Le Coran est un code de lois parfaitement contraire au droit civil républicain sur de nombreux aspects.
La condition réservée aux femmes dans ce code de loi n’est que l’un de ses aspects, mais il y en bien d’autres plus graves encore (si l’on peut dire), par exemple celui-ci :
L’Islam appelle ouvertement au meurtre, et à de nombreuses reprises, et désigne un grand nombre de victimes potentielles, les femmes adultères, les apostats, les mécréants, sans compter les nombreuses situations où la punition est la mort par lapidation, ou par d’autres moyens.
Il s’agit donc d’un texte criminel au regard de la loi française, l’incitation au meurtre étant un délit puni par la loi.
Question de Droit (que je ne pose pas à Marsupilami qui est un âne qui veut nous faire croire que c’est ce qu’il veut bien appeler « l’islamisme » qui pose un problème, alors que c’est bien l’islam, tel qu’il découle de son texte sacré) :
L’impression et la diffusion, le commentaire public d’un texte, qui prône le meurtre est-il conforme aux lois de notre République ?
Ce que les autruches ne veulent pas voir, en nous invitant à détourner notre propre regard, c’est que l’Islam, et non l’Islamisme, est contraire aux lois civiles.
Il est parfaitement vain de vouloir le modifier, d’ailleurs à quel titre pourions nous le demander, ce qu’il faut c’est l’interdire, ou bien l’accepter.
Choisissez la solution qui vous paraitra la meilleure à titre individuel et ergottez aussi longtemps que vous voudrez, il n’empêche que sur le plan collectif, au niveau de notre pays, de son état, de ses institutions et de ses lois, le Coran est un texte subversif et inapplicable et nous ne pouvons que demander à ses fidèles d’en abandonner les préceptes sur notre sol et interdire sa diffusion.
Le Coran est un texte HORS LA LOI.