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wieeinstlilimarleen

Qui suis-je ? Pour faire simple et court, je suis qu’un Français parmi tant d’autres qui aime sa Nation en tant que poursuite de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen. Liberté, Égalité, Fraternité, voici une devise qui me sied. Gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple, voilà un principe qui me plaît. Je suis par conséquent hostile à tout ce qui ôte le cratos des mains du demos, à tout ce qui déconstitue le demos.

Tableau de bord

  • Premier article le 22/05/2006
  • Modérateur depuis le 26/06/2006
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Derniers commentaires



  • wieeinstlilimarleen 7 novembre 2006 13:44

    Qu’il n’y ait pas de malentendu, quand j’écrivais « je veux bien par exemple, pourquoi pas, que l’on suggère que si les mis en cause sont souvent étrangers, c’est peut-être parce qu’un certain nombre de policiers et de gendarmes regardent facilement dans leur direction. », je disais bien que je veux bien entendre cet argument. Il n’est pas fondamentalement insensé, c’est une piste. Mais je doute très fort que cette explication là explique les proportions actuelles.



  • wieeinstlilimarleen 21 octobre 2006 12:43

    « vous vous focalisez sur une seule et semblez être plus intolérant envers celle de l’article qu’envers les autres. »

    Une fois encore, je vous demande de ne pas faire de procès d’intentions.

    Contentez-vous de critiquer l’article pour son contenu, si cela vous chaut, mais ayez la délicatesse de vous abstenir de faire des suppositions quant à mes intentions et mon avis sur d’autres formes de délinquances non-abordées ici.

    Depuis quand faut-il parler de toutes les formes de délinquances à la fois pour avoir le droit d’en évoquer une ?

    « Une rage que l’on essaye de faire taire par la force, elle finit toujours par ressortir, par la force aussi. »

    Par analogie, et pour parler d’autres formes d’infractions, diriez-vous qu’il ne faut pas réprimer le viol, par la force si nécessaire, sous prétexte que cette « rage » pourrait finir par « ressortir » ?

    En quoi le fait qu’une « rage » est persistante permet de supposer qu’il est inefficace de la réprimer ?

    « je n’ai pas un seul instant dit que “tous les adolescents” commettent des délits, mais de Désir de dépasser une limite imposée. Si vous ne voyez pas la nuance, ce n’est pas grave. »

    C’est sur le fondement de cette nuance que je vous demande de ne pas nous faire croire que se joue en banlieue actuellement un remake du Cercle des poètes disparus.

    « Renseignez-vous peut-être quelque peu sur les peurs globales et les diverses façons dont elles sont mises en place. »

    Vous pensez qu’un « renseignement » me permettra de penser que la peur de la délinquance ne vient pas directement des faits de délinquances dont les proportions ont été chiffrées dans l’article ?

    C’est un art de chercher très loin des explications pour ce qui saute au nez.

    « Bien sûr que les citoyens méritent la sécurité, mais il serait bien d’éviter ces discours paranoïaque, un peu. On dirait vraiment que le danger est à chaque coin de rue, alors que ce n’est pas vraiment le cas. »

    Je crois que pour les automobiles des habitants des zones de non-droit, le danger est là, à chaque coin de rue. Suivez un équipage de pompiers dans ces mêmes zones, vous verrez qu’un pavé sur une vitre de leur véhicule d’intervention est à chaque coin de rue.

    Bien sur, on ne parle pas là de la France dans l’ensemble, on parle de zones précises.

    Je crois, moi, que les citoyens de ces zones aussi méritent la sécurité. Et si on ne la leur donne toujours pas, je crois qu’on aura guère besoin d’instituts de sondage pour connaître les résultats électoraux dans ces circonscriptions pour les prochaines élections.

    « La principale chose qui nuit à l’image de “ces zones” (on a particulièrement l’impression que vous n’y vivez pas, sur ce coup, mais on peut se tromper), c’est le regard et l’à-priori négatif au possible de la part de ceux qui n’y vivent pas. »

    Et pour vous, la proportions d’infractions commises en ces lieux n’expliquent en rien un a priori négatif ?

    « Il y a toujours un message, et quand on refuse de tenter de le décoder, on s’éloigne de plus en plus d’une résolution du problème. Je ne dis pas que chaque pyromane en herbe a un message à faire entendre, souvent c’est pour épater la galerie de copains et ces sortes de considérations stériles. Mais il y a tout de même un message en sous-jacence. »

    Le message en l’occurence, c’est que pour « épater la galerie », certains détruisent le bien d’autrui. Je pense le message très clair, le décodage évident, et je ne pense qu’il n’y a pas de réponse à la toute-puissance destructrice d’une poignée d’individus autre que la mise à bas de leur tout-puissance.

    « Si l’article s’était focalisé sur les victimes, au vu de la façon dont vous analysez les choses, je n’aurais peut-être rien dit. Simplement parce que l’on serait peut-être d’accord sur le fait qu’il vaut mieux une bonne prévention plutôt qu’une inondation de sanction. »

    Il s’agit de raisonner dans le présent, pas dans le passé. Au présent, de multiples infractions sont commises : dans ces cas là, il est trop tard pour prévenir. Quand à la prévention, c’est le maître mot depuis 20 ans. Manifestement, ce n’est pas la prévention qui a fait défaut mais la répression. L’un ne va pas sans l’autre, c’est vrai dans les deux sens.

    « C’est assez stupéfiant de lire qu’une bavure policière sur un être humain est quantifiable en regard d’un objet matériel ! Est-ce parce que ce n’est pas aussi fréquent que ça ne peut pas être à considérer dans l’étendue de la hargne que certains peuvent avoir dans cités méconnues de vous autres ? »

    Dans votre propos, « l’intolérance policière » devient « bavure » ? Il faudrait préciser le sens des mots. Si par « bavure » vous désignez des faits qui n’ont aucune qualification pénale ou disciplinaire qui ont le tort de déplaire à des journalistes, autant dire que je n’en ai cure. Si vous parlez d’infractions pénales commises par des policiers, il va sans dire qu’elles sont intolérable.

    Maintenant, il est évident que si on croit pouvoir expliquer la situation des banlieues par les infractions pénales commises par certains policiers, on devra évidemment faire une comparaison chiffrée, matérielle et humaine.

    « Croyez-vous qu’il est agréable, ou tout simplement supportable, de voir son identité être régulièrement contrôlée, simplement parce que l’on est originaire d’Afrique du Nord ? Ne pensez-vous pas que rien que ce fait porte déjà atteinte à une forme de respect mutuel nécessaire ? »

    Je crois qu’il est en effet tout à fait supportable de présenter une pièce d’identité à un fonctionnaire de police, quand il le demande. Je ne vois pas en quoi cela est insupportable. On montre aussi une pièce d’identité quand on fait un achat par chèque dans un commerce. L’acte me semble tout à fait trivial.

    Je ne pense pas que ça ait un sens de demander aux fonctionnaires de police de contrôler des grabataires lorsqu’ils recherchent des auteurs d’infraction de moins de 16 ans.

    « ces suspicions, on peut devenir plus arrogant, et peut-être finir par être agressif envers ladite police. Ne dites pas non si vous n’avez jamais été confronté à la situation... »

    Quand j’étais jeune, j’ai plusieurs fois présenté mes pièces d’identités à des policiers qui en faisaient la demande. Je n’ai jamais pensé qu’ils faisaient là autre chose que leur boulot, je n’ai pas ressenti d’agressivité à leur endroit, pas plus qu’à l’endroit de la caissière demandant la même pièce d’identité pour valider un chèque.

    « n’a pas laissé le temps de voir si ça fonctionnait ou pas : un avide a voulu faire du chiffre, et on a effectivement du chiffre. Si ce n’est qu’il semble que les plaintes sont moins enregistrées qu’avant... »

    Que penseriez-vous de pompiers de proximité (http://riesling.free.fr/20061020.html) :

    Ces temps-ci, je vois qu’on évoque régulièrement la « police de proximité », mise entre parenthèse par la Droite à son arrivée en fonction. Sa disparition expliquerait, pour certains, les agressions commises à l’encontre de fonctionnaires de police. Ainsi, certains semblent penser que de telles agressions constituent un phénomène nouveau que la police proximité aurait pu enrayer.

    Constatant que des Sapeurs-Pompiers sont régulièrement pris à partie, que leurs véhicules subissent des lapidations (les Ovnis, objets volants non-identifiés, en France ressemblent parfois à des réfrigérateurs), je propose donc que l’on crée des pompiers de proximité.

    Ces derniers organiseraient des matchs de football et ouvriraient des petits bureaux dans certains quartiers. Certes, pendant ce temps-ci, ils ne feraient plus de secours aux personnes, n’éteindraient plus d’incendies. Mais on peut avoir bon espoir que par leur action ils arriveraient à prouver que certains pompiers ne sont pas des sales types. Assurément, une telle démonstration permettrait de faire stopper les agressions à l’encontre des Sapeurs-Pompiers, cela paraît évident, puisqu’il nous faut supposer, comme à propos de la Police, que c’est un malentendu entre eux et la population qui serait la cause de la délinquance qu’il subissent ?

    « il n’y a que ceux que vous traitez de “racailles” qui pouvaient, non, qui Devaient se sentir visés par ces provocations ? Désolé, mais nombreux sont ceux qui comme moi se sont senti visés par cette haine subite indirectement déversée à l’encontre de tous les gen »

    Quelles sont « ces provocations » dont vous parlez ?

    « mais ils ne le sont pas moins que ceux qui en appellent à des bûchers contemporains pour sanctionner les vilaines sorcières... »

    Je ne crois pas qu’il ait été question de proposer la peine de mort par immolation pour la délinquance dont il est question, pas plus qu’il ne soit question de condamnation sur simple dénonciation.

    Je crois donc que votre analogie n’a aucun sens.



  • wieeinstlilimarleen 19 octobre 2006 20:18

    « Vous ne semblez par suite pas exactement intolérant avec la délinquance, mais avec un certain type de population étant délinquante, est-ce vraiment la même chose ? »

    Je vous demande de ne pas me faire de procès d’intentions. Ce que je dis d’une forme précise de délinquance urbaine ne permet pas de préjuger de ce que je pourrais dire sur d’autres formes de délinquance.

    « Car oui, à vous lire, on a l’impression que la délinquance n’est que dans les »quartiers« , qu’il n’y a que là-bas que c’est compliqué entre la police et les jeunes, ce qui est déjà en soi une phénoménale méconnaissance du sujet. »

    C’est pour l’instant là que les fonctionnaires de police sont régulièrement pris pour cible. Ca ne veut pas dire que tout est parfait ailleurs, ça veut dire qu’il y a là un problème manifeste.

    « Il y a même une partie de la droite qui le pense, donc on ne raconte pas tant de conneries que ça, non plus »

    Le nombre ne fait pas la verité. Quoi qu’il soit, je ne suis pas grand amateur personnellement de Nicolas Sarkozy, mais je refuse l’idée absurde que les problèmes auxquels la France doit faire face découlent de sa personne. Ils n’ont pas attendu sa présence pour se faire jour.

    « il me semble qu’un jeune, que quasiment n’importe quel jeune d’ailleurs, a en lui le désir de performance, du jeu avec la loi, de prendre des risques, tant de psys ont assez écrit là-dessus, ce n’est pas parce que la France se met à avoir peur de ses propres citoyens que la nature va changer d’un coup. Que ceux qui n’ont jamais fait de conneries lèvent la main. Que ceux qui disent aux jeunes de ne pas faire de conneries alors que leur propre adolescence est presque pleine à ce niveau, ne lèvent rien du tout. »

    Je ne crois pas que tous les adolescents brûlent quotidiennement des voitures et attentent à la vie de serviteurs de la Nation. On est loin de Cercle des Poètes Disparus. Il faut que jeunesse se fasse, c’est le propre de l’adolescence que de contester, parfois de manière très stupide. C’est le devoir des adultes de ne pas jouer aux adolescent attardés. Et c’est le devoir de la société de faire que l’adolescence, les gesticulations existencielles des adultes en devenir, ne nuisent pas trop aux citoyens.

    C’est triste que la France se mette à avoir peur de ses enfants. Il est très triste que cette peur repose sur des éléments factuels incontestables. On a osé parler de « sentiment d’insécurité » pendant trop longtemps, a croire que tout n’était que question de sentiments.

    « la délinquance n’existait pas avant ? on en parlait simplement moins. »

    Je ne me souviens plus d’émeutes dans les années 1980 qui aurait duré plusieurs mois. Quoi qu’il en soit, ce qui compte n’est pas tant le passé que le présent et l’avenir. En bref, que l’insécurité soit neuve ou ancienne ne change rien au fait que les citoyens méritent la sécurité, le droit de vivre dans un état de droit.

    « « en cité » et se rendre compte, en grandissant, que les médias ne rendent qu’une image négative de là où l’on vit : quel peut être le sentiment, considérant cela ? »

    D’où vient cette image, à votre avis ? Les médias n’ont jamais les mains propres. Mais les élements factuels qui nuisent à l’image de ces zones sont bien des faits de délinquance ou de criminalité. Doit on cesser de parler de ces faits, pour faire chic ? Le nom Tarterets est pour le moment célèbre. Aurait-on du taire ce nom, mettre la tête dans le sable, dans l’espoir que le silence améliore les choses ?

    « Reste ensuite la façon de dire »

    Qu’est-ce qu’on dit quand on brûle la voiture de son voisin ou l’école du quartier ? A mon sens, ce faisant, on hurle qu’on est un ennemi de la société, un individu nuisible à écarter de la société pour le bien être de tous les citoyens environnants. On le doit aux citoyens. Pourquoi parlez-vous toujours des racailles qui cassent et jamais des victimes ? Croyez-vous que les gens sont heureux de ne pas avoir d’école, de transports en commun, doivent attendre les pompiers longtemps parce que ces derniers attendent d’être protégés par la police ?

    « Je déplore ces policiers, pompiers et secouristes blessés, mais contrairement à vous, tout autant que la souffrance de tous ceux qui subissent au quotidien ce que l’on peut nommer intolérance policière. »

    Je déplore les victimes du devoir, de ceux qui ont choisis d’être des serviteurs de la nation. Je déplore par dessus tous les conséquences de leurs agressions sur les citoyens dont manifestement vous n’avez cure. A vous lire, on croirait qu’il n’y a en banlieue que les racailles et les services publics. Non, il y a aussi la grande majorité de citoyens, ceux qui votent à l’extrême droite aux premiers tours des élections (et pas au second, on le remarquera)...

    Lorsque vous parlez de « l’intolérance policière », vous ne parlez certainement pas d’un phénomène quantifiable comme plus de 60 voitures brûlées par jour.

    « Il faut ramener la proximité, le dialogue, l’échange, le partage, la compréhension et le respect, et ça ne peut, ça ne doit pas venir que d’un côté. »

    Pour ma part, si je suis confronté à une victime de viol ou d’un simple vol avec violence, je n’ai pas le culot d’attendre de sa part qu’elle respecte son agresseur.

    « nier le fait qu’avoir une connaissance du terrain et des habitants permet une meilleure compréhension mutuelle et parfois le respect »

    Je persiste à vous dire que je n’adhère pas un seul instant à l’idée que les policiers devraient jouer à ami-ami avec les délinquants. Le respect viendra des citoyens lorsqu’ils pourront vivre dans un état de droit. C’est à dire quand on cessera de détruire leurs biens, quand on cessera de les menacer ou de les agresser.

    « c’est dérouler le tapis du remerciement quant à la suppression de la police de proximité qui fonctionnait pourtant mieux que le tout répressif actuel. »

    Vous disiez-vous même que cela fait au moins 10 ans que la délinquance dont nous parlons croit. Pourquoi dites-vous que la police de proximité fonctionnait bien alors que rien ne permet un tel constat ?

    « Tout dépend de la façon, et stigmatiser n’arrangera rien ; provoquer gratuitement des dizaines de milliers de gens alors qu’on est ministre de l’intérieur non plus. »

    Les racailles ne sont pas des dizaines de milliers de gens. Leurs victimes quotidiennes oui. Quant aux stigmates, je crois que c’est aussi leurs victimes quotidiennes qui les portent. Mais apparemment ces gens là ne vous intéressent pas, sauf pour les insulter pour leurs choix électoraux certes malheureux.



  • wieeinstlilimarleen 19 octobre 2006 14:00

    Moi aussi, j’aimerais bien que les policiers des commissariats du ressort desquels sont les banlieues puissent aider les grands mère à traverser.

