Merci et bravo Denis Robert pour le travail que vous avez accompli et que vous continuez de faire et pour la haute estime que vous portez au métier de journaliste.
Les combats que vous avez menés contre ceux qui voulaient vous faire taire vous honorent. Et comme vous le dîtes, le journaliste se doit de veiller à l’oeuvre de justice :
« Disons que le journaliste qui écrit, commente, intervient dans le domaine judiciaire est là pour rappeler aux magistrats qui auraient tendance à l’oublier qu’ils sont d’abord dans les tribunaux pour rendre justice. Et donc être juste. En cela, le journaliste -le bon journaliste- est toujours un emmerdeur, un empêcheur de juger en rond. »
Et vous avez encore raison lorsque vous affirmez :
« La crise financière que nous vivons aujourd’hui et qui met le projecteur sur ces paradis et ces multinationales de la finance prouve que j’ai eu raison de résister. Elle le prouvera de plus en plus. Ce qui rend ma détermination inébranlable c’est qu’au delà de mon cas personnel, j’ai le sentiment que c’est toute la profession de journaliste qui risque de perdre ou de gagner une partie importante. »