• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

demosoluce

Démosoluce car je pense que seule une solution provenant du peuple permettra d'améliorer les choses. Ce faisant, je suis donc contre le système représentatif dans le sens où dès que nous déléguons notre pouvoir, nous acceptons de le perdre : soit parce que le représentant a déjà prévu le détournement de ce pouvoir au profit d'intérêts particuliers, soit parce que le système représentatif l'encouragera à le faire.
Je soutiens donc un système de démocratie directe associé à un système économique permettant de libérer le citoyen de la pression d'asservissement ultralibéral (revenu de base, salaire à vie, dividende universel ?).
Sur cette base, je souhaite rester ouvert d'esprit, conscient que l'on doit sans cesse remettre en cause ses certitudes pour avancer honnêtement et librement.

Tableau de bord

Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 0 173 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Derniers commentaires



  • demosoluce 27 septembre 2013 16:27

    Mais non, ce ne sont pas les Etats qui ouvrent des lignes de crédit via leurs banques centrales (FED, BCE, BOE etc...) puisque ces banques sont indépendantes. C’est là, le coup maléfique. Et on vous vend cette indépendance comme bénéfique alors que rien n’est jamais indépendant. Elles sont uniquement indépendantes du peuple pour mieux être des outils des 1%. Les présidents US qui ont voulu avoir une banque centrale dépendante du peuple US sont tous morts violamment.

    Sinon, je vous suis sur le fait que le Capitalisme ne peut que s’effondrer sur lui même, en raison de ses contradictions internes. Mais je ne vous suis pas sur vos solutions qui me semblent tout autant utopique et déjà vouées à l’échec.

    Je vous le répète : adaptez votre raisonnement basé sur les contradictions internes et l’utopie de l’Homme nouveau au communisme comme vous le faiets avec le Capitalisme libéral, et vous arriverez à la même conclusion.



  • demosoluce 27 septembre 2013 15:44

    Il y a un point faible dans votre raisonnement. Vous considérez les prêteurs comme des entités nationales. Or, je pense que vous vous trompez à ce niveau.

    Ceux qui possèdent la dette sont les 1% et ceux là se foutent royalement de leurs concitoyens. En cela, ils sont déjà mondialisés (voir à ce sujet les derniers travaux des époux Pinçon-Charlot). Et, comme ils utilisent les effets de levier pour leur spéculation, autant qu’ils prêtent leurs avoirs, ils sont emprunteurs autant que créanciers. Ils ont donc tout intérêt à ce que le jeu continue. Et pour cela, ils ont trouvé un solution depuis la fin des années 70 : faire payer les 99%. La vraie valeur, celle des matières premières et du travail, ils se l’accaparent. Pour les matières premières, c’était assez facile, quelques guerres ethniques au Zaïre, la privatisation du vivant etc... Pour le travail, c’est ce à quoi on assiste aussi. Le crédit, la dette privée, a permis l’illusion aux peuples que leur pouvoir d’achat augmentait, alors qu’en fait, ce n’était qu’un pouvoir d’achat virtuel. Mais l’enchainement par la consommation/endettement lui est bien réel. Et le crédit ne concerne pas uniquement les pays de l’OCDE, demandez aux chinois qui se sont endettés pour acquérir leur logement dont la valeur, depuis, fond comme neige au soleil.

    Donc, l’arrêt ne viendra pas du fait que les Etats Unis décideront ou non de faire défaut, ou que les émergents exigeront d’être payés. Le point de basculement se situe sur la résistance des peuples à cette pressurisation. Je pense que les 1% en sont totalement conscient et que des stratégies sont déjà en cours pour casser tout risque de remise en question (guerres, guerres civiles, enfermement matriciel via CHIP etc...)

    Concernant vos opinions, je me suis déjà exprimé sur mon refus du dualisme esclavagiste entre le libéralisme et le Communisme. les 2 sont des utopies dont les contradictions propres expriment déjà leur échec. Ces 2 approches rejettent l’Homme tel qu’il est, ne peuvent fonctionner que sur une idéalisation d’un comportement théorique des gens. ceci entraine automatiquement la récupération de cette idéalisation par la minorité désirant servir ses intérêts personnels, ceux qui ont le moins de scrupule. Si vous mettiez en place la dictature du prolétariat, je vous parie qu’il ne se passerait pas 2 ans avant que vous, Robert, vous ne finissiez devant un tribunal populaire pour Trahison néobourgeoise et vos juges seront ceux qui auront le moins à foutre des intérêts du peuple, mais dénués de scrupules, ils auront su infiltrer efficacement le système et le retourner contre vous.



  • demosoluce 26 septembre 2013 13:38

    Bravo Thomas, en 1 demi article, vous apportez bcp d’aides contre le libéralisme et ses déviances naturelles.

    Vous dites : « Elle obligerait les industriels à vendre un site rentable au lieu de le fermer. Certes, ce projet part d’un bon sentiment : celui de préserver des emplois. Néanmoins il pose plusieurs problèmes dont celui de se protéger de la concurrence pour une entreprise ». Au moins, vous avouez, comme le soulignent les opposants à la fermeture de Florange que le but du rachat de Florange par Mittal n’a jamais été d’augmenter ses capacités de production mais tout simplement de détruire de la capacité de production qui aurait pu potentiellement servir à la concurrence. La priorité est donc bien la seule préservation de la rentabilité du capital lucratif au dépend de la création de richesse. Vous soulignez parfaitement que le Capitalisme a pour objectif le monopole et la rareté pour optimiser la rentabilité. Un Capitalisme libérale est donc une Utopie complète dans le sens où la libre concurrence est incompatible avec la recherche du monopole.

    Et je rejoins Bouddha sur le fait qu’en plus, tout est pipé, des structures se retrouvent en position de racheter leurs concurrents pour s’en « protéger » comme vous dites grâce à des méthodes en totale opposition avec les théories du libéralisme (création monétaire massive, marché local protégé, intervention de soutiens étatiques etc...).



  • demosoluce 20 septembre 2013 11:18

    Dans la comparaison entre la politique Hitlérienne en Tchécoslovaquie et la Politique occidentale en Syrie/Iran, il y a un point commun de stratégie militaire. En visitant la région de Hrensko cet été, j’ai pu comprendre qu’il était vital pour la Tchécoslovaquie de garder cette région qui était naturellement un bon système de défense (on appelle cette région limitrophe Suisse saxonne et Suisse tchèque). Effectivement, y mener une offensive blindée y aurait été difficile.

    J’ai volontairement écrit Syrie/Iran car même si l’Iran ne touche pas la Syrie, il semble que la fin du régime syrien soit stratégique avant d’attaquer l’iran afin de lui couper ses soutiens près de la frontière israélienne. Si la Syrie tombe, c’est aussi le Hezbollah qui en est fortement fragilisé.

    Dans les 2 cas, on retrouve un système défensif de l’ennemi à mettre bas.



  • demosoluce 19 septembre 2013 15:26

    C’est parfaitement résumé Méfrange et cela vient corroborer mon indignation sur le dualisme obligatoire entre libéral et communiste (exprimé dans un commentaire d’un autre article). Défense de la liberté ne veut pas dire totale liberté comme défense de l’intérêt commun ne veut pas dire total collectivisme.

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv