Un bon résumé de la situation actuelle...10 millions X 120 c’est beaucoup (en « gros »...Pour certains c’est moins - tous n’ont pas atteint leur maximum légal - pour d’autres c’est plus - certains accords de branche permettent d’obtenir plus de 20 heures par an et ceux-la peuvent cumuler davantage le tout étant de ne pas dépasser 6 ans) ?
Quant à la fameuse « portabilité », il faut savoir qu’elle correspond presque à une « escroquerie intellectuelle » . Le problème est que peu de commentateurs insistent sur cet aspect et la quasi totalité des salariés l’ignore (comme ils ignorent la règle des « six ans de cumul » contenue dans le code du travail évoqué dans l’article).
J’ai donné l’explication sur le site miroir social en commentaire : http://bit.ly/9POvIm
C’est pendant l’exécution du contrat de travail qu’il faut se préoccuper du DIF et non à l’occasion d’un licenciement ou une démission. L’expérience montre que ce sont à ces occasions que l’on se préoccupe du DIF et il est alors trop tard...Avec pour beaucoup le sentiment d’avoir été « floué », « trompé ».
En complément de l’article, un lien qui mène à des indications concernant la demande : http://bit.ly/cSnq0v
En principe, légalement, s’agissant du DIF, ce sont les employeurs qui financent le DIF et non les OPCA qui n’interviennent à titre subsidiaire (et selon des critères qui leur sont propres).
Et j’ai dans l’idée qu’ils le feront de moins en moins...
Il peut y avoir, pour le moment, un taux de refus important par rapport au nombre de demandes déposées. Mais je ne sais pas s’il y a des statistiques sur ce point.
Par contre, ce qui doit expliquer le fait qu’il y a moins de 5% des salariés qui ont jusqu’à présent bénéficié du DIF, c’est surtout le faible taux de demande (inappétence, manque d’informations... ?) alors que bon nombre de salariés ont atteint leur maximum légal.