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easy

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59 ans
Eurasien
Déçu

Tableau de bord

  • Premier article le 17/11/2009
  • Modérateur depuis le 16/07/2010
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • easy easy 27 février 2013 16:01

    Confucius a raisonné en toute logique
    On part d’une autorité zéro
    On en gagne quand on sert les intérêts collectifs
    On la reperd quand quelqu’un prouve qu’on a abusé
    Et ça vaut pour le roi


    Dans cette Chine là, les gens n’auraient pas eu un regard pour l’affaire privée Dialo DSK 
    Pour s’intéresser à cette affaire, il faut se projeter à la place d’un des deux protagonistes et estimer qu’à sa place « Ah que oui alors, je vaux bien tous ces regards sur ma souffrance ». 

    Il faut concevoir l’égocentrisme

    Dont l’avatarisation urbaine est l’archangisme.

    (Un archange ne bosse pas dans le collectif mais dans le privé. Il est comme dieu, il traite au cas par cas. Il n’a que deux bras. Chacun discute le morceau avec lui ; le flatte, lui baise les pieds, ...corrompt)

    L’archange qui descend du ciel rien que pour soi, pour considérer ses souffrances personnelles, forme le tremplin de l’égocentrisme. On le conçoit pour soi et on le projette sur d’autres pour se faire un film de soi.
    ’’Toi aussi tu aimerais bien qu’on s’occupe de toi. Comme je te comprends. Bin tiens, je vais m’occuper de toi cinq minutes«  


    Sophie Davan lors du Téléthon demande à une fillette handicapée ce qu’elle ressent
    Mais la gamine ne sait que dire qu’elle est heureuse d’être là
    Alors Sophie récupère le micro et conclut d’autorité »Ouéééé, en fait tu souffres !"


    L’archange noir vrille la chair pour qu’un cri de souffrance soit lâché par effet de découverte 
    L’archange blanc vrille la pensée pour qu’un cri de souffrance soit lâché par effet de mémoire 
    Tous les deux jouent la procuration, le triangle dramatique de Karpman.
    Tous les deux veulent un regard tiers sur leur manoeuvre, sur eux.



  • easy easy 27 février 2013 14:20

    Je fais mes exposés panhistoriques à partir de ce que j’ai vécu dans mon enfance parmi des hommes nus

    Oui, il y a beaucoup à dire sur la formation du Moi 
    Etonnamment, une gamine Viet se voit un Moi obligatoirement familial alors que quand elle fait quelque chose, sa reponsabilité est plus forte
    Ça semble paradoxal mais ça s’explique au sens où son Moi-familial engage tant l’image des autres si elle faisait une connerie, qu’elle se retrouverait comme responsable pour tous donc très responsable

    Ainsi une Séraphine de Senlis qui n’emmerde personne et qui est très discrète peut tout de même se dire (si elle se considère Moi-Moi) que ses conneries n’engagent qu’elle et qu’elle peut donc faire ce qu’elle veut. Elle est prête à payer pour sa faute mais pense qu’elle le vaut bien 

    On se retrouve donc ici avec Garou qui, dans Notre-Dame, peut hurler « Cramez-moi si vous voulez mais j’irai au diable pour Esmeralda » 
    Ce qu’un Viet ne se permettrait pas de penser et encore moins de brailler


    Car si Garou se permet de dire ça, c’est qu’il se considère très indépendant de possiblités d’action (qui n’engagent que lui) et aussi qu’il a le droit de brailler son indépendance

    Il ne se verrait pas une autorité, il pourrait à la rigueur plonger dans les cheveux d’Esmaralda « C’est mon problème à moi seul » mais ne se permettrait pas de le brailler à la face de tous.
    Brailler ses outrepassements atteste de l’autorité individuelle



    Autre exemple :
    Le Marchand de Venise

    Shylock est de bon droit.
    Il réclame son droit
    Il se sent autorisé à réclamer, quoi qu’il en coûte à son débiteur
    C’est du Tristane Banon. C’est du caprice. J’y ai droit, je le veux et vous devez me le donner
    Shakespeare démontre à Shylock que le bon droit, quand il contrevient à l’intérêt de l’Ensemble, doit rester au vestiaire. Il réintroduit le fait qu’il existe un intérêt supérieur à l’autorité de l’individu


    Un gamin de nos écoles devrait piger cela et cesser d’exiger son droit de brailler, son droit de ceci, son droit de cela

    Or, les parents de ce gamin tiennent à ce qu’il conserve tous ses droits et de plus en plus.

