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Macaque

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  • Premier article le 06/06/2012
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Derniers commentaires



  • Macaque 27 novembre 2014 13:44

    Comment cacher les vrais question en les mélangeant derrière une théorie dont on définit soit même le sens afin qu’il soit facile à combattre...
    Qui veut contraindre l’esprit des jeunes à l’école ? Ceux qui veulent leur laisser le choix dans leurs jouets et leur activité ou ceux qui veulent contraindre les filles à jouer à la dînette et faire de la danse et les garçons à jouets au foot et avoir des pistolets en plastique ?

    A ma connaissance, personne ne veut pas forcer les garçons et les filles à faire les mêmes activités, on veut que si un garçon veut faire de la danse et une fille du foot il ne soit pas poussé par la société à ne pas sortir de leur rôle.

    Les garçons sont différents entre eux et les filles sont différentes entre elles, il n’y a pas juste d’un côté les garçons et de l’autre les filles, il y aussi d’un côté ceux qui aiment le sport, ceux qui aime la musique, ceux qui aime lire, ceux qui aiment fabriquer...

    Si vous considérez, que les garçons et les filles ont statistiquement des différences de caractères innées liées à leur sexe, en leur laissant le choix la majorité des filles fera des activités dites « de filles » et la majorité des garçons fera des activités dites « de garçon » (notons au passage que le foot par exemple est une activité considéré comme masculine en France alors qu’aux Etats-Unis le soccer est plutôt féminin).
    Et les quelques garçons ou quelques filles qui sont différents pourront eux faire l’activité qui leur plaît sans se sentir oppressés par la majorité et qu’on les oblige à être différent de ce qu’ils sont.

    Si vous considérez, que le comportement des garçons et des filles est dépendant (ou aussi dépendant , l’inné n’empêchant pas l’acquis) de la manière dont on les éduque, alors en défendant de les éduquer différemment au seul prétexte qu’il sont garçons ou filles (et non sur des caractères particuliers), vous défendez une société à la « Brave new world ».
    C’est à dire que vous défendez une société où l’on élève et formate les enfants non en fonction de ce qu’ils sont, mais en fonction de la place que l’on souhaite qu’ils occupent dans la société.
    Vous estimer alors que l’équité naturelle à la quelle deux être humains ont droits doit s’effacer devant l’intérêt la société à demeurer telle quel est.
    Vous faites donc passer votre vision de la société devant les droits de l’enfant.

    Pour ma part il me semble raisonnable de penser que les différences de comportement entre les filles et les garçons tient à la fois de l’inné et de l’acquis. Je suis certain que l’éducation joue un rôle.
    Je comprends que l’on puisse penser que la société repose sur la vision d’homme est de femme que l’on a, mais je suis contre le fait que l’on éduque volontairement les enfants de manière différente non à cause de leur caractère mais à cause de leur sexe. Il n’y a pas si longtemps on apprenait aux filles uniquement à être bonnes épouses.
    Le travail des femmes à considérablement remis en cause le fonctionnement de la société, mais qui oserait aujourd’hui en France interdire le travail aux femmes sous prétexte que ce n’est pas bon pour la société ?

    Je ne dis pas qu’il faut élever forcément tous les enfants de la même façon. Mais il faut que les différences soient justifier par quelque chose. Ne pas traiter un enfant hyperactif ou surdoué de la même façon qu’un autre me parait logique, on recherche bien alors le bien être de l’enfant.
    Forcer une fille à jouer à la poupée alors qu’elle veut jouer au policier ou à faire la guerre parce qu’elle est une fille et au nom de son bien être me paraît hypocrite.



  • Macaque 3 septembre 2014 13:10

    Je ne crois pas que l’on puisse dire il suffit de voir les prix en 2014 par rapport à ceux de 2000.
    D’abord parce que regarder le prix ne suffit pas à savoir pourquoi il a varié.
    Les prix augmentaient déjà avant l’euro, et sur certaines périodes bien plus qu’actuellement (src, par exemple : http://www.statistiques-mondiales.com/france_inflation.htm).
    Ensuite parce qu’une inflation, si elle était accompagnée de la hausse des salaires, n’auraient rien de gênant.
    Donc, à mon avis, si on a besoin d’étude de gens compétents pour traiter de la question, on tout cas moi je ne sais pas dire quel est la part de l’euro la dedans.



  • Macaque 30 août 2014 17:52

    Enfin, est-il possible que notre consommation d’énergie soit aussi privée que l’historique de notre navigateur internet ?
    Je narrive pas vraiment à savoir si cette question a été écrite sur un ton sarcastique ou non. Puisque notre historique de navigation, nos FAI ou des entreprises comme Google (avec AdSense) peuvent les avoir de manières pas mal détaillé déjà...



  • Macaque 24 août 2014 20:51

    Je reviens sur le passage :
    "Pour moi dans ce deuxième cas à moins d’introduire d’autres mécanismes dont je n’ai pas entendu parler, si on limite bien la création monétaire en dehors du contrôle de l’état, on ne l’interdit pas totalement."
    J’ai bien sûr écrit trop vite. Le mécanisme qui empêche la création de monnaie quand les épargnants acceptent de prêter leur argent avec intérêt, c’est que leur argent soit immobilisé totalement pendant le prêt, qu’ils ne puissent pas l’utiliser.
    Quand les épargnants choisiront un compte d’épargne avec intérêt, en plus du risque de perdre leur argent ils devront donc en plus accepter que cet argent soit bloqué.



