Le mythe de la Femme cougar vient de tomber. Voir l’étude de M Dunn « Universal sex differences in online advertisers age preferences : Comparing data from 14 cultures and 2 religious groups » publiée dans Evolution and humain behavior.
Tout est bon pour taper sur les feministes rendus responsables des dérives consuméristes des femmes, voire même de la lutte des classes. Les critiques les plus virulents visent le mouvement fémiste qui les prive (ce qui n’est pas démontré) d’un nombre de femmes pouvant grossir leurs rangs sans cette libération. La femme doit toujours suivre quelqu’un ou quelque chose. Elle est de leur point de vue, par essence englobée dans une idéologie. Dire qu’un mouvement puisse parler de la spécificité de la femme est une aberration, et une menace parce que cela occulte les autres problèmes. La femme doit attendre que l’homme n’ait aucun problème avant qu’elle ne discute des siens. Il ne leur viendra pas l’idée que le combat des peut être complémentaire au lieu de le voir comme un affaiblissement.