Resumons les faits.
Un prof gifle un élève.
La loi votée par le parlement interdit les punitions corporelles.
La victime (l’enfant se plaint a son père)
Le père va faire enregistrer sa plainte a la gendarmerie et cela est d’autand plus facile qu’il est gendarme.
Les sous-effectifs font que le premier informé prends l’affaire.
Le gendarme emmene le brutal pedagogue pour interrogatoire comme dans toute procedure avec delinquant ou criminel.
Quelle etape n’avez vous pas compris ?
Le gendarme a t’il roué de coup le prof au college comme la premiere racaille venue ?
NON
Donc, apres on peut s’etonner que l’ethique n’interdise pas aux enqueteur sde se retirer d’un dossier dans lequels ils sont partie prenante , c’est sur.
Si le gamin "meritait" sa baffe , cela ne change rien.
C’est justement la generation 68 des profs anti-hautorité qui ont fait voté ces lois anti-violence...
Aujourd’hui, ayant refusé l’autorité du pedagogue au nom de leur refus doctrinal avec l’autoritarisme, les enseignants decouvrent que toute collectivité a ses dominants.
Si ce n’est pas le pedagogue, la meute trouve toute seule son remplaçant.
Du coup les profs couinent en decouvrant que desormais ils sont les victimes.
Alors pendant 20 ans ils ont deprimé, passant de depression en depression.
Ensuite ils ont pleurnichés, demandant a d’autres, aux flics honnis de venir les proteger.
Maintenant , ils craquent et brulent les faux Dieux qu’ils ont adoré : Ils giflent les sauvageons comme le premier Bayrou venu !
Et oui, ils suffisaient de garder le pouvoir dans la classe et de ne pas chanter : il est interdit d’interdire...
Les profs deviennent de droite, lentement mais surement.
En effet c’est bien la droite qui prone les comportements brutaux, vous nous l’avez assez dit pendant 50 ans !
Quel bonheur cette actualité, vous sentez comme tout ça monte , comme les tensions s’exacerbent ?
Preparez vos haches, c’est pour bientot.