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  • ffi ffi 13 octobre 2014 12:09

    En quoi y-a-t-il eu débat ? Désolé, mais je ne vois pas.

    Faudrait savoir ce que vous voulez. D’un coté vous dénoncez
    « Ceux qui parlent au nom de Dieu »
     
    Et quand je vous montre que, selon mes définitions, le concept de « Dieu parle »  renvoie au fait de « dire une vérité définitive », et que, par conséquent, quand Bakounine prétend « dire une vérité définitive », il ne fait pas autre chose que de « parler au nom de Dieu », c’est-à-dire ce que vous dénoncez, alors vous me répondez :
     
    "Vous avez tout faux, puisque je ne parle pas en Son nom pour la bonne raison que pour moi, n’existant pas, il n’a rien à nous dire, on ne peux rien dire en son nom !!« 
     
    1° Si Dieu pour vous n’existe pas, pourquoi dénonciez-vous ceux qui parlent en son nom ?
     
    2° Le terme pour désigner la chose, n’est pas la chose : un mot chinois et un mot français peuvent désigner la même chose, n’est-ce pas ? Nous parlons deux langues différentes. Dans mon langage »Parler au nom de Dieu« signifie dans le vôtre, dénué de la notion de Dieu, »prétendre dire une vérité définitive".
     
    Or vous dénoncez donc dans un langage ce que vous acceptez dans l’autre !
    Si ce n’est pas du double-discours...
     
    Désolé de vous le dire, mais vous êtes superficiel et irrationnel,
    vous n’êtes sensible qu’à la forme des choses, et non à leur fond.



  • ffi ffi 12 octobre 2014 22:51

    Si vous trouviez qu’il y a des sophismes dans ma réflexion, qui comporte les 3 points que j’ai rappelé ci-dessus, vous pourriez précisément y pointer les erreurs, me dire, ici, je trouve cette affirmation-ci erronée parce que...etc
     
    Mais vous n’en faites rien, ce qui prouve que votre démarche est illogique et irrationnelle.



  • ffi ffi 12 octobre 2014 18:04

    Je ne vous ai jamais demandé de partager mes vues quant à la définition de Dieu à préférer.

    La discussion montre que vous ne cherchez nullement la compréhension :

    1° vous n’avez pas réfuté cette affirmation, de pure logique, alors que j’ai insisté, et que j’insiste encore :
     
    « Toute théorie induite des faits, est nécessairement frappée de l’imprécision logique issu du raisonnement d’induction, et cela justifie selon moi le recours à la notion de Dieu, en tant que terme indéfini pour englober tout les cas non synthétisés par la théorie.  »
     
    2° Vous n’avez pas non plus réfuté l’argument suivant, de pure logique encore :
     
    Présenter une théorie sans recourir au terme indéfini de Dieu, c’est donc prétendre qu’elle a tout défini, y compris l’indifini, et donc le terme Dieu lui-même, et partant, c’est parler en son nom.
     
    3° Vous n’avez pas non plus réfuté mon critère pour choisir entre les diverses définitions de Dieu qui se proposent à nous :
    On reconnaît la qualité d’une définition de Dieu à la qualité des fruits qu’il produit.
     
    Si vous cherchiez à comprendre, vous opposeriez à ces arguments logiques d’autres arguments logiques, et nous pourrions en discuter. Or, tel n’est pas le cas. Au contraire, vous sautez du coq à l’âne, d’Ockham à Bakounine, de Gaza à Darwin... Ne confondriez-vous la pensée avec un agglomérat de stéréotypes ?
     
    Ne pas répondre à des arguments logiques par des arguments logiques,
    c’est irrationnel.
     
    Mais quoi de plus normal, connaissant votre mythologie ?
    Lutte des égo (libéralisme), lutte des espèces (darwinisme), luttes des classes (marxisme), lutte des races (nazisme) ; dans toutes ces définitions de Dieu, le principe retenu est le même : c’est le conflit qui serait créateur. En christianisme, c’est l’Amour qui est créateur, et ce genre de définition d’un Dieu qui crée par conflit, on appelle cela du satanisme.
     
    Puisque toute mythologie des origines revient à l’homme en conscience de soi, votre âme se fait ainsi à l’image de votre définition de Dieu, conflictuelle. Vous êtes donc en conflit avec tout le monde, parce que telle est votre disposition d’esprit, en conflit avec lui-même, parce que telle est votre mythologie, un conflit perpétuel.
     
    Nos échanges en furent une belle illustration.
    Zéro arguments logiques mais une belle série d’invectives atrabilaires...
     
    Désolé mais je n’y puis rien si vous ne savez pas discuter sereinement et manquez de distanciation. C’est votre religion qui vous fait tel.



  • ffi ffi 12 octobre 2014 01:59

    Je vous ai déjà répondu sur tout les points que vous avez soulevé :
    - Que tout principe soit idéologie ? Bien-sûr, tel est le cas. Un principe, ça oriente les idées, puisque c’est pris en premier (primus captare), puisque c’est à la racine de la pensée... (Et orthographiez correctement « Ockham » SVP).
     
    - Je n’ai personnellement lu ni Spinoza ni Darwin, donc comment voulez-vous que j’analyse leurs similitudes avec Leibniz ? Aurais-je dû évoquer ce que je ne connais pas ? C’est de plus hors-sujet avec ce que j’évoquais au départ. Je vous laisse vos préoccupations qui vous sont propres
     
    - Je n’ai pas pris position sur le conflit Gazaouis/Judéens. Relisez-moi. Dire « Dieu jugera à sa guise », ce n’est pas dire « Dieu a jugé que ».
     
