Mr. Belouve.
Je ne me permettrais pas d’émettre de critiques sur le fond de votre article,qui illustre encore une fois les dérives du mode d’administration de nos institutions européennes.
Ce que vous n’avez pas abordé par contre, c’est que du fait de l’inertie décisionnelle de ces instances, il n’y a aucune possibilité pour remettre en question ces orientations.
Le constat est là.
Ce qui manquerait par contre ,ce serait l’analyse de la façon dont cette hystérie climatique imbécile a pu ainsi fagociter nos sphères politiques.
Autre chose.Nous allons donc sacrifier des moyens importants à une chimère.
Mais nos ancêtres n’ont-ils pas agi de la même façon en batissant des cathédrales.Pour l’époque, cela monopolisait des moyens énormes.Et, à part les bénéfices actuels pour leurs lointains successeurs, cela n’apportait rien à l’économie.
Sauf à considérer que ce qui importe, ce n’est pas l’utilité des activités,mais les activités en elles-mêmes.Que du fait de la captation d’une partie des moyens,ceci à obligé à augmenter les activités, à augmenter les rentabilités.
Quand les économies ont eu à subir une explosion du coût du pétrole,on a vu une période d’adaptation, et une stimulation vers plus d’efficacité, et cela alors que les ressources captées n’étaient nulle part affectées à une quelconque utilité.
On aurait pu tout aussi bien favoriser la construction de machines à coudre pour renforcer les digues de Vendée.
Mais de toute façon,comme dit plus haut, vous ne ferez pas changer de cap un navire aussi gros, alors que dans la timonerie on donne une réception où le champagne coule à flot,et que l’on a oublié d’embarquer le capitaine et des officiers de navigation.