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loco

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  • loco 18 février 2009 22:22

    Un fonctionnaire sur deux non remplacé.... question, est ce que cela vaut aussi pour les flics ? Ce serait ballot, car c’est en partie l’augmentation de leur présence qui a fait élire le père fouettard.
    A moins que oui, quand même, mais selon la méthode déja utilisée pour certains services associés, par exemple ceux qui, lorsque vous êtes piqués en excès de vitesse vous envoient la facture (et avec les limites à 30, nous y passerons tous tôt ou tard), ou les huissiers (ah, la noble profession, rien à voir avec celles des vils fonctionnaires qui soignent ou éduquent les enfants) qui recouvrent les contraventions laissées à la traîne. A moins qu’on ne songe à une privatisation comme pour les prisons, déja à l’oeuvre dans les centres de rétention qui,eux, ne sont pas épinglés par les observatoires internationaux vu qu’ils n’"existent " pas plus que la guerre d’Algérie en son temps. Alors à quand la police privée ? Maintenant que nous sommes habitués aux flics soumis à des objectifs de rendement et à leurs astuces de camouflage pour faire du chiffre, le medef sera ravi d’alléger ses charges en recyclant ainsi les nervis inutiles de ses usines vides.



  • loco 18 février 2009 21:57

    Demander au Président enfanté par la propagande de "faire plier le medef", c’est demander à l’employé de faire plier son patron. Le pauvre, il n’est même pas syndiqué ! Non, si il faut faire céder le medef, c’est l’affaire de tous les salariés qui le subissent.



  • loco 18 février 2009 21:27

     J’ajoute que le titre de votre article "peut-il aboutir" pose la question d’une façon inacceptable, puisqu’il DOIT aboutir (rien n’autorise personne à laisser perdurer ce drame) et est extrèmement méprisant vis à vis de notre Président pour lequel "vouloir c’est pouvoir" .



  • loco 18 février 2009 21:22

     Si le Président est libéral, la chose est simple :

    - le banquier a merdé, donc il est nul, donc il fait sa faillite normalement, et adieu. Mais, non, hop, un petit coup de pouce avec des sous virtuels, les notres, et la casse pour nous, demain. 

    - le constructeur auto ne peut pas vendre ses voitures, inadaptées au souhait réel du vrai client (pas celui qu’imaginent les pseudos sondages intox), ou honteusement trop chères (comparer l’augmentation des salaires des ouvriers-consommateurs avec celle du prix des véhicules), il a merdé, donc il est nul,........ et adieu. Mais, non, hip, un petit............. demain.
     C’est la LOI du Marché, appliquée tant que le medef dit oui, mais pas quand il dit non. Et on se cache pour la défendre, cette prétendue loi qui ne fonctionne pas, derrière des artifices du genre "oui, mais dans un marché vertueux"...... tour de passe-passe qui abrite le dogme si pratique pour cacher une politique de prévarication.
     Ce qui est dommage, c’est que ceux qui jouent ce jeu sont aussi ceux qui critiquent l’idéal communiste en s’appuyant sur le réel de l’URSS stalinienne, sans aucunement accepter l’idée d’un communisme vertueux...... C’est vrai que personne ne les paierait pour cela.



  • loco 18 février 2009 20:57

    "intérêts catégoriels, donc de classe".... Pas d’accord, c’est justement au niveau de cette différence entre "catégoriels" et "de classe" que les oppositions existent entre les différents syndicats

    -  est catégoriel ce qui touche à une catégorie particulière de travailleurs (entreprise, métier). Ainsi, par exemple, de la Fédération Autonome des Agents de Conduite à la SNCF.

    -  était de classe (car vous n’ignorez pas que plus personne ne se reconnait comme prolétaire) la syndicalisation qui ne se contentait de luttes partielles ou sectorielles que dans leur possible contagion (par la lutte, par l’exemple ou par l’attrait exercé par les entreprises plus sociales sur les travailleurs).

    Cette différence n’est pas sémantique. Elle résume le désarroi des salariés face au pouvoir grandissant du patronat, que leurs préoccupations catégorielles, voire personnelles , les amènent à affronter divisés et donc particulièrement vulnérables. Faiblesse accrue par l’absence de projet politique, l’abandon d’une volonté d’amélioration commune pour tous les salariés, l’acceptation de projets de vie purement individuels, le refus de voir la misère qui s’installe, et le choix d’en accuser les victimes elles-mêmes pour justifier la soumission aux puissants du moment.

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