• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Profil supprimé

Profil supprimé

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

  • Premier article le 01/09/2012
  • Modérateur depuis le 15/11/2012
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 12 481 526
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 130 77 53
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Profil supprimé Jean-Michel Lemonnier 10 mars 2013 19:38

    @Rosemar :
    Personne ne conteste ces réalités à part une poignée de crétins.
    En outre, critiquer le féminisme n’est pas critiquer les femmes, a-t-on besoin de le rappeler... La plupart des féministes ne représentant qu’elles-mêmes pour faire court.

    Nous disons simplement que la lutte des classes a été remplacée par une lutte des sexes qui tourne à la stupidité, la bêtise la plus crasse (voir les « Femen » et certains féministes hommes et femmes motivé(e)s par leur seule haine du mâle -> « l’homme forcément prédateur »).

    Comme si nous étions tous appelés à nous fondre dans cette immense société sans classes (je le redis au passage, la ’grande’ bourgeoisie est la seule classe solidaire de nos jours) et à communier dans dans une espèce d’orgie consommatrice abrutissante... Ce néo-féminisme n’est là que pour faire oublier la violence inouïe des rapports de classes.

    Vous, même, vous vous dites « de gauche » mais relisez-vous. Je résume « des patrons il y en a des biens ». Il est évidemment qu’humainement, on peut trouver des patrons plus sympathiques et altruistes que certains salariés et que la richesse matérielle n’intervient pas dans la sympathie que peut vous inspirer une personne (encore que...)... Mais il ne s’agit pas de cela... pas de psychologie mais de politique.
    Vous adhérez à cette « gauche normale » (extrême-gauche incluse) qui a renoncé à cette lutte des classes.
    L’ennemi n’est plus le patron exploiteur (surtout si c’est une femme), c’est l’homme !
    L’esclavage moderne a encore de beaux jours devant lui.

    Bonne soirée Rosemar.



  • Profil supprimé Jean-Michel Lemonnier 9 mars 2013 12:20
    Vous écrivez :
    "Vous parlez de femmes qui s’épanouissent dans leur travail : médecin, professeur, magistrate mais enfin ! elles aussi ont souvent droit à une double journée de travail...« 

    Encore une fois, pour certaines d’entre elles...

    On imagine mal la très médiatique »chercheuse« Mme Marcela Iacub faire ses courses chez Lidl le samedi après-midi...
    Une dame, par ailleurs, auteur de ces mémorables sorties : »le pire ennemi de la femme c’est l’enfant« ou »vous avez un enfant ? J’ai un chien« , ou encore »Hitler et Mussolini sont tous issus de coupes hétérosexuels« 
    Dans le même genre Joy Sorman, »écrivain« , et ses »utérus artificiels« ...
    .
    Cela prouve en tout cas une chose : on peut être chercheur CNRS ou écrivain à la mode et penser comme un »beauf« ...

    Bref, n’en doutez pas, ces femmes (issues de ces milieux très privilégiés) font faire leur ménage chez elle par la femme de ménage issue des classes populaires...

    L’exploitation de la femme par la femme, ou l’émancipation de la bourgeoise sur le dos de la femme issue du petit peuple...

    On reste bien dans des rapports de dominations/soumissions liés à l’appartenance à telle ou telle classe sociale... au-delà du »genre"...



  • Profil supprimé Jean-Michel Lemonnier 9 mars 2013 11:08

    Rosemar :
    Pourquoi vouloir entretenir cette confusion : la « condition de la femme » (je ne sais pas ce que cela veut dire, car elle n’est pas unique) de la France à l’Afghanistan ?

    Viols, tâches ménagères, inégalité salariales... Vous mélangez tout, ça en est presque écœurant...

    Vous écrivez :
    "La femme considérée depuis la nuit des temps comme un être inférieur et soumis, a bien des luttes encore à mener pour se retrouver à égalité avec les hommes…« 

    Vous ignorez, de fait, toutes les femmes de pouvoir qui ont tenu un rôle fondamental dans la grande histoire mondiale... Cherchez vous trouverez...

     »La femme« ça ne veut rien dire. Il faut s’attarder sur l’appartenance de classe. Il n’y a AUCUNE solidarité, ni points communs (en dehors du sexe) entre la patronne du MEDEF, la puissante femme d’État Hillary Clinton et l’ouvrière ou la femme de ménage qui travaillent à mi-temps pour 3 sous par exemple...

    Elles ne partagent absolument pas les mêmes conditions de vie...

    On comprend aisément la femme qui s’épanouit et trouve grande satisfaction dans son métier quand elle est médecin, chercheur, enseignante, magistrate... moins quand elle est dans l’obligation d’accepter des »jobs alimentaires« pour pouvoir simplement survivre... C’est la même chose pour les hommes...
    Le travail émancipateur, épanouissant ? Bien sûr, mais pour certaines catégories de femmes...et d’hommes...

    Et puis ces photographies de Mme la ministre Najat Vallaud-Belkacem qui illustrent votre article... Que/Qui représente cette dame ? Expliquez-nous, s’il vous plaît...

    Bref, tous ces discours sur »LA femme" (le genre comme catégorie d’analyse sociologique est nulle et non avenue) sont là pour nous faire oublier l’incroyable violence des rapports de classes et le mépris de la classe dominante (composée d’hommes et de femmes), qui détient le pouvoir politique/culturel et méprise, de fait, les plus faibles (hommes et femmes)...

    « La condition de l’homme »...Idem... Quel rapport entre le grand (voire moyen et petit) patron et l’ouvrier, l’employé, le chômeur longue durée ?

    J’ajoute que la mise au travail massive des femmes est une idée des capitalistes intégrée par les gauchistes 68ards. Une idée considérée par des femmes comme un moyen d’échapper à la « tutelle » du mari de s« émanciper, de »libérer" ... mais pour mieux se soumettre à un patron (homme ou femme d’ailleurs)...à la raison marchande par incidence...

     Il y avait là un marché : mettre toutes (ou presque) les femmes au travail (même si un bon nombre travaillait déjà depuis des siècles : cultivatrice, commerçante, etc.) pour faire consommer les femmes avec l’argent gagné à l’usine...

    Là encore, on peut faire le lien entre aspirations libertaires, en réalité l’image d’une liberté non accessible à nombre de femmes et une libéralisation, soumission au capitalisme...




  • Profil supprimé Jean-Michel Lemonnier 7 mars 2013 17:51

    @ L’auteur (qui ne répond que très peu aux commentaires mais bon, ça fera de la lecture pour les autres)

    Or donc, le personnage est visiblement un américanolâtre, groupie des bourreaux de Washington aux mains pleines de sang encore frais et chaud qui nous fait la leçon sur la terrible dictature crypto-bolchévique-alter-inter-nationaliste et messianique Chavezo-poutinienne et qui fait le parallèle entre Mélenchon et... Georges Marchais (on ne rit pas)...

    L’auteur ne semble pas bien saisir, comme d’autres ici qu’un Mélenchon qui s’attribue une filiation avec le chavisme c’est de la belle foutaise.
    Voilà bien le problème dans cette classe politique française... Un « non-légitime » qui s’arroge un tel droit...
    Le chavisme est une synthèse entre socialisme, christianisme populaire-théologie de la libération et alter-nationalisme (l’internationalisme comme soutien aux mouvements et gouvernements anti-impérialistes, pas autre chose)...

    ...quand le « mélenchonisme », qui trouvera bien vite une place dans les poubelles de l’histoire des idées politiques, n’est qu’un reliquat trotsko-laïcard de l’idéologie libérale libertaire 68arde avec, en prime, la détestation d’une histoire nationale ante-1789. Mélenchon, gardien du bac à sable du grand parti unique social-libéral français...

    Que de points communs partagés entre l’auteur et ce Mélenchon tant détesté pourtant : les minorités ethniques comme sujet de l’’histoire, mondialisme Benetton pour ados impolitiques, critique du stalinisme qui n’est là que pour justifier une haine envers le prolétariat, etc.

    Bref, encore une fois le gauchiste et le libéral atlantiste se serrent la main...



  • Profil supprimé Jean-Michel Lemonnier 27 février 2013 21:11

    Étrange, vous n’évoquez pas (comme vos copains journaleux), le fait que l’Iran est/était le deuxième acheteur d’automobiles (ou de kits complets) Peugeot, que General Mortors associé de PSA et qu’un lobby étasunien anti-nucléaire iranien ont fait pression sur les gouvernements précédents pour que la France abandonne ce marché là... Par incidence, vous ne donnez pas les causes profondes de la catastrophe d’Aulnay-sous-bois...

    Vous me donnez deux liens :
    http://www.pcf-pg-paris.org/

    http://gauche.blog.lemonde.fr/2012/09/16/a-la-fete-de-lhuma-des-militants-communistes-remontes/

    Stupide. Ce n’est pas parce qu’ils se disent « communistes » qu’ils le sont. C’est comme les raviolis en boîte et le rap, ce n’est pas parce que ça se vend que ça se bouffe ou que ça s’écoute... Ne vous fiez pas aux étiquettes...A bien gratter, vous risqueriez d’être surpris...

    Vous écrivez :

    "==> les libéraux ne défendent pas, contrairement à ce que vous croyez, la facon dont l’économie est enseignée en France. Ils ne se reconnaissent que dans les principes de l’Ecole Autrichienne« 


    Et alors ? Cette école reconnaît, de même, "les effets destructeurs de l’intervention de l’État". Vos querelles d’écoles, encore une fois, la belle affaire...

    Puis vous continuez avec :

     »==> de qualité ?? parlez en aux 15% de français qui ne peuvent pas se soigner. Et quid du fait que nous soyons le 1er consommateur de psychotropes au monde ? Signe de bonne santé ?« 

    C’est bien justement à cause de ces mesures libérales anti-sociales que ces personnes ont de moins en moins accès à ces soins. Allez toutefois comparer le système français avec celui de »l’anglosphere« et revenez ensuite en discuter avec moi...
    En outre, être malade dans une société malade quoi de plus normal ? Sûrement la faute aux bolchéviques... et il est évident que dans une société telle que vous la rêvez, cette consommation disparaitrait...

    ... à vous lire, le libéralisme »absolu« (s’il existe car vous êtes dans la théorie) porterait en lui les germes du bonheur et soignerait dépression, névrose, anxiété... voire tous les cancers et que sais-je encore...

    Vous me sortirez que vous revendiquez une filiation avec le libéralisme philosophique, John Locke, les Lumières qui sont vos cautions morales...
    ... pour en arriver à Friedman et Hayek, Reagan et Thatcher en réalité...

    La liberté individuelle, les droits de l’homme comme alibi du marché, on connaît déjà bien... On a soupé...

    Bref, à vous lire, on se dit que votre »libéralisme« est un messianisme totalement délirant, un »néo-totalitarisme"...

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv