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  • floyd floyd 16 décembre 2011 09:07

    ddacoudre :

    Il ne faut pas confondre égalité et différence. Personne, à part peut-être certains machos primitifs, ne réfute que les hommes et les femmes sont égaux, car aucun n’est supérieur à l’autre. Par contre il est évident qu’il y a des différences.


  • floyd floyd 15 décembre 2011 13:17

    Comme souvent dans l’histoire on passe d’un extrême à l’autre. Dans le passé, on considérait la femme comme un être inférieur, juste bonne à assurer la descendance et totalement conditionné par sa biologie. Après, certaines féministes radicales, ont considéré l’homme et la femme étaient totalement identiques et que seul un conditionnement culturel pouvait expliquer des comportements différents. Evidemment ces deux visions sont dogmatiques et réductrices.

    Comme vous le dites le culturel ET le biologique ont leur mot à dire. Je conseille à ceux qui s’intéressent à cette question de lire le livre de Jean-Paul Mialet : « Sex aequo, le quiproquo des sexes ». Voici la quatrième de couverture :

    « A partir de son expérience de psychiatre, Jean-Paul Mialet s’insurge contre l’esprit unisexe qui voudrait à tout prix rendre les hommes et les femmes identiques, et faire de la différence des sexes l’effet d’un conditionnement. Explorant d’abord de façon très précise la façon dont les uns et les autres vivent leur corps depuis leur petite enfance, il démontre comment leurs différences anatomiques déterminent des déclencheurs du désir très différents. Le sexe de l’homme est offert à la vue : dès sa petite enfance, il le rencontre avec sa main, rapidement il apprend qu’il peut en tirer à la fois pouvoir et plaisir ; le sexe de la femme est enfoui dans son corps, elle ne peut l’appréhender que par le détour d’une construction représentative. Aussi, alors que le décolleté est pour l’homme un signal qui déclenche le désir aussi sûrement et aussi simplement que le réflexe pavlovien, la femme cherche elle une histoire qui donne sens à sa chair, une histoire où elle se sent aimée et désirée car c’est par l’intermédiaire de ce qu’elle inspire qu’elle ressent son sexe. A nier cette différence, on alimente la discorde au lieu d’aider les uns et les autres à la respecter et même à l’aimer car, si les désirs les opposent, et c’est l’objet de la seconde partie du livre, les besoins affectifs les réunissent. »


  • floyd floyd 20 octobre 2011 14:41

    ObjectifObjectif :

    Si il y a 26 nouvelles centrales à charbon qui sont construites et si plus de 30000 personnes ont été déplacées depuis 50 ans, ce n’est pas le fait de ’quelques industriels’ dans leur coins, mais du gouvernement Allemand. Si vous ne voulez pas reconnaître ce fait, vous êtes de mauvaise foi.


  • floyd floyd 20 octobre 2011 11:40

    Ca c’est la théorie, en pratique, les pays qui veulent quitter le nucléaire vont utiliser les énergies fossiles. Par exemple l’Allemagne va construire 26 nouvelles centrales à charbon. Voici un article paru dans le Temps du 9 octobre :


    « L’Allemagne cède à la tentation du lignite
     
    Ce charbon mouillé très polluant est la seule énergie fossile dont l’Allemagne dispose en quantité
     
    A perte de vue, le sable de la Lusace, clair sur le dessus, gris puis franchement noir à 100 mètres de profondeur, là où commence la veine de lignite… Située à quelque 150 km au sud-est de Berlin, la région n’est connue que pour ses asperges, le folklore de sa minorité sorabe, et pour son sous-sol riche en lignite.
    Ce charbon mouillé de piètre qualité, à la combustion hautement polluante (la combustion d’une tonne de lignite produit 1,2 à 1,3 tonne de CO2) et exploité dans de gigantesques mines à ciel ouvert, est la seule source d’énergie fossile dont l’Allemagne dispose à profusion. Selon les estimations de l’office fédéral BGR, 14,4% des réserves mondiales de lignite (77 milliards de tonnes dont 40,8 milliards sont exploitables) gisent en Allemagne, pour l’essentiel dans l’est du pays. L’exploitation des gisements de charbon de l’ouest du pays, non rentable, cessera d’ici à 2018.
    A l’heure où le pays a décidé de sortir du nucléaire, l’intérêt pour le lignite prend un tour bien différent. L’Allemagne s’apprête-t-elle à sacrifier la lutte contre les émissions de CO2 au nom de l’abandon de l’atome ? « 10 des 30 usines thermiques les plus polluantes d’Europe se trouvent en Allemagne », rappelle l’association WWF. Toutes fonctionnent au lignite.
    Le lignite fournit à l’heure actuelle 24% de la production totale d’électricité du pays (19% pour le charbon). C’est plus que le nucléaire (23%). « Il est clair que, dans le cadre de la nouvelle stratégie énergétique du pays (abandon du nucléaire et développement des énergies renouvelables, ndlr), la construction de nouvelles centrales à charbon et à gaz sera nécessaire », insiste Christiane Schwarte, la porte-parole du Ministère de l’environnement. L’Allemagne ne pourra supprimer en parallèle ses centrales nucléaires et ses centrales au lignite. Les centrales à gaz, moins polluantes, sont privilégiées par les experts. Mais, jugées non rentables, elles sont boudées par les producteurs d’électricité, qui leur préfèrent le charbon d’importation et surtout le lignite est-allemand.
    « 26 centrales au lignite ou au charbon d’une capacité totale de 10 000 mégawatts sont en cours de construction ou en projet », rappelle Claudia Kempfert, spécialiste énergie de l’institut DIW. Les centrales au lignite sont pour la plupart installées à proximité directe de la mine. Au sud de Leipzig et au sud de Berlin, plusieurs projets d’exploitation de nouveaux gisements, voire de réouverture de gisements déjà fermés car jugés non rentables par le passé, sont à l’étude. Un milliard d’euros (1,24 milliard de francs) d’investissement sont prévus en Saxe, tandis que le suédois Vattenfall entend investir 1,5 milliard d’euros (1,86 milliard de francs) dans le sud du Land de Brandebourg.
    « Les producteurs d’électricité prétendent que la construction de nouvelles centrales profite à tous, s’insurge Kevin Hausmann, spécialiste énergie de Greenpeace à Leipzig. Ils disent remplacer des capacités de production particulièrement polluantes – la centrale la plus ancienne date de 1938 ! – par des centrales de nouvelle génération, plus propres. Mais ce qu’ils oublient de dire, c’est que les capacités nouvellement créées dépassent largement en volume les capacités remplacées. Au final, on augmente donc le volume des émissions de CO2 ! Mon seul espoir est que tout cela ne sera pas rentable. Une fois que les producteurs devront payer à taux plein les certificats d’émission, en 2013, polluer coûtera trop cher ! »
    Au niveau local, le lignite est de plus en plus impopulaire. Et pas seulement à cause des émissions de gaz à effet de serre. Pour bien des villages est-allemands, l’ouverture de nouveaux gisements est une menace réelle. Il suffit de se rendre sur place pour mesurer l’étendue du désastre écologique : suivant la veine de lignite, la mine progresse, supprimant sur son passage forêts, cultures et villages. Quelque 80 villages ont été rayés de la carte du temps de la République démocratique allemande (RDA). 30000 personnes ont été déplacées, au nom du lignite, au cours des 50 dernières années. Comme à Horno. En 2001, les habitants de ce village de la Lusace ont perdu leur ultime procès face au géant Vattenfall et au Land de Brandebourg. Copieusement indemnisés, ils ont les uns après les autres cessé le combat pour finalement déménager à Neu-Horno, le village construit de toutes pièces pour eux par le groupe suédois, 12 km plus au sud. Avec eux, les habitants de Horno ont emmené leurs morts couchés dans le nouveau cimetière, la pointe du clocher de leur église, leurs cloches et le vieux colombier en bois. « Mais tout cela ne donne pas une âme au village », soupire une habitante. « Le droit minier allemand est très défavorable aux riverains des mines », déplore Kevin Hausmann.
    Pourtant, mis à part les Verts, personne au niveau politique en Allemagne ne conçoit véritablement d’avenir énergétique sans lignite. »


  • floyd floyd 19 août 2011 12:29

    Pour ceux qui seraient intéressés de lire ’The Chilling Stars : A Cosmic View of Climate Change’, une version électronique est disponible ici :


    Le livre est au format djvu. Pour lire un document djvu, je vous conseille d’utiliser windjview :
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