  • Macaque 24 août 2014 20:25

    Bonjour, me revoilà.

    Je pense que la vision théorique que vous avez du rôle du banque fausse la vision pratique réelle que joue une banque, et vous empêche du même coup de voir qu’avec des bitcoins, pourtant en numérotés et en nombre limité, la même chose est tout à fait possible.

    Quand une banque augmente son bilan en accordant un prêt, elle doit provisionner les fonds nécessaires pour être en mesure d’assurer la sortie de l’argent qu’elle prête. Car quand on fait un prêt, c’est bien pour utiliser l’argent et donc le retirer de son compte de dépôt.
    Donc quand un client fait un prêt, l’argent « créé » est « déposé » sur son compte.
    Ensuite, si le client transfert cet argent emprunté à un autre client de la même banque, il y a bien redépôt immédiat de cette argent (l’argent sort d’un compte de dépôt pour être déposer dans un autre).
    C’est cet argent emprunté puis redéposé qui permet que la colonne dépôt du bilan de la banque ne diminue pas et ainsi que la banque puisse prêté à nouveau de l’argent à d’autres clients.

    Quand on dit que l’argent des dépôts est prêté aux autres clients, c’est certes un abus de langage techniquement mais c’est équivalent à ce qu’il se passe en pratique.
    Car si dans une banque actuelle, tout est mélangé dans son bilan, les dépôts des clients avec les fond propres, les crédits clientèles avec les immobilisations de la banque, il n’empêche que c’est bien en majorité les dépôts qui permettent de financer les prêts.

    Il y a plusieurs façon de décrire la manière dont le système fonctionne mais il me semble beaucoup moins trompeur de le faire ainsi que laisser croire que la phase de prêt n’est en rien lié à la phase de financement de ceux-ci, comme si les banques pouvaient créer de manière illimité tout l’argent qu’elles souhaitent et que les banques n’ont pas besoin des dépôts des clients pour accorder des prêts.
     
    Sur quoi d’ailleurs repose l’initiative Suisse pour limiter la création de monnaie par les banques ?
    Je suppose que le projet n’étant pas encore un texte concret, tout le monde n’y voit pas exactement la même chose.

    Pour moi l’initiative repose justement sur le fait d’interdire aux banques d’utiliser directement les dépôts des clients pour financer les prêts.
    L’argent des clients est séparé des comptes de la banque, ainsi si la banque coule les clients reste propriétaire de leur argent ou des placements qui ont été fait avec.

    Il me semble que l’on peut distinguer au moins deux visions différentes de ce projet :

    - Dans l’un où l’on peut parler de monnaie pleine, les banques ne peuvent financer les prêts qu’en empruntant exclusivement elles-mêmes auprès d’un organisme d’état.

    - Dans l’autre les banques auront deux moyens de financer les prêt qu’elles accordent :
     - Soit emprunter elle même auprès d’un organisme d’état dédié à cela.
     - Soit utiliser l’argent des épargnants à condition que cet argent soit explicitement confié à cette fin par les clients.

    Dans ce deuxième cas, les épargnants auront en effet le choix entre plusieurs solutions :
    - confier leur argent sans intérêt à la banque. C’est argent sera stocké en dehors du bilan de la banque et restera donc propriété du client en cas de faillite de la banque.
    - confier leur argent en autorisant la banque à le prêter à leur nom, et ainsi avoir des intérêts mais assumer le risque qui va avec (Sachant que l’état ne se portera plus garant en cas de faillite de la banque).

    Pour moi dans ce deuxième cas à moins d’introduire d’autres mécanismes dont je n’ai pas entendu parler, si on limite bien la création monétaire en dehors du contrôle de l’état, on ne l’interdit pas totalement. Ce qui risque d’arriver (et qu’on voit d’ailleurs déjà dans le système actuel), c’est que les gens (ou des entreprises) auront à la fois de l’épargne et des prêts. Ce qui crée des réserves de monnaies.
    Mais ça sera certes beaucoup moins courant qu’avec le système actuelle où c’est les banques qui font cela.

    Mais cessons d’ergoter (vous êtes habile pour détourner la conversation il me semble). Vous ne répondez pas à l’argumentation de fond si bien que je ne sais pas où vous en êtes dans votre réflexion.

    Si je reprend notre conversation, votre premier point était de dire qu’on ne peut pas retirer ou déposer des bitcoins, qu’on ne pouvait pas faire de « faux bitcoins ».

    Etes vous maintenant d’accord pour dire que le fonctionnement du bitcoin, n’empêche pas la création de banque à qui l’on confierait des bitcoins et grâces aux quelles on pourrait obtenir des prêts de bitcoins ?

    Etes vous d’accord pour dire que l’existence de banques prêtant des bitcoins sans loi spécifique peuvent créer de la monnaie scripturale, c’est à dire que l’ensemble des dépôts des personnes dans ces banques peut représenter plus qu’il n’y a de bitcoins rééls (c’est à dire mon argument 1) ?

    Etes-vous d’accord avec les arguments 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8 et 9 ?

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