Cherchez donc « Comment chier dans les bois » sur internet pour visiter l’humour fondemental de certains américains.



  • Bubble Bubble 26 février 2013 11:51

    La valeur d’un homme, elle n’arrive quand même pas à la naissance.
    Quelqu’un vous a appris à forger, j’imagine, puis vous avez complété sur le tas (ce qui relève comme vous dites de l’ingéniosité) ; mais il faut bien un mentor au début.
    Regardez maintenant la moindre offre d’emploi : « 2 ans d’expérience requis » est un incontournable. Les boites attendent des gens tout formés et immédiatement opérationnels, alors qu’à la sortie de l’école, vous n’êtes pas supposé avoir ces compétences toutes faites.
    Même l’apprentissage a du plomb dans l’aile aujourd’hui, un de mes potes dans la domotique me raconte souvent qu’il est là en tant qu’apprenti électricien uniquement parce que ça coute moins cher, et qu’on le laisse à l’entretien et à la paperasse. Pas de science infuse hein, s’il ne peut pas toucher aux machines il n’apprendra rien. Heureusement pour lui, il a quelque expérience via d’autres apprentissages plus honnêtes, et il se maintient en proposant de la réparation au noir à ses voisins.

    Pour moi, le problème c’est que le savoir faire n’est pas franchement transmis. Ce que vous écrivez en est la conséquence : les boites ne se fient plus qu’à la paperasse en espérant tomber sur du « livré prêt à travailler » au max d’efficacité.
    Ma question serait donc : vos différents métiers, de qui les avez vous appris et à qui les avez vous appris ? Si vous avez bossé dans le cadre d’une boite, vous a t’on donné l’occasion d’encadrer un p’tit jeune ? Si vous avez été à votre compte, avez vous pris des apprentis ? (n’y voyez pas d’accusation surtout, je reste très factuel)

    Si la société estime qu’il est trop coûter de former les nouveaux, pas de raison que les jeunes deviennent compétents.



  • Bubble Bubble 25 février 2013 15:15

    Trop fatigant, trop difficile d’« être »... alors on « parait avoir ».



  • Bubble Bubble 22 février 2013 15:53

    Si j’ai suivi correctement, les farines animales avec lesquelles seront nourries les poissons d’élevages proviendront d’abats de porc et de poulet. J’imagine que faire cuire ces farines animales avant de les distribuer n’est pas au programme, ne rêvons pas.
    Le cochon étant un réservoir à maladies pour l’homme, il ne se mange pas cru.
    Les conséquences hypothétiques qui me viennent à l’esprit, sans faire plus de recherches, sont :
    -> L’impossibilité de manger du poisson cru sans risque.
    -> Le risque plus élevé d’épidémies chez les poissons d’élevage, avec augmentation en conséquence de distribution d’antibiotiques.

    Merci pour l’article ! Beaucoup d’infos percutantes... l’épandage de pesticide par hélico sur les pins, en France, me paraît incroyable : il existe donc des cultivateurs possédant des surfaces assez grandes pour justifier de l’emploi de l’hélico, super coûteux ? Je ne pensais la chose possible seulement pour les immenses fermes du centre des États-Unis.

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