    - Pour le reste, je vous ai expliqué en long et en large ma position :
    Toute théorie induite des faits, est nécessairement frappée de l’imprécision logique issu du raisonnement d’induction, et cela justifie selon moi le recours à la notion de Dieu. 
    C’est ici de la pure logique.
    Mais de cela, vous n’avez pipé mot : cette assertion est-elle vraie ou fausse selon vous ?

    Bakounine reprend la mythologie Darwinienne. Cette mythologie est induite des faits, n’est-ce pas ? Puisqu’il s’agit d’induction, elle ne peut donc pas prétendre à être une vérité absolue, mais est conditionnée à certaines conjectures, et je prétends qu’il faut y adjoindre un « indéfini » qui j’appelle Dieu pour qu’une telle induction puisse prétendre à une validité absolue.

    Or, Bakounine qui reprend la doctrine de Darwin, y omet la notion de Dieu. Et comme il présente la chose comme une résolution valide et définitive de nos origines, c’est donc qu’il prétend qu’il a tout défini, y compris le terme logiquement indéfini : Dieu.
     
    Ainsi, Bakounine présente une définition de Dieu, et cela revient donc à parler au nom de Dieu. 
     
    Comprenez bien que tout jeu de principe évoquant les vérités premières est une définition de la divinité : Ne pas faire usage du concept de Dieu dans ces principes n’est que prétendre connaître Dieu parfaitement, donc le définir, et donc parler en son nom.
     
    Maintenant, nous voici avec toute une série de théories très variées qui parlent au nom de Dieu. Comment choisir entre elles ?
     
    Et bien, je vous ai donné un moyen : D’un point de vue logique, puisque, par le théorème de Gödel, on ne peut pas démontrer la validité d’une théorie en recourant aux principes de cette théorie, il faut sortir du cadre de ces théories pour choisir.
     
    Quoi de mieux alors que de placer sa lunette sur les effets qu’ont engendré les diverses définitions de Dieu qui furent à notre disposition dans l’histoire ? On reconnaît l’arbre à son fruit.
     
    Ainsi, quand je vois les fruits de la définition de Dieu par Darwin, à travers ses diverses productions, le libéralisme, le socialisme, le communisme, le nazisme, le fascisme, le maoïsme, l’anarchisme...etc, avec ce piteux XXème siècle à la clé, puis quand je les compare aux fruits du christianisme, je n’ai aucune hésitation : la définition du Dieu chrétien est manifestement meilleure.
     
    Ainsi, ayant acquis la notion de Dieu par la logique, je suis déiste.
    Mais ayant opté pour sa définition chrétienne, je suis chrétien.



  • ffi ffi 11 octobre 2014 03:53

    En effet, je n’ai fait alors qu’appliquer la doctrine de Leibniz à l’entité Gazaoui et à l’entité Judéenne.
    --------------
    46. Cependant, il ne faut pas s’imaginer avec quelques uns, que les vérités éternelles, étant dépendantes de Dieu, sont arbitraires et dépendent de sa volonté, comme Descartes paraît l’avoir pris et puis Monsieur Poiret. Cela n’est véritable que des vérités contingentes, dont le principe est la convenance ou le choix du meilleur ; au lieu que les vérités nécessaires dépendent uniquement de son entendement et en sont l’objet interne.
    [...]
    52. [...] Car Dieu comparant deux substances trouvent en chacune les raisons d’y accommoder l’autre[...]
    53. Or, comme il y a une infinité d’univers possible dans les idées de Dieu, mais qu’il ne peut en exister qu’un seul, il faut qu’il y ait une raison suffisante pour le déterminer à l’un plutôt qu’à l’autre.
    54. Et cette raison ne peut se trouver que dans la convenance, ou dans les degrés de perfection que ces mondes contiennent ; chaque possible ayant droit à l’existence à mesure de la perfection qu’il enveloppe.
    [...]
    89. [...] Et qu’ainsi les péchés doivent porter leur peine par l’ordre de la nature ; Et que de même les belles actions s’attireront leurs récompenses par des voies machinales par rapport aux corps ; quoique cela ne puisse et ne doivent pas toujours arriver sur le champ.

    Leibniz, monadologie.
    ------------------------------------------------------
    Il s’agit de plus d’une réponse de trois ligne à une interpellation incongrue, et hors-sujet, de votre part, puisque le sujet était l’approximation fatale des théories induites à partir des faits, ce qui contraint nécessairement à penser Dieu, ce que Machiavel avait oublié me semble-t-il.
     
    Mais, sur ce sujet, hélas, vous n’avez pas pipé mot.
    Vous êtes allé de diversions en diversions, petit coquin que vous êtes.
     
    Pourtant, malgré ces diversions tout azimut, je ne me suis pas contredit, puisque ma réflexion suivait une logique de compréhension du réel.
     
    En revanche, votre discours éparpillé sautant du cos à l’âne et votre appétit de sentences définitives a bien démontré que ce qui vous guidait n’était nullement la compréhension des choses, mais la recherche d’une victoire dans un conflit.
    Hélas, vous fûtes trop maladroit pour qu’il en soit ainsi.

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