Pour celui qui veut faire des économies et avoir un budget en équilibre, il n’a pas besoin de se créer une règle, il n’a qu’à l’appliquer !
Quand à celui qui voudra vivre au dessus de ses moyens,..... ce n’est pas une règle qui l’en empêchera .
La seule méthode c’est l’exemplarité !!
Quand on a creusé un gouffre, il y a indécence à vouloir empêcher ses successeurs de continuer à creuser. !! Ce n’est qu’un aveu d’échec sur sa propre politique et une anticipation de sa non-réélection.
Le réduire le déficit, il y a aussi la méthode d’augmenter les impôts.
Après tout on compare toujours le pourcentage de la dépense publique entre pays, mais on n’éclaire jamais ces comparaisons avec les différences de service publics fournis : éducation, santé, retraite. Quand on prend en compte dans les autres pays, tout ce qui relève de la dépense privée chez eux et de la dépense publique chez nous, j’ai souvent l’impression que nous regorgeons de trésors d’efficacité.
Enfin quand à la dette, l’inflation est toujours un recours... évidement ça ne fait pas plaisir au banquier ni au rentier.
La seule raison c’est que la structure métallique, sous l’influence d’une combustion significative ( ce qui était le cas des tours jumelle) voit sa température monter. Au dela d’un seuil, le métal perd trop sa résistance et se met à « fluer » (pardon : plier) En France, une structure métallique doit être protégée par un revêtement anti-feu (platre ou béton) Au US les contraintes étaient beaucoup plu légères au moment de la construction des tours.
Il serait temps d’apprendre un peu la construction et de savoir qu’en France la construction d’immeubles sur armature métallique a été interdite depuis longtemps pour cause de mauvais comportement au feu.
N’oublions pas la rôle de base des banques (de dépôt et d’investissement). C’est de faciliter la mise à disposition des ressources financières entre ceux qui ont des fonds, et ceux qui ont des projets ou des entreprises à développer.
En apportant à ceux qui « prêtent » les fond, une certaines garantie liées à leur solidité et en s’assurant donc de ne pas dépasser certains niveaux de risques dans leurs emplois, afin de rester là aussi compatibles avec leur solidité financière.
En résumé, les banques sont des PARASITES UTILES et INDISPENSABLES à la société. C’est une sorte de symbiose (pour utiliser une analogie scientifique).
Quand la symbiose se déséquilibre, le corps humain a besoin d’être soigné ainsi que son parasite.
Pour continuer la comparaison, quand l’équilibre entre les banques et la société est rompu, il faut donc soigner la société et la banque pour rétablir l’équilibre.