    C’est la raison pour laquelle j’ai posé l’hypothèse qu’on retire les autorités de ceux qui ne gèrent pas le collectif en sachant que quasiment aucun Français ne l’acceptera





    La définition du Je ou du Moi dépend de la pression extérieure sur lui
    Un mec tout seul face à la mer déchaînée a un Je minuscule

    Notre contrexte n’est plus à la mer et à la jungle, il est à la cité
     
    Ici, la définition du Je ou du Moi dépend donc de la pression de la masse humaine. Si cette masse dit ferme ta gueule, le Moi se réduit automatiquement
    Il ne peut pas se réduire quand la masse lui offre tous les droits de la ramener même s’il ne gère rien de collectif



  • easy easy 27 février 2013 13:28

    Plus sot que moi tu meurs

    Salut canaille



  • easy easy 27 février 2013 13:16

    Oui

    Afin de redéfinir le Je, il vaut mieux commencer par retracer son histoire, voir comment il a évolué et alors seulement, nous pourrions remarquer quelle sorte de Je il nous serait intéressant de développer. 

    Notre Je actuel est, en France, le plus individualiste de l’Histoire.
    Pour autant, il comporte quasiment toutes les sortes de Je qui apparaissent au gré des circonstances.
    Par exemple, les participants d’une manifestation ont, à ce moment là, un Je très collectif mais très corporatiste si l’objet de la manif est de brailler contre la fermeture d’une certaine usine, d’un certain hôpital.
    Manif des motards, manif des taxis, manif des profs...autant de Je collectifs mais corporatistes

    Et il subsiste encore des Je très largement collectifs à la Abbé Pierre

    Mais le problème n’est pas dans l’individualisme qui est un droit naturel.
    Une bestiole a le droit de s’isoler. 




    En étudiant l’ontogénèse des Je à travers les espèces, l’histoire et la géographie, on peut remarquer que le tout premier Je était celui du tigre, puis celui du zèbre, puis celui du loup, celui de l’abeille, du castor, du singe.

    Certaines bestioles intégraient un sens du futur en construisant aujourd’hui pour demain, en accumulant des provisions pour l’hiver mais aucune ne gérait les équilibres des ressources autrement que par le contrôle éventuel de ses naissances et ses migrations.

    D’autre part, il y avait une régulation mutuelle et non pensée entre les espèces et elle pouvait très souvent finir en catastrophe pour une ou plusieurs espèces



    Un jour, les premiers hommes chasseurs cueilleurs ont entrevu la possibilité d’influencer la régulation naturelle désordonnée en l’ordonnant afin qu’elle reste convenable à leurs yeux d’hommes.
    Afin de réaliser une influence (par exemple en édifiant un barrage) ces premiers hommes ont dû coordonner leurs efforts.
    Cela et les nécessités de coordonner les efforts lors des batailles interclaniques a fait jaillir le concept de chef coordinateur. Il n’était pas forcément plus autoritaire que les autres, il était seulement élu afin d’incarner l’autorité que le clan voulait avoir certes sur le clan ennemi lors des batailles, mais surtout sur la nature car c’est avec elle qu’il était en relation quotidienne.
    A part le chef, aucun individu ne se sentait alors porteur d’une autorité ni vis-à-vis de la nature ni vis-à-vis des voisins


    L’autorité humaine (concentrée entre les mains d’un chef) a surgi de l’esprit des Hommes surtout pour essayer de gérer la nature, ne serait-ce que très simplement en interdisant les prélèvement dans les nids

    Mais lassés de courir à G et à D pour influencer cette régulation sauvage, d’autant qu’il y avait toujours des voisins pour foutre le boxon dans la nature, les Hommes ont souvent renoncé à la régulation globale pour préférer gérer un parc de plantes et de bestioles. Ils ont alors laissé la nature à ses caprices en se concentrant sur ses cultures et bestioles devenues esclaves. Les chefs ne servaient alors plus qu’à coordonner les efforts de guerre. Clovis n’a jamais géré les sangliers


    Confucius avait bien traité de la nécessité du principe d’autorité pour gérer les problématiques collectives.
    Pendant que par ici, on se branlait les méninges avec un dieu au regard fixé sur l’Homme sans le moindre souci des problématiques collectives et écologique.
    Cette curieuse autorité abrahamique n’est gestionnaire de rien de terrestre. Elle dit adorez-moi et je vous offrirai mieux que la vie terrestre. 
    Dès lors, c’est le chacun pour soi qui démarre « Moi j’irai au paradis mais mon concierge ira en enfer. Bien fait pour sa gueule »

    Or ce dieu a donné à chacun l’ordre de tuer les hommes qui ne l’adoraient pas en son nom
    Chacun (en tous cas les prêtres et chefs de guerre) s’est vu nanti d’une autorité venue du ciel sans qu’il ait à gérer la Terre. Policier contre les incroyants oui, gestionnaire écologique non.

    A partir de ce MOI autoritariste sur l’Homme du dieu d’Abraham, puis les premiers livres conjugués en Je, puis 1789, puis les compétitions scolaires, sportives et culturelles (Il n’y avait pas de Mozart dans les sociétés primitives) puis les manifestations, chacun veut faire le chef, chacun veut la même autorité que le chef sur les Hommes. Chacun veut décider quel homme doit être sauvé, quel homme doit mourir.
    Et cela sans avoir à gérer quoi que ce soit sinon son image face à ce dieu-miroir, autrement dit son image d’autorité hommiste « Tiens, Mardi, je vais sniper douze salopards. Tu m’accompagnes avec ton AK47 ? On finira plus vite et on sera rentré à temps pour Koh-Lanta »



    Une personne très individualiste non autoritaire, non arrogante, ça peut exister, ça peut bien vivre sans nuire à personne. Ce serait un ermite allant vivre de chasse dans la jungle. Il serait très individualiste mais humble devant la nature car ne pouvant rien gérer de l’Ensembe, il ne pourrait que subir en se faisant le moins pesant et présent possible sur son petit endroit

    L’individualisme, pourquoi pas, mais alors sans autorité, tel celui d’une Séraphine de Senlis, d’un moine errant ou d’un facteur Cheval.




    Il est absurde que l’individu non gestionnaire de l’Ensemble soit doté d’une autorité, qui plus est hommiste.
    Les gamins la réclament cependant. 



    Un Je individualiste humble a du sens

    Un Je collectif tonnitruant qui ne gère rien de l’écosystème et qui ne secoue que les églises en se foutant à poil est absurde



    Peut-on retirer l’autorité d’un individu qui refuse de s’en départir alors qu’il ne gère rien de collectif ?
    Oui.
    Mais il faut être une majorité à le vouloir



  • easy easy 25 février 2013 20:22

    ***« Remplissez la terre et soumettez-la », dit Dieu aux hommes dans la Bible. Et Descartes les voit comme « maîtres et possesseurs de la nature. » La tradition judéo-chrétienne et la révolution moderne, piliers de la culture occidentale, dont ces deux phrases résument le rapport à la nature, seraient-elles responsables des dégâts que l’homme inflige aujourd’hui à la planète ? ***

    En effet, la tentation est grande de les considérer responsables

    Mais j’ai passé mon enfance avec des sauvages du Vietnam et en extrapolant les effets divers dont ceux de la guerre du Vietnam, j’ai vu à travers quelques scènes emblématiques que la l’indifférence à l’état de l’environnement est correlée à l’indifférence pour la chasse première, celle qui permet de manger et au jour le jour (sans aucun procédé de conservation des viandes) 

    Et même pour un village chassiste, lorsqu’il atteint une taille telle qu’il ne craint plus une attaque surprise de quelque voisin, les gens ne se gênent plus pour faire du bruit, la source de gibier est plus loin, l’environnement immédiat est considéré moins sensible.

    Ainsi, je ne vois que la minuscule tribu vivant de prélèvements très proches du camp pour être très précautionneuse
    Au-delà de ça, je vois s’amonceler des facteurs, des centaines de facteurs d’indifférence, de moindre sensibilité

    Le bruit que fait un groupe m’indique sa position par rapport à l’environnement.
    Si je vois un groupe qui est silencieux parce qu’il doit, comme un chevreuil, guetter tous les bruits naturels, de jour comme de nuit, je sais qu’il le respecte vraiment et sans cinéma

    Si je vois un groupe brailler ou regarder quelque idole, faire des bidules voyants, fabriquer des tam tam, des gongs, jouer de la flûte, danser, se distraire en somme, c’est qu’il n’a plus besoin de faire attention à la nature.


    Constater cela est bien plus ennuyeux que de s’en tenir à Descartes et même à Moïse car il est absolument inconcevable de revenir au chassisme. A ce point là de reculade, ça n’aurait aucun intérêt

    Mais sans que ça offre pour autant une solution toute cuite, ça permettrait de saisir où est le problème de base :
    Notre vision reculiste va trop à croire qu’il suffit de sauver le vert, le bleu et le blanc

    De même que la mort d’un canari dans une mine était mauvais signe, le fait qu’il ne soit plus possible pour les bestioles de circuler et de vivre autour de nous démontre notre abus

    La faune, qui est mobile, s’appuie sur le vert de la flore, le bleu du ciel et le blanc des eaux
    Le recul de la faune d’un endroit prouve que nous avons abusé de son vert, blanc bleu.

    Lorsque nous ne vivons que de chasse ou de pêche. C’est l’animal qui est seul juge de l’environnement. A la moindre perturbation, il se tire ailleurs et nous ne pouvons pas forcer quoi que ce soit. Nous ne pouvons que nous faire tout petits, transparents, inodores, silencieux, humbles, dépendants

    Lorsque nous disons, « On vire les bestioles et on va faire un vert bleu blanc rien que pour nous » nous allons à redéfinir nous-mêmes ces vert blanc bleu sans autre censure que la nôtre
    Mais notre redéfinition n’étant pas naturelle, elle ne tient que par quelque forçage et notre système ne tient donc pas naturellement
     
    Je ne me fais aucune illusion.
    Nous allons tout casser pour la simple raison que nous ne voyons pas une nécessité impérieuse que la nature tienne plus que deux ou trois générations.


    Toutefois, il va arriver un moment où l’augmentation de la pression de l’homme par son augmentation au moins démographique va produire des baisses de qualité de vie qui seront sensibles de mois en mois. Les perspectives devenant affolantes au présent il ne sera plus possible de les dénier.

    Les seules solutions consisteront en une réduction drastique des populations humaines mais comme ça exigera des sacrifices individuels, il faudra forcément refonder le concept de responsabilité.
    L’intérêt de vivre devra être plus altérisé, l’ego devra être altérisé
    Et c’est alors qu’il sera opportun de convoquer Descartes pour lui demander qu’il nous la refasse en « Je suis statistiquement de trop »
     


    Sinon, pour évoquer l’Abrahamisme tout de même

    L’animisme serait surgi de la situation naturelle de ce chasseur silencieux où sa voix devait toujours être plus basse que celle de son environnement le plus immédiat. On ne peut pas en être à tendre constamment l’oreille sur la voix du ruisseau sans lui accorder une sorte d’âme.

