« la viande à harem » !!!
En Orient, le sens de la famille est hautement conservé. Les
familles vivent dans la quiétude et la paix, malgré la misère, car
leurs cœurs sont trop riches et très emplis d’amour : les mains et les
têtes des grands-parents sont embrassés ainsi mêmes que celles des
parents. Les divorces sont rares, et quand les enfants grandissent leurs parents
(ne sont pas jetés dans des mouroirs et oubliés, mais sont hébergés
dans la maison de l’un des enfants, même s’ils ont la leur [ou sinon le
benjamin ou la benjamine se marie et reste avec eux], et ) deviennent les chouchous de la famille, notamment la MAMMY.
C’est celle-là mon ami la vraie famille orientale,
et non celle misérable placardée dans l’HLM d’à côté, ou ce que l’on
lit dans les faits-divers ou les informations insolites d’ailleurs.
Le vrai Harem est celui que l’on retrouve en Occident, constitué de
toutes ces femmes esseulées qui se croient trop libres mais vivent
souvent en défaut d’amour. Elles ne parviennent plus à fonder une vraie
famille, cette vraie famille jadis heureuse et solidaire que le système
trop matérialiste et libéral a finit par casser ; d’ailleurs, il y est
de plus en plus de familles monoparentales que de familles (n fois)
recomposées.
Après le boulot, le seul soucis de ces femmes malheureuses et
esseulées se résume en la question quand est-ce qu’elles sauront
dénicher un petit-ami (on ne cherche plus un futur mari, les gens ne
prennent plus leurs responsabilités, d’un côté comme de l’autre, mais
juste qu’à épancher des pulsions, les gens se projetant que dans le
court terme au lieu du long terme).
Souvent, ces femmes là ne vivent plus que des amourettes, devenant
le réservoir intarissable des dragueurs, des coureurs de jupons, et des
collectionneurs de maîtresses, pour lesquels elles sont jetables à
loisirs.
Voilà le vrai harem, vrai fruit du libéralisme à l’excès.
La femme se fait belle aujourd’hui non pas pour séduire son mari, père
de ses enfants, mais pour séduire le maximum d’hommes qu’elle croise
dès qu’elle ressort de sa petite maison.
Sous des airs de liberté et de libéralisme, cette femme là, c’est
elle qui est devenue la vraie esclave de l’homme. C’est le système qui
l’habille et la déshabille, c’est le système qui lui dicte comment
doit-elle se faire belle à l’excès (soit-disant pour elle même, en
étant belle dans sa peau), c’est le système qui lui inculque la
dernière mode la plus aguichante pour les regards des mâles, et c’est
le système qui lui dicte ce qu’elle doit manger et ce qu’elle doit
mettre comme fragrances (phéromones) sur sa peau.... Après, c’est le
même système qui lui vend in fine l’idée qu’elle est vraiment libre,
trooop libre. Bein, dis-donc !!!
Au bout du compte, cette femme là
ne jouit et ne récolte que des plaisirs éphémères. A la place de
l’amour et du bonheur, dans son cœur, c’est l’angoisse constante et la
dépression chronique qui s’y sont substituées.