Nous avons tous 2 parents, 4 grands-parents, ..., environ 1 million (2 puissance 20) d’ascendants à la 20ème génération : nous sommes tous frères mais nous avons aussi, inévitablement, quelques criminels parmi nos ancêtres.
Au départ, la nature donne à chaque animal (homme inclus) le droit de disputer un espace pour y vivre et s’y reproduire. Dans cette nature, les besoin vital est justement cet espace (habitat) qui doit être suffisant pour s’y nourrir, s’y désaltérer. Un espace trop petit et c’est la mort. C’est pour toutes les espèces pareil.
Maintenant, quand on arrive sur Terre, il y a une organisation qui nous enseigne la propriété privée avec des polices dans chaque pays pour faire respecter cette propriété. Cette propriété privée est immense pour certains. Pour d’autres, la police est là pour les laisser mourrir (chez nous, survivre, mais seulement à partir de 25 ans) à côté de richesses qui ne leur appartiennent pas.
En fait, il n’y a pas du tout besoin d’administration mondiale pour résoudre tous les problèmes, il suffit que chacun aie le même revenu (égalité). Mais je sais que beaucoup de personnes ne pourraient pas être motivées sur Terre si elles ne voyaient pas d’autres humains dans des conditions abominables.
Oui, si la motivation des uns nécessite le sacrifice des autres, alors continuons ainsi. Notre organisation ne fait pas mieux que la nature et l’humanité n’a aucun sens. Si, pardon, elle a un sens : le pognon. Et chacun se voit riche, au sommet d’une pyramide avec des tas de gens sous ses ordres. L’organisation humaine est faite pour des malades mentaux.
Le problème ne vient pas tellement de l’eau mais de la surpopulation.
Avant, pour se nourrir, on pouvait chasser et cueillir gratuitement dans les forêts. Depuis, il faut travailler pour produire de la nourriture et personne ne conteste ce travail.
Maintenant que nous sommes bien trop nombreux sur Terre, il faut effectivement faire payer l’eau, au moins à partir d’une certaine quantité, pour éviter tout gaspillage.
Mais nous devrions nous assurer, dans tous les pays, que chacun a un revenu minimum pour acheter son eau, sa nourriture et son logement. Sinon, c’est de l’extermination sociale.
Effectivement, la sécurité devrait être exclusivement publique.
Mais la faillite organisée des états va à l’opposé de ce bon sens : bientôt, seules les fortunes privées, futurs grands seigneurs, auront les moyens d’avoir une armée.
Les milliardaires auront alors droit de vie et de mort sur nous tous.
J’ai une démonstration beaucoup plus simple que celle, très laborieuse et aussi courageuse, de l’article.
La FED n’est pas dirigée par le peuple américain (millions de personnes) mais par une poignée de personnes (citées dans l’article). Une seule question : est-ce que ces dirigeants s’intéressent à l’argent ? Dans le milieu des banques, on ne peut pas répondre autre chose que oui. La raison d’être des banques, c’est l’argent.
Donc cette poignée de personnes peut être achetée très facilement et la faiblesse de leur nombre facilite leur corruption. Et s’il y en a des honnêtes, parmi, qui ne veulent pas être achetés ? On évite de faire monter dans la hiérarchie ceux que l’on ne peut pas corrompre. Ainsi, les personnes élues le sont pami un ensemble de personnes corruptibles. C’est, en somme, la seule chose à laquelle doivent faire attention ceux qui ont l’argent et qui dirigent vraiment le monde : ne pas autoriser les honnêtes hommes à gravir une quelconque hiérarchie et le plus simple, pour cela, est encore d’essayer de rendre tous les hommes coupables, égoïstes, c’est-à-dire, malhonnêtes. Généralisation des passe-droit
- dans toutes les structures hiérarchiques
- pour trouver un emploi, même de femme de ménage
En somme, généralisation de la mahonnêteté.
A titre personnel, j’ai pu constater, dans tous mes emplois et missions, que les responsables étaient souvent très infantiles. En tous cas, connaissaient du monde en haut de la pyramide (avant de la gravir) ou avaient fait des choses pas très catholiques.
Bien dit JL. Je vois ça comme ça (c’est peut-être pas tout à fait exact) :
L’état (sans argent) s’enfette vis-à-vis des banques privées à 3 ou 4 % (et se coule encore plus par la même occasion) pour sauver les banques privées qui peuvent emprunter à 0,5 % à la BCE.
En somme, les banques ont reçu une enveloppe gigantesque de l’état sur laquelle elles perçoivent des intérêts de 2,5 ou 3,5 %. Le beurre et l’argent du beurre. A la place des banquiers, je continuerai à faire pareil qu’avant.