• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Décroissant

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 0 298 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Derniers commentaires





  • Décroissant 16 septembre 2020 14:26

    Cet hommage est l’exemple même du contre-sens manifeste : l’œuvre de Claude Chabrol est traversée par une critique acerbe et un dévoilement dévastateur de l’hypocrisie des représentants de la bourgeoisie au pouvoir. S’il avait été contemporain de notre époque, il se serait engouffré avec délectation dans la dénonciation des discours toujours contredits par les faits ou décisions de la nomenklatura LREM aux manettes de l’État, constamment encensée par l’officine de propagande Rakotoarison.

    Une récupération ratée donc, et un exercice de contraction de texte est particulièrement bâclé !



  • Décroissant 25 juillet 2020 19:06

    Erratum ; Lydie Salvayre !



  • Décroissant 25 juillet 2020 18:52

    Bonjour,


    J’ai l’impression que vous sautez allégrement une une étape dans votre rejet du « victimisme » qui se manifeste par des revendications évidemment déraisonnables : en général avant de prescrire un crime d’état, on attend que celui-ci ait été abondement inventorié, reconnu dans ses moindres détails et porté à la connaissance de tous. Alors peut venir le temps de la clémence et de l’oubli. Or c’est là que le bât blesse, l’Etat français, pour ne citer que lui, a longtemps pratiqué le déni, le refus de déclassification de certaines archives, l’oubli ou le travestissement. Si l’histoire est selon l’adage toujours écrite par les vainqueurs, le moins que l’on puisse dire c’est que nos manuels (mon expérience date un peu, cela dit) comme l’histoire officielle étaient plutôt lacunaires ou étrangement laxistes sur bon nombre de sujets dérangeants (des dérives de l’empire colonial au pourcentage de réels résistants dans la population lors de la deuxième guerre mondiale).

    Il semble manquer un récit commun, heureusement exploré par les productions artistiques (romans, films et pièces de théâtre) mais dont on sait qu’elles ne touchent qu’une fraction très minoritaire de la population. Adolescent, j’ai vu revenir des conscrits de ce qu’il était convenu d’appeler des opérations de maintien de l’ordre en Algérie et qui ont eu les pires difficultés à se réinsérer dans la société d’alors. Et il est probable qu’il faudra attendre la disparition de cette génération (comme la stabilisation des relations avec le régime algérien) pour obtenir une vision officielle enfin assumée et pacifiée.

    Lydie Salvatore dans bon nombre de ses écrits (majoritairement portés au théâtre) a su rendre compte de la diaspora des républicains espagnols exilés en France, apportant cette nécessaire connaissance et réappropriation.

    En l’absence de récit national (on expédie généralement la question par des déclarations emphatiques, une loi censée trancher définitivement la question et puis on referme le placard), dans un mouvement pendulaire qui passe d’un extrême à l’autre, apparaissent les soubresauts que vous dénoncez. Peut-être sont-ils nécessaires (y compris dans leur exagération) pour faire émerger une vérité plus nuancée. Mais j’ai la faiblesse de penser que le Droit ne fait rien à l’affaire.



  • Décroissant 25 juillet 2020 13:53

    Quand le sage montre la lune, l’imbécile regarde le doigt…


    Au delà du rideau de fumée, une vérité demeure : il est de notoriété publique que des prestations sexuelles auraient été offertes en échange d’une promesse (réelle ou fictive) d’intervention dans un dossier judiciaire. Que des associations féministes montent au créneau, c’est la moindre des choses dans un quinquennat qui a promulgué la condition féminine grande cause nationale ! Illustration ad nauseam de la méthode Macron : quand je dis une chose, je fais son contraire (quid des positionnements de Marlène Schiappa ?).

    Mais de tout temps, les ministres de l’Intérieur ont eu connaissance du côté obscur : sans remonter à Fouché, Charles Pasqua, vice-président du SAC, est le prototype même du titulaire n’hésitant pas à mettre les mains dans le cambouis. Et quelle meilleure garantie de fidélité qu’une épée de Damoclès immanente ?


    Sinon comme d’hab article de propagande nauséeux et parfaitement inepte.


Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv