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  • loco 18 février 2009 20:29

     Curieux, ça, comment les cadres qui ne sont pas soumis à un horaire de travail déterminé touchent-ils des heures supplémentaires ??? A moins de les exclure, supérieurs ou pas, de votre notion de "riches" ?



  • loco 18 février 2009 20:28

     Curieux, ça, comment les cadres qui ne sont pas soumis à un horaire de travail déterminé touchent-ils des heures supplémentaires ??? A moins de les exclure, supérieurs ou pas, de votre notion de "riches" ?



  • loco 17 février 2009 17:34

     Le conflit est exotique ; compliqué de soleil, de couleur, de passé "marron", mais il reste que la cohabitation bas salaires (comme ailleurs il est vrai), et palaces/clubs de vacances (argent étalé sans vergogne) a d’explosifs relents de dix neuvième siècle. 
     Cette difficile adaptation de l’idée même de la nation se pose aujourd’hui dans bien d’autres endroits qui ne permettent à personne d’utiliser un discours raciste (pro ou anti) pour éluder le débat. Ainsi en Belgique où les deux communautés ne veulent plus se "supporter", ou en Italie où le nord se verrait bien abandonner le sud à son retard. Lors, deux questions se posent :

    - Politique : liberté-égalité-fraternité, l’héritage semble soudain trop lourd et sous couvert de mondialisation et de prétendue identité européenne, la nation se restreint primitivement à la famille, mais moderne, bien sûr, je veux dire la famille choisie, présentable, efficace, facile.

    - Philosophique : quel but à mon passage sous le soleil, l’individualisme de l’enrichissement personnel ou l’amélioration de la vie de ma famille, ma tribu, ma nation, la terre (choisir selon son ambition) ? 
     On ne règlera cela ni avec des préjugés, ni sans écoute mutuelle, ni par les yaka focon du "café-du-commerce-le patron-s’appelle-nico". Intelligence, au secours, vite !!!!!



  • loco 17 février 2009 16:43

     Et comment articuler ce souci des "carrières" féminines ( caissière, carrière, c’est tout un, si, si) avec la disparition organisée de l’école maternelle (la gratuite et laique, bien sûr, l’autre se porte bien, merci, mais ne nous trompons pas de caste) ? 
     A moins que le choix soit de s’adapter (pauvre Darwin, détourné, trahi et mis à toutes les sauces) à la conjoncture. La "croissance négative", l’euphémisme ne suffit plus, on pratique l’oxymore, nécessitera peu de main d’oeuvre (pauvres devenus inutiles) sauf très qualifiée (gosses de riches ô combien recherchés), et une chute de la natalité habilement située dans les cates inférieures de notre société serait une assez bonne nouvelle. Une sorte d’eugénisme social, qui dans le mépris où le pouvoir en place tient ses électeurs (tout son respect s’épuise à remercier ses amis/sponsors) ne surprendrait aucunement.
     Un autre petit homme, porté au pouvoir par une propagande financée par les grands patrons, s’est dévoué pour abréger l’existence par trop misérable d’un certains nombre de disgraciés (communistes, homosexuels, aliénés, juifs...) ; Il est resté célèbre, est n’est ce pas là, de nos jours la seule ambition ?



  • loco 17 février 2009 16:29

     Les propos sur les "avantages" fameux des agents des services publics (qui en période de chômage modéré sont, curieusement, incapables de recruter...), sur l’impuissance du système scolaire (vous avez dit mammouth ?), sur la réussite sociale (uniquement mesurée en niveau de fortune/rémunération), sur les "profiteurs-assistés" de tout poils(vieux, retraités, jeunes, immigrés, érémistes, paysans subventionnés -petits seulement, le betteravier est d’une autre classe-), la confiance placée dans l’Entreprise (oui, désormais avec une majuscule comme on le doit pour Dieu), tout ce travail des médias, aveuglés certes, mais seulement par les grosses coupures nécessaires à l’avidité personnelle de la profession, ne date pas de l’élection de Mr Sarko. 
     Le détricotage patient du tissu social, pour faire moderne et aussi pour s’en filer plein les poches, toute la classe politique "lourde" s’y est adonné joyeusement, jouant avec les allumettes pour allumer en riant les cierges du fascisme que leur tendaient nos chers patrons. Dénigrer, faire peur pour diviser, diviser pour régner, l’oeuf du serpent a été bien couvé. L’élection du président actuel ne fut pas un point de départ de toutes ces horreurs, mais le résultat des années qui les ont rendues possibles. 
     Et si la colère nous rassemble, que ce soit pour nous réapprendre le mot "ensemble".

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