Pierre JC Allard
(xxx.xxx.xxx.24)
6 mars 13:00
« Le lien est là pour ça ».
J’ai lu le texte en question.
"Je
refére à un texte où je présente la notion de revenu/travail garanti
comme la clef de voute d’une reforme du travail« .
Vous en restez au niveau du principe.
»Les autres textes de
cette section de mon site la mette en contexte. Difficile de développer
davantage mes arguments que dans ces 42 textes qui sont l’équivalent
d’un petit bouquin et sur lesquels je serais heureux d’avoir vos
commentaires« .
Parmi ces 42 textes, quel est celui traitant des modalités de financement de »votre" Revenu Garanti ? Car, sans financement, l’idée ne peut que rester en l’état.
"Mon jugement
sur l’allocation mensuelle que proposait Marseille est bien
lapidaire.... parce qu’il traduit exactement ma pensée : Il m’apparait
bien réducteur de présenter le revenu garanti comme simplement une
forme d’assistanat type « crédit social » remplaçant les autres formes d’assistanat. Réducteur au point d’en être nuisible. Je dirais ... une bonne idée mal ficelée« .
Pour le financement de »son« Allocation Universelle, Jacques Marseille entendait regrouper tous les financements déjà existants pour le paiement des actuelles »prestations sociales« , au sens le plus large, dont la source provenait de prélèvements fiscaux et parafiscaux sur l’économie.
D’où, à terme, la nécessité de remplacer l’Allocation Universelle par le Dividende Universel fruit d’un effort d’épargne soutenu pour constituer des capitaux autonomes, indépendants de tous prélèvements fiscaux ou parafiscaux sur l’économie, gérés solidairement par une représentation démocratiquement élue ( »politiques exclus) de la collectivité nationale qui investirait ces capitaux dans l’économie de marché afin d’en générer ledit Dividende Universel.