    Cependant, l’interpellation d’un délinquant notoire est régulièrement prétexte à échauffourées, émeutes - si elle n’est pas faite dans la matinée quand tout le monde dort, il y a intérêt à ce que les CRS soient présent en soutien. On l’entend régulièrement dire, c’est une provocation au yeux des racailles quand des fonctionnaires de police sont présent dans ce qu’ils considèrent être leur banlieue. Dans de telles circonstances, évidemment les policiers ne peuvent s’amuser à aider les grands-mère à traverser, ils doivent surtout éviter de se prendre un parpaing sur la tête.

    Vous dites que 10 flics qui jouent au foot sont efficaces. Sont efficaces à quoi ? Je ne suis pas d’accord. Dix flics qui jouent au foot sont efficace pour passer pour des gentils personnellement. Suivez ce que disaient les racailles de ces policiers là : ils sont bien mais ce ne sont pas des policiers. Pendant qu’ils jouaient au foot, les zones concernées n’ont pas cessé d’être des zones de non-droit. C’est bien, ils ont joué au foot, pendant ce temps les citoyens ont continué à morflé sous le joug d’une poignée. Je n’appelle pas ça de l’efficacité. L’efficacité en terme d’image, ce n’est pas à mon sens faire passer les policiers pour des gens sympa en général qui jouent au foot mais les faire passer pour des gens qui protègent les citoyens en faisant appliquer les lois de la République. Si certains flics veulent passer pour des gars sympa auprès de tous, qu’ils deviennent footballeurs. Les délinquants n’aiment la police que lorsqu’elle cesse de lutter contre la délinquance.



  • wieeinstlilimarleen 19 octobre 2006 13:05

    « fais tu parti de ces personnes qui habitent des villages de 15habitants et votent extrem a cause de leur TV ? »

    Je fais partie de ces gens qui, pour commencer, ne croient pas qu’existent encore en France des îles, des villages dont les habitants ne connaîtraient le monde urbain que par leur téléviseur.

    « Le comportement de la police ou plutot de certains (mais nombreux) policiers s avere tout a fait outrageante... Je me suis pri des giffles des baleyettes, des insultes, me suis fait humiliatié a plus d une 10aines de reprises lorsque j etai ado, pourtant mon casier demeure vierge »

    Ce que vous dites est grave. Comme ça, vous vous promeniez dans la rue, paisible, et des policiers sont venus vous donner des baffes ? Et vous avez porté plainte, existe t-il des témoins ? Votre casier demeure vierge dites-vous... avez-vous cependant été mis en cause dans des affaires pénale et avez-vous été interpellé ?

    « Soyons serieux, il ne faut pas avoir fait l ENA pour comprendre que la delinquance est un produit pouvoir »

    Soyons sérieux, il ne suffit pas de proférer des énormités avec un ton grotesque pour en faire des vérités. Prouvez plutôt en quoi l’individu qui brûle la voiture de son voisin à perdu son libre-arbitre et qu’il est téléguidé par « le pouvoir ».

    « Les valeures Francaises (occidentales) ne poussent pas les gens a devenir citoyens mais a rentrer dans la norme qui est en elle meme MAUVAISE. »

    Si les valeurs françaises et occidentales vous déplaisent, pourquoi n’allez-vous pas voir ailleurs si vous en trouvez de plus convenables ? Evidemment, ces valeurs tendent à normaliser le monde : c’est ce que font toutes les « valeurs ». Une norme n’est pas mauvaise parce qu’elle est norme, certaines normes sont mauvaise mais cela appelle démonstration.

    « a enseigner des valeures de citoyenneté morale plutot que le classique conseumerisme occidental »

    Citoyenneté morale ? Amusant. Quoi qu’il en soit, je ne vois pas le rapport avec le sujet.

    « Un immigrant est par definition un pauvre »

    Ah bon ?

    « sachant que la criminalité n est qu une confrontation d un besoin et d un risque de l assouvi »

    Ah bon ? C’est un besoin, de brûler la voiture du voisin ?

    Il y a du vrai dans ce que vous dites, par aspects. Mais je pense que ça ne saurait permettre de faire l’impasse sur la question essentielle de la responsabilité individuelle des délinquants.

    « si vous etiez né au milieu de loups, aujourdhui vous en seriez un. »

    Peut-être. Peut-être pas. Tous les jeunes de banlieue ne sont pas des racailles. Certains sont même aujourd’hui ingénieurs, médecins, enseignants, enseignants chercheurs, policiers, etc.

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