Malgré les images idylliques qu’on nous présente encore dans les médias suisses et étrangers, la réalité est bien différente. La Suisse est entrain de s’appauvrir à grand vitesse Si on prend l’exemple emblématique de Genève, le canton a une dette gigantesque de 13 milliards et plus de 30 % de la population a besoin de l’aide sociale pour s’en sortir (pour obtenir ce chiffre il suffit d’additionner les personnes sans emploi, celles qui sont à l’Hospice général, celles qui bénéficient d’un subside d’assurance maladie et encore celles qui sont aidées par le Service des prestations complémentaires). Le libéralisme permet surtout aux frontaliers et a une toute petite minorité de s’enrichir. Depuis l’entrée de libre circulation au début des années 2000, la situation s’est fortement dégradé à Genève : forte baisse des salaires avec la concurrence accrue des frontaliers, très forte augmentation des loyers et des assurances maladies. La situation de la mobilité n’est guère reluisante avec des embouteillages de plus en plus fréquents.
Si on parle de la démocratie directe (le peuple qui vote sur les lois), c’est de plus en un plus une mascarade. Les élites appliquent de moins en moins les votations. Si on prend l’exemple de la votation du 9 février 2014 sur l’arrêt de l’immigration de masse (entre parenthèse si la situation en Suisse est si idyllique, pourquoi la population a voté pour une telle loi ?), celle-ci n’a toujours pas été appliquée, et la plupart des politiciens ne veulent surtout pas l’appliquer, car ils défendent avant tout les intérêts d’une élite qui s’en contrefichent si une partie de plus en plus grande de la population s’appauvrit.
Je suis un fan des films de science-fiction, et je me suis laissé avoir par les critiques qui encensaient le film. Ce sera la dernière fois que j’irais voir un film de Christopher Nolan, car j’avais déjà été déçu par Inception. Les deux films ont le même défaut : un scénario totalement tordu et compliqué, qui n’apporte rien au film. De plus, le rythme d’interstellar est vraiment trop lent. On aurait pu sans problème supprimer une heure. Les discussions pseudo-philosophiques sur l’amour ou sur l’instinct de survie sont ridicules et ennuyeuses, et ne s’intègre pas vraiment avec le reste du film.
Enfin dans un film de voyage interstellaire, on aurait aimer explorer des mondes originaux, or de ce coté c’est plutôt maigre : une planète composé uniquement d’eau avec des vagues gigantesques et une autre qui est recouverte d’un glacier. On peut pas dire qu’on atteint des sommets d’imagination, surtout avec le budget gigantesque du film !
p.s : j’oubliai : le volume des séquences sonores est carrément grotesque et semble avoir pour unique but de nous crever les tympans.
C’est vraiment l’hôpital qui se fout de la charité : les employés de google sont connus pour se dédier corps et âme à leur travail. Dans les faits c’est plutôt 80 heures par semaine que les 35 heures ! On encense toujours les services qui sont fournis aux employés de Google, mais ceux-ci sont là avant tout pour que l’employé n’est pas besoin de retourner chez lui. Alors après mettre en avant le foyer, c’est vraiment se moquer du monde.
Oui, le Japon ferme les centrales nucléaires, mais pour compenser ils réactivent des centrales au charbon et au fuel :
« Surcoût et pollution
Depuis, les autorités ont eu le temps de trouver une solution et elle tient en deux mots : énergies fossiles. « Actuellement, la plupart des centrales thermiques du pays fonctionnent, explique Junichi Ogasawara, chercheur à l’Institut économique de l’énergie à Tokyo. De vieilles centrales ont même été réactivées. » Résultat : les centrales thermiques au charbon, au gaz et au fuel fournissent 90% de l’électricité du pays, contre 65% avant le tsunami. Grâce à cela, les écrans géants, les distributeurs et surtout les entreprises du pays fonctionnent normalement.
Pour autant, ce recours massif aux énergies fossiles pose plusieurs difficultés. « Il faut expliquer aux habitants les effets que la baisse (voire la sortie) du nucléaire auront sur le prix de l’électricité, les émissions de gaz à effet de serre comme le CO2 et sur l’indépendance énergétique du pays », insiste Yuki Sadamitsu, du Ministère de l’économie. Du fait des importations coûteuses d’hydrocarbures et de charbon, le prix de l’électricité a en effet augmenté au Japon (jusqu’à +18% pour les grandes entreprises de Tokyo en avril). Les émissions de gaz à effet de serre devraient augmenter de 5,5% en 2012, selon l’Institut économique de l’énergie. »
« Mais les risques potentiels liés à la modification de la chimie de notre atmosphère par les gaz à effet de serre... »
De quels risques parlez-vous ?
La concentration du CO2 dans l’atmosphère est passé depuis le début de l’ère industrielle de 0,028% (280 ppm) à 0,038 % (ppm) de l’atmosphère. A une telle concentration on peut parler de gaz à l’état de trace, et pourtant, les réchauffistes nous prédisent l’apocalypse à cause de cette augmentation !
Quand à l’énergie renouvellable, les pays qui se voulaient pionner en la matière, comme l’Espagne et le Portugal sont en quasi faillites. L’Espagne a d’ailleurs décidé de ne plus créer de nouvelles subventions pour les énergies renouvelables :
Quand à l’Allemagne, qui a décidé la fin de l’énergie nucléaire, va construire des dizaines de nouvelles centrales à charbon. Sans parler des pays comme la Chine ou l’inde qui ne vont pas se gêner pour consommer en masse leurs réserves de Charbon.
Voila la réalité. Quelque soit les conséquences de l’augmentation du CO2 dans l’atmosphère, ne doutez pas que la tendance ne va pas diminuer de si tôt.