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demosoluce

Démosoluce car je pense que seule une solution provenant du peuple permettra d'améliorer les choses. Ce faisant, je suis donc contre le système représentatif dans le sens où dès que nous déléguons notre pouvoir, nous acceptons de le perdre : soit parce que le représentant a déjà prévu le détournement de ce pouvoir au profit d'intérêts particuliers, soit parce que le système représentatif l'encouragera à le faire.
Je soutiens donc un système de démocratie directe associé à un système économique permettant de libérer le citoyen de la pression d'asservissement ultralibéral (revenu de base, salaire à vie, dividende universel ?).
Sur cette base, je souhaite rester ouvert d'esprit, conscient que l'on doit sans cesse remettre en cause ses certitudes pour avancer honnêtement et librement.

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  • demosoluce 17 septembre 2013 17:50

    Schweitzer,

    Alors pourquoi les putchistes ne sont ils pas allés au bout de votre raisonnement ? Si l’opposition était majoritaire, il suffisait alors, après renversement, donc destitution d’Allende, de faire de nouvelles élections et donc les conservateurs et Chrétiens démocrates auraient eu la majorité grâce à leur Confédération de la démocratie. Etait il nécessaire de mettre en place une dictature et une telle répression anti-socialiste ?

    Ensuite, si le président peut légiférer par décret (ce qui est le cas chez nous d’ailleurs), alors soit il faut l’accepter jusqu’aux prochaines élections où il sera sanctionné, soit il faut entamer une destitution et modifier la constitution. la constitution du pays permettait un pouvoir présidentiel fort, comme chez nous en France. Si c’est constitutionnel, il faut l’accepter.

    Enfin, vous devez savoir que le mécontentement de l’opinion chilienne était principalement due à la situation économique qui avait été fortement attaquée par les opposants et les USA qui avaient beaucoup d’intérêts menacés dans ce pays. Les opposants ont préféré saboter leur économie, ce qui n’est pas patriotique. On retrouve cette méthode en France avec Thiers pendant la Commune qui a préféré la victoire prussienne à une réussite de la révolution de la Commune.

    Le vrai perdant de tout cela reste le peuple chilien et les gagnants les intérêts privés.



  • demosoluce 13 septembre 2013 15:03

    @Spatacus,

    Je ne me sens pas concerné par vos remarques car je ne suis pas communiste ni collectiviste. Si vous lisiez mieux les réflexions des autres, vous l’auriez déjà noté.

    Et je m’insurge contre l’obligation de rentrer dans un dualisme inutile et faux entre collectivisme et libéralisme. Je me suis déjà exprimé sur ce point : ces 2 aspects sont des utopies qui n’ont jamais existé et qui ne peuvent exister qu’en pure théorie. Diogène l’explique bien, plus haut, concernant le pseudo « communisme » stalinien qui n’avait strictement rien de collectif ni collectiviste. de toutes les façons, avoir une politique purement collectiviste entraine des déséquilibres car cela revient à ne pas prendre en compte une des dimensions de l’Homme, à savoir sa partie individuelle. C’est nier une partie de l’Homme, ce qui explique que le communiste sous-entend l’avènement d’un homme nouveau, donc la négation de l’homme actuel, réel.

    L’autre facette de cette utopie de l’Homme nouveau, c’est le libéralisme. Il nécessite, pour que les théories des libéraux soient appliquées, une concurrence pure et loyale, transparente. cela revient à nier aussi l’aspect individuel de l’Homme dans la protection de ses intérêts. A partir du moment où une minorité va se retrouver en position de force, cette minorité va utiliser son influence pour distordre les règles à son avantage afin de garder ses avantages et automatiquement va saper la concurrence. C’est ce qui existe actuellement, c’est ce qui a toujours existé. Il n’y a jamais eu de libéralisme tel que le suppose les penseurs libéraux et il n’y en aura jamais tant que l’Homme sera tel qu’il est, c’est à dire tout simplement Homme. Le fait que les thèses de Friedman n’aient pu être appliquées que dans les dictatures (Chili et Argentine), suite à un coup d’Etat (Eltsine faisant bombarder le parlement) ou suite à un choc extérieur (Thatcher n’a appliqué la politique libérale qu’après la guerre des Malouines, surfant sur la popularité ainsi obtenue, toutes ses tentatives avant ayant échoué) est significatif. Friedman a suffisamment reproché à Reagan de ne pas avoir appliqué les théories libérales. Reagan n’a protégé que les intérêts des riches et non de la libre entreprise.

    Vous considérez l’Etat comme l’expression du désir collectif, or vous savez très bien que c’est une vaste mascarade et supercherie. L’Etat est contrôlé par les décideurs politiques, qui soutiennent ceux qui leur permettent d’arriver à leurs postes : et ce n’est pas les votants mais ceux qui ont les capacités de financer une carrière politique et des campagnes électorales. C’est en ce sens que oui, le riche devient l’ennemi du peuple car il va utiliser ses capacités financières pour distordre les règles à son avantage. Quelque soit le riche. le citoyen qui subit cela aujourd’hui aura le même comportement s’il devient riche.