    Ce chasseur ne différencie pas spécialement les singes entre eux, les perroquets entre eux et les traite par genre. Il voit donc des Âmes par genre. Il vit entouré de 30 genres d’Âmes
    Or, clairement, il conçoit ces Âmes discuter entre elles, commercer, se disputer. 
    Il ne fait qu’écouter le pataquès de ces Âmes pendant que lui se tait et il fait gaffe que ce concert des Âmes (qu’il genre par type d’activité et non par sexe) reste harmonieux. Il fait tout ce qu’il peut pour ne pas troubler

    Quand il prélève, il discute le coup avec l’Âme, il lui demande pardon. Il lui explique qu’il ne peut pas faire autrement, qu’il va lui renvoyer l’ascenseur 

    (Cette manière de voir les choses fait qu’on n’apprécie que des tribus voisines qui font de même. Sinon on les tue. On les tue au nom de la Nature)

    Là-dessus, le village s’agrandit, un peu de spécialisation des activités humaines apparaît, et surgit un type qui interprète plus que les copains, les voix des Âmes. Bon, c’est alors le médium, le chaman.
    Il existe donc désormais un intermédiaire entre les Âmes de la nature et les villageois
    Puisque ce médium entend mieux les Âmes, pourquoi perdre son temps à les écouter directement, autant se contenter d’écouter le chaman


    On se met donc à représenter les Âmes dans le village et on danse autour de ces représentations.
     
    On se retrouve en Egypte d’avant Akhénaton où les Âmes sont devenues des blocs de granite bien poli ne ressemblant même plus un peu aux sources, aux rochers, aux arbres, aux singes
    On est dans la ville, il n’y a plus rien de la nature, pas de problème, les représentations des Âmes sont là, dans un temple bien ombragé. Pas besoin de marcher des heures sous le soleil pour aller voir le Nil de près


    Arrive Akhénaton qui estime que dans le fond, le Soleil subsume les autres Âmes et qu’il suffit de négocier avec lui. Le soleil soumettra les autres Âmes ensuite. Il saccage la nature et l’étale sur des centaines d’autel aux pied d’Aton « Je mets la nature à tes pieds »

    Bon, son épisode n’a pas duré mais il avait lancé l’idée qu’il valait mieux s’adresser à dieux qu’à ses saints

    Huit siècles plus tard, l’Abrahamisme dit « Toi, tout en haut du haut, je crois en toi, je te lèche les pieds et je compte sur toi pour donner des ordres au Soleil qui en donnera aux dieux inférieurs, qui en donneront aux dieux encore plus petits »

    Le regard du croyant autrefois dirigé vers le sol et la nature solide s’est dirigé de plus en plus vers le haut et une abstraction totale où, in fine, il n’est même plus question de la nature


    Tout cela ayant été rendu possible parce que l’élevage, parce que l’agriculture, les barrages..Parce qu’à Babylone et Persépolis l’Homme a pu créer le Paradis où la nature était hyper lisse, les lions bien alignés avec des boucles de poils que pas un ne dépasse.


    Et au bout du bout de l’abrahamisme, quasiment pas différent du bouddhisme sur ce plan, le croyant n’ayant plus aucun souci de bouffe, il ne fantasme plus que de décollage vertical. Soit vers un état whahhhhhh dans le bouddhisme, soit vers les bras de dieu dans l’Abrahamisme

    Bon, le bouddhisme considère tout de même la contexte solide terrien parce qu’il conçoit de devoir revenir sur terre. Quelle corvée ! Il fait tout de même gaffe de ne pas marcher sur une vache ou un moustique. Mais il n’a aucune vision écologique
    Il est nul en gestion des ressources.

    C’est le confucéen qui est un obsédé de la gestion des ressources 

    L’Abrahamisme, lui, ne prévoyant pas de revenir sur Terre, ne névrose que de ses câlins avec Dieu parce qu’il a respecté ses Lois homme-homme. Il n’a rien à cirer de la nature qui n’est là que pour lui servir pendant une vie seulement. Et lui, il est évidemment disposé à tuer au nom de son dieu

     


    Je vous l’ai fait courte, chacun fera le mutatis mutandis dont il aura besoin



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