    Soit vous êtes un troll rémunéré pour défendre les intérêts des autres (car je pense que l’Elite a d’autre chose à foutre que d’intervenir directement sur Agora et nous méprise royalement), soit vous avez peu de profondeur de réflexion, enfermé dans votre TINA dualiste Communisme/Libéralisme, dualisme qui n’est que de la poudre aux yeux. C’est comme si on réfléchissait à savoir s’il vaudrait mieux avoir des ailes pour évoluer librement dans l’air ou des branchies pour évoluer librement dans l’eau. cela n’a aucun intérêt car nous sommes des Hommes sans ailes et sans branchies.



  • demosoluce 13 septembre 2013 11:34

    Encore beaucoup de contre-logiques Spartacus. Je ne vous renvoie même pas au commentaire de Diogène ou du mien plus haut, expliquant pour quoi il est utile d’arrêter d’utiliser le terme « communiste » à tord et à travers. les organes de communication soviétiques vous auraient traiter de fascistes (ce que vous n’êtes pas), utilisant ce terme à tord et à travers. Vous faites la même chose en utilisant le terme communiuste à tord et à travers.

    L’argent des habitants n’est pas nationalisé, bien au contraire, il est privatisé car il sert principalement à payer les intérêts de la dette, parfait placement d’une oligarchie capitaliste. On nous fait croire à un possible défaut sur la dette mais les intérêts de la dette sont toujours payés. La libre circulation des capitaux permet aux plus riches de ne pas payer l’impôt et donc de ne pas participer aux dépenses collectives. C’est cela la cause principale du déséquilibre.

    Enfin, la mauvaise gestion de l’Etat, réelle dans bien des domaines, n’est pas mauvaise pour tout le monde. Il est intéressant de constater que les dépenses inutiles ou à utilité réduite enrichissent des capitalistes proches de nos élites politiques (BTP, Laboratoires, Armement, intérêts de matières premières en Afrique et ailleurs).

    Si vous critiquez plus haut quelqu’un sur le fait qu’il ne serait jamais allé en Chine, je vous invite à découvrir plus sérieusement les pays de l’est et la période des années 90 où votre programme friedmanien de libéralisme « pur » a été mis en place.

    Attaquez vous à ceux qui détournent réellement les théories libérales à leur profit et vous combattrez au moins honnêtement même si pour ma part je epnse que vous aurez autant d’efficacité que Don Quichotte pour la simple raison que comme le communisme, le libéralisme est utopique, utopie visant à attendre l’avènement d’un homme nouveau.



  • demosoluce 13 septembre 2013 09:55

    Il faut arrêter d’utiliser des mots à tord et à travers. La France n’a rien de communiste. L’économie de libre marché est largement utilisée. Que l’Etat intervienne dans 66% ou plus du PIB n’en fait pas un pays communiste. Vous utilisez tellement ce terme pour définir l’omniprésence de l’Etat que vous en dénaturez totalement le sens.

    D’ailleurs, il n’y a pas de pays communiste et il n’y en a jamais eu. Le communisme est une utopie. Il sous-entend l’avènement d’un homme nouveau qui n’est jamais venu. Vous retrouvez la même utopie de l’homme nouveau dans le libéralisme et aussi dans le NOM. ce n’est pas le même homme à chaque fois mais dans tous ces cas, ce n’est pas l’homme actuel, réel.

    Posez vous plutôt la question de savoir qui gère l’Etat (la classe politique, ce qui la définit) et donc quels intérêts cet « Etat » défend. Vous vous apercevrez alors que les mauvaises gestions de l’Etat ne sont pas mauvaises pour tout le monde. Vous vous apercevrez que le Capitalisme français a bien profité de cette forte présence de l’Etat (tous les grands groupes privés ont profité des commandes de l’Etat ou ont récupéré la gestion de ses investissements : exemple des autoroutes). Ce n’est donc pas un système communiste mais un système oligarchique et c’est tout à fait autre chose. D’ailleurs, il suffit de voir l’orientation économique proposée par le gouvernement ces jours-ci pour bien voir que cela ne va que se renforcer : l’Etat va accompagner les groupes privés dans le développement de projets d’avenir mais ne va pas directement gérer ces projets. Traduction : l’Etat va mettre en place un système où les citoyens vont financer et protéger le développement de richesses aux mains d’intérêts privés et va protéger ces intérêts privés.



  • demosoluce 6 septembre 2013 15:05

    @ CzarRol,

    Vous parlez du recentrisme, mouvement visant à remettre en cause les datations entre la fin de l’Empire romain et la renaissance. j’ai étudié cela mais j’avoue que jusqu’à maintenant, je n’ai pas été convaincu. Mais je regarderai, c’est toujours instructif

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